Dimanche 27 novembre 2022

Pour les fans de Trap Them ou CursedThe Devil and the Day Laborer par Heathen Prayer s'écoute par là.

Mardi 10 mai 2022

Chronique de Frantic Death de Dark Circles, à lire par ici. Pour fans de Hardcore, Trap Them, Masakari, ...

Dimanche 05 juillet 2020

Grief Ritual (Hardcore / Metal) lâche Moments of Suffering, son nouvel EP, via ce lien. Pour fans de Trap ThemLeechedMinorsMoral Void, ...

Jeudi 31 janvier 2019

Wear Your Wounds (le super groupe avec Jacob de Converge, Mike de The Red Chord, Sean de Twitching Tongues, Adam de Cave In et Chris Maggio ex Trap Them) a bouclé l'enregistrement de son nouvel album.

Mercredi 14 novembre 2018

Podcast : déjà le numéro 10 pour YCKM, et pour ce podcast vous aurez au menu : Rendez Vous (Post Punk) ainsi que Cult Leader (ex Gaza) et une programmation musicale qui va aller de Trap Them de Opeth en passant par Crypt Trip, BelzebongBeastwars, ...
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Lundi 10 septembre 2018

Infera Bruo (Black Metal Progressif - US, avec un ex-Trap Them) vient de sortir son nouvel album, Cerement, chez Prosthetic Records et ça s'écoute en entier sur bandcamp.

Lundi 03 septembre 2018

Infera Bruo (Black Metal Progressif - US, avec un ex-Trap Them) dévoile le morceau Scorne issu de Cerement qui sort le 7 septembre chez Prosthetic Records.

Jeudi 19 juillet 2018

Infera Bruo (Black Metal Progressif - US, avec un ex-Trap Them) sortira son troisième album, Cerement le 7 septembre chez Prosthetic Records. Voici la pochette et la tracklist. Le morceau Shroud Enigma s'écoute dans la suite.

Mercredi 23 août 2017

Trap Them jette l'éponge et annonce ses 3 derniers concerts pour novembre.

Lundi 19 juin 2017

Le dimanche 2017 au Hellfest

Photos : notre galerie photos du dimanche  (qui sera complétée au fil de la semaine comme les autres). 
A voir également : JeudiVendrediSamedi.

  


Dernier jour pour cette édition 2017, très ensoleillée, du Hellfest. La chaleur écrasante va marquer les corps aujourd’hui, on sent le public moins fou-fou qu’il n’a pu l’être sur les premiers jours (notamment sur la War Zone).
 
Hirax
Du Thrash et de la bonne humeur. On pourrait résumer Hirax comme cela, mais on serait encore loin de la vérité. Il faut voir les bougres sur scène. Un lead guitare aussi efficace dans ses riffs que dans ses soli, une basse groovy à mort, des rythmes qui balancent à 100 à l’heure et surtout, surtout, un chanteur très en forme vocalement et tout le temps à fond quand il s’agit de se mettre la foule dans sa poche. Les signes vers le public, les gros yeux, les pas de courses d’un bout à l’autre de la scène… le mec est une pile électrique. Donc oui, déjà qu’à la base leur Thrash ne souffre d’aucun temps mort et est hyper énergique, le frontman ajoute le truc qui rend la prestation live complètement irrésistible. Plus Metal que le Metal.
 
Ill Niño :
Retour en enfance avec un groupe de Nu Metal dont je n'avais plus entendu parler depuis une grosse douzaine d'années, avant de les découvrir sur l'affiche du Hellfest 2017. Même si la plupart des titres sont inconnus au bataillon, on reconnaît certaines vieilleries (No Murder, Te Amo I Hate You, How Can I Live…). Ça bouge bien niveau jeu de scène, les mecs ne jouent rien de sorcier mais le font de façon carrée, leur line-up atypique (avec un percussionniste) et leur batteur de 160 kilos de bonne humeur, et la manie du chanteur de nous appeler "la Ill Niño familia", font que le public devant la Mainstage 2 passe un bon moment (malgré la fébrilité de certains chants clairs). À en juger par la poussière soulevée par les pogos, il y avaient pas mal de nostalgiques qui ont été convaincus. Revolution Revolución, amigos !



Beyond Creation
Les Québécois ont réservé un accueil pour le moins chaleureux à l'Altar. Visiblement ravis d'être en terre clissonnaise, les musiciens ont fait résonner leur Death Technique sous l'Altar. On y entend du CynicAtheist, Obscura, exécuté avec finesse et précision. Servis par un son franchement honnête, les riffs syncopés, sprints-matraquages et soli du futur ont trouvé leur place dans le cœur de l'audience présente. Sur tout son set, Beyond Creation a simplement synthétisé ce qui se fait de plus intéressant en termes de Death moderne et visionnaire. Beau boulot.  
 
Ghost Bath
Avec un album tout frais de chez Nuclear Blast pas forcément enthousiasmant, et un Moonlover très appétissant, nous voilà partis pour un Bain De Fantôme un peu le cul entre deux chaises. Et ce à raison, car malgré les trois guitaristes présents sur scène, difficile voire impossible de distinguer les subtilités Post-Black de Ghost Bath. Au lieu de ça, la basse vrombit bien trop pour le genre. Question compos, on peinera à trouver des passages franchement intéressants, bien que quelques percées soient sympathiques, mais le coup de foudre ne sera pas pour cette fois.  
 
Ufomammut
Le prochain rendez vous Doom immanquable de cette ultime journée du festival n'est autre qu'Ufomammut. Les italiens qui ne s'était pas produit au Hellfest depuis 2012 et qui s'apprête à sortir prochainement un nouvel album chez Neurot recordings ont aujourd'hui opté pour une setlist variée. Pour ce concert, le combo qui avait jusque là pour habitude d'interpréter leurs albums en entier car constitués comme tel depuis Eve en 2010 pioche donc dans presque tous les albums de leur discographie, de Lucifer Songs jusqu'au nouveau single Warsheep. Un set hypnotisant à haute teneur psychotropique et au final noisy.
 
Arkhon Infaustus :
C’est la seconde date de concert pour la reformation d’Arkhon Infaustus et le problème est de taille. Jouer tôt, de jour, avec un son absolument immonde n’aide pas à rentrer dans le set L’envie est là, mais ce ne sera pas suffisant pour convaincre le public qui se délaisse petit à petit d’un Black Metal frondeur, mais terriblement plat et peu convainquant. Dommage, car leur prestation aux Feux de Beltane un mois plus tôt était à la fois haineuse, méchante et tellement percutante.
 
Candiria :
Arrivé en cours de route en plein cagnard, on espérait un set au moins aussi intense que celui de leur passage au Fury Fest (ex-Hellfest) en 2003, mais non. Hormis un seul titre issu de leur album mythique 300 Percent Density, rien de fameux à se mettre sous l’oreille, beaucoup de morceaux tirés des derniers albums, donnant au chanteur l’occasion d’envoyer de la mélodie claire, mais non, rien à faire, ça colle pas. Dommage.
 
Equilibrium
Avec son Metal efficace entre Pagan, Folk et Viking, Equilibrium attire assez de monde pour remplir la tente dédiée à la scène Temple. L'ambiance est à son comble, les slams commencent même en dehors de la tente. Même si leurs albums les plus récents convainquent moins, les Allemands prennent soin de n'en jouer que les morceaux les plus péchus (à l'instar de Prey en ouverture de show) et n'hésitent pas à aller piocher dans leur vieux répertoire (Blut Im Auge, le mythique Unbeseigt...). Le chant de Robert Dahn donne l'impression d'être un peu brouillon sur le début du concert, presque "gruik-gruik Grindcore", mais cela ne dure pas et le son devient vite exemplaire. Tout sourire, ouvert au public, Equilibrium semble s'éclater pendant une heure, et nous aussi.

Nostromo
La venue de Nostromo est également parmis les concerts de cette édition 2017 qu'il ne fallait surtout pas louper. Depuis l'annonce de leur reformation en fin d'année dernière, les Suisses se sont produits aux quatre coins de la France en première partie de la tournée Magma de Gojira ainsi qu'à quelque festival, notamment au Download. Pour la petite histoire, comme l'explique le chanteur entre deux morceaux, c'est l'équipe du Hellfest qui les a contacté il y a 8 mois et qui a été l'élément déclencheur de cette reformation tant attendue.
Venus spécialement se produire aujourd'hui après 10 heures de route, Nostromo exige de l'action dans le pit et la réaction du public ne se fait pas attendre. Un impressionnant wall of death se forme alors du devant de la scène jusqu'à la régie et sur tout la largeur de la tente. Inutile de dire à un quel point il fut parfois difficile de discerner les musiciens jouer tant la poussière soulevée était importante. Parmi la setlist on notera une cover de Nasum ainsi qu'un nouveau titre non-nommé mais qui annonce un prochain album excellent.


Blue Öyster Cult
Dès la fin du premier titre (étrangement introduit par le générique de Game Of Throne), Blue Öyster Cult pose l'ambiance en lançant "the next song is about women, motorcycles, and parties", avant de commencer The Golden Age Of Leather. Leur Rock à l'ancienne plein de solos captive la Valley comme Queensrÿche à su conquérir la foule l'avant-veille : avec surprise, avec étonnement, car un groupe de papys bluesy ne semble pourtant pas dans les petits papier du festivalier-type. Et pourtant, ovations aux solis de Buck Dharma et applaudissements sont vraiment au rendez-vous. Encore un pari de programmation réussi pour le Hellfest. On notera quand même que la guitare de Richie Castellano n'est pas assez forte en début de set, alors que ses claviers explosent les oreilles... Les Américains jouent leur tube (Don't Fear) The Reaper un peu avant la fin de leur temps imparti, ce qui permet d'aller attraper le début de Prophets Of Rage pour beaucoup de monde.
 
Prophets Of Rage
Le super groupe à base de Rage Against The Machine assaisonné de Cypress Hill et de Public Enemy débarque à Clisson un an après sa formation et est déjà catapulté en semi-tête-d'affiche (bien que Linkin Park soit la véritable TA de ce troisième jour, Prophets Of Rage joue aussi sur la Mainstage 1 pendant un créneau horaire aussi long qu'eux). Le groupe va enchaîner les hits de RATM (Testify, Bullet In The Head, Guerilla Radio, Sleep Now In The Fire, Bombtrack...), qui passent foutrement bien en live, malgré un résultat mitigé sur l'EP. On aura aussi droit à quelques crus des Prophètes eux-mêmes (Prophets Of Rage, Unfuck The World) et surtout à un excellent medley Hip-Hop avec du Cypress Hill (Insane In The Brain, Jump Around...) et du Public Enemy (Bring The Noise...) dedans. Qu'est-ce qui manque ? Du Audioslave : Tom Morello annonce Like A Stone, sans vocaliste, et demande au public de chanter si on connaissait les paroles, ou de penser à Chris Cornell si on ne les connaissait pas.
L'ambiance est énorme pendant tout le set (sauf sur Like A Stone, assez grave), tout le monde saute partout, sauf un mec en pull Deicide qui se barre écœuré pendant la partie full Hip-Hop. Les dizaines de milliers d'autres personnes sont revenues, ravies, à la grande époque de RATM le temps d'un concert de haute volée.

Integrity
Pour leur gros Hardcore de musclés, les gars d'Integrity ne rameuteront pas les foules. Seuls les plus fervents de riffs lourds et intelligents comme un 38 tonnes resteront devant la Warzone pour s'abreuver de violence gratuite entre « brothers and sisters ». Peu importe, les mecs de l'Ohio ne se démontent pas et alternent les pavés HxC et les titres plus Rock n' Roll et sautillants. Un résultat clair et net mais qui n'aurait peut-être pas demandé une heure complète de set. Integrity quittera d'ailleurs la scène un poil avant la fin. 

Scour
Un an après que Down ait annulé leur tournée, Phil Anselmo, grand habitué du Hellfest, fait son retour en terre clissonnaise avec son nouveau projet en date, Scour. Celui ci pose ses valises sous la Temple, une scène que Phil n'avait pas encore expérimenté jusque là étant surtout habitué aux Mainstages et à la Valley. Il ne pouvait pourtant en être autrement, Scour déployant une identité musicale proche d'un certain Deathspell Omega mais avec un chant mi-black mi-death.
Le groupe alterne entre morceaux du premier EP et du second à sortir prochainement, le tout entrecoupé de quelques messages et de remerciements de papa Phil pour le Hellfest.
Il ressort donc de ce premier concert chez nous plusieurs bonnes idées pour cet énième projet d'Anselmo même si on ressent une certaine fébrilité sur certains morceaux, sans doute dûs à la jeunesse du projet qui joua 15 minutes de moins que le temps accordé.
 
Emperor
Faisons la lumière tout de suite sur le léger point noir de cette performance, à savoir des guitares et claviers parfois difficiles à saisir, mais qu'importe. Pour qui vénère les Norvégiens et leur deuxième offrande, le légendaire Anthems To The Welkin At Dusk, ce show était tout simplement immanquable. Avec des titres tous plus incisifs et créatifs (encore aujourd'hui !) les uns que les autres, l'album de 1997 file à toute allure, avec quelques mots du frontman pour ponctuer entre deux charges héroïques. Comme lors de leurs jeunes jours, les nordiques tracent à toute allure avec une batterie sous stéroïdes et des leads grandiloquents, majestueux (baroques ?). En plus du monstre joué en entier, Curse You All Men ou Inno A Satana remueront la foule de passionnés et de curieux avec vigueur. Sous une Temple noire (Metal) de monde, Ihsahn et sa bande ont fait une grande démonstration de maîtrise et de classe absolue (même en chemisette).


P.S. : Il est important que les personnes ayant la malheureuse idée de pogoter sur Emperor sachent qu'il existe un cercle de l'Enfer pour les cafards de leur espèce. Pas besoin de faire ton gros bourrin torse-nu et aviné dans les premiers rangs pour prouver que tu es un homme. Tais-toi, écoute et apprend. Kiss.
 
Every Time I Die
Malgré l’absence du chanteur Keith Buckley, les suppléants ont assuré le show, enchaînement de titres emblématiques tels que Ebolarama, mais aussi des morceaux du dernier album Low Teens naturellement. Ambiance, chaleur, rock’n’roll, et apothéose finale avec le public qui s’invite sur scène dans la joie et l’allégresse. Grand moment qui restera sans doute gravé dans les annales du Hellfest et de la Warzone. Les remplaçants : Ryan de Trap Them, Jeremy de The Devil Wears Prada, Loz de While She Sleeps et Griff de Shvpes
 
Hawkwind
Apres Blue Öyster Cult, retour à la Valley pour une autre couche de Rock rétro, cette fois moins bluesy mais plus psyché. Visiblement attendu de pied ferme, le combo semble maintenu artificiellement en forme grâce à du sang neuf, notamment à la basse. Le musicien est plein d'énergie, ce qui contraste avec le peu de présence du guitariste qui semble vraiment fatigué. Néanmoins, la musicalité est là, les visuels aussi (Hawkwind diffuse des images kaléidoscopiques en couleurs vives sur un écran au dessus de la scène). On plonge en plein mai 68 avec le groupe, et on en ressort transporté après une (trop courte) heure de voyage musical, auquel le groupe n'a pas oublié d'ajouter une dimension contemporaine, grâce à l'emploi d'une console de mixage directement sur scène pour insérer dans leur Rock des occasionnels bruitages électroniques. Original et plaisant.
 
The Dillinger Escape Plan
Cerise sur le gâteau rôti du Hellfest le plus brûlant de la décennie, TDEP a cassé des nuques par palettes, empilant les titres cultes comme des perles, mélange équilibré entre nouveaux et anciens titres. On aurait pu s’attendre à davantage d’acrobaties du guitariste Ben Weinman mais c’est certainement plus aisé dans des lieux clos avec des poutres et autres structures auxquelles s’accrocher. Quoi qu’il en soit les gars du New Jersey ont fait valoir leurs qualités, de manière définitive puisqu’en effet, ceci fait partie de leur dernière tournée avant la fin. Pleurons en chœur en savourant l’un des ultimes sets de ce groupe absolument indispensable, si ce n’est salvateur, du 21ème siècle.
 
Perturbator :
Quoi de mieux que de finir un fest avec de l’Electro qui tabasse et faire danser une Temple chaud bouillante ? La réponse est dans le titre et on en attendait pas tant. Des basses hyper lourdes, des nuques qui se secouent en rythme, des corps qui chaloupent… Bref, ça tuait. Autant dans le son que des lights fort à propos. L’ambiance était là, tout le monde dansait et ça et offrait une conclusion parfaite à ce Hellfest 2017.
 
Le top 3 des chroniqueurs présent :
 
Bacteries : The Dillinger Escape Plan, Every Time I DieProphets Of Rage
Pentacle : Hirax, Perturbator, Beyond Creation
Max : Emperor, Perturbator, Beyond Creation
Zbrlah : EmperorProphets Of Rage, The Dillinger Escape Plan
Méo : Clutch, Ufomammut, Pentagram
Nonohate : The Dillinger Escape Plan, Emperor, Nostromo
Tang : The Dillinger Escape Plan, Nostromo, Every Time I Die
Julien : Candiria, The Dillinger Escape Plan, Coroner

Lundi 01 mai 2017

Cult Of Luna, Neurosis, et Trap Them rejoingent l'affiche du Roskilde Festival qui aura lieu du 24 juin au 1er juillet au Danemark. 9 scènes, 175 groupes, ça le fait plutôt pas mal. A l'affiche également : Foo FightersArcade Fire, Blink-182, Anthrax, Pig Destroyer, High on Fire, JusticeThe Jesus and Mary Chain … 

Dimanche 20 novembre 2016

Live Report : Kongfuzi Booking a invité Trap ThemOkkultokrati et Venom Prison au Gibus (Paris) le 20 octobre. Retour sur une date qui fera... date

Samedi 19 novembre 2016

Vous aimez Converge, Hatebreed, Trap Them et The Red Chord ? Jake Bannon vous offre le tout en un seul groupe, ça s'appelle Wear Your Wounds. le premier album du quintet WYW, sortira le 7 Avril chez Deathwish. Pour l'extrait on va devoir patienter encore un peu.

Dimanche 30 octobre 2016

Les new les plus consultées de la semaine :
- Un couple qui fait des photos pour montrer leur amour et croisent un groupe de black metal dans les bois.
- Tool en live avec un Danny Carey malade.
- Mylene Farmer repris par SUP
- L'accident, en live, du chanteur de Trap Them.
- Les photos de Behemoth à Toulouse.

Lundi 24 octobre 2016

On vous en parlait récemment, le chanteur de Trap Them s'est cassé les deux pieds en sautant du haut d'un ampli de 5 mètres. Le monsieur a quand même tenu à finir son concert, comme le montre cette impressionnante vidéo, filmée quelques instants après l'incident. On vous reparle très vite de leur concert à Paris. 

Jeudi 20 octobre 2016

Concert du jour
- Trap ThemOkkultokrati et Venom Prison seront ce soir au Gibus (Paris). Toutes les informations sont disponibles sur l'événement Facebook de la date. Les places se réservent par ici.
- Kampfar, Vreid et Dreamarcher (FB) seront ce soir au O'Sullivan Backstage by the Mill (Paris). Les places sont en ventes dans les réseaux habituels : Digitick, Fnac Spectacles et Ticketmaster. Toutes les infos pratiques se trouvent sur l'Event FB.
- Lacuna Coil sera ce soir au Cabaret Sauvage (Paris). Les places sont en vente chez Digitick, Fnac Spectacles et Ticketmaster.
- Mantra, Dysfunctional et Neurococcyx seront ce soir au Ferrailleur (Nantes - event FB)

Le chanteur de Trap Them s'est fracturé ses 2 talons et une cheville lors d'un concert aux Pays Bas (en sautant d'un ampli qui lui ai tombé dessus). Il a terminé le concert et continue la tournée (assis sur scène du coup), cette photo est juste totalement impressionnante!
Ils seront ce soir à Paris (Gibus), on ne peut que vous pousser à prendre votre place!

Dimanche 16 octobre 2016

Chronique du Crown Feral de Trap Them : "A première vue, Crown Feral semble être fait pour ça : artwork qui te promet le son sale par excellence, une prod qui dès le premier titre te confirme que Blissfucker a droit à sa suite [...]"

Lundi 03 octobre 2016

Concours : Kongfuzi Booking (FB) invite Trap ThemOkkultokrati et Venom Prison le 20 octobre, à Paris, au Gibus plus précisément. Toutes les informations sont disponibles sur l'événement Facebook de la date. Les places se réservent par ici. Pour l'occasion Kongfuzi Booking et Metalorgie on vous offre deux places juste

Mardi 27 septembre 2016

Crown Feral, le nouvel album de Trap Them, s'écoute en intégralité dans la suite.

Vendredi 09 septembre 2016

Trap Them sortira son nouvel album, Crown Feral, le 23 septembre chez Prosthetic Records. Un extrait, Revival Spines, s'écoute dans la suite.

Vendredi 19 août 2016

Extrait et clip du prochain Trap ThemCrown Feral, avec "Luster Pendulums" dans la suite. Sortie prévue le 23 septembre chez Prosthetic Records. 

Mercredi 03 août 2016

Le prochain Trap Them a été annoncé pour le 23 septembre chez Prosthetic Records.

Samedi 30 juillet 2016

L'artwork de Crown Funeral, le prochain Trap Them, se matte ici. Le titre "Hellionaires" est en écoute dans la suite.

Samedi 23 juillet 2016

Okkultokrati (Sludge / Black - Norvège) sortira son prochain album, Raspberry Dawn le 23 septembre chez Southern Lord Recordings. Un premier extrait, World Peace est en écoute par ici. Le groupe sera en concert avec Trap Them et Venom Prison le 20 octobre au Gibus de Paris. Event FB.

Mardi 05 juillet 2016

Trap Them, Okkultokrati et Venom Prison se produiront au Gibus de Paris le 20 octobre. Plus d'informations sur la page de l’événement.

Samedi 25 juin 2016

Le prochain Trap Them s'intitulera Crown Feral et devrait sortir cet automne.

Vendredi 27 mai 2016

Le premier album de Hesitation Wounds (avec des membres de Touché Amoré, Trap Them, The Hope Conspiracy et Slipknot), Awake For Everything, sort aujourd'hui et s'écoute en intégralité ici.

Jeudi 21 avril 2016

Remote sort prochainement son album Resilient qui a été enregistré et mixé par Sylvain Biguet (Trepalium, Valve, Parween) et masterisé par Nick Zampiello au New Alliance East (Converge, Trap Them, Gaza, Old Man Gloom). Pochette (réalisée par Benjamin Moreau - Fange, HKY, Brain Pyramid), tracklist et premier morceau Nootropics Of Cancer à découvrir sur bandcamp.

Lundi 18 avril 2016

Hesitation Wounds (avec des membres de Slipknot, The Hope Conspiracy, Touche Amore, Trap Them...) vous font écouter Guthrie, extrait de leur prochain Awake For Everything, attendu pour le 27 mai.

Lundi 28 mars 2016

Chronique : Tharsis They - Ominous Silence : "Quand survient l’explosion de Metal / Hardcor aux vifs éclats de Coalesce ou de Trap Them, c’est un concentré de rage et de brutalité qui frappe tout d’abord. Des Larsens, des riffs simples, une batterie qui martèle et une voix haineuse qui rugissent à l’unisson. Quelle meilleure entrée en matière ? [...]"

Vendredi 18 mars 2016

Trap Them est en studio avec Kurt Ballou pour enregistrer leur prochain album (instagram et instagram).

Jeudi 10 mars 2016

Hesitation Wounds (avec des membres de Slipknot, The Hope Conspiracy, Touche Amore, Trap Them...) a mis en ligne le titre Teeth, extrait de Awake For Everything prévu pour le 27 mai.
Voici le line up complet :
Jeremy Bolm (Touché Amoré)
Neeraj Kane (The Hope Conspiracy, ex-Suicide File...)
Jay Weinberg (Slipknot)
Stephen “Scuba” LaCour (ex-Trap Them...)

Samedi 30 janvier 2016

Le trio No Vale Nada (Post-Hardcore Chaotique) sortira son premier album Demain en Mars. Il a été enregistré et mixé par Amaury Sauvé au studio The Apiary (Birds in Row, As We Draw, ...) et masterisé par Nick Zampiello (Converge, Trap Them, ...) En attendant Artwork, Tracklist et extrait, un teaser "souvenir du studio" a été mis en ligne.

Samedi 20 juin 2015

Hellfest 2015 :- Photos (dont les photos d’ambiance, public, animations, ...) par Florian Denis et Bacteries
- Report (par Grum, Pentacle, Lelag, Nonohate) : 

10 ans putain! 10 ans!
Et 10ème fois que l’équipe Metalorgie se rend à Clisson pour LE festival metal français, et ce n’était pas gagné pourtant. Car oui remontez 10 ans en arrière, 12 même avec le Fury Fest, les festivals en France était quasi inexistants, en tout cas pas en version spécialisée. 
Et cette 10ème édition peut déjà être considérée comme la mieux foutue de toutes, les imperfections des précédentes éditions ont été gommées (3 nouvelles tentes pour les scènes Black / Death / Stoner, vraiment spacieuses, meilleur son, des écrans), un site qui a été soigné (pelouse, allées), … On est moins dans “un festival dans un champ” qu’avant. Et le décor est fou, oui c’est abusé, mais c’est l’image du fest, et on ne peut nier que ça en jette!
Mais place aux groupes!

La nouvelle et très large Altar paraissait bien vide avec pour seuls occupants les kits de batterie et de guitare du duo Suisse, pourtant leur son s’y est vite fait une place de premier choix en englobant tout l’espace disponible. Arrivé sur scène sur intro de Wolves In The Throne Room, Bölzer enchaînera plusieurs titres de leurs premiers EP en équilibrant les parties black et death, mais toujours avec ce côté atmosphérico-ésotérique tant chéri par le groupe, ainsi qu’un nouveau titre, à paraître sur le premier album du groupe. Remerciant le public à de nombreuses reprises, les Suisses semblent davantage apprécier jouer en festival qu’en salle.

Argile et son frontman SAS de l'Argilière (Misanthrope), particulièrement en forme ce soir, ont plus d’un tour dans leur sac, et nous gratifient d’un passage pour cette édition 2015 du Hellfest plutôt remarqué. Les français n’auront de cesse de faire évoluer leurs ambiances, pour un résultat bluffant : du doom au death, en passant par de l’avant garde, avec toujours cette mélancolie caractéristique, pas franchement poilante mais très bien orchestrée. Une bonne surprise matinale.

C’est sous une Valley pleine à craquer à seulement 12h50 que Samsara Blues Experiment s’intalle. “It’s crazy !” Les Allemands, agréablement surpris par un tel engouement en début de festival, mettent progressivement en place leur stoner psychédélique à coups de fuzz et de batterie blues rock, le tout espacé par un chant rare et presque aussi inutile que chez Colour Haze. Ajouté à cela un son très bien réglé et les 40 minutes allouées au groupe filent à toute vitesse. Encore une formation estampillée “Deutsch Qualitat”.

La matinée se termine, c’est enfin le moment de sortir l’artillerie lourde du Hellfest. Sylosis entre en scène, bien décidé à distribuer des baffes en stéréo à une foule d’amateurs venue s’agglutiner devant la main stage. Les britanniques, venus défendre leur dernier opus (Dormant Heart), prendront un malin plaisir à secouer la plaine de leurs riffs imparables, mention spéciale à cette section rythmique complètement folle. On ne pourra qu’applaudir et sortir groggy de cette grosse demi heure de thrash particulièrement bien huilé.

Il faudra attendre le début d’après midi et l’arrivée des suédois de Truckfighters pour transformer la Valley en un terrain de jeu pour grands enfants en manque de pogo. Un set sauvage, un public déchaîné, des riffs de mammouth au service d’une atmosphère électrique, bref tout le monde est heureux.

John Bush looké comme un dimanche soir pour sortir les poubelles, il aurait donc peut-être été viré d'Anthrax pour ses choix vestimentaires? Quoi qu’il en soit, le chant est parfaitement mixé (mais la guitare solo en retrait) et permet de profiter pleinement des performance du frontman d’Armored Saint. John bush déconne avec le public et on croirait entendre Queensrÿche, mais avec 10 fois plus de patate ! Voix impeccable et présence scénique énorme : une grosse perte pour Anthrax et tant mieux pour Armored Saint.

On aurait voulu que le concert de Defeater soit mémorable, mais en l’état, avec un groupe qui a du mal à se remettre en selle après les déboires de santé de son frontman et l’horaire bien trop ensoleillé de ce début d’après-midi, on ne sera pas totalement convaincu. Un peu de mollesse, des titres comme Letters Home qui ne prennent pas, mais aussi d’autres morceaux comme Dear Father, Empty Glass ou Blessed Burden qui touchent par les mots de son chanteur ou par l’énergie déployée. Bon, mais à revoir dans de bonnes conditions et en salle.

Godsmack démarre avec un son brouillon, mais fait le job sur son tube Awake. Puis, comme tous les groupes qui choisissent de reprendre du Pantera (Avenged Sevenfold en 2007), on aura droit à un bout de Walk au milieu d’une chanson. Quelques minutes plus tard, le chanteur lance un  wall of death, truc de ouf !

Asphyx n’est pas là cette année, mais du coup on a le droit à Vallenfyre avec leur Death old school matiné de Doom. Mais à 16h, en plein jour, difficile de rentrer dans le bain. Le public de la Altar reste assez froid, surtout dans les passages Doom qui ont du mal à faire effet. Tout l’inverse de leurs fulgurances Death énervées qui castagnent et permettent de sortir de notre torpeur.. 

Billy Idol était un peu l’invité inattendu du jour, pour ne pas dire carrément WTF. D’entrée de jeu le son est très pop et électro plus que punk, ce qui est assez osé devant un public de metalleux. Avec Steve Stevens à la guitare, les solos envoient bien et le groupe semble bien kiffer d’être sur la mainstage. Problème de retour ou de micro, sur plusieurs chansons dont Dancing With Myself, le chant est un peu approximatif, même timide sur le début. Le public est nombreux mais très calme. White Wedding en version posey, Steve Stevens qui fait le show en faisant un duck walk et en jouant avec une guitare à led. Billy se dessape même sur Flesh For Fantasy, mais malgré toutes ces facéties et la collection de guitares, ça reste plat, un peu trop old-school, ou kitsch avec le synthé de Rebel Yell, qui réussit cependant à relever un peu la sauce. Un constat s’impose : Billy Idol est mieux conservé que sa musique !

On attendait Melechesh sous la Temple et la déception sera de mise. Un son aux fraises, peu de voix, aucune guitare intelligible et l’impression de se manger une sorte de Black / Thrash du pauvre, sans les influences orientales et tout ce qui fait la magie de leur musique.

High On Fire débarque enfin sur la Valley. Très attendus par une horde de fans venus prendre une petite fessée, les américains ne décevront pas. D’une violence remarquable, la setlist est sans concessions et les temps morts très rares, si bien que Pike et sa bande perdront tous entre deux et trois litre d’eau, et que le public de la Valley quittera la tente complètement éreinté. Rien de surprenant au programme, High On Fire se contente de ce qu’il sait faire de mieux : du stoner / thrash incroyablement punchy.

Remplaçant de dernière minute de Trap Them dont l’annulation a été officialisé il y a trois jours à peine, Oathbreaker a su se démarquer de ses confrères Belges de Church Of Ra (Amenra, Treha Sektori…) dés ses débuts en s’employant à un son hardcore chaotique, rappelant par moment Converge, ce qui justifie sans soucis leur place sur la Warzone. Au moment où l’intro de Eros|Anteros commence à se faire entendre, les musiciens foulent la scène, rapidement suivis par la chanteuse Caro Tanghe nue pieds et tout de noir vétue. Fort d’un son excellent, le groupe n’hésitera pas à jouer les morceaux les plus calmes et planants aux côtés des plus violents de leur répertoire, sans pour autant prendre le risque de faire fuir le public de la Warzone. Froid mais fascinant, ce concert était à n’en pas douté un des plus intéressants de cette scène souvent répétitive.

Le son est un peu faiblard pour le démarrage de Sodom, ce qui laisse forcément une impression de vide sur les solos des deux premiers morceaux, avec seulement la basse qui assure la rythmique. Mais Tom envoie au niveau vocal et avec le son de basse revu à la hausse, tout s'arrange. Climax du concert sur The Saw Is The Law et Sodomy And Lust. Et grosse ovation à la fin du set pour ces légendes du thrash.

On retrouve Motörhead sur la mainstage en roue libre et en mode mid-tempo. Lemmy est à  peu près dans le même état qu'Ozzy l'an passé, même si la voix est toujours reconnaissable. Le groupe tire du coup son épingle du jeu sur Orgasmatron. Qu’elle semble loin l’époque du Furyfest où le groupe pouvait exiger d’être le seul groupe à jouer sur son créneau horaire. Un set à réserver aux ultra-fans.

Beaucoup de fans attendaient la nouvelle venue du messie japonais, Envy, en terres Clissonaises. Le groupe aura pourtant bien du mal au début à faire prendre la sauce avec leurs nouveaux titres pas du meilleur effet, mais une fois la machine lancée, on se laisse captiver par certains passages grandioses. Et quand ils jouent certains titres de All The Footprint, c’est carrément l'extase. Il est possible qu’on ait placé trop d’attente dans ce concert... qui n’en était pas moins excellent (avec des lights magnifiques).

Lamb Of God et le joyeux circle-pit, bientôt disponible dans la collection Bibliothèque Verte. La précision dans le son et l'exécution prouve que le groupe mérite son nouveau statut de cador de la scène metal. À noter le petit clin d’oeil de Chris Adler qui arbore fièrement un tshirt Megadeth (alors que Dave Mustaine a révélé qu’il souhaiterait bien que Chris ne joue plus QUE pour Megadeth). Bon, par contre on oubliera le wall of death à moitié foiré par Randy

Le set de Mastodon a tout pour plaire, si on occulte le fait que la Valley, pourtant agrandie sur cette édition, soit pleine à craquer. Le son est aux petits oignons, mais vraiment. La voix de Troy est impeccable, on entend chaque riff distinctement, l’ambiance est excellente et la setlist, certes très orientée Once More ‘Round The Sun (qui est un très bon disque avec un paquet de morceaux qui sont déjà des tubes), a tout pour plaire. Même de loin sans voir le groupe, on prend notre pied. On n'en attendait pas tant!

Satyricon réalise une setlist quasi parfaite. Black Crown On A Tombstone, Now Diabolical, K.I.N.G., The Pengram Burns, With Ravenous Anger, Mothern North, bref que du tube. Le son est impeccable, le duo Frost / Satyr toujours aussi charismatique… une valeur sûre.

Pas de secret, la longévité ça se cultive et s'entretient ! N'en déplaise à Lemmy ou Ozzy, déjà à moitié empaillés, Alice Cooper n'a rien perdu de sa voix et de sa patate sur scène. Coté show par contre c'est un peu la déception sur le début de set. Peut-être le fait de jouer de jour (ou peut-être qu'on est des merdes et qu'on mérite pas). Nous n'aurons pas droit tout à fait à la mise en scène et au décor grandiose de 2010, mais Alice nous a quand même gratifiés de quelques happenings et de nombreux tours de magie incontournables sur la deuxième moitié du set (dollars embrochés sur une épée d'escrime, distribution de colliers de perles dans le public, coups de fouet, costume militaire, son passage à la table électrique et sa réincarnation en monstre de Frankenstein, la camisole de force avec l'infirmière psycho et la guillotine...). C’est un peu le bordel sur scène entre tout ça et trois guitaristes sur scène plus un bassiste qu'on dirait sorti d'un episode de GoT avec sa veste en fourrure. Nous avons également droit à un solo de batterie évolutif qui devient solo de basse, puis de guitare avec tous les musiciens en mode “chorégraphie heavy-metal”. Tous les tubes sont au rendez-vous : Hey Stoopid, No More Mr Nice Guy, You Can't Go To Hell, Feed My Frankenstein, Poison... Et en rappel, un medley School's Out/Another Brick in the Wall en rappel. Chapeau, l’artiste.

Five Figure Death Punch est la surprise du jour avec son passage tardif et donc super remarqué. Le son est super propre et d’entrée Ivan Moody annonce qu’il défoncerait bien l'ingé light qui n'arrête pas de lui foutre la poursuite en pleine gueule. Jason Hook se fait plaisir sur une ballade issue du prochaine album avec sa nouvelle guitare double manche, avec des accordages différents. Le groupe ne fait pas dans la dentelle sur Burn Motherfucker, Burn qu'Ivan fait chanter au public. Guitare à led pour Jason, protège-dents qui clignote pour Jeremy Spencer, c'est assurément un concert 2.0 auquel nous avons droit ! On pose son cerveau et on remue le crâne d’avant en arrière : aucune révolution musicale à l’horizon, mais un bon défouloir assuré.

Judas Priest nous offre une bien belle scène avec un double écran qui encadre la batterie sur deux niveaux, et qui affiche notamment la pochette des albums des chansons qui vont être jouées ainsi que des animations. Setlist un peu molle sur la première moitié (Metal Gods au ralenti...) et le chant est assez laborieux sur certains titres, même Rob s'en sort mieux sur les nouveaux (Redeemer Of Soul par exemple) ou alors grâce à de nombreux effets. Quelques solos de gratte sont bien foireux/foirés par Glenn Tipton (You've Got Another Thing Coming). On retiendra surtout le combo à la suite de Breaking The Law, Hell Bent For Leather et Electric Eye (même si sur celle-là, Rob "laisse" le public chanter, et sur les suivantes aussi...). Les tempos semblent moins ralentis qu'en 2011, ce qui sauve les meubles. On ne va pas trop en vouloir à Rob  qui apparemment gardait des forces pour le rappel final avec Painkiller et Living After Midnight. Dommage que pour ce premier, le solo de Glenn Tipton fut un nouveau désastre, alors que Richie Faulkner s’en sortait les doigts dans le nez sur le sien.

Wovenhand a décidé pour son passage au Hellfest de commencer par une sorte de jam Noise Rock chamanique assez étrange avec un son très lourd proche du Doom. C’est vrai qu’avec deux membres de Planes Mistaken For Stars ont les attendait sur un terrain électrisé, mais à ce point là. Pas évident de rentrer dans le set et quand après une demi-heure le groupe commence à reprendre de vrais morceaux du dernier album notamment où l’on est déjà plus dans l’état d’esprit de leur musique façon Folk électrisé. Un bonheur d’avoir ce genre de groupes qui sortent du cadre strict du Metal au Hellfest.

La dernière fois qu’on avait vu Meshuggah à Clisson, c’était en 2011. Même si le set était remarquable et que la mise en scène était déjà impeccable, on était resté sur sa faim niveau son, le rendu des main stages étant trop aléatoire. Rien à dire cette année, tant la prestation était proche de la perfection. Un son incroyable pour l’Altar, un jeu de lumières hallucinant, et une setlist qui ne peut que difficilement être plus efficace : Future Breed Machine, Demiurge, Bleed, I am Colossus, ... 
S’il y avait un groupe à ne pas rater en cette fin de soirée, c’est bien eux, une prestation qui restera dans les annales.

À peine le set de Meshuggah terminé et toujours pas remis de cette monumental baffe qu’on se déplace vers la Temple pour continuer à faire travailler ses méninges avec les Norvégiens de Shining. “Thanks to all those who have not been seen Slipknot !” Ni une, ni deux, le black jazz est lancé ! Ces piles électriques sur scène n’auront pas tardé à chauffer les quelques festivaliers qui n’étaient pas devant la Mainstage pour le show de Noeud-Coulant. Enchaînant des titres plus accessibles de One One One avec des semi-impro jazz saxo-guitare avant d’annoncer un nouvel album dont la sortie est programmée au 7 octobre et qui se dévoilera avec trois titres joués à la suite ce soir. Un avant-goût très prometteur. Les Norvégiens termineront ce concert par leur version de 21st Century Schizoid Man de King Crimson avant d’interpréter I Won’t Forget (you Hellfest) et de longuement remercier le public pour son accueil. Parfaite clôture de journée.

On a eu peur pour Slipknot. Commencer son concert par une intro qui ouvre The Gray Chapter enregistrée en playback alors que Corey aurait pu chanter le texte, ça part mal.
Sauf que visuellement quand on voit les neuf de Des Moines dans leurs nouveaux attirails reprendre une bonne panoplie de leurs meilleurs titres tous albums confondus avec une violence qui rappelle les premiers émois adolescents, ça a une autre gueule. Question show et pour mettre l’ambiance dans un pit, même à 2h du mat’, ils savent faire avec des titres comme Eyeless, Wait&Bleed, Disasterpiece ou même Vermillion. Malgré le chant clair de Corey (très bon - comme sur album) on ne peut pas s’empêcher de penser que ce genre d’artifice, trop systématique, aurait dû rester chez Stone Sour. Mais ça ne nous a pas empêché de bien apprécier leur concert.

Top 3 :

Lelag : Meshuggah, Mastodon, Lamb Of God
Pentacle : Envy, Mastodon, Slipknot
Bacteries : Mastodon, Truckfighters, Slipknot
Florian : Truckfighters, Wovenhand, Judas Priest
Grumlee : Alice Cooper, Armored Saint, Five Finger Death Punch
nonohate : Meshuggah, Envy, Shining

Mardi 16 juin 2015

Alors que le Hellfest approche à grands pas, de nouvelles annulations sont à déplorer pour le vendredi 19 :
- Oathbreaker remplace Trap Them sur la Warzone
- Leng Tch’e remplace Primate sur la Altar

Lundi 22 décembre 2014

Converge, Trap Them, Harm's Way et Young And in The Way seront en concert à Paris (Trabendo), le 1er juin, dans le cadre d'une tournée itinérante du Death Wish Fest.

Mercredi 13 août 2014

Le Temples Festival a mit en ligne une vidéo post-édition 2014. Pour rappel, le festival qui prend place à Bristol en Angleterre vient de dévoiler une première vague de groupes pour 2015 : Converge, Pig Destroyer, Between The Buried And Me, Goatsnake, Triptykon, Nails, Torche, Trap Them, Portal, Celeste...

Dimanche 10 août 2014

Converge, Pig Destroyer, Between The Buried And Me, Goatsnake, Triptykon, Nails, Torche, Trap Them, Portal, Will Haven, Bölzer, Celeste, Today Is The Day, BongzillaMagrudergrindImpetuous RitualGoatwhoreLeng T'che... et plein d'autres sur la même affiche? Ca fait rêver et c'est pas très loin de chez nous, du côté de Bristol en Angleterre du 29 au 31 mai. Il reste encore 55 groupes à annoncer pour cette nouvelle édition du Temples Festival.

Mardi 24 juin 2014

Chronique Trap Them Blissfucker : "Depuis Sleepwell Deconstructor, Trap Them ne cesse de fouler les salles de concerts et studios, enchainant albums et évacuation de sueur avec un rythme plus ou moins régulier. [...]"

Mercredi 04 juin 2014

Blissfucker, nouveau méfait de Trap Them est en écoute intégrale par là.

Jeudi 29 mai 2014

Le premier single de Blissfucker, prochain album de Trap Them, est en écoute sur Pitchfork.

Mardi 20 mai 2014

Pochette et tracklist de Blissfucker de Trap Them à découvrir sur leur page. Sortie officielle le 10 juin chez Prosthetic Records.

Lundi 19 mai 2014

Trap Them dévoile un 2e extrait de Blissfucker (sortie le 10 juin). "Organic Infernal" est à écouter par là.

Mercredi 09 avril 2014

Trap Them dévoile un nouvel extrait de Blissfucker qui verra le jour le 10 juin chez Prosthetic Records. C'est à écouter ici.

Samedi 25 janvier 2014

Le prochain LP des Direwolves est actuellement en cours de mastering au New Alliance East Mastering Studio (Converge, Trap Them, Isis). Les lorientais qui viennent de rentrer d'une tournée avec Calvaiire sortiront leur album courant mars via Throatruiner Records.

Vendredi 03 janvier 2014

Nesseria prévoit d'enregistrer un nouvel album cet été au Drudenhaus Studio. Le mastering sera confié à Nick Zampiello (Converge, Gaza, Trap Them).

Vendredi 22 novembre 2013

Le nouveau Trap Them est terminé, mais ne bénéficie pas de date de sortie plus précise que "l'année prochaine".

Vendredi 08 novembre 2013

Trap Them est en studio pour y enregistrer son prochain effort. Il est à noter que c'est l'ancien The Red Chord Brad Fickeisen qui vient de boucler les prises de batterie et non Chris Maggio.

Vendredi 18 octobre 2013

Album du Moment : Oathbreaker Eros|Anteros "Dans le domaine très en vogue du Hardcore chaotique à la Converge, difficile de se faire une place au soleil. Entre les Trap ThemAlpinistBlack BreathCursedThe Secret, et autres Rise and Fall, les groupes se bousculent au portillon remportant plus ou moins de succès. Avec son premier album sorti en 2011, Oathbreaker a montré une capacité singulière à mélanger les genres qui leur a valu de très bons retours autant de la presse que du public [...]"