Un album qui demande un énorme temps d'adaptation à cause de son extrême déconstruction, ses structures et ses riffs chaotiques au possible. Mais une fois l'écoute maîtrisée, on se retrouve avec un album d'une grande qualité.
The Dillinger Escape Plan
Mathcore

Miss Machine
Chronique
Attention Dillinger Escape Plan sort un nouvel album, vos voisins, votre famille et vos animaux domestiques risquent de ne pas apprécier. En effet Dillinger pour 99.9% de la population mondiale est tout simplement du bruit, mais une fois que nos oreilles ce sont habituées au son Dillinger, au blast sonore et qu’elles commencent à accrocher difficile de rester insensible à ce brûlot metalcore, mathcore, free-jazz-metal-core (choisissez la définition qui vous plaira).
Il est vrai que depuis Irony I A Dead Scene on attendait beaucoup de Dillinger, car Greg Pucioto (chant) s’en sortait très bien sur l’EP avec Mike Patton mais on attendait de voir ce qu’il allait donner seul. Et le moins qu’on puisse dire c’est qu’il ont du longuement écouter les conseils de Mike Patton tant on sent son influence ; le chant est d’ailleurs très souvent du Patton tout craché ; mais vu les prouesse vocale de l’ex Faith No More ce n’est pas pour déplaire.
Miss Machine, malgré l’apocalypse sonore proposée, est certainement le disque de Dillinger le plus abordable, c’est ce qu’avais laissé présagé Baby’s Firt Coffin sur la BO de Underworld, et finalement un Dillinger plus posé n’est pas pour déplaire. Certains morceaux comme Phone Home rappelleront même un Nine Inch Nails (incroyable !), et d’autres commes Setting Fire To Sleepping Giants nous feront la surprise d’un chant clair, rock voir pop (Notamment sur le superbe Unretofied) ; et pour agrémenter le tout on aura également le droit à un passage quasi black metal sur Sunshine Is Werewolf. Pas d’inquiétude tout de même l’essentiel des compos reste une baffe sonore (The perfect design ou Panasonic Youth vous feront haïr de vos voisins), un assemblement de plans ahurissant, a se demander comment le groupe arrive à composer de tels morceaux ; mais les passages un peu plus calme viennent souligner la violence des compos.
Miss Machine propose 11 morceaux très diversifiés, des titres parfois très surprenant pour du Dillinger mais qui ne choque pas et qui montre une facette nouvelle du groupe (sur Calculating Infinity les instruments savaient se faire plus calme mais la voie restait elle sur le même ton) ; les compos restent toujours aussi incroyables ; en gros un album qui ravira les fans du groupe et qui est certainement le meilleur album pour découvrir la fureur Dillinger.
Les critiques des lecteurs
Un album qui demande un énorme temps d'adaptation à cause de son extrême déconstruction, ses structures et ses riffs chaotiques au possible. Mais une fois l'écoute maîtrisée, on se retrouve avec un album d'une grande qualité.
Jamais entendu un groupe avec une telle énergie, une telle rage dans le chant, pas un seul titre à jeter, avec presque à chaque fois une montée en puissance phénoménale. Un de mes albums préférés tout style confondu.
Je me demande encore comment j'ai pu accrocher à cette folie dès la 1ere écoute en passant dans les rayons de la FNAC...
Que dire de Phone Home...
OUAH!!! Je n'ai écouté que deux titres de cet album (Baby's first coffin et Panasonic Youth), et il m'a fallu presque un an pour bien apprécier leur style, mais quelle technique, quelle brutalité hallucinante, et le charisme de Puciato exlose tout! Miss machine est cultissime, sans doute un des albums marquant de la décennie.
Je place cet album en second sur ma liste , après Irony is a dead scene et Calculating Infinity ;
Certes j'ai du mal avec leurs compos "soft" comme Setting Fire.. ou Phone Home (Même si j'adore Unretrofied) , mais les titres comme Panasonic Youth ou Perfect Design sont terribles , et je trouve qu'on a jamais atteint le niveau de ces titres, même sur Calculating Infinity. Sans parler du final de l'album sur Perfect Design , qui est l'un des meilleurs final que j'aie jamais entendu.
un album intéressant dans la démarche de s'ouvrir sur d'autres horizons, mais je trouve qu'ils se perdent un peu. Greg n'a pas la carure de Dimitri et les sauts partout n'y changeront rien. Certains morceaux lorgnent vers une démarche presque pop (on pense à NIN sur un morceau). C'est pas facile de passer derriere un ptit 4 titres avec Patton au micro
franchement, baffe en pleine face, je ne sais aps quoi dire d'autre. Y a une énergie énorme des morceaux, et de spassages melodiques sublimes comme dans setting fire, unretrofied, etc
Mention spéciale a sunshine is werewolf , dont le passage black a le don de vous faire décoller je sais aps torp ou ^^
Cet album est une réussite un gros travail qui a le mérite d'être recompensé. Mais qui joue un peu un rôle d'intrus dans la disco de DEP. Les albums précédents étaient vétus d'un rare violence, parfaitement pourvu de mathcore... Bref, pour ma part cet album marque un changement dans la musique, mais le niveau reste toujours aussi élevé.
Cet album est bizzare :
soit vous n'y comprenez rien (si c'est votre premiere fois avec dep)
soit vous etes bluffer par cette debauche d'energie et l'impression d'etre sur scene en plein milieux de la tornade (ou en studio, mais sa s'ecoute tellement fort qu'on fait plus la difference !)
soit au final vous vous sentez blaser, les compos ne sont pas ausssi incroyables, loin de là, que qu' elles ne en ont l'air au 1ers abords (aussi complexes que soient certains plans) car l' album esta priori une invitation à la catharsis et non pas à l'ecoute pepere sur son canape (voyer ce que je veux dire ...) et dans ce cas augmentez le volume ou coupez le son :
dep c'est avant tout un groupe live !
(et au risque de me faire lyncher par tout le monde, j'adore les 2 singles et trouve qu'ils ont parfaitement leurs places sur l'album, au moins on est pas en mode on/off comme sur CI...)
Moins in your face que les précédents, mais est-ce réellement un mal ? Dur de faire plus costaud que Calculating Infinity et même si cela est possible, à quoi bon. Irony is a dead scene et surtout Mike Patton à montré à DEP qu'ils pouvaient faire évoluer leur musique tout en y gardant leur bases. Pour moi c'est un très bon album surprenant, et comme j'aime être surpris c'est tout benèf.
Dillinger est un de ces groupes qui fait avancé la musique et la sienne en a subit de grande évolution. Ici, c'est brutal trés mais aussi trés calme par moment et pourtant les morceaux s'écoute trés bien et forme un tout uniforme et sa, DEP est un des rares groupes actuel a y parvenir.
Les musiciens font preuve d'une dextérité a toute épreuve et les influences du groupe sont plus que variés du jazz au death en gros...
A noté que ce CD est comme tous ceux de DEP trés dure a écouter du moin au premier abords mais une fois qu'on accroche c'est pour toujours !
Un album exeptionnel autan par ces passage calme et melodique (Unretrofied) que par ces passage d'une violence extreme ( Panasonic Youth)
Cette album n'est pas meilleur ou moin bien que
calculating infinity il est juste different apres ou on aime pas la difference. (moi les deux me conviennent)
PS: petite note a: "TaAkeslottet" le chanteur a changer ce n'est plus dimitri mais Greg Pucioto
pfff que dire de cet album merveilleux. je viens de les découvrir avec Calculating Infiny et quelle découverte!!!!!
une voix terrible et une musique décadente!!
ça bouge dans tout les sens, les tempos change toute les 30 secondes.
Miss Machine excellent, je le trouve très intense et c'est vrai qu'il est plus légé mais très accrocheur. toujours aussi violent mais l'incoporation de mélodie ne l'enlève nullement.
et quelle facilité a le chanteur de passer de la voix clair chanté à la voix violente!!!!!
je viens d'apprendre en lisant vos commentaires que le chanteur du groupe à changé mais je n'ai pas fait la différence (j'écoute depuis 3 jours seulement ^^). malgré ce changement, le groupe est toujours aussi bon.
rien à dire avec mastodon que j'ai découvert l'année dernière et celui ci cette année. ils sont mes découvertes musicales les plus intéressantes.
Petite déception!
J'ai moins aimé cet album que les précédents parce qu'il est un peu "light"!
Moins hystérique, moins dingue tout simplement!!!
phone home,panasonic youth,enfin bref STAY VIOLENT
Au début c'est, comment dire... Déconcertant, du bruit et encore du bruit. Mais avec un peu d'habitude, c'est carrement jouissif!
Pas 2 morceaux pareil, et une voix rappellant un certain Mike P.(Bien vu Mr saint_fief)
Un album formidable. Plus posé, plus varié que les précédents et pourtant meilleur.
Des dieux !
un album excellentissime!!!
Patton est passé par là et ça se ressent, le nouveau chanteur s'en inspirant fortement tout au long de l'album; chanteur qui soit dit en passant est meilleur que l'ancien puisque modulant sa voix admirablement bien. Dommage que le groupe ait troqué la violence de son calculating infinity contre des passage un peu trop emo à mon gout.
Une assez bonne évolution mais le groupe devient vraiment plus accessible et beaucoup moins violent que cette "cacophonie ultra-orchestrée et pourtant destructurée" qu'est calculating infinity.
Très bon excélente maitrise des instru et de la voix
avec celui la, jai du mal. DEP atrophie son style, et propose presque une caricature de leurs anciens albums. L'achimie a du mal a operer, certains passages sont plus bancals, et je n'aprecie gueres les envolées melodiques de Dimitri, sorte de mauvais clone pattonien sans reele inspirations. Peu ete passais-je totalement a coté de cet album, en attendant, je me remets Calculating Infinity...
J'adore ce cd qui est plutôt disponible pour les personnes qui ont du mal avec de dillinger escape plan ,des mélodies maintenant plutôt surprenant pour ce groupe Hardcore complètement barré j'aime ce cd et je le dis fort (phone home ,setting...,we are the storm)
génial... Vraiment super, une violence qui détruira toutes les cervicales qui s'exposeront à cette bombe... Mention spéciale à Setting fire to sleeping giants, qui, même si elle est moins violente que certaines, est magnifique
avec l'arrivée de greg puciato au chant le groupe a gagné en mélodie et en structure mais ce n'est pas + mal.la pilule sera - dure a avaler pr les non-initiés.ensuite les ingrédients restent sensiblement les mm...1 batteur pieuvresque 2 guitaristes épileptikes et 1 bassiste...je sais pas trop la basse j'y connais rien du tout!!bref 40minutes qui peuvent rendre dingue malgrès les accalmies (géniales)que sont unretrofied et phone home.
J'ai rien à dire pour ce super groupe à part que ça fait un peu mal à la tête lol :D
Certainement le style le plus étrange de metal que j'ai entendu, The Dillinger Escape Plan réussi un véritable défi avec cet album. Le pur mélange. Le mot " aggressif " n'est pas suffisant pour décrire l'ambiance, c'est carrément une furie musicale, à écoute au moins une fois!
J'avoue avoir été déçu par cet album. Non pas qu'il soit mauvais (loin de là !), mais j'attendais plus. Malgré toutes les qualités qu'on peut lui trouver, je ne retrouve plus la spontanéité d'un Calculating Infinity et certains passages ont tendance à me rebuter.
l'époque Calculating de pur hXc tough guy est révolu, sieur patton est passé chez les D.E.P pr ammener un peu de densité et de nuance a leur compo est ce n'est pas pr ns déplaire.. et si les tru3 fans crieront au scandale, les béotiens découvriront ici un groupe d'une puissance phénoménale ^^
ce groupe est une énigme pour moi. Capables de mélanger le free jazz/metal le plus élitiste et tendu et un sens de la pop-song limpide et imparable dans un seul et même morceau. Le grand écart le plus impressionant et réussi que j'ai jamais vu... depuis Faith No More bien entendu :)
Miss Machine et déjà un album mythique.
Cette album est trop bon
C\'est leur meilleur album
Dans les festoches y’a toujours une veste à patch pour te servir le même discours.
De toute façon depuis le milieu des années 80 y’avait plus rien de nouveau...
OK noumaïos t’es encore en léthargie ou alors tu viens juste de fuire ta grotte de bugarach que t'occupe depuis 30 ans.
Allez je me casse, me suis fait rembourser mon invitation, j'ai ouvert une bière, roulé et la musique à 11.