Werewolf December 1, 2011 19:44
J'estime cet album un peu comme une synthèse (rapide) des explorations électro/ambient/classique des années 2000 de Ulver.
On peut regretter le format un peu court de l'album (la dernière piste un peu anecdoctique en moins, ça ne fait qu'à peine 30 minutes de musique).
Mais comme toujours avec Ulver, c'est un concentré de qualité, album sombre, mélancolique et accessible.
J'estime cet album un peu comme une synthèse (rapide) des explorations électro/ambient/classique des années 2000 de Ulver.
On peut regretter le format un peu court de l'album (la dernière piste un peu anecdoctique en moins, ça ne fait qu'à peine 30 minutes de musique).
Mais comme toujours avec Ulver, c'est un concentré de qualité, album sombre, mélancolique et accessible.
16 / 20
Avis aux fans: approche à renouveler!
Après le trip-hop-jazz-électro, les montages alambiqués ou l'ambiant atmosphérique, le groupe décide de proposer une approche plus.. directe? de ses nouvelles chansons.
On retrouve la voix grave et chaude de Garm sur "England", oscille entre espoir et folie sur "September IV", saute de piano en guitares heavy en clarinette hurlante et violon sur "Providence", où la copine Siri Stranger qui leur avait filé un coup de main sur leur reprise de Prince, "Thieves Of The Temple" (Shockadelica, tribute album, ndlr), vient à nouveau poser sa voix délicate. Les choeurs d'Attila Csihar de Mayhem sont touchants.
Clarinette et violon figurent aussi sur "Norwegian Gothic", chanson plaintive et ambiante, tout comme sur LA surprise de ce disque, les 14 minutes (!) d'ambiant-religieux sur lesquelles vient se poser la déclamation presque murmurée de Stone Angels, poème de Keith Waldrop. Superbe.
Avec ça, production aux petits oignons, packaging soigné: un bien beau disque en somme, synthèse de nombreux efforts passés.