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Vendredi 01 septembre 2023
Lundi 07 août 2023
Dossier : Le Motocultor en Bretagne est devenu, au fur et à mesure des années comme l’un des festivals Metal le plus important en France. Vous y trouverez des têtes d’affiche telles que Wardruna, Bullet For My Valentine, Avatar, Sodom, Watain ou encore Hatebreed et bon nombre de groupes allant du Black Metal à la Folk en passant par le Metalcore, le Heavy Rock, le Grindcore ou le Stoner / Doom. Il y a vraiment de quoi faire et il faut être vraiment difficile pour ne pas au moins trouver quelques groupes qui vous plaisent. Cette sélection de vingt groupe se concentre sur des groupes un peu moins connus (encore que) que l’on vous conseille d’aller voir ou d’écouter (si vous n’avez pas prévu de vous y rendre). C'est à lire par ici.

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Samedi 03 juin 2023
Voici l'affiche complète du Brutal Assaut qui se déroulera du 9 au 12 août à la Fortress Josefov en République-Tchèque : Anthrax, Meshuggah, Heilung, Sepultura, In Flames, Dismember, Trivium, Sodom, Beartooth, Hypocrisy, Obituary, Watain, Carpenter Brut, Overkill, Biohazard, Marduk, Perturbator, Terror, Napalm Death, Agnostic Front, Dying Fetus, Deicide, Converge, 1914, Abbie Falls, Adacta, Anaal Nathrakh, Angelus Apatrida, Archspire, Artificial Brain, Aura Noir, Be'lakor, Bell Witch, Benediction, Birds In Row, Bleed From Within, Borknagar, Brand Of Sacrifice, Cabal, Caligula's Horse, Capra, Car Bomb, Carach Angren, Catastrofy, Church Of Misery, Church Of The Cosmic Skull, Cobra The Impaler, Coffin Feeder, Concrete Winds, Crippled Black Phoenix, Crippled Fingers, Crisix, Cro-Mags, Crowbar, Cult Of Fire, Cult Of Luna, Death Before Dishonor, Demonical, Dödsrit, Downset, Enslaved, Evildead, Exciter, Extinction A.D., Eyehategod, Feastem, Fit For An Autopsy, Forgotten Silence, Gang Green, Gatecreeper, Get The Shot, Gorgoroth, Grave Miasma, Heaven Shall Burn, Heaving Earth, Horskh, Hypnos, I Am Morbid, Immolation, Infected Rain, Ingested, Innersphere, Insanity Alert, Ithaca, Kataklysm, Knocked Loose, Konvent, Krisiun, Kukokuma, Lamp Of Murmuur, Lionheart, Llnn, Malevolence, Mantar, Maybeshewill, Messa, Miasmatic Necrosis, Midnight, Misþyrming, Moonspell, Mork, Nero Di Marte, Nile, Nordjevel, Obsidious, Omnium Gatherum, Orbit Culture, Pensées Nocturnes, Possessed, Profetus, Russian Circles, Sacramentum, Saturnus, Shadow Of Intent, Signs Of The Swarm, Sijjin, Skinless, Slapshot, Solothus, Spectral Wound, Spy, Suicidal Angels, The Callous Daoboys, The Ocean, Tribulation, Volumes, While She Sleeps, White Ward, Wiegedood, Within Destruction, Wolfheart et Zeal And Ardor. Event FB / Billetterie.
Jeudi 09 mars 2023
Les Grammis (les victoires de la musique Suédoises) ont annoncé leurs nominés, on y retrouve plusieurs fois Ghost et Viagra Boys (dans Album de l'année, Artiste de l'année). Et dans la catégorie Album Hard Rock / Metal de l'année on retrouve les derniers albums de Amon Amarth, Arch Enemy, The Halo Effect, Watain et Ghost.
Lundi 06 mars 2023
Interview : Elise Aranguren est tour manager des groupes de Black Metal Mayhem et Watain. On revient sur son parcours, sur la manière dont elle a réussit à travailler avec ces deux groupes cultes, mais aussi sur ce qui fait les spécificités de son métier, les difficultés auxquelles faire face, tout comme elle évoque son rapport très personnel avec Watain. C'est à lire par ici.
Jeudi 24 novembre 2022
La prochaine édition du Motocultor Festival se tiendra du 17 au 20 août 2023 à Carhaix (29). Voici les premier groupes annoncés : Abbath, Amenra, Biohazard, Carcass, Carpenter Brut, Deicide, Dying Fetus, Frog Leap, Insomnium, Marduk, Russian Circles, Steve'n'Seagulls, Terror, Watain, Whitechapel, Zeal And Ardor, 1914, Archspire, Birds In Row, Bleed From Within, Brieg Guerveno, Brutus, Crisix, Déluge, Dog Eat Dog, Gatecreeper, Gggolddd, Heart Attack, Humanity's Last Breath, Hrafngrimr, Hypno5e, Landmarks, Messa, Shadow Of Intent, Stick To Your Guns, The Acacia Strain, Washington Dead Cats. Il reste en 68 groupes à annoncer. Event FB / Billetterie.
Dimanche 25 septembre 2022
Samedi 30 avril 2022
Le nouveau Watain est désormais disponible et ils en ont fait profité le warm up du Hellfest. La performance a été captée et en voici un morceau.
Vendredi 29 avril 2022
Allez c'est le jour des sorties ! On en a listé plus de 60, vous écoutez quoi en premier ? - Rammstein (Indus Metal, Allemagne)
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- Dälek (Hip Hop / Experimental, USA)
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- Watain (Black Metal, Suède)
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- Heriot (Hardcore / Death Metal / Indus, UK)
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- Abhomine (Black / Death, USA)
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- Afsind (Black Metal, Danemark)
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- Al-Namrood (Black Metal, Canada)
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- And Hell Followed With (Deathcore, USA)
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- Au-Dessus (Post Black, Lituanie)
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- beculted (Black Metal / Doom, Allemagne)
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- Bestialord (Death / Doom, USA)
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- Beyond The Structure (Prog Death / Tech Death, Estonie)
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- Candelabrum (Black Metal, Portugal)
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- Child Bite / Black Rheno (Math Rock / Noise, USA)
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- Crashdïet (Sleaze Rock / Glam, Suède)
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- Crucifixion Bell (Black Metal, USA, Split avec Krieg)
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- Dead Head (Death / Thrash, Pays-Bas)
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- Devil Master (Black Metal / Death Rock, USA)
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- Dewaere (Noise Rock, France / Saint Brieuc)
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- Dischordia (Tech Death, USA)
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- Dumb Numbers and Melvins (Grunge / Sludge, USA)
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- Enragement (Death Metal, Finlande)
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- Faruln (Black Metal, Suède)
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- Faüst (Thrash / Heavy, République Tchèque)
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- Five Hundred Bucks (Punk Rock, USA)
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- Forever Reigning - Tribute to Slayer (Reprises, USA, Album de reprises de Slayer, par des groupes pas très connus ricains.)
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- Gladenfold (Metal Mélodique, Finlande)
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- Grafvitnir (Black Metal, Suède)
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- Helms Alee (Stoner / Sludge / Noise, USA)
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- If I Die Today (Metalcore / Hardcore, Italie, FFO Every Time I Die)
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- Insulter (Black / Death / Thrash, Allemagne)
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- Introtyl (Death Metal, Mexique)
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- Kaipa (Prog Rock, Suèdois)
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- Lament Cityscape (Noise / Indus / Sludge, USA)
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- Last Wishes (Hardcore, UK)
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- Meo (Screamo, Italie, FFO Loma Prieta ou Raein)
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- Meynach (Black Metal, France)
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- Midas (Heavy / Hard Rock, USA)
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- Negative Plane (Black Metal, Irelande)
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- No/Más (Grindcore, USA)
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- Paddy And The Rats (Celtic Punk, Hongrie)
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- Point Mort (Post Hardcore / Mathcore, France)
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- Post-Mortem (Death Metal, France)
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- Pyrithe (Sludge / Noise / Post Metal, USA)
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- Rid Of Me (Grunge, USA, un 2 titres de reprises avec des membres (ou ex) Low Dose, Fight Amp, Soul Glo, ...)
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- Sacrilega (Death / Thrash, USA)
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- Saffire (Hard Rock, Suède)
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- Slanderus (Prog Metal, USA)
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- Stinky (Hardcore, France / Nantes, Un EP)
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- Suppression (Death / Crust, USA)
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- The Gathering (Rock / Metal progressif, Pays-Bas)
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- The Spirit (Black / Death, Allemagne)
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- TheFrenchKris (Punk / Hip Hop, France)
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- Thorium (Death Metal, Danemark)
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- Tysondog (Heavy, UK)
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- Unschooling (Post Punk, France)
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- Uzlaga (Black Metal, UK)
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- Velcrocranes (Grunge, Russie)
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- Vulcano (Death Metal, Danemark)
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- Vāmācāra (Avant Garde / Black Metal, Allemagne)
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- Washington Dead Cats (Psychobilly, France)
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- Waxflower (Emo Rock, USA)
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- Zombie Rodeo (Stoner, Finlande)
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Vendredi 01 avril 2022
Watain dévoile un autre single de The Agony&Ecstasy Of Watain avec le clip de We Remain. L'album arrive le 29 avril chez Nuclear Blast Records.
Vendredi 04 mars 2022
Watain sortira The Agony&Ecstasy Of Watain le 29 avril chez Nuclear Blast Records. Un nouvel extrait se découvre dans la suite : Serimosa.
Jeudi 03 mars 2022
Le prochain Abbath, Dread Reaver, sort le 25 mars chez Seson Of Mist et en voici un nouvel extrait avec The Book Of Breath. Il sera prochainement en France pour quelques dates : - 15/09 : Paris (Elysée Montmartre), places - 20/09 : Toulouse (Le Bikini), places - 25/09 : Lyon (Transbordeur), places Accompagné de Watain, Tribulation et Bölzer.
Vendredi 06 août 2021
Watain a signé chez Nuclear Blast. Un nouvel opus est attendu pour 2022.
Mercredi 27 novembre 2019
Ca y est l'affiche du Hellfest 2020 est enfin là ! En image ici ou on la voilà en textuel :
Vendredi : Mainstage 1 : Deftones, Incubus, Un groupe non annoncé, Leprous, Ego Kill Talent, Soen, Frog Leap Mainstage 2 : Volbeat, The Offspring, Un groupe non annoncé, Frank Carter And The Rattlesnakes, The Inspector Cluzo, Ghostmane, Danko Jones, The Wildhearts, Laura Cox Altar : Obituary, Death DTA, At The Gates, Entombed A.D., Grave, Unleashed, Cadaver, Necrowretch, Tremplin Voice Of Hell, Temple : Mayhem, Abbath, Rotting Christ, Primordial, The Great Old Ones, Seth, Mephorash, Numen, Tremplin Voice Of Hell Valley : Electric Wizard, Baroness, OM, Witchcraft, Black Mountain, Elder, ASG, Greenleaf, Ecstatic Vision War Zone : Body Count, Suicidal Tendencies, Powerflo, Youth Of Today, Dog Eat Dog, Slapshot, Jesus Piece, Higher Power, In Other Climes
Samedi : Mainstage 1 : Faith No More, Infectious Grooves, Alter Bridge, Un groupe non annoncé, Heaven Shall Burn, Thy Art Is Murder, Crystal Lake, Fire From The Gods Mainstage 2 : Deep Purple, Airbourne, Steel Panther, Alestorm, The Darkness, Last In Line, L7, The Dead Daisies, Galactic Empire Altar : Sepultura, Sacred Reich, Flotsam And Jetsam, Exciter, Loudblast, Xentrix, Rectal Smegma, Brutal Sphincter, Karras Temple : Wardruna, The Hu, Ensiferum, Taake, Kampfar, Einherjer, Helheim, Akatrum, Artús Valley : Envy, Mono, John Garcia And The Band Of Gold, High On Fire, Pelican, Me And That Man, The Picturebooks, Duel, Point Mort War Zone : Social Distortion, Anti Flag, Agnostic Front, Reverend Horton Heat, The Toy Dolls, Frustation, Guerilla Poubelle, Lion's Law, Grade 2
Dimanche : Mainstage 1 : System Of A Down, Korn, Maximum The Hormone, Baby Metal, Jinjer, Lacuna Coil, Kontrust, Deadly Apples Mainstage 2 : Judas Priest, Running Wild, Down, Michael Schenker, Doro, Sortilège, Delain, Battle Beast, Tempt Altar : Devin Townsend, Meshuggah, The Black Dahlia Murder, Periphery, Dying Fetus, Misery Index, Ingested, Dyscarnate, Exocrine Temple : Watain, Alcest, Belzebubs, Borknagar, Gaahls Wyrd, Regarde Les Hommes Tomber, Numenorean, Penitence Onirique, Deliverance Valley : Killing Joke, Perturbator, Life Of Agony, 3Teeth, Hangman's Chair, Twin Temple, Inter Arma, Lysistrata, Abrahma War Zone : Walls Of Jericho, August Burns Red, While She Sleeps, Lionheart, Rotting Out, Moscow Death Brigade, Landmvrks, Wolfpack
Le festival est déjà complet pour les pass 3 jours, restera les pass journalier (dont la date d'achat n'est pas encore annoncée). Alors ?
Vendredi 16 août 2019
Concerts du Jour : - Les Cheminées Du Rock, un festival qui se déroule à Saillat-sur-Vienne (87720) avec Mass Hysteria, Cancer Bats, In Other Climes, Trepalium et Guerilla Poubelle. Toutes les infos sur l'event FB. - Second jour du Motocultor Festival avec Nofx, Turbonegro, Watain, Hypocrisy, Magma, Kadavar, Death Angel, Ange, Soilwork, 1000Mods, Tribulation, The Casualties, Gaahl’s Wyrd, Iron Reagan, Mustasch, Les Ramoneurs de Menhirs, Waking the Cadaver, Mars Red Sky, Au-Dessus, Oaks Crown, Not Scientists et Extermination Dismemberment.
Jeudi 18 juillet 2019
Voici la programmation complète du Motocultor, qui se déroulera du 15 au 18 août 2019 :
Jeudi 15 août : Excalibur, The Celtic Rock Opera*, Alan Stivell, Eluveitie, Corvus Corax et Stille Volk.
Vendredi 16 août : Nofx, Turbonegro, Watain, Hypocrisy, Magma, Kadavar, Death Angel, Ange, Soilwork, 1000Mods, Tribulation, The Casualties, Gaahl’s Wyrd, Iron Reagan, Mustasch, Les Ramoneurs de Menhirs, Waking the Cadaver, Mars Red Sky, Au-Dessus, Oaks Crown, Not Scientists et Extermination Dismemberment.
Samedi 17 août : Trust, Korpiklaani, At The Gates, Anathema, Solsfatir, Marduk, Eyehategod, MGLA, Decapitated, The Night Flight Orchestra, Anaal Nathrakh, Freak Kitchen, Dopethrone, Krisiun, Gronibard, Cancer Bats, Harakiri For The Sky, Wolvennest, Undead Prophecies, Nytt Land, Fange et Shadyon.
Dimanche 18 août : Hatebreed, Avatar, Bloodbath, Napalm Death, Carpenter Brut, Primordial, Sacred Reich, Ihsahn, Henri Des and Ze Grands Gamins, Aborted, Voivod, Ufomammut, Get the Shot, Midnight, Incantation, Hate, The Vintage Caravan, The Lazys, Beheaded, Vampillia, Pensées Nocturnes et Third Meridian.
Vendredi 08 mars 2019
Le concert de Watain prévu il y a deux jours à Singapour a été annulé, le ministère des Affaires intérieures ayant évoqué "l'habitude de groupe de dénigrer les religions et de promouvoir la violence", et dont la prestation aurait eu pour conséquence de "perturber l'harmonie sociale de Singapour". Voilà... Plus d'infos par ici.
Jeudi 14 février 2019
Le Heavy Montréal a annoncé son affiche 2019, on y retrouve (entre autres) Slayer, Ghost, Godsmack, Anthrax, Killswitch Engage, Clutch, Atreyu, All That Remains, Fu Manchu, Terror, Fever 333, Municipal Waste, Watain, Quiet Riot, Gamma Ray, ... Ca se passe les 27 et 28 juillet.
Jeudi 22 novembre 2018
Le Motocultor a annoncé plusieurs noms pour son édition 2019 : - Une soirée aura lieu le Jeudi, pas metal mais celtique et folk avec Excalibur (Opera Rock Celtique), Alan Stivell et Corvus Corax. Ils devaient être bourré à l'hydromel le jour de la programmation. Et pour les journées plus classique (du vendredi au dimanche) sont déjà annoncés : At The Gates, Watain, Hypocrisy, Sacred Reich, Decapitated Gaahls Wyrd, Aborted, Henri Des&Ze Grands Gamins, Harakiri For The Sky, Gronibard, Anaal Nathrakh, Cancer Bats, Skeltonwitch, Oaks Crown, ... Il reste encore 50 groupes à annoncer (Nolwen Leroy + Cattle Decapitation ?)
Vendredi 16 novembre 2018
Mercredi 27 juin 2018
Chronique de Trident Wolf Apocalypse de Watain : "Ses tournures mélodiques, son ton plus posé, sa fameuse balade The Rode On qui aura fait coulé beaucoup d'encre... Bref, pas de ça ici car Watain revient aux fondamentaux. [...]"
Dimanche 24 juin 2018
Live Report : Hellfest - Jour 2 Et c’est parti pour un samedi qui fera la part belle au Neo Metal, au Hardcore et il y aura pas mal de lien avec le Hip-Hop (Dälek, Ho99o9, Powerflo, Body Count, …). C'est une première d’avoir autant de représentants du genre à Clisson.
Pensées Nocturnes : Simple projet one-man band de Vaerohn à l'origine, c’est au printemps 2017 que Pensées Nocturnes se produit pour la première fois en concert en s’entourant d’une poignée de musiciens. Le groupe montre déjà un professionnalisme exemplaire, preuve d’une expérience de la scène grandissante. Enchaînant les utilisations d’instrument peu habitués à sonner sous la Temple comme l’accordéon, la trompette ou encore le trombone, la formation parisienne dégage une aura sur scène qui nous transporte dans ce monde cauchemardesque où l'on a hâte de s’enfoncer en espérant que le cauchemar dure aussi longtemps que possible.
Monolord : L’un des premiers concerts de la journée et première claque. Une entame de Valley idéale pour se réveiller convenablement. On reste comme à l’habitude des suédois, du riff, du riff, et encore du riff, gras et basé sur un assemblage minimaliste de notes, qui ravira une assemblée en phase de réveil. Les morceaux du dernier album, Rust, s’agglutinent et font leur office, aplatissant les têtes, écrasant les corps. Classique mais efficace, du feeling et de la lourdeur, tout ce qu’on attendait finalement.
Get The Shot : Les Québécois ont littéralement cramé la Warzone, bien aidés par les compos de Infinte Punishment, mais aussi de l’album précédent No Peace In Hell, de la matière gorgée de feeling pour satisfaire la ménagère hardcore de moins de 50 ans. Les messages politiques n’ont pas manqué, orientés en particulier sur la répression policière. Les titres de Get The Shot résonnent dans la Warzone et contentent une affluence étonnamment massive à midi. De quoi retourner une assemblée de coreux à travers une énergie positive.
Demilich : Demilich est l’exemple même de la formation culte qui n’a pas eu droit à la notoriété qu’elle mérite. En effet, les finlandais n’ont sorti qu’un seul et unique album. Je vous encourage, si ce n’est pas déjà fait, à vous plonger dans l’album Nespithe, qui aurait mérité que le groupe se retrouve aux côtés de formations comme Death, Gorguts ou encore Nile. Malgré un son légèrement en retrait, ce qui n’aide pas les festivaliers qui viennent découvrir le groupe sur scène aujourd’hui, les finlandais, très heureux de se produire enfin chez nous, font preuve d’une technicité exemplaire. Pour l’occasion le groupe a même réalisé un t-shirt spécial aux couleurs du drapeau français, fièrement arboré par le bassiste.
Misþyrming : Ce qui est incroyable chez les islandais c’est la virulence avec laquelle ils exécutent leurs morceaux sur scène. Tu sens que les gars ne sont pas là pour rigoler et qu’ils vivent vraiment leur Black Metal, bien plus que certains groupes dans le genre qui sont méchants dans leurs compos, mais dans l’attitude c’est tout autre. Tu ajoutes à ça un son exemplaire où l’on distingue les instruments, une voix de possédée et des leads de guitares fous (sur Söngur Heiftar notamment) et tu obtiens un concert de Black Metal les plus marquants au Hellfest de ces dernières années.
Knocked Loose : Seconde excursion vers la Warzone et seconde gifle, dans le domaine hardcore beatdown moderne, on peut difficilement faire mieux. Rythmique sur-lourde, dérision verbale et feeling outrancier, les jeunes gens de Knocked Loose n’ont déjà plus rien à prouver en direct. A l’image de leurs camarades de Code Orange, les gaziers sont en place et engrangent les points de vie à travers les titres de Laugh Tracks, sans complexe.
Psykup : C’est une immense foule qui déborde déjà de la Altar qui s’est donnée rendez-vous en ce début d’après-midi pour accueillir une de nos formations cultes bien de chez nous : les toulousains de Psykup. Le show aujourd’hui sera dans l’exacte continuité de la tournée de 2017 qui faisait suite à la sortie de Ctrl+Alt+Fuck, leur dernier album. Le seul véritable regret de ce concert vient de ce show entièrement calculé comme il l’était lors de la tournée qui les a amené à filmer leur concert à domicile pour une sortie DVD. Plus de spontanéité et de morceaux des anciens albums auraient été les bienvenus et le résultat n’en aurait été que plus impactant.
Re-Psykup (vu par un autre chroniqueur, qui n’avait pas vu la tournée précédente et n’était donc pas spoilé) : Après un court sample de Surfin’ USA en intro, les membres de Psykup arrivent en chemises à fleurs et en lunettes de soleil, en jetant des frisbees dans la foule. L’ambiance est posée, c’est parti pour quarante minutes d’Autruche-Metal débile, groovy, et précis dans son exécution. « On s’appelle Psykup, on vient de Tokyo ! » lâche le vocaliste, toujours dans l’esprit WTF du groupe. Leur titre Do It Yourself sera dédicacé au Hellfest qui s’est construit à partir de rien. On retiendra aussi les morceaux Cooler Than God ou Love Is Dead, qui marquent par la puissance de leur groove parfaitement retransmis sur scène. En parlant de scène, Psykup n’investit la Altar qu’avec un tout petit backdrop à l’effigie du récent Ctrl+Alt+Fuck, mais a aussi posé de part et d’autre de la batterie six panneaux lumineux qui s’allument pour former différents mots ou logos selon les titres, et qui en fin de set affichent une alternance "Merci! / Bisous!". Des fadas, ces toulousaings.
Oranssi Pazuzu : Cette année le Hellfest nous gâte pour ce qui est des perles underground et / ou old school sous la Temple et l’Altar. Oranssi Pazuzu était assurément un nom à ne pas rater pour qui aime l’ivresse musicale. Avec ses deux guitaristes et son clavier, le groupe débarque sur un premier titre un peu inquiétant question qualité sonore , ça vrombit dans tous les sens, mais il est carrément ardu de distinguer les notes aiguës. Problème réglé dès le deuxième morceau extrait du dernier méfait des Finlandais. Et là, c'est l'envol, le départ vers d'autres dimensions. Oranssi Pazuzu rayonne de puissance et distille ses mélodies étranges, Aux portes du Psyché. Lahja nous met sur les rails avec ses percussions tribales et cette guitare répétitive, un trip qui durera tout le reste du concert, consacré essentiellement à l’excellent dernier né Värähtelijä. Si les non-initiés et réfractaires pourront trouver des longueurs dans les riffs tournant en boucle, les nordiques préparent en fait le terrain pour des explosions incroyables. Le final se fera sur un Vasemman Käden Hierarkia dantesque, brillant par son tempo écrasant qui finit de sonner l’auditoire. Le retour au monde physique est douloureux, voir un autre concert immédiatement après n’est vraiment pas une idée séduisante, on préférera plutôt se ressasser encore quelques minutes les élucubrations fantastiques des scandinaves.
Heilung : Jean Michel Pagan était de sorti sous la Temple vers 17h avec les allemands d’Heilung puisque cette année il n’y avait pas Wardruna pour assumer sa passion pour les peaux de bêtes, le marquage au crayon noir et les cornes à boire. La scène est blindée, on ne peut rien voir à part des silhouettes de types habillés avec des peaux d’animaux morts et des bardages de bois qui servent de cache misère. Des borborygmes, des percussions tribales minimalistes… heureusement qu’on a eu plusieurs siècles d’évolution pour dépasser ce néant musical. Curieux que des mecs souhaitent s’y complaire. Lundi, tout ce beau monde pourra retourner au bureau se faire chier la nouille en réunion et aller faire ses courses au Leader Price du coin, mais le temps d’une petite heure Jean Michel Pagan aura voyagé quelque peu dans des contrées fantasmées, tout comme son patrimoine viking hérité de sa grand mère espagnole.
Modern Life Is War : Augmenté de deux récents nouveaux titres, Modern Life Is War s’est fait plaisir tout en les distribuant à un public malheureusement peu agglutiné devant la scène. Alors que Get The Shot avait rempli les lieux plus tôt dans la journée, on se retrouve un peu désolé de voir un groupe emblématique des 90’s se démener devant un public trop peu intéressé. Le groupe n’est certes pas très porté sur la promo, mais ça ne nous empêche pas de soutenir le bouzier, qui mérite amplement un relais. On tâchera d’en profiter, comme on l’a fait durant leur set.
Jonathan Davis : Jonathan Davis en solo sonne comme du vieux Korn, c’est à dire glauque et lugubre en restant accessible, mais en plus dépressif, en plus Pop et en plus chiant. C’est long et il ne se passe rien. On se rattrape avec l’originalité de la formation : en plus du vocaliste qui donne son nom à son groupe, sont présents sur scène un batteur (celui de Korn d’ailleurs), un guitariste, un claviériste, mais aussi un contrebassiste et un violoniste. Mais en dehors de ça, on ne retiendra pas grand chose d'intéressant ici.
Dälek : Si le Hip-Hop est un peu plus à l’honneur cette année notamment sur cette journée du Samedi, peu de monde s’est pressé pour voir Dälek sous la Valley. Quelle erreur, mais ceux qui connaissent ou venaient pour la découverte ne seront pas déçu. A l’occasion pour ce concert, c’est Mathieu Vandekerckhove d’Amenra qui est venu prêter main forte au duo à la guitare. Celui-ci se montrera assez discret, mais ajoutera tout de même une couche d’effets supplémentaire aux machines de Rek. 50 minutes de Hip-Hop lourd, froid, urbain et bruitiste porté par le flow colérique de MC Dälek. Le son n’est pas à leur avantage, mais on comprend la thématique : c’est noir et lancinant. Dälek pioche surtout dans son dernier et premier album avec trois titres d’Absence : Asylum, Ever Somber et le fantastique Culture For Dollars, mais aussi Echoes Of… d’Endangered Philosophies qui détruit tout sur son passage avec cette rythmique tellement méchante. On y trouvera également les morceau Weapons et Numb en conclusion. Un très bon set, mais on aurait aimé encore plus de basse et encore plus de lourdeur pour faire s'écrouler la Valley.
Pleymo : Les Pleymo attaquent leur set avec United Nowhere puis Ce Soir C’est Grand Soir, de vieux titres bourrins au chant rappé qui permettent au groupe de gagner l’attention de la foule amassée devant les Mainstages, a.k.a. les scènes "revival 2000" de ce samedi. Le groupe fera l’effort de continuer de glisser de nombreux titres bien vénères pour justifier leur présence, malgré quelques incursions vers leurs albums les plus récents. Ces quelques titres, plus mous, laissent indifférent les gens qui, comme moi, regardent de loin, mais l’ambiance dans le pit semble complètement survoltée tout le long de la prestation. Le chanteur remercie d’ailleurs le public et demande si "vous êtes là ?" entre chaque titre (c'est lourd), et provoque un gros Braveheart sur Tank Club. Pleymo finira par Blöhm!, un dernier extrait de leur premier album, datant déjà de 1997 (ça aussi, on nous le rappelle entre les morceaux, que Pleymo a eu une carrière : re-lourd), pour partir en beauté. L’air de rien, quand ils blablataient pas, ils ont tout péta.
Bullet For My Valentine : Même s’il y a encore une énorme masse de monde, la foule semble moins réactive pour Bullet For My Valentine que pour Pleymo. Il faut dire que leur look de poseurs prétentieux en mode coreux à casquette et la distance que les musiciens mettent avec le public (lunettes noires, pas vraiment de communication) n’ajoutent pas à leur capital sympathie. Contrairement aux autres groupes de notre adolescence qui jouent sur les Mainstages aujourd’hui, Bullet For My Valentine joue des titres récents et n’arrive pas à déclencher le petit quelque chose qu’on attend d’eux. Pour couronner le tout, le frontman est peu bavard et de longs blancs s’installent entre les morceaux. Parfois un nouveau titre finit par démarrer, d’autres fois le chanteur sort quelques phrases bateau avant de lancer la suite, mais dans tous les cas on sent un malaise. Heureusement, le groupe finira avec Tears Don’t Fall et Waking The Demon pour un fan-service minimal.
Terror : Que dire sur un show de Terror ? Le groupe était au taquet ? Le public aussi ? Sur les bords de la scène on retrouve les groupes de la journée (prêt à venir faire un feat, aider… si besoin). Scott Vogel harrangue la foule, répète en boucle que c’est bien d’être en vie, d’être libre… Et entre ses discours : ça joue à fond, évidemment.
C’était bien, c’était Terror.
Body Count : Ouvrir son set sur une Mainstage par une reprise de Slayer quand on est un groupe de Rap / Metal, fallait y penser. Mais continuer par une seconde reprise (toujours de Slayer), puis du blabla, puis un solo de guitare noisy, puis du blabla... Au final, Body Count semble pêcher par excès de confiance et tombe dans la désinvolture. On dirait que le groupe est en répétition... Jusqu’à un certain point où le concert commence vraiment, avec les tubes Cop Killer et Talk Shit Get Shot qui sont joués en fin de set. Mais c'était trop tard pour véritablement s'enflammer.
Deftones : Il faut remonter en 2009 pour la dernière apparition de Deftones en terre clissonnaise, donc dire qu’aujourd’hui le groupe était attendu serait le plus gros euphémisme de la journée. L’hystérie s’empare de la foule à l’apparition des premiers membres du groupe et de Chino Moreno qui lance le concert sur Headup. L’effervescence est alors quasi-instantanée dans la fosse et ne redescendra pas de sitôt car les morceaux suivant ne sont autres que My Own Summer et Around The Fur. La setlist aura la particularité de regrouper les morceaux joués à la suite par album, ainsi après Around The Fur s’enchaîne White Pony puis Diamond Eyes. Malgré les conditions proposées par la Mainstage 1, Chino a cette particularité de créer une connexion avec son public en toutes circonstances, atteignant un pic d’émotion sur Knife Party et Change (In The House Of Flies). Le rappel au soleil couchant se fait sur un enchaînement tiré d’Adrenaline sur lequel Sen Dog de Cypress Hill, présent ce jour pour son nouveau groupe Powerflo, vient épauler Chino en arborant fièrement un t-shirt Hellfest Crew. Une seule envie à la sortie du set de Deftones, celle de vouloir les revoir au plus vite.
Limp Bizkit : Lors de leur dernier passage en 2015 le groupe avait fait un set plus que moyen en remplissant leur playlist de reprises (genre Limp Bizkit n’a pas de quoi balancer une heure de tubes). Cette fois ça débute plutôt bien, ça balance des tubes; mais très vite Fred Durst blablate pendant des plombes entres les titres, puis DJ Lethal nous balance des extraits de titres connus (du Slayer, du Pantera, du Nirvana, du Rage Against The Machine...). L'horreur absolue sera atteinte sur La Marseillaise pour une mabiance fête à la saucisse digne de ce nom. Voilà comment prolonger son set, de casser le rythme… Au final si on prend les titres joués c’était une bonne playlist (Rollin' (Air Raid Vehicle), Nookie, My Way, Take A Look Around...) mais avec des interludes relous au possible.
Watain : Tridents en flammes, foule agglutinée, les Suédois sont attendus de pied ferme par une Temple bien remplie et avide d’en découdre. Le rituel prend forme comme d’habitude, Erik Danielsson se la joue solennel et voilà le set lancé. Entre rythmiques hachées qui tabassent et tremolos mordants, Watain mène sa danse avec aisance et bénéficie d’un son très bien équilibré. Exit les bouchons d’oreilles, les notes dissonantes viennent s’échouer sur les brasiers incandescents tandis que la foule réagit avec ferveur. Placé en pleine nuit, le set est empreint d’un mysticisme renforcé par un light show très dynamique voire épileptique. Pour conclure sa mise en scène Danielsson incarne Lucifer en personne en transmettant la lumière au public, avant de retourner dans les ténèbres.
Cro-Mags : Allez, pour ce weekend en virée Crossover on demande les papas : Cro Mags. Version John Joseph évidemment (si vous avez suivi les batailles autour du groupe) et c’est une petite leçon d’histoire et de musique. Le groupe joue limite Thrash puis montre ses aspects plus Hardcore. Pas de grosse révélation ici, mais un concert sympa et énergique.
Nile : Les plus fins égyptologues du Hellfest se sont donnés rendez-vous à l'Altar pour une conférence fort intéressante présidée par Nile. Direction les catacombes des pyramides et la Douât avec le Brutal Death Technique des Américains sans passer par la case tourisme. Agrémenté de quelques samples de musiques d'ambiance histoire d’aérer et de faire humer le sable brûlant au public, le set ne fait pas défaut à la réputation de notre troupe d’historiens. Du Brutal Death Technique exécuté sans accroc, sans énorme prestation non plus. Globalement bon, le son laisse passer les lignes mélodiques qui se faufilent sans souci dans les esgourdes, respiration salutaire entre le matraquage compulsif de George Kollias et le riffing ininterrompu des guitaristes. Avec un Suffocation qui a tout retourné hier, Nile souffre fatalement de la comparaison, et on ne peut pas s’empêcher de noter des guitares trop rocailleuses qui méritaient un son plus plein.
Neurosis : Cette branlée. Ce son de fou furieux. On n’était pas prêts. Ce n’est pas la première fois que Neurosis vient au Hellfest ou qu’on a la chance de les voir sur d’autres festivals, mais là, les mecs ont poussé les potards à 11. Tout sonne parfaitement, de la batterie aux rythmiques tribales jusqu’aux guitares carnassières et au chant terrible de Steve Von Till et Scott Kelly. On sent le groupe très remonté de l’ouverture sur Given To The Rising jusqu’au final apocalyptique du monstrueux Through Silver In Blood. Un pliage de nuque en bonne et due forme et un immense signe de respect pour les américains qui sont encore et toujours largement un cran au dessus de toute la vague de groupes Post-machin.
Parkway Drive : Fulgurante ascension que celle de Parkway Drive qui en 2013 encore se produisait en milieu d’après-midi avec un simple backdrop comme décor. Aujourd’hui c’est bel et bien en tête d’affiche de la Mainstage 2 que les australiens se produisent. Pour l’occasion, le groupe nous dévoile un show de lumière, de pyrotechnie ainsi que d’autres artifices dignes des plus gros noms de cette affiche. Malheureusement, il faut plus qu’un show visuel captivant pour en venir à apprécier une heure de set majoritairement composé de morceaux des deux derniers albums du groupe. Et ce n'est clairement pas leurs meilleurs titres.
Dimmu Borgir : Dimmu Borgir qui clôt les concerts de la Altar, c’est l’assurance d’une surpopulation sous la tente en question pour une fin de soirée placée sous le signe de l’epicness. Après une conventionnelle ouverture avec les deux premiers titres du récent Eonian, les Norvégiens dégainent leurs tubes : The Chosen Legacy, Gateways, Dimmu Borgir... Les lumières rouges, la fumée, et le backdrop qui symbolise une façade d’église donnent une ambiance de messe noire au set. Les chœurs sont parfois un peu faiblards, mais la set-list est un tel best-of que l’efficacité est là. Mais la fatigue aussi, et de loin, le son est étouffé et la magie prend moins bien. Dimmu Borgir termine sa collection de tubes par des inévitables, Progenies Of The Great Apocalypse et Mourning Palace. Rien à redire sur la prestation, mais elle fut difficile à apprécier à cause de la foule et de l’épuisement.
Top 3 :
Méo : Orange Goblin, Get The Shot, Monolord
Bacteries : Deftones, Psykup, Neurosis
Skaldmax : Oranssi Pazuzu, Misþyrming, Deftones
Pentacle : Neurosis, Oranssi Pazuzu, Dälek
Florian : Neurosis, Turnstile, Deftones
Chazo : Deftones, Ho99o9, Psykup
Tang : Neurosis, Knocked Loose, Dälek
Zbrlah : Deftones, Psykup, Enslaved
Nonohate : Neurosis, Deftones, Misþyrming
Mardi 19 juin 2018
Le Tyrant Fest se déroulera le 17 et 18 novembre au Métaphone d'Oignies dans le Pas-de-Calais (62) et le festival vient d'annoncer sa programmation : Watain, Aura Noir, Der Weg Einer Freiheit, Arkhon Infaustus, Schammasch, Profanatica, Thaw, The Great Old Ones, Audn, Zatokrev, Hangman's Chair, Azziard, Throane, Treha Sektori, Monolithe et Dirge.
Mercredi 28 mars 2018
Watain se sépare de son guitariste Set Teitan suite à la révélation d'une photo de ce dernier réalisant un salut nazi. En janvier dernier, le musicien était déjà accusé d'en avoir réalisé un en live, qui fut expliqué par un geste sans aucun sens à l'époque. Le communiqué (en anglais) dans la suite.
Jeudi 11 janvier 2018
Watain a réagit suite à un salut de leur guitariste qui aurait pu être vu comme un salut nazi (vidéo). Et en effet il semble que cela ne soit qu'une salutation (et vous pourrez mater les 30 minutes de live comme ça).
Mercredi 27 décembre 2017
Vendredi 22 décembre 2017
Mardi 28 novembre 2017
Voici les premiers noms du prochain MetalDays : Accept, Hatebreed, Alestorm, Cannibal Corpse, Epica, Municipal Waste, Ensiferum, Primordial, Watain, Hate, Rage, Jinjer, Goatwhore et Belphegor.
Jeudi 16 novembre 2017
Le Graspop Metal Meeting a annoncé pas mal de noms de sa programmation 2018 (le festival a souvent une affiche proche de celle du Hellfest en ce qui concerne les mainstage) : Guns N'Roses, Iron Maiden, Ozzy Osbourne, Avenged Sevenfold, Judas Priest, A Perfect Circle, Parkway Drive, Limp Bizkit, Megadeth, Bullet For My Valentine, Kreator, Body Count, Killswitch Engage, Powerwolf, P.O.D., Watain, Asking Alexandria, At The Gates, Less Than Jake, Anti Flag, The Darkness, Iced Earth, Underoath, Exodus, Amaranthe, Thy Art Is Murder, Powerflo, Emmure, Marduk, Tesseract, Miss May I, Stray From The Path, Vader, Tyr, Arkona, Carnivore A.D., Pist*on, Planet Of Zeus, Modern Life Is War, Knocked Loose, BlessTheFall, Asphyx, Zeal And Ardor, Akercocke, Silverstein, Bölzer, Monuments, Stone Broken. Ca se passe en Belgique du 21 eu 24 juin.
Jeudi 02 novembre 2017
Nuclear Alchemy de Watain a droit à son clip (qui coche tous les prérequis d'un clip de Black Metal : sang, feu, clou...). Trident Wolf Eclipse sort le 5 janvier chez Century Media Records. Voici la pochette et la tracklist.
Mardi 17 octobre 2017
Nuclear Alchemy est le nouveau single de Watain et il sortira le 31 octobre. Il est en précommande par ici. Leur nouvel album est attendu pour le 5 janvier 2018.
Jeudi 03 août 2017
Le prochain Watain sortira le 5 janvier, le groupe ira direct défendre celui sur scène avec 5 dates en Europe dans une à Paris à la Maroquinerie, le 13 janvier. Plus d'infos sur l'event FB.
Mercredi 14 décembre 2016
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