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Titre : Fear Inoculum
Année : 2019
Tracklist
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01. Fear Inoculum 02. Pneuma 03. Litanie Contre La Peur 04. Invincible 05. Legion Inoculant 06. Descending 07. Culling Voices 08. Chocolate Chip Trip 09. 7empest 10. Mockingbeat ![]() Collection : 13 membres possèdent cet album. Les membres qui ont aimé Fear Inoculum aiment aussi :Laisser votre avis◄1► Commentaires
Je me souvient d'avoir écouté en boucle une copie cassette d'Undertow en 1994 quand les clips tournaient en boucle la nuit sur M6. Depuis j'avais pas suivi ce qu'ils font. Je trouve cet album aussi apaisant que Somewhere in time de Maiden
Première écoute, heureux et curieux face au potentiel énorme de cet album, qui a l'air d'avoir du mal à s'apprivoiser. Puis, aux suivantes, Pneuma et Culling Voices sortent du lot. C'est ensuite au tour d'Invicible.
Tellement d'attente, et pourtant la réussite est là. La relative déception du manque de morceaux pêchus est très vite dissipée par la subtilité de pneuma, invincible ou 7empest. Quels musiciens! Toujours aussi à part, toujours un régal.top5.
Définition d'inoculum : Échantillon qui contient des germes vivants que l'on introduit dans un milieu favorable en vue de sa multiplication ou de son identification. En quelque sorte laisser encore le temps à cet album de vous révélez ses faces cachées, son authenticité .... Ca fait que 4 mois qu'il est sorti ... Trop tôt, un peu comme un vin trop jeune... Vous verrez dans 10 ans, la saveur qu'il aura ... Ce n'est pas encore un CHEF D'OEUVRE, mais surement un GRAND CRU dans 10 ans, j'en doute pas, il est encore trop tôt ....
Bon album dans l'ensemble, légèrement en deçà des précédents opus. Peut-être une évolution moins marquée qu'entre les albums précédents, et comme d'autres l'ont souligné avant moi, je trouve Maynard un peu décevant sur la plupart des morceaux. J'en attendais probablement un peu plus après une telle attente.
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Bon bah j'aurais jamais cru lâcher un avis sur Tool mais j'en suis là. Il a de belles ambiances, et j'imagine qu'il déplaît aussi pour ça. Mais ce côté langoureux et étiré leur va bien, j'ai vu je ne sais plus où une comparaison que je trouve très juste avec le Dopesmoker de Sleep, dans un autre genre.
Quelques morceaux sont assez cool, c'est vrai, mais je ne peux pas dire qu'il m'ait vraiment emballé.
Un pur chef d'oeuvre. Le meilleur album du groupe?
Tool signe leur grand retour avec un pur chef-d’oeuvre. Fear Inoculum est tous ce que j’aime chez Tool. Les deux seuls petits points que j’aurais à reprocher, c’est le fait qu’il y ait "trop" d’interludes (Litanie contre la peur, legion Inoculant, Chocolat Chip Trip et MockingBeat) et que la voix de MJK n’est pas assez présente. Rendez-vous dans 20 ans pour le prochain album signé Tool🤣.
J’avais jamais été fan d’un album complet de Tool, mais là, Chef d’Oeuvre! Ces 6 morceaux fleuves passent tout seuls. Dommage qu’il n’y ait pas de place sur le Cd pour les interludes, je trouve qu’ils apportent une autre couleur à l’album.
Je vais me rallier au camp des déçus et je rejoins l'avais de chris17. Y a clairement des passages qui sont de la repompe d'anciens morceaux de Tool. Ce n'est pas un secret que pas mal de morceaux de Tool sont longs mais le concept d'en faire tout un album m'échappe beaucoup. De plus, Keenan est nettement en retrait sur cet opus ce qui est bien dommage. La structure des morceaux tournent quelque peu en rond. Comme dis dans un autre commentaire, c'est pas un mauvais album mais il n'est pas excellent non plus et encore moins parfait..
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Toute ces années pour rien du tout. Absolument rien de neuf chez Tool, ils réutilisent les mêmes riffs, les mêmes mélodies, les mêmes sons, les mêmes breaks...
Du grand TOOL !!! Toujours incroyable autant de structures rythmique étonnante et cette musicalité imparable
Pourtant un très grand amateur de Tool, je ne me faisais pas trop d'illusion sur cet album, sorti 13 ans après le dernier. Une grande majorité des groupes qui reviennent sur le tard en ayant pris de l'âge ne sont plus au niveau. Donc même si c'est Tool, je n'espérais pas trop. Déjà que, même si 10000 Days était très bon, je le trouvais quand même un peu en dessous de Lateralus. Mais bon... la version live de Descending accessible en avance sur le net laissait quand même présager du bon... Et là : BOUM! Prends-toi un chef d'oeuvre dans ta tronche, tu l'avais pas vu venir... C'est bien simple, en fait, chacun des 6 gros morceaux de cet album est une tuerie. Et comme toujours avec Tool, plus on les écoute plus on s'en rend compte. Cet album ne rompt pas avec le style de Tool, mais pour autant ce n'est pas du réchauffé comme le suggère certains commentaires, c'est juste le prolongement, voire l'apogée de leur style. C'est au contraire très créatif, avec des nouveautés dans chaque morceaux. Il y a un très gros taff sur les sonorités et les ambiances, c'est pas nouveau avec Tool, mais là c'est encore plus maîtrisé et puissant. Pour l'instant, grosse préférence pour Descending, Fear Incoculum, et Pneuma, dans cet ordre, mais suivi de très près par 7empest, Invicible et Culling voices. Bref du grand art, gros respect à ces gars-là. Trop tôt pour le dire mais c'est peut-être leur meilleur album à coté de Lateralus pour moi.
Le nouvel album de TOOL, 13 ans après 10 000 Days, au bout d’une interminable succession de rumeurs et une absence totale de communication du groupe, inespéré mais enfin disponible. Alors ?? Le premier contact avec le nouvel album de TOOL commence par la découvert du digipack. Une édition CD physique limitée sous la forme d’un coffret à trois panneaux s’ouvrant sur un écran projetant un clip avec effets sonores mettant en scène les thèmes de l’art work imaginé pour Fear Inoculum. Une merveille de conception, nombres d’artistes dont Alex Grey étant impliqué dans la conception qui surpasse tout ce que le groupe a imaginé jusque là avec ses précédents albums. Superbe ! Une sacrée impression après la diffusion de la “pochette digitale” officielle étonnamment simpliste; on s’en doutait, il ne s’agissait que d’une infime partie de l’univers visuel développé pour l’occasion. En fait, il faut remonter trois semaines plus tôt pour le premier contact, et la diffusion sur les services de streaming de la chanson titre “Fear Inoculum” faisant office de single. Un single de plus de 10 minutes, qui allie des sensations connues avec une certaine modernité qui rassure immédiatement sur ce qu’est encore capable de produire TOOL. Après une longue intro minutieusement élaboré et une escalade vers le premier couplet, tout est en place : une batterie insaisissable, tribale, accompagnée d’une ligne de basse métallique, MJK entre en scène d’une voix suave et intensément délicate rejoint par une guitare puissante et tout en textures. La magie opère, tout est en place. TOOL est de retour. La seconde piste de l’album est « Pneuma ». De la première à la dernière seconde, le morceau assoit définitivement la qualité de l’album avant les titres « Invincible » et « Descending » déjà entendu en live. Ligne de basse irrésistible et rythmique portée par des accords imparables, chant inspiré, break tribal/cosmique avant l’apothéose de la dernière partie, « Pneuma » s’impose d’emblée comme une référence du groupe. Viennent donc ensuite « Invincible » et « Descending ». Après les versions live de plus ou moins bonne qualité disponibles sur le net, les versions studio se laissent enfin savourer. Deux morceaux énormes de plus de 13 minutes chacun, explorant de nouveau territoires sonores au-delà des mots. Quelques moments de grâce parsèment les deux morceaux : les plans de batterie et le solo de basse sur Invincible, l’émotion et la performance vocale sur Descending avant une deuxième partie instrumentale dantesque. A ce stade c’est déjà la claque, l’auditeur intrépide n’en croit pas ces oreilles, et il reste au bas mot 30 minutes de musique... « Culling Voices » : une chanson surtout atmosphérique qui calme le jeu après le déluge sonore marathon des deux premiers tiers de l’album. Chant hanté, subtile, posé sur une introduction épurée et longuement développée. Progression vers une rythmique de plus en plus insistante qui mène à deux mouvement instrumentaux massifs, tonitruants, dominés par des riffs de guitare acérés. Une chanson qui tranche avec le reste de l’album par son côté direct, qui peut sembler manquer d’ambition de prime abord mais s’intègre parfaitement à l’écoute de l’album dans son appréhension globale. « Chocolate Chip Trip »... excellente surprise, une piste « bonus » barrée avec un motif étrange et entêtant au synthé servant de prétexte à un solo de batterie monumental de Dany Carrey. Enfin, arrive « 7empest », la fameuse, les rumeurs annonçaient un monument... Le genre d’expérience (ce n’est plus une simple chanson à ce stade) de presque 16 minutes qui laisse un sourire stupide à la fin de l’écoute. La seule chanson agressive de l’album, basée sur des riffs de guitare qui renvoient clairement à l’époque Undertow sur la première partie, un chant rageur et travaillé dans le ton de “The Pot”, avant de partir en orbite sur des successions d’ambiance sonores fascinantes, de rythmiques insaisissables, terrains de jeu pour Adam Jones durant près de 5 minutes de solo. Performance ascendante époustouflante avant un climax apocalyptique alors que MJK martèle le mantra déjà culte : “A 7empest Must Be Just That”. Passage digne de Meshuggah. Puis trois dernières minutes de bouquet final violent, émotionnel, déluge sonore qui laisse l’auditeur réceptif bouche bée, avec la sensation d’avoir écouté la plus longue, la plus éreintante, la plus dingue, et peut-être aussi la meilleure et dernière chanson que TOOL ait jamais enregistré. Rien que ça. Beau, étrange, menaçant, exaltant et exigeant : un album de TOOL ne laisse entrevoir ses trésors qu’à l’auditeur réceptif et patient. Après les premières écoutes cependant, la certitude d’avoir retrouvé TOOL et sa musique totale, sensationnelle, épuisante et incomparable. Et la perspective des multitudes d’écoutes ultérieures à la recherche des détails, des sensations, des merveilles à peine entrevues. Une évolution dans la lignée de ce que laissait supposer 10 000 Days avec “Right In Two” notamment : des morceaux fleuves aux rythmes plus lents, au chant axé sur la délicatesse, distillé avec parcimonie, et des progressions vers des passages épiques tout en maitrise. Si TOOL délaisse quasiment toute violence sur cet opus (pas un hurlement cette fois), il explore cependant de nouvelles directions fascinantes, sur un album cohérent, puissant et qui s’annonce au moins aussi éblouissant que ses prédécesseurs, même si seul le temps le confirmera. « Fear Inoculum » collectionne les ambiances hallucinées, les rythmiques ciselées, les moments de beauté cosmique. Des titres comme “Descending” et “7empest” s’assureront à coup sûr une place au sein des meilleures productions du groupe. TOOL est de retour, et son dernier disque est une nouvelle pièce d’un puzzle (la dernière ?) qui marquera le monde du rock.
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Première chose: le contexte Et donc en faisant abstraction du contexte au maximum -Les mélodies ne sont pas inspirées. L'impression de les avoir déjà entendus 100 fois, comme si elles avaient été générées aléatoirement par un ordinateur dans lequel on aurait rentré l’algorithme : tool -Beaucoup de rythmiques rébarbativess, à base de cordes à vide, tatatata tatatata. -L'album manque également de morceaux différents. En gros il y a un type de morceau et des interludes. il y a en fait 6 "vrais" morceaux, qui fonctionnent tous selon le même schéma. - La nouveauté est quasiment inexistante. A part quelques sons de synthés (acess virus) donc c'est le même synthé qu'a toujours utilisé maynard il est simplement plus mis en avant, et quelques clap de tr-808, c'est vraiment très maigre. Pourtant je ne pensais pas être capable d'accepter une vision différente de tool après avoir idolâtré lateralus, mais 10000 days m'avait fait changé d'avis. Il y avait des vrais nouveautés dans 10000 days, des morceaux très différents dans leur structure, dans les sonorités, ici franchement c'est presque le néant. - Le mastering est inégal. Il y a plusieurs passages qui saturent franchement. Je me servais toujours de lateralus de tool pour montrer les avantages de ne pas faire des mastering écrasés au maximum, et bien je ne me servirais pas celui-ci...
Première écoute de 7empest: techniquement impressionnant mais trop long, Adam ou veut tu en venir.
Certes il va peut-être falloir digérer ce nouvel album pour peut-être en découvrir les subtilités mais à aujourd'hui je rejoins l'analyse de Chris17. A l'exception de quelques excellents riffs et d'une rythmique imparable, je n'ai pas entendu la richesse mélodique d'autrefois. Les interludes sont effectivement très dispensables et j'ai aussi eu l'impression d'entendre beaucoup de choses se répéter. Et pour ce qui est de l'édition Deluxe, ça fait quand même cher pour peu de choses. Une édition simple aurait permis un accès plus facile à tous. Bon, ramené au nombre d'années d'attente, ça fait finalement pas grand chose et quand on aime, on ne compte pas...mais quand même. En tout cas, l'essentiel c'est la musique et si j'apprécie toujours d'écouter le groupe dont je suis un fan de longue date, je reste pour le moment très déçu du contenu. Le temps et les écoutes successives me feront peut-être changer d'avis...
Faut croire que le journaliste qui critiquera Tool n'est pas encore né.
![]() Arrêtez de crier au chef d'oeuvre. Ok, techniquement c'est parfait, mais en terme d'inspi on est très loin des précédents. Il y a énormément de passages et riffs qui rappellent d'anciens morceaux: - Pneuma => Schism Mais trop peu de nouveautés au point qu'on se demande ce qu'apporte de plus cet album à la discographie du groupe. Adam Jones qui a été perfectionniste au point d'étendre la durée de la création de l'album, nous sert finalement la même recette et des riffs trop souvent banals en fin de compte sur l'ensemble de l'album. On retrouve également ses mêmes gammes montantes à la Vicarious ou The Pot dans 7empest. À aucun moment on se dit "putain c'est ouf, j'avais jamais entendu ça!". On a l'impression que le groupe jam sur la même idée de base pendant 1h30 au point même que Fear Inoculum, Descending et Invincible se terminent comme Eulogy ou The Grudge, c'est à dire quasiment de la même façon. C'est moins construit alors que la plupart des musiques durent au moins 10min (et ce n'est pas toujours utile comme le trop long début de Culling Voices). Les interludes sont sans intérêts. Mais bon, ça reste du Tool et ça défonce quand même. C'est l'album de 2019 et il tourne en boucle depuis sa sortie.
13 ans d'attente... "Fear Inoculum est-il le meilleur album de Tool ? Question vaine. Vaut-il ses prédécesseurs ? Question vaine. Fear Inoculum est-il l’album de Tool que l’on souhaitait après treize ans ? Peut-être bien. Pourquoi ? Parce qu’il obéit au même processus de découverte que les autres : une sensation de déjà-vu, quelques moments de grâce et une impression mitigée. On sait où cela va nous mener : des années d’écoute prolongée, un album intemporel... et de quoi patienter à nouveau des années, peu importe le nombre." la voila la piste: il est inutile de comparer un album de Tool avec ses prédécesseurs,on retrouvera forcément beaucoup de points communs mais aussi beaucoup de différences.Chacun à son identité et correspond à une période donnée dans la vie des membres du groupe. Le plus remarquable sur cet album c'est la capacité du groupe a effacer la notion de temps:les compos sont longues mais pas ennuyeuses( pour ma part,en tout cas). Le voyage est total si on sait se laisser emmener par la musique,la voix de Maynard est totalement maitrisée,la basse plus grasse que jamais,la batterie et les percussions monstrueuses,les riffs de grattes envoutants ...
Très difficile de juger cet album. Il est très long et c'est devenu assez difficile pour moi de pouvoir écouter un album tel que celui ci en entier plusieurs fois. Je suis assez mitigé car il manque un truc pour moi (sans doute le chant que je trouve assez en retrait. c'est bien chanté, c'est beau ... mais c'est assez rare) ou peut être l'impression que Tool avait déjà tout dit avant. Je ne sais pas trop, mais pour l'instant, et après plusieurs écoutes, je ne ressens pas le même degré d'émotion qu'avec d'autres morceaux. Mais en même temps il s'agit de Tool donc ça reste un cd qui va beaucoup tourner dans la platine et qui dévoilera sans aucun doute sa richesse au fur et à mesure. Ce qui est sur c'est que l'objet est splendide et que le son est parfait. Et puis quel batteur !
![]() Tout ce que je pense de cet album a été parfaitement résumé par Madmuz. Un album d'une incroyable richesse, qui va prendre du temps a être disséqué pour livrer toute sa substance. Je pense que quelques uns vont être perdus en cours de route car on sent que Tool n'a plus envie de faire de concessions, en témoigne la longueur des morceaux. Un indispensable.
Album de l'année sans hésiter, il faudra attendre quelques (dizaines) d'écoutes en plus avant de pousser plus loin l'éloge ou de la revoir à la baisse.
En un sens, je suis heureux d’avoir connu TOOL tardivement : l’attente aura été moins longue pour moi que pour les autres ! Cependant, je défie quiconque de qualifier cet album de décevant. TOOL nous livre ici son album le plus compliqué et pousse encore plus loin la polyrythmie dont leur musique était déjà empreinte ; impossible de saisir les signatures rythmiques du premier coup ; on va de surprises en surprises, de torgnoles en torgnoles. Au final, cet album regroupe tout ce que j'(on)aime de TOOL : des rythmiques torturées et complexe portées par des percussions tribales, lesquelles soutiennent des mélodies tantôt planantes tantôt agressives, mâtinées de quelques sonorités orientales et s'étirant sur des compositions longues à n'en plus finir... Pour autant, il ne s'agit "que" d'un énième album... PS : je n'aborde pas le sujet des paroles car celles-ci sont encore une énigme, plus encore que les mélodies et les rythmes. Mais il est sûr que Mayanard nous gratifie là de textes au sens profond, avec l'ésotérisme qu'on lui connait. Les thématiques qui semblent abordées, elles, sont dans la veine de TOOL.
![]() La surprise d'un chant plus doux et la subtilité d'un son encore plus riche en détails sonores (à écouter avec un casque studio), c'est une nébuleuse rythmique avec toute une dimension mélodique. -1: absence de voix saturée (Lateralus - The Grudge 06:59),
![]() Ne crachez pas trop vite. Tool ne se prend pas, il se donne quand il le veut bien. C'est trop tôt. L'avaler trop vite ne sert à rien. C'est un vin précieux, un millésime. Laissez le en bouche puis donnez vous le temps de votre opinion.
Bon je l'écoute en boucle depuis 3 jours (un peu avant sa sortie : dispo vraiment partout.) Et je suis passé à autre chose... 80 balles faut pas exagérer pour regarder des clips sur un écran ridicule avec une puissance de 2 Watts... sérieux. Pour un audiophile ça fait mal. Je vais attendre la sortie du CD en version standard d'ici quelques mois (ou années ?) pour le réécouter. Je suis déçu. Aucune surprise (mention bien pour Pneuma & 7empest) Bien que la prod est impeccable, il est monotone et ressemble trop à 10000 Days. On s'ennuie. Moi qui adorait leur début... Undertow Salival et Aenima (Eulogy quelle bombe en passant...)
Pas de recul... Comment tu veux noter un pavé de 86 min Sans aucun recul.
Il faudra des mois pour digérer ce disque.
Meilleur que le précédent.
Attendre 13 ans pour un album long, ennuyeux, prévisible, monotone, ça me brise mon petit cœur de rocker. 😓💔
Monstrueux,fantasmagorique,épique,les qualificatifs manques pour qualifier ce chef d'oeuvre musical. Musique organique, viscérale, les morceaux tentaculaires s'enchevêtrent emmenant l'auditeur au plus profond du terrier du lapin blanc!
Fear Inoculum. L'album tant attendu, l'album de l'année. Et probablement le dernier album de Tool. Et... Quel album !!! Nous plongeant dans un univers sombre et déroutant, les 4 musiciens nous offrent ici une galette qui va au-delà même des mes espérances (qui étaient pourtant très hautes). Tous les morceaux sont des masterpieces et toutes les préludes, sagement placées et agencées. ◄1► |
Tool
Style : Metal planant Tags : Metal - Progressif Origine : USA Site Officiel : toolband.com Amateurs : 1069 amateurs Facebook : |