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![]() Derniers commentaires (6 / 38)
Muse - The Resistance - 5 / 20 Le 09/11/2009 à 09H33 Le problème avec Muse maintenant, c'est qu'ils sont incapables de renouveller leur esprit. Alors ils utilisent quelque stratégie...changent quelque thèmes musicaux et nous montrent qu'ils sont de sacrés musiciens... Le souci c'est que la limonade ne passe pas...du tout. Les différentes influences sont balancées à la volée. Ca peut les prendres comme une envie de pisser..du queen, de la pop, du metal, du hard rock...du Muse de temps en temps pour assurer les passages radio. Cet album n'a AUCUN SENS...j'ai rien compris. On a l'impression d'entendre une compil d'anciens morceaux du groupe, avant qu'ils ne trouvent l'identité Muse. Et c'est là que le bat blesse le plus. Bellamy chante toujours de la même manière, fait toujours monter les émotions de la même manière. Alors ça passait quand sur le précédent albums, ils nous faisaient quasi toujours les même morceaux. Mais là, sur des essais artistiques radicalement différents, on se dirait presque que ce mec n'est pas du tout inspiré. Bref, Muse n'a plus d'intérêt sous cette égide là...je vais aller me retaper un ancien album. Là, je serais pas frustré...à bon entendeur ;)
Rinocerose - Futurino - 10 / 20 Le 08/08/2009 à 11H41 Savent pas bouger sur scène ceux là, en plus ils en font un teaser minable et super prétentieux. La musique est aussi intéressante que quand tu mets la radio pour faire 500 bornes sans vouloir trop y penser. Trop hype et tragique en même temps.
Cenesthesie - Première Topique - 12 / 20 Le 28/05/2009 à 00H52 Rien à voire ... la définition de cénesthésie n'est pas du tout à interpréter comme une perception maléfique ou dépressive. Il en va certes de la capacité à éprouver les sensations douloureuses, mais pas que ! Alors pas de confusion et de lien mou du genou et caricatural. Genre cénéthésie = sens de la douleur...genre quand papa est partie de la maison tu as éprouvé une sacré cénesthésie... Ah ces chroniqueurs lourdingues... :) L'inculturabilisme à ce point ... moi je dis que c'est pas permissif. Sinon, bon petit son bien emballé et des jolis riffs qui font bouger la tête. De la à parler de fouille dans l'inconscient. Ou de l'expression des sentiments intenses de détresse et de peine...faut pas pousser. On a là des guitares qui jouent des riffs gogolles et lourds avec un chanteur qui crie un peu de peine. C'est une ébauche de musique sensorielle. Plus que du métal lunatique, c'est du métal pop corn. Au sens où ça se mange vite fait, tu sais que tu en as déjà mangé plein dans ta vie des comme ça, et tu t'en souviens pas vraiment 10 minutes après.
Darla - Walls Or Path - 13 / 20 Le 11/03/2009 à 09H47 Top linéaire et bien foutu...what else ?
Portishead - Third - 11.5 / 20 Le 21/12/2008 à 00H37 Portishead s'occupe de revenir au plus grand plaisir de tous... Oui mais non. Un groupe comme Portishead est condamné à divisé avec un retour de si longue date. Ce groupe ne peut définitivement pas rejouer les gammes de son succès. Il serait critiqué pour cela. Alors, P doit se réinviter et choisit de s'abstraire de ses racines trip hop, du feu trip hop diront certains. Pour passer vers des constructions electro minimalo accoustiques. Qu'est ce que cela peut donner. Dans l'idée, cela peut être grandiose. Et libre à chacun d'apprécier cet album en fonction de ses dispositions...Beth est grandiose, on ne peut qu'être sous le charme pour certains. On a perdu les racines jazz au glamour décent et suave. Certains comme cykklop qui rate pas une occasion de foirer sa critique nous bassinent même avec les scratchs "kiki sont pu la" ( comment peut on dire de façon définitive que les scratch manquent sur cet album...tu les mets où les scratchs sur cet album cocotte?). Voilà ceci dit chacun voit cet album sous l'angle qu'il désir. Mais de partout une chose se dégage...de l'indulgence : flagrante ou latente. Car Portishead est dans une autre dimension. Finit l'album aux chansons universelles. P nous a construit un album aux références et aspirations beaucoup plus personnelles. Nous avons maintenant des chansons alembiquées et torturées dans une construction à circonvolutions. Autant le reconnaitre aussi certains morceaux et arrangements sont franchement décevants dans cette construction. L'ambiance générale n'a que peu de classe. Une classe qui se fait trop rare et discrète. Nous y avons été habitué pourtant ! A cela se superpose certains passages electro potentiellement gigantesques. Mais qui seront abandonnés au profit d'une rengaine pop. La douce complainte acidulée laisse de plus en plus place à une miaulerie définitive. Comme si toute cette histoire n'était pas vraiment maitrisée. Souvent à l'abandon... L'impression d'un premier jet, d'une tentative de come-back pataude. Le syndrôme du champion de légende qui revient juste avant d'être has been, mais qui n'est déjà plus ce qu'il était. Cet album est celui d'une histoire hallucinatoire narrée après ingestion d'un acide. Mais un acide mou qu'aurait suçoté une dépressive géniale. Alors il y a des fulgurances de plaisir sonore et émotionnels. Mais le talent de Portishead n'est réapparu qu'au fil de spasmes. Non...vraiment. Que Portishead change, je dis oui. Mais voilà, ils ont pris le risque de baisser de catégorie et le résultat est là. D'un groupe culte et universel, nous ne retirons ici qu'une comptine étrange et pas mal branlée. Juste pas mal. Mais de là à planer avec eux...pas pour moi en tout cas. D'ailleurs avec quasiment un an de recul, on peut le dire, cet album a fait un bide tout aussi sidéral que l'ambiance qu'il dégage. Dommage...
Vinc Project - My Story - 12 / 20 Le 09/12/2008 à 15H27 Bel effort...Niveau voix c'est quand même moyen en revanche, une vraie voix de guitariste. Voir la suite |
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