The Great Old Ones Hellfest 2015

Nous avons eu la chance de discuter avec Léo et Benjamin de The Great Old Ones lors du Hellfest 2015, où nous avons parlé de leur prestation, de l'album Tekeli-Li et du prochain opus en préparation. Retour sur cette entrevue fort sympathique, quelques heures seulement après leur passage sous la Temple, qui avait fait très forte impression...

Merci d'accorder à Metalorgie cette interview, ça fait un moment qu'on vous suit, et on est tous à peu près d'accord qu'avec ce deuxième album vous avez fait très très fort. Il y a encore quelques années, voire même quelques mois, vous étiez plus ou moins inconnu sur la scène Black Metal, aujourd'hui on peut dire que ce deuxième album a fait pas mal de bruit. Est-ce que vous pouvez expliquer ce qui a déclenché ce début de notoriété ?


Léo : Le live avant tout. Faire de bons concerts c'est la meilleure façon de faire connaître sa musique, le bouche à oreille dans notre cas a bien marché. On essaie à la fois de faire quelque chose de correct sur album et en live. Et mis à part le live, on peut grandement remercier les acteurs de l'ombre, qui nous ont fait une excellente promo. Voilà, des bons concerts et le travail des Acteurs de l'Ombre, on peut résumer ce début de notoriété à ça.

Benjamin : Et puis on poussé le concept avec le deuxième album, le côté Lovecraft sur Al Azif avait bien marché, on a donc décidé d'aller un tout petit peu plus loin - on est pas encore à fond hein (rires) - niveau musique, niveau concept et ambiances sur Tekeli-Li. Les influences sont plus assumées, mieux digérées aussi, donc aujourd'hui on fait un peu plus parler de nous, comme disait Léo, en grande partie grâce au travail des Acteurs de l'Ombre, de l'énergie qu'on met dans nos lives, qui aujourd'hui n'ont plus rien à voir avec nos premiers concerts. On essaie de ne jamais se reposer sur nos lauriers et de toujours aller le plus loin possible.

Est-ce que l'album vous a débloqué des opportunités à l'étranger ?

Benjamin : On commence à avoir un bon public à l'étranger, ça se met en place tout doucement. Pour l'instant ça fonctionne bien, on nous propose des dates un peu partout, là par exemple, juste avant le Hellfest, on a fait deux dates en Italie puis deux dates en Autriche, pas forcément des trucs exceptionnels, mais jusqu'à maintenant on est toujours tombé sur des propositions de la part de vrais passionnés. Mais ouais, le but c'est d'essayer de prendre un peu plus de place sur la scène et de faire grossir le groupe. Aujourd'hui le Hellfest, le Motocultor bientôt, on a également partagé deux dates avec Behemoth, ça avance doucement mais sûrement. En tout cas on est super contents de la tournure que prennent les choses.

Aujourd'hui le Hellfest, c'est quoi votre état d'esprit par rapport à tout ça ?

Benjamin : Envoyer la purée (rires). Trente minutes c'est très très court, donc le but c'est d'en faire un maximum et de réussir à captiver le public. On joue que trois morceaux, mais ces trois morceaux là sont pas mal rentre-dedans, histoire de faire passer un bon moment au public.

Léo : L'objectif c'était de mettre un bon parpaing, mais sans oublier les ambiances et les atmosphères particulières qu'on développe sur les albums.

Le Black Metal au p'tit déj, c'est pas forcément évident...

Benjamin : (rires) Ouais on a pas mal de chance à ce niveau là, le public a répondu présent, les gens sont venus en nombre, à notre grande surprise. Un dimanche matin avec toutes les cuites de la veille, c'était pas couru d'avance (rires).

On sait qu'il y a un désir de mettre en avant les ambiances et les thèmes qu'on retrouve chez Lovecraft et que, Benjamin, tu es un grand fan de Lovecraft, mais est-ce que c'était une évidence pour tout le monde, et est-ce que vous avez hésité à choisir un autre thème ?

Benjamin : Ce serait mentir que de dire que le tout premier morceau que j'ai écrit, je l'ai composé en pensant à Lovecraft, mais dès que j'ai pris un peu de recul par rapport au morceau, c'est devenu évident. Je suis un grand fan de Lovecraft depuis tout gamin, et je me suis rapidement dit que c'était ça que j'avais envie de représenter, cet univers que je voulais mettre en musique et développer. Ensuite toutes les autres compositions ont été écrites et travaillées dans ce sens là.

Est-ce que le style musical, à savoir ce Black Metal un peu particulier, est venu avant Lovecraft ? Ou l'inverse ?

Benjamin : Non, c'était d'abord la musique. D'abord un gros travail sur les atmosphères et sur le rendu un peu particulier, on voulait quelque chose d'assez moderne, là dessus on peut pas dire qu'on joue du Mayhem ou du Darkthrone, de toute façon on aurait jamais eu cette prétention là, mais on voulait travailler cet aspect moderne avec un grand respect pour le Black Metal traditionnel. Moi je suis un gros fan d'Emperor, et même si on a pas grand chose à voir avec eux, on retrouve ce côté "émotions", une espèce de socle commun, sombre mais ouvert si tu vois ce que je veux dire.

Retranscrire musicalement les ambiances et la folie qu'on retrouve dans les nouvelles de Lovecraft, c'est assez ambitieux. Comment vous procédez ?

Benjamin : C'est vraiment que de la recherche d'émotions, il n'y a pas grand chose de réfléchi, c'est assez naturel en fait. Quand un morceau nous transporte, c'est que ça marche, et puis grâce au concept Lovecraftien, finalement on a trouvé ce côté sombre, mélancolique et onirique qu'on recherchait, donc ça vient assez naturellement.

Et est-ce que c'est évident pour tout le monde cet aspect onirique et mélancolique ?

Benjamin : On est tous touchés par le même genre d'émotions quand on parle de musique, donc quand quelque chose ne marche pas on le sent immédiatement. Quand je termine de composer un titre, qu'on le joue tous ensemble, chacun apportant son petit truc, on le sent tout de suite si ça fonctionne pas. Si on arrive à tous être transportés par les émotions et la force de la musique, alors c'est bon. Au final c'est plutôt un bon repère.

Est-ce qu'on vous a déjà dit que votre musique pourrait être une bande son pour lire les nouvelles du maître ?

Léo : Ah c'est pas forcément évident, le format est pas très adapté pour les différentes nouvelles, et puis si tu arrives à lire Les Montagnes Hallucinées en 50 minutes t'es vraiment super fort ! (rires)

Benjamin : Ouais c'est un problème de format, par contre lire la nouvelle puis écouter ensuite l'album, en essayant de repérer quelques passages bien précis, ça ça peut être sympa. Ça marchera jamais très bien en même temps, par contre c'est clairement un appel à la lecture, c'est clairement un appel à essayer de trouver une correspondance entre certains passages de la nouvelle et certains passages des morceaux de l'album. L'album est un ensemble de références plus ou moins cachées de toute façon, donc t'as raison de souligner le lien qu'il y a entre les deux médias.

Et si le côté littéraire est pas forcément évident, est-ce que le côté cinématographique serait plus adapté ? Vous en pensez quoi ?

Léo : Ah bah carrément ouais.

Vous y avez déjà pensé ?

Benjamin : Pour des clips ouais, on veut quelque chose d'assez précis parce qu'on y a déjà réfléchi, mais ça doit coûter une fortune (rires). Un clip où on nous voit jouer ça ne nous intéresse pas du tout par exemple. On aimerait bien un film d'animation, c'est le genre de projet qui nous botterait bien. On verra si l'occasion se présente, mais oui, clairement, mettre des images sur Tekeli-Li c'est beaucoup plus facile et beaucoup plus évident je pense, un film de 55 minutes pour illustrer l'album ce serait parfait ! On adorerait. Ça, ça fonctionnerait. Hors de prix mais fonctionnel... Le côté littéraire, je reviens là dessus, il existe au final, c'est juste que...

Il est peut être pas évident pour tout le monde ?

Benjamin : Exactement. Ça va parler à certains, comme toi par exemple, mais ceux qui n'ont jamais lu de Lovecraft vont pas comprendre. Par contre, niveau visuel je pense que tout le monde comprendra...

Pourquoi avoir choisi Les Montagnes Hallucinées sur Tekili-Li ? Pourquoi cette nouvelle là en particulier ?

Benjamin : C'était, depuis le début de l'écriture de l'album, un choix de faire un concept album sur une nouvelle en entier, c'est ça qu'on voulait, et Les Montagnes Hallucinées c'est une des histoires de Lovecraft les plus longues. Parce que faire un concept album sur une nouvelle de 20 pages, c'est un peu compliqué, forcément, et pourquoi celle ci en particulier ? C'est tout le côté background onirique, les montagnes en arrière plan qui nous plaisait. Al Azif, le premier album, était très porté sur la mer, avec Cthulhu en fil rouge. Sur Tekeli-Li on est plutôt sur quelque chose de lumineux, mais en même temps très froid, c'est des atmosphères assez différentes au final.

Votre son est assez spécial, lourd et aérien par moments, est-ce que c'était voulu dès le départ, ou bien ça s'est décidé au moment du mixage ?

Benjamin : Non, c'était un choix dès le départ de faire quelque chose de très... aérien comme tu dis, de compact mais qui essaie quand même de transporter l'auditeur, avec des passages très oniriques...

Léo : Et au final c'est plutôt planant. On trouve plus facilement de l'intensité dans des choses lourdes et compactes, mais c'est possible aussi de retrouver ces sensations sur des morceaux plus aérés, et c'est ce qu'on voulait faire absolument...

Benjamin : Donc oui c'était complètement voulu.

Est-ce qu'il y a des groupes sur lesquels vous êtes tous d'accord niveau influences ? Moi perso ça me fait penser à du black, forcément, mais je suis pas un grand spécialiste de black, du coup j'ai en tête des choses plus progressives et décalées comme Cult Of Luna, Neurosis ou Year Of No Light. Est-ce que c'est débile ce que je viens de dire ?

Benjamin : Absolument pas. Au tout début du groupe, si je devais citer trois groupes qui nous ont beaucoup influencé, je citerais Year Of No Light, Wolves In The Throne Room et Cult Of Luna. On s'en est un peu débarrassé sur Tekeli-Li pour mieux digérer notre propre concept, pour se détacher un peu, mais oui, t'as carrément raison, le côté lourd et planant du Post-Hardcore, c'est quelque chose qui nous parlait beaucoup, on y a juste ajouté ce petit côté Emperor...

La narration, c'est un peu la petite nouveauté sur Tekeli-Li, comment ç'a été reçu par le public ? 

Benjamin : En général les gens ont pas mal apprécié, certains pas du tout je t'avouerais, mais c'est assez spécial, ce côté audio-book qu'on voulait présent sur l'album...

Je trouve ça vraiment énorme !

Benjamin : Ça apporte quelque chose, c'est certain, mais ce n'est pas du tout dit qu'on le réutilise ? C'était vraiment une idée sur le moment, un genre de test, ça s'y prêtait bien pour cet album, on verra pour les prochains. J'ai pas envie que ce soit automatique ?

Je trouve que ça provoque une espèce de respiration entre les passages...

Benjamin : Ah oui c'est clair, on aimait bien l'idée sur le coup. Mais c'est vraiment venu comme ça, on peut pas dire que ce soit la marque de fabrique du groupe, j'aime pas l'idée qu'il faudrait absolument le mettre sur les prochains albums, que les auditeurs attendent ça, je veux pas que ça devienne incohérent et forcer le trait. Ce serait dommage.

Comment avez vous choisi les extraits des nouvelles ?

Benjamin : Alors, en fait, ce ne sont pas des extraits des nouvelles, c'est complètement retravaillé...

Ah, ok ! Je ne les connais pas par cœur...

Benjamin : (rires) Ah mais j'espère bien, ça me ferait peur ! (rires). En fait j'ai réécrit certains passages de la nouvelle, pour que ça s'adapte à la musique plus facilement, tout simplement. Si j'avais pris des extraits tels quels, le rythme et la progression n'auraient pas collé aussi bien à la musique. Et le texte original n'est pas non plus connu pour être très digeste, donc il fallait forcément passer par cette phase de réécriture.

Il y a trois couches de guitares sur pratiquement tous vos titres, est-ce que vous avez déjà pensé à incorporer d'autres instruments, du piano par exemple, ou des choses plus exotiques, pour aller encore plus loin dans l'instrumentalisation des ambiances ?

Benjamin : Oui, on a plein plein d'envies à ce niveau là, tu parlais de cinéma tout à l'heure, incorporer des passages orchestraux ça me plairait énormément par exemple, je pense que ça s'y prêterait bien. Par contre, il faut faire attention que l'ensemble ne devienne pas trop une caricature, à force de vouloir en mettre partout. Ça peut vite devenir compliqué et ingérable, donc pour l'instant on se contente de nos guitares, mais c'est clairement pas l'envie qui manque d'aller plus loin. Et puis sur Tekeli-Li, on a déjà mis quelques guitares acoustiques, quelques violoncelles au début, et je me dis que j'aimerais bien continuer dans cette optique, mais j'aimerais aussi à l'inverse revenir à quelque chose de plus frontal. Les deux extrêmes me font envie, c'est pas figé niveau instrumentalisation, tant que ça fonctionne et tant que ça nous parle.

Alors attention, je vais peut être dire une connerie, mais j'ai vu récemment que vous aviez participé à un concert acoustique à Talence, est-ce que tu peux m'en dire un peu plus ou je raconte n'importe quoi ?

Benjamin : Oui, on aurait dû le faire. On a préféré ne pas y participer parce qu'on a pas eu le temps de retravailler les morceaux dans ce sens. Un concert acoustique c'est pas simplement jouer nos titres avec des grattes sèches, c'est vraiment tout adapter, et c'était monstrueux comme travail. Et justement tu parlais d'incorporer des instruments différents, là ça aurait été vraiment génial et, je pense, pas mal cohérent. Mais voilà on s'est rendu compte que ça prendrait beaucoup trop de temps, donc on a préféré donner la priorité et notre temps de travail aux lives classiques.

C'est quoi votre actu après le Hellfest ?

Benjamin : Le troisième album, qui est bien entamé, la composition est presque terminée, il reste pas mal de textes à ajouter, des trucs à droite à gauche mais ça avance bien. On est contents de ce que ça donne. Et pas mal de concerts en Europe vont arriver, des tournées de prévues...


Pas marre qu'on vous rabâches les oreilles avec Lovecraft ? C'est un peu devenu le sixième membre du groupe non ?

Benjamin : C'est la base du projet, c'est le sixième homme, la source d'inspiration, c'est lui qui a écrit nos concepts de morceaux, sur scène le backdrop c'est Lovecraft, quand j'écris je pense constamment à ça, donc oui c'est vraiment devenu un membre du groupe, et non, pas marre du tout d'en parler, avec grand plaisir.

Il y a trois ans nous t'avions interviewé et tu nous avais dit que tu cherchais des moyens de faire "voyager" le public, en mettant en scène un peu plus votre musique. Tu avais parlé de vidéos, de jeux de lumières un peu plus imposants, et d'autres artifices. Est-ce que vous avez finalement trouvé quelque chose qui vous correspond ?

Benjamin : À cette époque là, c'était les débuts de la scène pour nous, on avait travaillé un petit peu la prestation scénique mais sans plus, c'est vrai qu'aujourd'hui on essaie constamment d'apporter des éléments de scène pour accompagner la musique, là on a une sculpture sur scène, un ingénieur-lumière qui a conçu spécialement pour nous un light-set adapté au concept, voilà, c'est ce genre de choses qu'on met en place petit à petit. C'est vraiment important pour nous de faire, ou en tout cas d'essayer de faire voyager le mec en face de nous pendant le concert, et pas seulement le laisser bêtement regarder cinq musiciens jouer sur scène. C'est de la musique ambiante ce qu'on fait, violente certes, mais ce n'est pas incompatible. Donc tous les artifices possibles pour appuyer ce côté ambiant sont bons à prendre...

Très peu de bons films sur l'univers de Lovecraft sont sortis, mais certains valent le coup, est-ce que vous avez déjà réfléchi à des ciné-concerts ou des lectures ? Enfin ce genre de concept qui sort un peu du cadre de la musique pure et dure ?

Benjamin : À l'époque de la sortie de Al Azif, on avait fait lire une nouvelle par une amie, juste avant de jouer. Après oui, les ciné concerts on adorerait ça !

C'est peut-être un peu compliqué, non ?

Benjamin : Non, pas forcément, il faut juste trouver du temps, avoir une proposition sympa, mais on aimerait beaucoup le faire. Le seul problème au final c'est de trouver un bon film. Comme tu disais il n'y en a pas beaucoup de vraiment bons...

Un groupe de passionnés à réussi à tourner The Whisperer In The Darkness, et le résultat est vraiment sympa...

Benjamin : Oui j'ai vu ça, c'est la même équipe qui avait fait Call Of Cthulhu en noir et blanc, et en muet. Ça fait partie des seuls qui ont réussi à retranscrire l'ambiance de Lovecraft avec brio, ces deux films là et puis L'Antre De La Folie de Carpenter évidemment... Il n'y a pas que du Lovecraft mais dans The Thing et L'Antre De La Folie, cette ambiance typique est vraiment bien rendue.

Tu hésitais aussi à l'époque, pour le deuxième album, à rempiler avec quelque chose de centré autour de Lovecraft, ou bien de partir sur autre chose. Qu'est-ce qui t'a finalement décidé à retrouver Lovecraft ?

Benjamin : Il y a énormément de choses à dire et à mettre en musique sur Lovecraft, pour l'instant on reste sur ce créneau, et il y a même de grandes chances qu'on continue dans cette direction pour le troisième album. Ce sera différent bien entendu, mais Lovecraft a tellement bien trouvé sa place dans le groupe que pour l'instant on va rester un peu avec lui (rires). On n'a pas envie de l'abandonner tout de suite !

Pourquoi avoir repris Bachelorette de Björk ?

Benjamin : On devait faire une tournée qui a été annulée au dernier moment, on s'est quand même vus, et j'ai proposé de faire ça à la place, j'étais complètement torché (rires). Il y a quelque chose dans ce morceau, de mélancolique, d'intense, de vraiment particulier qui m'a tout de suite parlé, et les autres ont carrément adhéré au truc. Du coup on s'y est collé, on a enregistré ça en un weekend.

Léo : On a écouté, et on s'est dit ouais, c'est pas du Lovecraft, mais on s'y retrouve au final, on a des sensations, l'intensité est vraiment chouette.

Une nouvelle en particulier sur laquelle vous voulez travailler pour la suite ?

Benjamin : Ah, on n'en dit pas plus pour l'instant ! On verra. Il y a plein de choses qui nous font envie, plein de trucs qu'on voudrait mettre dans le troisième album, on ne sait pas encore très bien à ce stade...

Merci à vous pour cette interview, le mot de la fin ?

Benjamin : Et bien merci à toi pour l'interview, merci à tous les lève-tôt qui sont venus nous voir le dimanche matin au Hellfest, ça nous a vraiment fait super plaisir, et merci à Metalorgie. Merci à Lovecraft aussi, qui nous a aidé aujourd'hui à bien jouer, même si je pense qu'il aurait préféré un peu de pluie et un peu de sang ! (rires) C'est pas trop un mec qui aime les coups de soleil (rires).

Léo : Merci Metalorgie et à bientôt.

lelag (Février 2016)

Un grand merci à The Great Old Ones pour l'interview et à Noémie des Acteurs de l'Ombre pour nous avoir permis de rencontrer le groupe.

Interview réalisée et retranscrite par Lelag.

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