Profil consulté : 137 fois.
15 commentaires

Derniers commentaires (6 / 15)

Sum 41 - Screaming Bloody Murder - 17 / 20 Le 29/03/2011 à 20H42

Que dire...
J'étais super sceptique à l'idée de cet album, pour 2 raisons:
- Underclass Hero avait montré un groupe à bout de souffle, en perte d'inspiration, tentant de réitérer le succès de "All killer" et "Does...Infected?" mais sans le charme et l'originalité, forcément.
- enfin, les ayant vu en live récemment, j'ai trouvé très moyen le 1er extrait de "Screaming" (une version de Skumfuck tronquée par rapport à la version album, sans l'intro)

Après l'écoute (et depuis quelques jours l'achat) de cet album, ma vision est carrément positive au final.
Comme certains l'ont déjà dit, Sum41 reprend le meilleur de leurs albums les + marquants.
Ainsi on retrouve les riffs métal et la noirceur de "Chuck", les mélodies imparables et les lignes de chant de "Does...Infected?" (d'ailleurs Derryck a carrément amélioré la partie vocale, ça sent les cours de chant à plein nez).
Mais là où les SUM ont assuré comme des connards, c'est qu'à la différence de Chuck (qui à ce jour restait mon opus préféré) ils ont certes glissé quelques influences musicales mais sans aller jusqu'au plagiat ("Welcome to Hell" qui était calqué sur le "All I want" de The Offspring ou encore les riff de "The Bitter end" tout droit sortis d'un scud de Metallica).
Une fois l'écoute terminée on se dit juste: "merde, on tient enfin un vrai disque de SUM41".
Par rapport aux autres opus (car il faut bien comparer) on a pas mal de mélanges piano/guitare élec, plusieurs morceaux ont droit à une intro (5 pour être précis), l'ambiance est relativement noire avec 3/4 tubes pechus un peu + festifs qui lorgnent plutôt vers les Dandy Warhols qu'Offspring ou Greenday et surtout c'est hyper efficace.

Je pense qu'on tient là l'album le + personnel du groupe (en tout cas celui qui correspond le mieux à ce que Sum est devenu depuis "Does...infected?") et mis à part les 2 morceaux + calmes (et parfaitement dispensables IMO) les 12 autres pistes s’enchaînent à merveille et aucune ne laisse sur sa faim (pour peu qu'on aime le punk rock, hein, soyons clair!)

Mention spéciale à "Blood in my eyes" et ses riff destructeurs que Dave Brown n'aurait carrément pas renié.
Le break de fin de morceau est excellent, en particulier le passage de 3'27 à 3'37 (oui, je sais, c'est court!) carrément bandant. Gros kiff.

Linkin Park - A Thousand Suns - 2.5 / 20 Le 14/09/2010 à 00H13

=== "A Thousand Suns", ou comment se trouer comme un chef, par Linkin Park ===

Leçon 1:
Devenez célèbre sur une réussite involontaire (Hybrid Theory)

Leçon 2:
Essayez de vous dévoiler sans qu'on voit trop non plus que vous êtes une vraie burne incompétente (Minutes to Midnight)

Leçon 3:
Après avoir rincé le porte-monnaie des djeunz en skate-board du monde entier, faites-leur bien comprendre que l'adolescence c'est de la merde et que tout fout l'camp! (une vraie leçon de vie) --> vous obtenez "A Thousand Suns", ou l'album qui en seulement 2 jours d'existence se tape les pires critiques de l'internet mondial (critiques pro et avis des fans confondus)

Maintenant, parlons en détail de ATS...
Oulah! Par où commencer? Par la fin peut-être?
Les mots "usurpateurs", "viol auditif" et "arnaque" sont les 1ers qui me viennent pour décrire cet objet de forme circulaire qui pourrait à s'y méprendre contenir des mélodies agréables à l'oreille (mais ne vous y trompez pas, ce CD semble avoir été pressé uniquement pour que vos amis se foutent de votre gueule ou que Magalie Vae et Cyril Cinélu puissent enfin sortir de chez eux en ayant -un peu- moins la honte)

Je suis en fait assez consterné pour tout vous dire.
Non pas que j'attendais grand chose de cet album (Meteora et surtout MTM nous ont ouvert les yeux sur l'erreur discographique qu'était finalement Hybrid Theory dans la carrière de LP -belle erreur que celle-ci!-), mais je nourrissais encore l'espoir d'un regain, ne serait-ce que pour dire "on se bouffe pas 2 buts sans rien dire, on en met au moins un pour l'honneur même si on sait qu'on sort au 1er tour".

Mais LP c'est un peu notre Anelka à nous: il arrive à dépasser des limites dans le non-sens sans forcer et en toute décontraction.
C'est donc tout décontracté du gland que Chester Bennington et sa troupe nous pondent 9 morceaux, excusez de la profusion, qui pour le consommateur non averti se transforment comme par magie en 15 morceaux.

Explications:
Parmi les mots employés + haut il y a "arnaque".
Je considère comme arnaque le fait de vendre un disque de 15 pistes qui en fait ne contient que 9 morceaux (le reste n'étant que des instrus).
Je n'en rajouterai pas une couche en précisant que 3 de ces instrus sont parmi les les meilleurs morceaux de l'album (cherchez l'erreur...), c'est dire la faiblesse générale de ATS.

LP nous avait habitués à l'intro d'album et à l'instru vers la fin de l'album (qui déjà à l'époque de Météora était très suspect et cachait à peine la difficulté du groupe à pondre + de 11 morceaux potables d'une traite).
Là je considère que 9 morceaux en 3 ans c'est juste inqualifiable, surtout vu la pauvreté des compositions.
Et pour les rares défenseurs de cet album (encore qu'ils aient le droit, tous les goûts sont dans la nature) les instrumentaux du dernier Lostprophets (au hasard -et pourtant pas un album d'exception, loin de là-) sont largement mieux foutus (mention "GG" pour The Storm is coming, outro qui poutre)

Enfin "viol auditif" résume les morceaux de la + honnête des manières.
RIEN, absolument RIEN ici ne méritera une écoute prolongée au-delà de la 3è (2è? 1è même pour certains morceaux) écoute.
Cet album est condamné à finir recouvert de poussière et pour une raison simple: il est boiteux!
Les (Le?) morceau(x) Rock sont (est) d'une platitude rare; les ballades sont chiantes à crever, et finalement, seul The Catalyst (pourtant très mauvais) peut s'écouter + d'une fois sans risquer une attaque cérébrale.

Si je met 2.5 cependant c'est que tout n'est pas à raz-de-terre (même si ça s'est joué à peu)

- Je mets tout d'abord 1 point pour saluer le retour (enfin) de Mike Shinoda au micro (et l'encourager par là même à quitter ce navire en perdition dans le triangle des Bermudes et nous sortir un nouveau Fort Minor), car il était quasi-absent sur MTM, alors qu'il aurait pu y être salutaire sur certains morceaux (les ballades merdiques et mièvres par exemple).

- Il y a ensuite 1 point pour l'ensemble de l'album (et là vous faites les grands yeux).
J'entends en réalité par là le fait que les instrumentaux confèrent une "ambiance" à ce navet malgré tout.
Peut-être qu'à la longue ceux qui auront eu le courage finiront par lui trouver une âme (même si c'est tendu du string, soyons clair!)

- Le dernier demi-point c'est pour la prise de risque.
Ils auraient pu faire un Meteora 2 avec des chutes de studio (cf. The New Divide) mais ils ont préféré faire un truc "approximatif" qui navigue ente 3 eaux sans jamais se trouver.
Bel effort...mais c'est un vrai naufrage artistique à tout niveau (même l'artwork est catastrophique)

Du coup je ne donne qu'un demi point car c'est une prise de risque de merde, ils ont juste balancé 9 morceaux de fond de chiottes enrobés comme de la merde, genre "on n'a plus que ça en stock" sans avoir la moindre idée de ce à quoi la bouze va ressembler au final.
C'est bien aussi parfois de prendre du recul et faire un album homogène, complet, équilibré, varié, etc...bref, de donner l'impression que le truc a été réfléchi.
Là, après 2 écoutes j'ai juste l'impression que les morceaux ont été posés sur la galette en mode "Random".

Ca craint pour un groupe qui suscite autant d'attente dans le monde.

Linkin Park c'est un peu ce collègue de boulot qui a eu une promotion dès son arrivée dans la boîte mais qu'on voit branler à longueurs de journées sans jamais se faire gauler, au point d'en devenir irritant, et là il vient de se balader à poil, une plume dans le cul dans les couloirs du bureau et s'est fait choppé (fallait que ça arrive!).
Du coup, tous nos instincts primaires ressortent et on a envie d'enfoncer encore + ce vilain canard.
Voila qui explique ce déferlement de haine (finalement mérité) contre Linkin Park.

Enfin, n'en jetons plus, ce 100 suns restera bien gentiment sur l'étal de Monsieur Virgin et Monsieur FNAC pendant quelques mois avant de rejoindre les bacs à Soldes où il finira à 2€ en 50 exemplaires sous blist à côté de groupes folk de 3è zone et des albums de Tragédie, Leslie et Kamaro.

Korn - Korn III : Remember Who You Are - 8 / 20 Le 30/08/2010 à 20H27

Ah ouais, quand même, ils sont fatigués les mecs de KoRn...

Ok, merci pour le retour aux sources, même si ça sent + l'opportunisme qu'autre chose.
Mais en dehors de ça je vais être honnête à 100%: je me suis fait chier comme un rat crevé avec cet album.
J'ai même abandonné avant la fin de la 1è écoute tellement je trouvais ça rasoir et plat.
J'ai tenté à nouveau le coup quelques jours après mais mis à part quelques passages relativement "agréables" (et encore je suis large), rien de transcendant à signaler.
C'est toujours + audible que les 2 derniers viols auditifs commis par le sieur Davis, mais objectivement ça vaut pas grand chose.
On se force à apprécier parce que c'est KoRn et que la 7 cordes et la basse groovy (enfin...ce qu'il en reste) viennent toujours chatouiller favorablement nos tympans, mais techniquement c'est complètement plat ça ne vaut plus rien, surtout si on le compare à Life is peachy, Issues ou même Untouchables.

Que KoRn arrête de vouloir faire du mélodieux, ça leur réussit pas.

Qu'ils arrêtent de faire de la musique aussi tant qu'ils y sont, ça semble pas leur réussir non plus.

Par contre Brian Welsh a pondu des trucs autrement + "écoutables" en solo...comme quoi...

Muse - The Resistance - 20 / 20 Le 10/08/2010 à 04H41

Magnifique critique musicale qui critique finalement + les auditeurs (supposés) de cet album que l'album lui-même, et s'invente un futur hypothétique et fantasmé de ce que deviendra MUSE, sans que rien de véritablement crédible ne puisse être retenu de cette digression toute juste bonne pour le pitch d'une suite à Spinal Tap ou Chris Conty.

Critiquer un groupe par les fans qu'on lui prête est juste un manque flagrant d'arguments pour descendre un album sans se fouler...

pourtant en allant vers le corps des morceaux il y avait quelque chose...certains morceaux se veulent + faciles d'accès en effet, bonne remarque.
Problème: d'autres comme United States of Eurasia, les 3 Exogenesis ou MK Ultra vont dans l'autre sens (soit 5 morceaux sur 11).
L'argument vaut donc ce qu'il vaut: une moitié de vérité qui met surtout en évidence le fait que MUSE a voulu avec cet album faire plaisir aux fans de Origin of symettry ET à un nouveau public.

Opportunisme?
Il ne m'a pas semblé que l'on n'en ait fait des chavignols quand les RHCP ont sorti des singles ultra-calibrés.
Et on peut en citer des caisses comme ça.
Tout est question de positionnement par rapport à l'artiste en fait (et MUSE étant plutôt en odeur de sainteté je conçois qu'il soit + exposé à la critique)
Et c'est là que le devoir du "critique" est de garder la tête froide et d'analyser tous les aspects d'un album en tentant de rester objectif.
Voir la bouteille à moitié (quasi) vide est défendable mais il faut des arguments solides et non des demi-vérités.

Resistance d'ailleurs écope malgré tout d'un 10/20, comme quoi la note est peut-être moins sévère que la critique et trahit peut-être le "non-naufrage" définitif de ce skeud au final.
Ce que je partage.

Pour le reste, mon avis tranche radicalement et pour une raison simple:
OOS reste pour moi ce que MUSE a proposé de meilleur jusqu'ici (et ça le reste, Resistance n'y change absolument rien), mais je n'avais pas adhéré à l'évolution du groupe.
Absolution avait de beaux morceaux de bravoure (Thoughts a dying atheist, Hysteria, Stockholm syndrome, sing for absolution) mais il manquait quelque chose pour rendre cet album marquant.

Avec BHAR j'ai pris une baffe de déception car Bellamy avait passé à la trappe le côté rock (les grattes ont du tomber à l'eau pendant le clip de starlight) pour se barrer dans des contrées certes expérimentales (ce qui a plutôt tendance à leur réussir en temps normal) mais pas toujours bien maîtrisées, ce à quoi on peut rajouter certains morceaux irritants (Starlight me file de l'urticaire).
Mais surtout, MUSE avait toujours été doué pour les morceaux piano/voix, sauf que sur BHAR ils sont tous raté à un point pas croyable.
Du coup, mis à part Assassin, Map Of The Problematique et Knights Of Cydonia je trouve le reste chiant à mourir et redondant par moments.

Pourtant en live le groupe savait rendre agréable même le pire des morceaux.
Comme quoi, MUSE est plein de surprises.

Resistance est donc pour moi un regain d'intérêt pour les albums studios du groupe (qui n'étaient depuis quelques années qu'un prétexte pour aller les voir en live).
Resistance alterne le chaud et le froid, choisis judicieusement ses influences (Undisclosed desires, The Resistance) et les assume; sait poser des grattes lourdes quand il faut (Uprising, MK Ultra) proposer des expérimentations réussies (United states + collateral damage) et va de l'avant en terminant l'album sur un style qui bien qu'éloigné de leur musique de base (pop rock) se fond parfaitement et semble être une sorte d'évolution logique des compositions de Bellamy.
Seul petit bémol: Exogenesis I reste bien + intéressant que ses 2 con-soeurs, mais l'effort est + que louable.

Au final Resistance est un album qui, soyons honnêtes, est mieux branlé que 80% des albums pop-rock qui sortent de nos jours, et même s'il peut décevoir, en partie par sa longueur (8 morceaux + 3 symphonies) ou son ambivalence trop marquée (morceaux accessibles et d'autres à la forme moins conventionnelle) reste que depuis OOS, Muse n'avait pas réussi à pondre un album aussi bien emballé et qui réussit sur plusieurs tableaux à la fois.
Les ballades sont très bonnes, les morceaux rock, même si peu nombreux s'affirment haut la main, et la qualité d'ensemble est juste fabuleuse.

Contrairement au chroniqueur, je n'ai pas de boule de cristal pour voir l'avenir du groupe, mais je peux avancer sans sourciller que leurs performances live seront toujours aussi fréquentées pendant les 10 prochaines années, et ce, que leurs albums soient de sombres merdes ou des tueries intersidérales.

Mention spéciale à MK Ultra et Unnatural selection.

Ps: merci à Zeek d'avoir cité 3 bombes: Dead Star, Stockholm syndrome et citizen erazed.
Si toute la disco de Muse pouvait ressembler à ça j'aurais juste claqué un 12/20 à Resistance.
Mais la vérité je crois, c'est que Muse est + symphonique et expérimental que véritablement rock.
je les prends donc comme tel ;-)

Deftones - Diamond Eyes - 17 / 20 Le 04/05/2010 à 13H27

Je vais faire simple et court:
J'apprécie Diamond Eyes pour toutes les raisons qui m'ont fait détester "la branlette du samedi soir" (vous pouvez aller zieuter la note maléfique que je lui ai mis, pour comprendre de quoi il en retourne...)

Pour résumer: Deftones ne se "singe" pas, montre une (mini) évolution sonore sans donner l'impression de nous la rejouer "white pony Bis", les morceaux sont direct et ne prennent pas de gants pour nous cueillir, Chino développe une palette encore mieux foutue qu'avant, et surtout, même dans l'exercice difficile des covers, ils s'en sortent avec les honneurs, avec mention du jury pour le bandant "Do you Believe" repris des Cardigans (Gran Turismo) et qui enfonce l'original, pourtant un des 3 meilleurs titres du quintet suédois (avec Hanging around et Favorite Game).

Bref, Deftones me rassure enfin sur son talent, toujours présent, et son énergie qui semblait avoir fuit leurs performances live.
Il n'y a pas à douter que Diamond eyes sera défendu en live comme il se doit avec cette fureur et cette rage qui leur est propre.

J'étais toujours client de leur "son" à l'époque de l'album black car ils avaient fait autre chose que du white pony tout en restant Deftones.
Là c'est la même (agréable) surprise:
on reconnaît l'énergie et la puissance basique d'un Around the Fur, on apprécie le calme planant et atmosphérique du poney blanc, et parfois ça lorgnerait presque vers du team sleep, mais mieux branlé (IMO).

J'applaudis des 2 mains, rien à redire, à acheter direct.

Un grand cru.

Black Light Burns - Cruel Melody - 20 / 20 Le 13/01/2010 à 00H29

"Sur le cul".
Voila les 3 mots qui me sont venus à l'écoute de cette "prouesse".
Car, OUI, il s'agit bien d'une prouesse, d'un de ces instants de génie qui éclairent parfois le destin d'un musicien que certains croient "raté", mais qui à la lumière de ce nouveau groupe semble avoir surtout été incompris, sous-exploité, mis en cage pour servir quelque chose d'uniforme, alors qu'il est tout sauf ça.
Wes est un ovni dans le paysage musical post-neo-metaleux.
Capable de naviguer dans 4 ou 5 styles musicaux en gardant la même qualité, le même toucher, la même grâce...
Black Light Burns défonce là où tant de groupes connus se sont vautrés comme des grands.
Black Light Burns remet les pendules à l'heure et se crée en un seul album une vraie mythologie, une empreinte qui lui va comme un gant.
A l'écoute de Cruel Melody on en oublierait presque que Wes Borland faisait partie de Limp Bizkit.
Il y avait du bon en Limp, mais le groupe s'était reposé sur ses lauriers et avait fini par être très critiqué par les fans de la 1è heures (et ce, avant même Chocolate Starfish) mais Wes démonte tous les arguments potentiels des sceptiques:

1) c'est un putain de compositeur (même s'il n'est pas seul aux commandes, Danny Lohner et Kilpatrick doivent avoir aidé, mais j'ignore dans quelle mesure)

2) c'est un très bon lyriciste (I have a need, 4 walls et ses gimmick, Lie carrément bandant au niveau du texte)

3) mais c'est surtout un putain de bon chanteur. Il n'en fait pas des caisses, assure comme il faut et appose sa "patte" à l'univers de ce "Cruel Melody".

Black light burns est pour moi la meilleure révélation de 2007, un petit chef d'oeuvre inattendu qui cartonne dans tous les registres (rock/metal/indus/planant).
C'est beau, c'est brutal, puissant, et parfois émouvant.

Respect absolu!!!

Et quel orgasme ce solo sur "Lie".
Lohner et Kilpatrik sont des timbrés, pas d'autre explication ^_^

A recommander chaudement:
- I have a need (énorme tuerie)
- Lie (branlette)
- I Am Where It Takes Me (belle à pleurer)
- 4 Walls
- Stop a Bullet
- New Hunger
- Mark
- Iodine Sky

(Bref...tout l'album quoi ^_^ )

Voir la suite
Ses prochains concerts
Aucun concert à afficher
Vu en concerts
Ash El 4nicator n'a pas encore ajouté de groupes vu en concert.