Fury Fest 2005 (Vendredi)
par Fink (23/01/2006)

Vendredi - Samedi - Dimanche
VENDREDI
Cataract
Mon premier concert de ce Fury Fest 2005 fut celui des suisses de Cataract (la trop longue attente pour retirer les pass press m’a fait louper Hellmotel, fuck !). Un bon groupe pour ma part, pas très original certes, mais qui envoie en live, et qui est conseillé à tout bon amateur de métal hardcore. Le groupe enchaîne les titres, et le public à l’air d’apprécier puisque ça bouge déjà pas mal dans la Forum Stage. Le son n’est pas inaudible comme il allait malheureusement s’avérer être beaucoup trop de fois durant le week-end dans cette salle. C’est donc un enchaînement de gros riffs et de circle pit qui fit de ce concert un bon concert de métal hardcore comme le Fury sait maintenant traditionnellement nous offrir. (Fïnk)
Tracklist Cataract:
Killing tool
As we speak
Vanished in the dark
Hallow horns
Devon
Reborn from fire
Nothing's left
Skies Grow Black
The A.R.R.S
Quoi de mieux qu’un concert sur la Main stage du Fury Fest pour se faire connaître avant la sortie d’un premier album ? C’est le coup de poker qu’on réussi les hardcoreux parisiens de The A.R.R.S, appelé trois jours avant à la rescousse pour remplacer After Forever. Et ça fait plaisir de les voir. Habitué aux salles plus modestes, le groupe ne pâlit pas devant l’immense Main stage malheureusement quasiment vide au début du set (gros bordel au niveau des guichets, et Cataract qui jouent en même temps juste à côté…) La salle se remplira de plus en plus au fil des titres (essentiellement tirés de leur premier album, sorti en septembre) le son est correct, c’est plutôt carré, et le charismatique chanteur investit bien la scène (le reste du groupe sera plus timide). Quelques Karatés Danceurs font pendant ce temps là leur apparition sur la piste. Un bon concert de métal hardcore, même si l’on peut regretter le manque de monde pendant cette demi-heure. Un groupe qui en tout cas dans le futur fera indéniablement parler de lui, et en bien. (Fïnk)
Sikth
Arrivées à 7h au camping, nous devrons attendre jusqu'a midi pour qu'enfin les portes s'ouvrent. Apres de nombreux problèmes de pass presse (ils n'ont pas les listes) et une attente interminable, nous obtenons enfin un petit bout de plastique orné du sigle Fury Fest synonyme de liberté sur le site.
C'est donc un peu énervés que nous arrivons au concert de Sikth, dans la Forum Stage. Bon, il faut savoir que cette fameuse salle est circulaire, et le son passe fort mal. Vraiment peu de formations arriveront a en tirer un son correct (My Dying Bride, Neurosis, Walls of Jericho a la limite..). Le concert en est gâché, et le hardcore barré des anglais s'en voit inécoutable pour le non initié que je suis. Dommage... (Taak)
Sikht s’annonçait comme LA révélation des jeunes groupes de ce Fury Fest. Peu connu en France, catalogué comme la nouvelle « sensation » métal en Angleterre, ils pratiquent un métal déstructuré à la Dillinger Escape Plan. Il est vrai que leur mp3 Hold my finger sur le site Web du Fury Fest mettait une grosse claque… On pouvait donc s’attendre à une bonne surprise. Mais ce ne fut pas le cas, ce n’est pas que le concert était mauvais mais le groupe qui jouait dans le forum « bénéficiait » tout d’abord d’un son exécrable, et vu le style dans lequel le groupe officie, je vous laisse imaginer la bouillie sonore obtenue… Chose que j’ignorais, le groupe comporte deux chanteurs, qui manquait un peu de cohésion je trouve. Musicalement, c’est carré mais pas autant que leurs mp3 diffusés sur le Web ; cependant le batteur se distingue quand même et se révèle être un pur tueur. Concert en demi-teinte donc, dû au son tout d’abord, mais on sent aussi un groupe relativement jeune, qui saura dans le futur il est certain, exploiter son énorme potentiel. (Fïnk)
Tracklist Sikth:
Hold my finger
Pussyfoot
Suffice
Wait for something wild
Death of a dead day
Skies of millennium nights
Right for life
Nous arrivons au Mans aux alentours de midi sous un soleil de plomb. Nous prenons nos quartiers à Arnage où nous remarquons que nous ne sommes pas les seuls à avoir opté pour la solution hôtelière au détriment du camping. La faim nous tenaillant l'estomac, nous décidons d'abord de nous restaurer. Poisson pâtes et yaourt nature au menu, des sucres lents et des laitages, rien de mieux pour nous permettre de garder la forme. Nous prenons un instant de repos et décidons de sacrifier les premières formations de la journée qui, de toute manière, ont maintenant dû commencer à jouer. Toutefois nous ne traînons pas trop, Malkovich étant prévu aux alentours de 14h25.
Un peu fatigué par le trajet nous prenons la direction du parc des expositions du Mans et faisons le pied de grue devant la cahute servant de réception aux vip/presse/concours. 1h30 après avoir attendu le précieux sésame, nous entamons les hostilités avec le groupe français Right For Life, Malkovich étant passé à la trappe du fait de l'incroyable longueur de temps passé à l'accueil. Le groupe nantais assure une prestation honorable devant un public clairsemé, leur punk hardcore old school se révélant d'une redoutable efficacité. (Fragone)
Arkangel
Puis débarquent le 1er groupe attendu de la journée: Arkangel. La aussi, la déception est au rendez-vous. Guitares inaudibles, basse étouffée; au final, on entend juste la voix et la batterie mugir des hymnes énergiques, à la mélodie incompréhensible. Quand on sait la place des guitares dans le groupe, on ne peut que regretter une balance plus méticuleuse. L'ambiance est pourtant la, le public houblonné semble satisfait, mais c'est d'un pas résigné que nous quittons la salle, anxieux de la tournure des événements: beaucoup trop de groupes majeurs joueront sur cette scène. (Taak)
Walls Of Jericho ont droit à une véritable ovation en rentrant sur scène. Enhardis d'une prestation phénoménale l'an passé, ils traînent une réputation de monstres scéniques, et sont très attendus cette année.
Candace assure a elle seule le show: elle danse (oui oui, danse!), prends la pose entre deux hurlements bestiaux, et montre qu'on peut allier féminité et violence dans une forum stage au son vraiment moyen. L'énergie qui en découle est phénoménale, les breaks se succèdent et le groupe entame leur désormais classiques circle pit sous une marée humaine de connaisseurs. Les brûlots s'enchaînent, et le public ne rechigne pas à chanter en coeur les hymnes punks du groupe. Je ressort conquis, mon 1er concert de hardcore intéressant. (Taak)
L'intervalle entre les groupes nous permet de faire connaissance - de reprendre possession plutôt - avec les lieux. Les labels et le merchandising pour cette année ont élus domicile à l'intérieur d'un hall immense qu'ils partagent avec le point presse dans lequel je ne mettrais que deux fois les pieds celui-ci ne s'avérant pas être d'une utilité renversante. Toutefois je ne m'attarde pas trop Sick Of It All étant annoncé sur la scène principale.
Voir Sick Of It All en concert est toujours une expérience unique, rarement décevante. Même si l'on sent le groupe un peu en dedans sur leurs dernières productions, sur scène la bande à Koller donne toujours ce qu'elle a de mieux. Après une entrée remarquée suite à l'introduction très western (une chanson de Sergio Leone), le groupe enchaîne sur "Good Lookin Out" qui nous renseigne d'entrée sur l'état de fraîcheur des zigotos. Autant l'avouer tout de suite il est très bon et Lou Koller ne m'a jamais paru aussi en forme. Le frontman mène d'une main de maître le set, invitant les personnes présentes à reprendre en choeur les morceaux et déclenchant l'enthousiasme malgré la chaleur suffocante. Sick of It All enchaîne les titres d'un répertoire très classique, le temps imparti étant assez court. Ainsi s'égrènent "Sanctuary", "Scratch the Surface", le groupe ne s'attardant pas trop sur les décevants Yours Truly et Life On The Ropes. L'apothéose intervient sur le supersonique "Busted" où le calme Craig Setari montre ses vélléités offensives, mais surtout sur le monstrueux "Step Down", où toute la salle reprend en choeur le tube devenu incontournable. (Fragone)
Alors là, c'est clairement LE groupe qui m'avait décidé à faire le trajet. Mike Patton quoi. La machine. Et alors je n'ai pas été déçu. Clairement le concert le plus barré qu'il m'ait été donné de voir. Et en même temps le groupe joue de manière carrée et précise, le son était extrêmement bon (une qualité inégalée à mon goût sur les trois jours), Patton passe d'un cri extrême à un chant aérien en un quart de seconde, il dirige son truc comme un chef d'orchestre, l'ensemble donne un aspect de chaos total organisé, indescriptible. Accompagné de plus par Buzz Osbourne (déguisé en vache camouflage, ça s'invente pas) des Melvins à la gratte, et par Terry Bozzio à la batterie, qui est juste l'homme qui a la plus grosse. Son kit est simplement énorme. L'ensemble du concert est centré sur une sorte de duel chant/batterie du meilleur effet.
Une ambiance géniale, un son parfait, Mike Patton au mieux de sa forme, tout ça fait déjà de ce concert un des tous meilleurs de ma petite vie. (Reuno)
Je crois que je n’avais même pas vu avant d'arriver au Fury que les Millencolin seraient présents. Une bien bonne surprise pour l'ex-skaterboy raté que je suis, et l'occasion de voir les nordistes une nouvelle fois. J'ai vraiment aimé, ils ont joué un mix de tous leurs albums, avec une préférence pour les deux derniers albums semble-t-il. En tous cas se réentendre No Cigar, Mr Clean ou Penguins & Polarbears ça réveille des souvenirs et ça fait quand même bien plaisir. (Reuno)
Jello Biafra and The Melvins
On ne s'attarde que peu de temps sur la prestation de Fantômas, dont je ne comprends vraiment pas l'engouement, et des anciens de 999 qui ont fourni une prestation sérieuse mais d'un calme relatif (je ne retiendrais du set que le morceau "Nasty, Nasty", le seul que je connaisse). J'ai la tête ailleurs, plus précisément au concert de Jello Biafra and The Melvins pour lequel j'éprouve plusieurs sentiments mitigés.
Quelques questions m'assaillent relativement à la forme de l'ancien frontman des Dead Kennedys, fer de lance de la contestation aux USA, toujours présent certes aux côtés de groupes qui en valent la peine tels que DOA, Nomeansno ou Lard, mais qu'on n'avait vu sur scène depuis pas mal de temps. Peur d'être déçu mais les premières notes lèvent le doute assez rapidement. Malgré une bedaine naissante, notre chanteur n'a rien perdu de son énergie et de son bagou. Le bonhomme reste toujours un spectacle, se fendant d'une chorégraphie dont lui seul a le secret, mimant ses morceaux, s'écroulant, roulant au sol, se mettant à plat ventre, faisant le mort, notre californien d'adoption, à ma grande surprise inconnu pour certains collègues de la fosse aux photographes, met la salle dans sa poche grâce à un répertoire composé de titres du dernier Melvins, bien entendu, mais également de chansons des Dead Kennedys telles que "Life Sentence", "Get Drafted" et surtout "Holidays in Cambodia" et "California Uber Alles" que seuls les Inuits ont l'excuse de ne pas connaître. Bref un set d'une incroyable énergie ponctué par un accueil chaleureux qui justifiait à lui seul le déplacement au Fury cette année.
A peine remis du choc, c'est avec joie que nous apprenons le report du concert de Jesu que nous pensions avoir raté mais qui, grâce à un pataquès horaire, va démarrer dans peu de temps, juste après la prestation des anciens de Last Resort dont je ne garderais sûrement pas un souvenir impérissable. Difficile de voir dans ces quarantenaires le groupe mythique qu'il est censé être. (Fragone)
Jesu, High on fire
Après cette frénésie hardcore, Jesu nous fait retomber dans une ambiance mélancolique dont nous avons pu mesurer les effets déjà le mois dernier à Bordeaux en compagnie d'Isis. La prestation excellente du trio nous fait d'autant plus regretter la brièveté du set (30 min), à peine suffisante pour y caser deux de leurs morceaux dont le fabuleux Ruined, amputé de sa première partie. Vivement une tournée en tête d'affiche qui nous permettra d'apprécier pleinement le potentiel live de ce fabuleux groupe.
La fatigue commence à se faire sentir et les yeux commencent à piquer lorsque High On Fire commence sa prestation. Le groupe de stoner sludge joue fort, extrêmement fort et je m'en veux un peu de laisser tomber l'affaire au bout du second morceau tant le groupe semble bien maîtriser son sujet et dégager une sacré pêche. A revoir dans de meilleures conditions. (Fragone)
Le reste de la journée s'enchaîne doucement, peu de groupe nous intéressent avant la fin de la journée. On va flâner au camping, se ravitailler, faire un tour près du metal-punk (bouillie?) des gros excités d'Amen, pour se retrouver dans la velvet stage à attendre désespérément l'arrivée de Broadrick et sa bande. Apres 30 minutes d'attente, de sérieux doutes s'installent dans l'assemblée, et ce n'est seulement qu'après l'arrivée d'un orga que nous apprenons à la dernière minutes que le Fury Fest ignore complètement ou est le groupe. Jesu ne jouera pas, nous quittons la salle sous les sifflets du public, abasourdis par une nouvelle inconcevable.
1h plus tard, la déception liée à Jesu se transformera en rage contenue, quand nous apprendrons, impuissants, que l'histoire se répète avec Cult Of Luna. L'orga ignore où ils sont. Le concert est annulé, la journée vire au calvaire pur et simple.
Ne restant en définitive, que peu de concerts pour cette 1ere journée, on décide judicieusement de passer nos nerfs sur quelques pauvres bouteilles de houblon, vidées en quelques gorgées, maudissant l'orga, maudissant les groupes, maudissant la terre entière.
Lorsque nous regagnons le site, on nous apprend, Ô joies, la reprogrammation de Jesu! Fonçant vers ladite sale, nous apercevons enfin Broadrick et sa bande, entamant le concert aux sons du dernier album. Il n'en sera qu'une demi consolation, car ne groupe, reprogrammé entre deux autres, n'aura la possibilité que de jouer 20 min, soit un peu plus de deux chansons. A peine de quoi retranscrire l'atmosphère intimiste chère a la musique du groupe. Vraiment dommage. (Taak)
C'est sur une touche de délicieuse noirceur que ce finira la journée, avec la programmation des anglais de My Dying Bride. C'est une véritable légende qui joue ce soir au Mans. Un des plus grands groupes de doom, peu être le plus connu. Apres le gros succès public de leur dernier album, on aurait pu s'attendre a un certain essoufflement de la formation… QUE NENI! Réutilisant a merveille les clichés du genre, le groupe propose un show carré et théâtral, porté par un Aaron charismatique au possible. La setlist, variée, offre des titres de toutes les périodes du groupes, du mélancolique Cry Of Mankind (étonnement joués dans les 1eres chansons), au puissant Catherine Blake en passant par les hymnes Your River ou She is the dark. Grosse ambiance, son parfait (on peut donc avoir un son correct sur cette scène, c'est encouragent pour Neurosis..), le public semble aux anges, et seul le groupe tire la gueule. Normal ne direz vous, on parle de doom.
Bon, la journée est sauvée. Au moins un groupe majeur ne m'aura pas déçu. Profitant de la fin de la journée pour aller traîner vers le thrash metal americain d'Anthrax, j'entends au loin des accords de guitares familiers... Saperlipopette, Cult Of Luna! (Taak)
Après une attente de 45 minutes dans l’après midi, on nous annonçait que le groupe ne serait pas là ce soir (on saura pourquoi après le fest, autant dire que c’est une honte, enfin bon…) un sentiment de frustration envahit la Velvet Stage, moi le premier tellement j’attendais ce concert avec impatience…
Quelques bières et autres concerts plus tard, rentrant au camping un peu blasé d’une moitié de concert d’Anthrax un peu soûlante, je passe devant la Velvet, de laquelle sortent quelques riffs… les concerts sont normalement finis depuis quasiment une heure dans cette salle…
Et là miracle, Cult of luna sont sur scène ! J’ai tout d’abord une pensée (furyeuse) envers l’organisation qui n’a même pas pris le soin de prévenir le public… J’ai loupé trois chansons mais bon, autant dire que ça fait plaisir, surtout qu’ils ne sont pas venus pour rien… un son de fou, des lights excellentes, mais surtout une interprétation des titres vraiment parfaite. Moment énorme que fut le titre Leave me here issu du dernier chef d’œuvre en date du groupe, comme la majorité de la setlist joué ce soir. Alors que les premières notes de « Waiting for you » sonnent, on sent malheureusement que ce sera le dernier titre pour ce soir, (en même temps elle dure 11 minutes...) quel final ! Le chanteur sort de scène (les 9 premières minutes de ce morceau sont instrumentales) et revient sur la fin du titre pour clore ce concert absolument saisissant. Encore meilleur qu’en cd, ce concert fut vraiment magnifique, tellement l’on sent que les titres sont interprétés avec une finesse qui vous transperce les oreilles et une lenteur qui vous prend aux tripes. Un concert énorme, pour un groupe énorme. (Fïnk)
Reprogrammés dans l'anonymat presque total, les suédois s'offrent la clôture de la 1ere journée, profitant d'une velvet stage vide pour rattraper leur show annulé de l'après midi...inespéré! C'est dans une ambiance intimiste que je pénètre dans la salle bondée à l'atmosphère irrespirable. La scène, envahis de fumée épaisse, diffuse les ombres éparses du groupe, et accentue son set sur le dernier album, Salvation.
Fidèles a l'école postcore américaine, le groupe nous assomme par des murs de son dantesque au son parfait, étirant ses morceaux dans des contrées post rock a l'onirisme glaçant.
Ce qui frappe, a la vu d'un tel concert, c'est tout simplement la classe des musiciens. Ces gens la sont grand, savent ou ils vont, et rien n'est laissé au hasard dans leur show, chaque note tombe a sa place, chaque impro est maîtrisée. Il s'en dégage une atmosphère dépressive, planante mais paradoxalement très froide. 1ere grosse claque du festival. (Taak)
Anthrax
Les tympans en peau de saucisson, je me dirige vers la main stage où les mythiques Anthrax ne vont pas tarder à investir la scène. Groupe référence de mes années lycées, tombé depuis l'avènement du cd dans mes oubliettes discographiques, je sais pertinemment que mon séjour dans la salle sera bref. Emmené par Belladonna et sa choucroute capillaire, les new yorkais entament le set par "Among The Living" sur lequel je n'avais pas posé une oreille depuis au moins 15 ans et recueillent un très bon accueil. Toutefois, fatigué de me tenir sur la pointe des pieds - la main stage n'offrant pas des capacités optiques optimales - et de la journée chargée que l'on vient de passer, nous laissons Anthrax sans trop de regrets conclure cette première journée, heureux malgré un début de festival qui laissait présager le pire. Nous faisons un crochet par le velvet stage où Cult Of Luna achève sa prestation devant un public assez clairsemé, le groupe ayant été de multiples fois déplacé, et nous prenons congé. (Fragone)
Tracklist Anthrax:
Among the living
Madhouse
NFL
Medusa
Caught in a mosh
Antisocial
Metal thrasing mad
Indians
Be all and all
I’m the law
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