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Mardi 17 octobre 2023
Sonata Arctica (Heavy Metal - Finlande) prépare un nouvel album pour le printemps 2024. Extrait ici avec "First In Line".
Samedi 29 octobre 2022
SPM Prod annule les concerts prévus en novembre pour Sonata Arctica et Anvil. Sont évoqués la faible affluences aux concerts depuis la reprise post covid depuis mars 2022. Leur communiqué complet est à lire dans la suite. A noter : la date de Anvil a Nantes est maintenue (Le LAB, le 03/11, gratuit).
Vendredi 30 septembre 2022
Attention grosse semaine ! Plus de 100 sorties (oui oui), certes on brasse large mais tout de même ! Qu'écoutez vous en premier ? - Slipknot (Metal, USA)
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- Dropkick Murphys (Street Punk, USA, Album acoustique)
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- Tankard (Thrash Metal, Allemagne)
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- Autopsy (Death, USA)
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- Acausal Intrusion (Tech Death, USA)
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- Acephalix (Death Metal, USA)
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- Acid Witch (Doom / Death / Psyche, USA)
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- Amaurot (Gothic Metal / Doom, Suède)
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- Amorphia (Thrash, Inde)
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- Arkheth (Black Metal / Experimental, Australie)
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- Behind your Fear (Dark Rock, Allemagne)
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- Between Bodies (Indie Punk, Allemagne)
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- Bjork (Electro / Experimental / Pop Rock, Islande)
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- Brotthogg (Black / Death, Norvège)
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- Cannibal Penguin (Punk / Chanson Française, France)
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- Caïnan Dawn (Black Metal, France)
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- City Of Caterpillar (Post Hardcore, USA)
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- Coldworld (Black Metal, Allemagne)
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- Darkest Era (Heavy / Celtic Folk Metal, UK)
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- Deadly Vipers (Stoner, Suède)
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- Deville (Stoner, Suède)
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- Devouror (Black / Death, Singapour)
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- Dirty Vicar (Heavy Metal, Canada)
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- Distrüster (Speed / Death, Pologne)
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- Divers Artistes (Tribute, International, Tribute à His Hero Is Gone)
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- Drowning Pool (Neo Metal, USA)
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- Décembre Noir (Death / Doom, Allemagne)
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- Eclesios (Black / Death, Allemagne)
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- Ellende (Post-Black Metal, Autriche)
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- Escuela Grind (Grindcore, USA)
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- Eternal Helcaraxe (Black Metal, Irlande)
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- Everest Queen (Sludge, UK)
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- Fern (Electro Rock, Allemagne, Projet du batteur de The Ocean)
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- Firtan (Post Black, Allemagne)
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- Givre (Black Metal, Canada)
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- Godeater (Tech Death / Deathcore, UK)
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- Gonemage (Experimental / Post-Black Metal / Chiptune, USA)
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- Graceless (Death Metal, Pays Bas)
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- Gutsaw (Death Metal, USA)
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- Haruspex Ritual (Black Metal, Finlande)
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- Heir Corpse One (Death Metal, Suède)
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- Hexed (Prog Metal, Suède)
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- Hrafngrímr (Neo Folk, France, avec un ex membre de Skàld)
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- Humans Etcetera (Grunge / Math Rock, USA)
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- Hunting Giants (Prog Metal, Canada)
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- Huracán (Sludge / Stoner, Belgique)
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- Hussar (Doom / Death, Canada)
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- In Element (Deathcore / Trap Metal, Argentine)
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- Infection Code (Indus / Thrash, Italie)
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- Infection Code (Indus Metal / Thrash, Italie)
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- Krankheit (Gothic Metal / Indus Metal, Allemagne)
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- Labyrinth of Stars (Death Metal, Allemagne, avec des membres de Lantlôs et Valborg)
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- Lifetaker (Grindcore / Hardcore / Sludge, Allemagne)
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- Lilli (Power Metal, Finlande)
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- Lord of Confusion (Stoner Doom / Occult Rock, Portugal)
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- Lost Society (Thrash / Alt Metal, Finlande)
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- Magma (Zeuhl, France)
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- Mamaleek (Experimental, USA)
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- Manic Abraxas (Sludge, USA)
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- Maudits (Post Metal / Doom, France, split avec Saar)
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- Moonspell (Gothic Metal, Portugal)
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- Mosh-Pit Justice (Thrash / Power Metal, Bulgarie)
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- Ne'er-do-well (Pop Punk, USA)
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- OFF! (Punk Rock, USA, Avec des ex ou actuel Black Flag, Rocket From The Crypt, Redd Kross, ...)
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- Orange Island (Post Hardcore, USA)
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- Pestlegion (Black Metal, Allemagne)
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- Pixies (Pop Rock, UK)
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- Power From Hell (Black / Speed, Brésil)
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- Precieux Sang (Black Metal, Canada)
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- Proceed On Your Way To Oblivion (Tech Death, USA)
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- Rage (Heavy / Power, Allemagne)
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- Red Beans&Pepper Sauce (Blues / Hard Rock, France)
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- Regulate (Hardcore, USA)
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- Rock Bottom (Hardcore, USA)
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- Sacrilegia (Thrash Metal, Irlande)
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- Sammy Hagar&The Circle Crazy Times (Hard Rock, USA)
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- Sceptic (Tech Death, Pologne)
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- Skelator (Heavy Metal, USA)
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- Sonata Arctica (Power Metal, Finlande, Album acoustique)
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- Soul Dissolution (Post-Black, Belgique)
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- Spectrum Mortis (Death / Doom, Espagne)
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- Stake (Post Metal / Math Rock, Belgique)
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- Stormland (Death Metal, Canada)
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- Strangle Wire (Death Metal, UK)
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- Strigoi (Black / Death, UK, avec Gregor Mackintosh de Paradise Lost et Guido Zima de The Secret))
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- Syn Ze Șase Tri (Black Metal, Roumanie)
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- Tension Span (Punk / Krautrock, USA)
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- The Dead Daisies (Hard Rock, USA)
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- The Loom of Time (Black Metal, Italie)
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- The Lord (Drone, USA, Une collaboration avec Petra Haden (Violoniste et Chanteuse))
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- The Low-End Bastard (Death Metal, Brésil)
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- The Sonic Flower (Rock 70's / Hard Rock, USA)
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- Thulsa Doom (Death Metal, Italie)
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- Trembling Void (Black Metal, Canada)
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- Tyrant (Thrash, USA)
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- Umbilicus (Hard Rock, USA, avec des membres de Cannibal Corpse, Inhuman Condition, The Absence, Fore, Anarchus, Old James)
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- Upchuck (Punk Rock, USA)
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- Voak (Black Metal, Grèce)
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- VoidOath (Doom / Death, Costa Rica)
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- Within Destruction (Deathcore / Neo, Slovénie)
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- Wizzerd (Stoner, USA)
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- Wolf Counsel (Doom Metal, Suisse)
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- Worth the Wait (Pop Punk, France / Toulouse)
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- Yeah Yeah Yeahs (Alt Rock / Indie Rock, USA)
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Jeudi 11 août 2022
Dossier : Presque deux mois après s'être remis d'une édition du Hellfest 2022 gargantuesque, on vous propose de s'intéresser à un autre des festivals de Metal les plus importants de France : le Motocultor qui a lieu du 18 au 21 août dans le Morbihan. Au programme de très belles têtes d'affiches internationales telles que Perturbator, Cult Of Luna, Powerwolf, Apocalyptica, Behemoth, Testament, Kreator, Sonata Arctica ou encore The Hives. Mais ici, nous allons parler de groupes un peu moins connus, qui méritent qu'on fasse la lumière sur eux et qui sont tous très qualitatifs. Laissez vous guidez, vous y trouverez du Metal extrême, de la Folk, du Post-Hardcore, du Punk Rock et même du Hip-Hop. C'est à lire par là.
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Mardi 08 mars 2022
Dossier : Aujourd'hui on s'attarde sur le tout jeune label Atomic Fire Records créé par des anciens Nuclear Blast Records et dans lequel on retrouve déjà des groupes comme Meshuggah, Sonata Arctica, Opeth ou encore Amorphis. On analyse un peu tout cela par ici.
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Lundi 28 février 2022
Dossier : C’est fin 2021 qu’on apprend la création d’un nouveau label répondant au nom d’Atomic Fire Records. Derrière cette appellation, quelques noms connus parviennent à nos oreilles : Meshuggah, Sonata Arctica, Amorphis… Si un si jeune label, totalement inconnu, se permet de signer des groupes plutôt prestigieux et déjà fortement installés dans le paysage Metal, c’est bien qu’il se passe quelque chose, mérite qu’on s’y attarde quelques instants et qu’on analyse un peu la démarche. C'est à lire par ici.
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Lundi 24 janvier 2022
Le clip de For The Sake Of Revenge de Sonata Arctica se visionne dans la suite. Acoustic Adventures - Volume 1 vient de sortir chez Atomic Fire Records.
Vendredi 21 janvier 2022
Les sorties du jour ! Du beau monde et quasi 40 sorties répertoriées. Vous écoutez quoi en premier ? - Comeback Kid (Hardcore, Canada)
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- Billy Talent (Post Hardcore, Canada)
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- Battle Beast (Heavy / Power, Finlande)
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- Pensées Nocturnes (Black Metal, France / Paris)
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- 40 Watt Sun (Slowcore, UK)
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- Abyssus (Death Metal, Grèce)
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- Age Of Apocalypse (Hardcore, USA)
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- Anxious (Pop Punk / Emo, USA)
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- Artamene (Heavy / Thrash, Iran)
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- Boris (Doom / Drone, Japon)
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- Bullet Ride (Heavy / Thrash, France)
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- Chaos Perversion (Black / Death, Chili)
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- Confess (Groove Metal, Norvège)
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- Crass (Punk, UK, Une compilation de remix)
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- Druid Lord (Death Doom, USA)
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- Edge Of Forever (Hard Rock FM, Italie)
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- Fast Eddy (Rock, USA)
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- Feral (Grind / Crust, France)
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- Galvornhathol (Black Metal, Allemagne)
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- Hanging Garden (Dark Metal, Finlande)
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- Hazemaze (Stoner, Suède, Réedition de leur album de 2017 en fait)
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- Hellfox (Power Metal / Death Melo, Italie)
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- Kissin Dynamite (Heavy Metal, Allemagne)
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- Lalu (Prog Metal, France)
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- Michael Schenker (Heavy, Allemagne, anciennement UFO et Scorpions. Un album pour fêter ses 50 ans de carrière)
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- Midnite Hellion (Heavy Metal, USA)
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- Minneriket (Black Metal, Norvège)
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- Noisecult (Heavy Rock, USA)
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- Planeswalker (Metal Sympho, USA)
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- Setyøursails (Metalcore, Allemagne)
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- Som (Post Rock / Post Metal, USA)
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- Sonata Arctica (Power Metal, Finlande, Album acoustique)
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- Sunczar (Stoner / Heavy Rock, Allemagne)
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- Sweat (Hardcore, USA, avec des membres de Graf Orlock, Dangers et Ghostlimb)
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- The Ferrymen (Heavy / Power, Suède)
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Mercredi 30 septembre 2020
Metalsucks a publié un long article de témoignages accusant John Finberg de harcèlement sexuel, menaces, violences, ... John Finberg est le dirigeant de First Row Talent, une agence de booking, grosso modo si vous voulez faire jouer un des groupes signé chez eux il faut passer par cette agence, et c'est une grosse agence (Nightwish, Epica, Amorphis, Suffocation, Immolation, Sonata Arctica, Overkill, The Agonist, ...). Dans ces témoignages on retrouve : - Agression sexuelle contre une promesse de première partie, - Menaces d'empêcher un groupe de rejouer aux USA (vu qu'il quittait son management), - Menaces, appels répétés en pleine nuit, demandes excentriques et propos racistes... à un producteur de concert d'origine marocaine, - Menace de blacklister un groupe (The Agonist) qui questionne le plan de tournée avec plus de 1000 km entre chaque dates (alors que le groupe tourne en van), - Insultes sur les problèmes de santé mental de Nature Ganganbaigal (de Tengger Cavalry) en réponse à un email envoyé par erreur, - Et beaucoup d'autres comportements affligeants à retrouver en anglais ici. John Finberg semble, d'après les témoignages et preuves recueillies par Metalsucks, être un Harvey Weinstein version Metal. Le pouvoir de nuisance, de faiseur ou destructeur de carrière, ... et l'impunité qu'il avait (sous couvert de "c'est son caractère", "il est comme ça", "oui c'est un con mais faut faire avec") l'ont permis de continuer à se comporter comme une merde depuis 30 ans. Sera-t-il le premier d'une longue liste ? A suivre.
Mercredi 20 novembre 2019
Dimanche 22 septembre 2019
Chronique de Of Jupiter And Moons, de Temperance : "à toutes celles et à tous ceux qui attendaient un bon album de Power Metal mélodique et qui ont gâché une heure de leur vie à écouter le dernier Sonata Arctica : promis, Temperance peut vous consoler." [...]
Vendredi 13 septembre 2019
Sonata Arctica a sorti récemment son dixième album studio nommé Talviyö via Nuclear Blast Records. C'est en stream sur Spotify.
Samedi 24 août 2019
"Cold" de Sonata Arctica bénéficie d'un clip. Pas sûr que cela corresponde aux températures actuelles, mais bon ...
Lundi 15 juillet 2019
Sonata Arctica sortira son dixième album studio le 6 septembre chez Nuclear Blast Records. Son nom : Talviyö. Le titre A Little Less Understanding s'écoute dans la suite. Des dates de tournée ont également été annoncées : 27/11 Pratteln - Z7 (Suisse) 01/12 Lyon - Le Ninkasi Kao 02/12 Paris - La machine du Moulin Rouge 06/12 Limoge - Cc John Lennon 07/12 Izegem - Cultuurhuis De Leest (Belgique) 08/12 Pagney - Chez Paulette
Samedi 22 juin 2019
Et voilà la première véritable journée de ce Hellfest qui peut commencer : et celle ci démarre en fanfare avec l’annonce par le festival de l’annulation de Manowar (présent la veille mais parti entre temps). Ca doit donc être ça le fameux “Other Band Play, Manowar Kills”, beaucoup de rumeurs circulent sur les raisons de l’annulation mais officiellement le groupe accuse les organisateurs et le festival laisse sous entendre que le groupe s’est barré sans véritable raison. La suite nous dira qui avait raison, en attendant les fans ont perdus l’occasion de voir cette tournée d’adieu; le créneau manquant est comblé par Sabaton (déjà là la veille, au Knotfest). Mieux que rien, ou double peine ? A vous de juger ! En parallèle de ce report, toutes nos photos sont en ligne par ici !
En ce premier jour de Hellfest, la Mainstage 2 ne met à l’honneur que des groupes français. Après Fallen Lillies, le groupe des gagnantes du tremplin Voice Of Hell, c’est Klone qui offre une trop courte demi-heure de Prog intense et à fleur de peau, massif et pourtant aérien. L’interprétation et le son sont incroyables de précision, rendant encore plus facile pour la musique de Klone de se charger en émotion. Un vocaliste peu loquace entre les titres et un jeu de scène très épuré (les musiciens ne se permettant que quelques coup de cervicales, servis avec parcimonie) finissent de créer un aura de magie autour de la performance du quintet, qu’on aurait volontiers laissé se prolonger.
La tradition du Hellfest qui programme des groupes français d’excellente qualité pour inaugurer chaque matin les “petites” scènes du festival est encore respectée cette année. Parmi ces groupes se produisent les parisiens de Sublime Cadaveric Decomposition en cette matinée timide de première journée. Véritables patrons de la scène Goregrind à tendance Brutal Death française, le trio réveille à sa manière les premiers festivaliers à se balader du côté de la Altar et par la même occasion nous communique sa bonne humeur, au beau fixe de plus de 20 ans d'existence du groupe.
Gloryhammer, c’est du Power-Heavy-Speed-Symphonique avec le chanteur de Alestorm, ici aux claviers. C’est moins ouvertement crétin que son autre groupe, mais on se dirige néanmoins vers la Mainstage 1 pour une dose de bonne humeur, histoire de bien commencer la journée. Et au final, on se laisse prendre au jeu ! On est venus en touristes, sans trop connaître autre chose que leur récent clip, mais en fait quand on a pas peur du kitsch, Gloryhammer c’est vraiment très bon ! Bon par contre, tous les clichés du genre sont là (et on conçoit que ça en freine certains), mais les Écossais semblent en être conscients et en jouer. Les titres s’enchaînent, et tous sonnent comme des hymnes en puissance. Encore un concert trop court.
Les conditions pour voir Cult Leader ne sont pas optimales, le groupe joue à 2 mètres de haut sous la Altar et ne bénéficie clairement pas d’un son à sa mesure. Les basses sont très fortes, le tout surnage dans le mix, et le batteur tape comme un sourd comme à son habitude. Donc vraiment, pour reconnaître les morceaux, faut être au taquet. Début sur I Am Healed / Curse Of Satisfaction : malgré tout on est dedans, le chanteur dégueule son mal-être, la basse claque autant que le batteur est à fond. Si on aime ce type de Hardcore / Metal chaotique et viscéral, difficile d’y rester insensible. Great I Am ou Suffer Louder du premier album sont également joués. Pas de temps morts, peu de pause, le maître mot reste la violence et les titres calmes du dernier albums ne seront pas joué aujourd'hui. Alors certes, le fait de voir Cult Leader sur ce type de scène en début de journée n’est pas le top, surtout après un concert à même le sol et avec un bon son à Rouen, il y a deux jours, mais il se dégage toujours ce truc méchant, violent et cathartique quand on les voit, et c’est bien là le principal !
C’est triste à dire, mais Gloryhammer a fait un meilleur concert de Sonata Arctica, que Sonata Arctica eux-mêmes. Les choix de setlists sont peu judicieux, seules Fool Moon et Black Sheep se démarquent comme vrais hits (alors que les Finlandais en ont à la pelle, où sont Wolf And Raven, Don’t Say A Word, Letters To Dana…?), les autres titres joués seront sans réel impact sur la foule qui attend que la sauce prenne, en vain. Le son n’aide pas, le synthé est trop discret, la grosse caisse est trop présente, le tout fait un peu “carton”. Tony Kakko semble aussi un peu fatigué, avec sa dégaine de vieux qui veut faire jeune et sa voix un peu poussive.
Originaire de Portland aux États Unis, malgré un son très emprunt à la scène polonaise, Uada n’aura pas laissé le public indifférent en ce premier jour de festival, réussissant à nous transporter dans leur ambiance glaciale et sombre malgré un contexte festival qui ne se prête pas souvent à cette atmosphère ; surtout quand on joue à l’heure du déjeuner.
Malgré un aspect visuel qui peut rebuter les festivaliers qui passent par curiosité avec ce lightshow minimaliste (inexistant) poussé à l’extrême, le public s’était amassé en nombre pour profiter de ce Black à tendance mélodique, qui plus est avec un son excellent.
S’il est exécuté ainsi, le « Black à capuche » a encore de belles années devant lui, et c’est tant mieux.
Si vous suivez un peu l’actualité du site et les chroniques que l’on y publie, vous n’avez pu passer à côté du raz-de-marée qu’a été la sortie de You Won’t Get What You Want, le nouvel album de Daughters. Unanimement encensé par la critique et les publics de tous horizons, les américains enchaînent les tournées suite à une demande toujours plus importante dont celle de l’équipe du Hellfest qui a été jusqu’à les faire venir sur notre continent pour une date unique, avant qu’ils ne refoulent le sol européen pour une vraie tournée des festival au mois d’août. Débutant sur The Reason They Hate Me, le groupe ne proposera aucun extrait de leurs anciens albums pour se concentrer sur You Won’t Get What You Want en enchaînant entre autres sur les excellents Long Road, No Turns, Satan In The Wait ou encore Less Sex. Malgré quelques problèmes techniques notamment au niveau de l’amplification du guitariste Nick Sadler qui était à deux doigts de quitter la scène de rage, le groupe livrera un set aussi excellent que frustrant de part sa durée et terminera de détruire ce qu’il nous reste de neurones avec le combo Guest House / Ocean Song sur lequel le chanteur Alexis Marshall profitera de faire quelques bains de foule assez chaotiques.
My Sleeping Karma et le Hellfest c’est une grande histoire d’amour qui dure depuis presque 10 ans maintenant. J’ai encore le souvenir de l’édition 2013 où les allemands débutaient leur concert sous une Valley au public clairsemé jusqu’à ce que la météo se gâte et que des trombes d’eau s'abattent sur Clisson et poussent le public à s’abriter sous une tente rapidement pleine à craquer. Sur scène les allemands n’en revenaient pas et marquaient de plusieurs temps d’arrêt leur set pour s’extasier de la réception dithyrambique de ce public surprise et nous remercier chaleureusement à répétition. Nous sommes en 2019 et le constat est à peu de chose prêt le même si ce n’est que la météo est excellente et que si la Valley est déjà bien remplie avant le début de leur set, ce n’est pas un hasard cette fois.
Bien que l’actualité du groupe soit inchangée depuis la sortie de Moksha en 2015, très représenté dans la setlist aujourd’hui, on ne peut cacher son plaisir devant une si bonne performance. Espérons seulement que pour leur retour en terre clissonnaise, les allemands auront dans leurs bagages des nouveaux titres à nous interpréter.
Si la terre a tremblé près de vous et que vous étiez dans les dix kilomètres à la ronde autour de Clisson Rock City, vous avez sans doute subi les chocs et fracas causés par Power Trip et la bande de sauvages qui les ont acclamés tout au long du set. Leur Thrash Crossover en main, les Texans ont à peine eu à lever le petit doigt pour retourner la fosse, déjà chaude bouillante et acquise à leur cause dès les premiers morceaux. Marée humaine, gestes brusques et en rythme avec des coups de médiators aussi lourds qu’agiles, l’Altar a vu son sol solidement labouré. La faute à des titres beaucoup trop efficaces, déjà connus depuis un moment (Nightmare Logic en 2017) et qui ont fait leur chemin dans les caboches et les cœurs. Power Trip n’a pas démérité, et est reparti en fier vainqueur, lâchant au passage un nouveau titre qui ne présage que du bon pour l’avenir.
Enfin ! Il aura fallu quatorze longues années entre la sortie de Touched By The Crimson King et la présence au Hellfest du groupe Demons And Wizards récemment reformé. S’il était évident que les deux protagonistes seraient bien là, Jon Schaffer et Hansi Kürsch sont accompagnés pour le live par un backing-band de luxe, composé de membres de leurs groupes respectifs, Iced Earth et Blind Guardian. Le sextet propose d’ailleurs une reprise de chacune de ces formations (Burning Times de Iced Earth, et Welcome To Dying de Blind Guardian).
Un problème de guitare sur l’excellent Crimson King oblige Jon Schaffer à assurer seul les parties de six-cordes. Mais en dehors de cet incident, le son est excellent sur les autres titres. On aura droit à un best-of des deux albums (malheureusement aucun inédit), et un final en beauté sur Blood On My Hands et le poignant Fiddler On The Green. Vivement la suite.
Dream Theater : les papas du Prog n’ont pas de backdrop, rien à projeter sur les écrans derrière eux. En plus, James Labrie n’est vraiment pas en forme, sa voix est poussive, fébrile, et le frontman semble s’essouffler très rapidement. Et pourtant l'interprétation virtuose, fidèle à la réputation des gaziers, ainsi que la sonorisation optimale et les bons choix de setlists font que l’heure attribuée à Dream Theater est incroyable. L’excellent dernier album est mis à l’honneur sur la moitié des pistes jouées, les autres allant taper dans les vieilleries à la fois Heavy, efficaces, et relativement courtes (As I Am, Peruvian Skies, The Dance Of Eternity, et Lie). Lors du final Pale Blue Dot, le vocaliste semble mieux réussir à placer sa voix, pour qu’on parte sans regret, avec de vraies étoiles dans les yeux.
La palme du groupe cra-cra du jour revient sans hésiter à Impaled Nazarene, passablement pas très intelligent (bon, on était prévenus) et balançant des titres sonnant comme une lune de miel de bulldozers. Alors c’est rigolo quelques minutes mais dans l’absolu, pas facile donc de rentrer dans le trip, notamment à cause d’une prestation scénique proche du néant, avec un chanteur faisant les cent pas et arborant le charisme d’un gibbon malade. A tel point qu’il en perd son public, râle gentiment en ne désignant qu’un petit groupe de « vrais fans », ce qui n’arrange pas forcément la situation. Le concert décolle enfin un peu lorsque le son s’améliore et que la set-list prend un tournant plus Thrashy ou Rock n’ Roll (toute proportion gardée quand même), sans convaincre franchement.
On n’attendait pas grand chose du concert de Kvelertak. On se trompait. Le nouveau chanteur a semble-t-il redonné une âme au groupe et surtout une flamme ! Quelle patate ! Les vieux morceaux font plaisir à attendre. La foule est ultra réactive, ça pogote, ça lance même des walls of death. Tout le groupe est à fond et clairement le nouveau chanteur instaure une dynamique incroyable dans ce concert. Kvelertak c’est le Rock’n Roll, la bonne humeur, le Motorhead norvégien. Même les passages mid-tempo sont plutôt cool et ne font pas redescendre la température. On en attendait pas tant et on a passé un super moment !
Ultra Vomit, on aime ou on n’aime pas, mais ça ne laisse personne indifférent. Et visiblement ce soir le public du Hellfest a choisi son camp. Incroyable de voir autant de monde au pied de la main stage qui accueille en ce début de soirée les désormais (trop ?) célèbre nantais. Impossible de marcher dans ce bourbier, il vous faudra des chaussures de golf… Les blagues (pas toujours inspirées) fusent, fétus et ses comparses sont en forme, visiblement contents d’être là, et enchaînent leurs tubes pendant une petite heure. De Boulangerie Pâtisserie à Evier Metal en passant par Maïté Ravendark, on ne voit pas le temps passer tellement la bonne humeur semble s’être répandue à toute l’assemblée. Quelques guests (Tagada Jones, Black Bomb A, un sosie de Calogéro…), quelques surprises (une chorale de gospel sur Jesus), et on repart de la Mainstage, si ce n’est grandi ou plus intelligent, au moins les zygomatiques détendus...
Du côté de la Warzone Hank Von Hell (ex chanteur de Turbonegro) vient défendre son album solo devant une scène bien vide. Et à l’image de son album plutôt fade le concert peine à vraiment être fun. Dommage, on attendait Hank sur le live.
Possessed a remis les pendules à l'heure sur ce qu'est le Death Metal Old School. Avec un jeu de scène très statique et solennel lors des morceaux (n'empêchant pas de grands sourires du chanteur lors des interludes), les Américains ont déroulé un set bardé de riffs tous plus méchants les uns que les autres, combinant à merveille la vélocité du riffing Thrash aux gammes infernales du Death, sans omettre le quota de lourdeur par morceau. Possessed délivre un Death Metal racé, très classe et enlevé dans son exécution sans forcer quoi que ce soit. Le groupe n'est ni particulièrement mélodique, lourd, lent, rapide ou technique, des attributs sur lesquels misent beaucoup d’autres formations en choisissant particulièrement une voie précise. Les Américains de leur côté conjuguent à merveille toutes les facettes du genre avec des musiciens parés à toute épreuve et aidés par un son très fin et dosé sous l'Altar. Une leçon de Death Metal.
Pour cette fin d’après midi, une belle surprise nous attend sous la Valley. Si Uncle Acid And The deadbeats nous propose depuis quelques années déjà des albums de très bonne qualité, s’installant de plus en plus confortablement sur la planète Doom, nous avons été soufflé par leur prestation scénique. A mi chemin entre Rock psychédélique et Doom, les anglais jouent fort, très fort même, et choisissent bien leur setlist : sans jamais s’enfermer dans une succession de titres qui auraient pu tourner en rond, Tonton Acide transforme peu à peu la Valley en fournaise. Le déroulé du concert est assez fou : un premier titre assez timide, puis le soleil se couche, les lights s’installent, se mêlent aux extraits de films des années 70 projetés sur un écran, et la Valley au départ assez vide se remplit, les gens dansent, ferment les yeux, pendant que le groupe enchaîne les cartons Doom / Psyché avec une énergie folle. Un des meilleurs concerts de la journée, sans aucun doute...
Le concert de Triumph Of Death revêtait une importance historique certaine pour le Metal Extrême, tout simplement parce que Hellhammer n'avaient jamais pu faire de concerts et la plupart de leurs chansons n'avaient jamais été jouées sur scène. En connaissant Tom Warrior, on pouvait s'attendre à ce que cet hommage à son groupe devenu culte et pionnier du Black Metal ne se contente pas de baigner dans la nostalgie. Ces chansons ont donc été réimaginées avec un accordage plus grave et un rythme légèrement plus lent que les versions studio, ce qui fonctionne particulièrement sur The Reaper. Il est d'ailleurs presque étrange de les entendre avec une production « normale » de concert Metal, venant d'un groupe connu pour la qualité légendairement mauvaise de ses enregistrements. La performance ne fait pas un pli, les musiciens sont très appliqués et le son est excellent, massif. Les classiques comme Maniac, Aggressor sont joués, des titres qui ont donné leurs noms à des grands acteurs de la scène Black Metal norvégienne. Bien sûr, ce concert est un bon rappel qu'un certain nombre de chansons d'Hellhammer sont de piètres contrefaçons de Venom, et que leur meilleure sortie reste Apocalyptic Raids. De fait, c'est une interprétation qui reste fidèle à l'héritage du groupe, tout en y apportant une nouvelle approche.
On a déjà vu Sabaton hier soir, du coup c’est de loin qu’on jette une oreille distraite sur leur prestation d’aujourd’hui. La set-list est la même, et l’énergie (déjà pas bien dingue la veille) est plus basse. Le chanteur n’a plus de voix et assure le minimum syndical, ”parce que nous, on n’annule pas”. On le verra scotcher les paroles devant ses musiciens pour qu’ils l’aident à assurer les parties vocales, et les titres où la chorale militaire est présente riment avec absence du frontman.
Gojira : On rigole, on rigole, mais c'était la première fois que Gojira jouaient de nuit au Hellfest depuis un long moment, de quoi leur laisser un contexte plus propice pour envoûter le public avec leurs visuels soignés. Au niveau de la setlist, les landais ne prennent aucun risque et optent pour du classique et rodé : une ouverture sur Oroborus, suivie de Backbone et il y aura peu de sorties fantaisies, mis à part la plus rare et biscornue Blow Me Away You(niverse), qui sera pour l'occasion jouée dans une version allongée se terminant dans une sorte de jam psychédélique, un exercice assez surprenant de la part de Gojira. Le reste ne surprend guère mais fait très plaisir avec Clone, Terra Inc ou même le nouveau incontournable Silvera avec ses lignes de tapping harmonisée. C'est l'occasion pour Joe Duplantier de remercier le Hellfest et les groupes français qui ont partagé la scène avec eux pour cette journée spéciale « groupes français ». On a également droit à un solo de guitare de Joe Duplantier très planant, qui renvoie aux rythmes hypnotiques de The Shooting Star. On a presque envie de soupirer avec le final sur Vacuity, tant cette chanson a trusté leurs fins de set, mais c'est sans compter une dernière surprise du quatuor, qui balance The Gift Of Guilt très mélodique, toujours avec de belles lignes de tapping. On regrette juste ce moment gênant où le feu d'artifice a commencé à exploser pendant le final du morceau, venant ainsi le gâcher royalement. Mais ne boudons pas notre plaisir, Gojira est venu, a vu et a vaincu avec un son très musclé, une mise en place toujours aussi chirurgicale et une setlist qui aura mis le plus grand nombre d'accord. Un concert qui restera sans doute dans l'histoire du festival.
Sum 41 au Hellfest. Qui l’eut cru ?! Deryck Whibley semble toujours avoir 17 ans, à la fois physiquement et vocalement. L’énergie est au rendez-vous, mais la spontanéité pas toujours. Si les titres les plus récents ne trouvent pas forcément écho, les Still Waiting, Motivation, The Hell Song, Fat Lip, et autres In Too Deep fédèrent une Warzone complètement sursaturée de monde, au point d’en être tout à fait impraticable. Mention spéciale pour les reprises un peu WTF : Another Brick In The Wall (de Pink Floyd) vient ménager une pause dans le set avec son interprétation assez fidèle à l’originale, alors que We Will Rock You (de Queen) est accéléré à fond et joué le plus Punk possible. Un concert qu’on devait à l’adolescent qu’on était il y a encore pas si longtemps...
Tops 3 du jour :
Bacteries : Daughters, Uncle Acid And The Deadbeats, Diamond Head
Chazo : Gojira, Godsmack, Kvelertak
Florian : Fu Manchu, Descendents, Dropkick Murphys
Méo : Uncle Acid And The Deadbeats, My Sleeping Karma, The Necromancers
LeLag : Uncle Acid And The Deadbeats, Gojira, Daughters
Neredude : Possessed, Gojira, Power Trip
Nonohate : Daughters, Possessed, Gojira
Pentacle : Daughters, Possessed, Gojira
Skaldmax : Possessed, Daughters, Power Trip
Zblrah : Manowar.
Mardi 27 novembre 2018
L'affiche du Hellfest 2019 a été dévoilée : Les têtes d'affiche : - Manowar, Kiss, Tool, Dropkick Murphys, Def Leppard, Lynyrd Skynyrd, Gojira, ZZ Top, Slayer, Mass Hysteria, Within Temptation, Lamb Of God, King Diamond, The Sister Of Mercy, Emperor, Carcass, Bloodbath, Deicide, Sum 41, The Adicts, Refused, Fu Manchu, Cult Of Luna, Philip H. Anselmo&The Illegals, ... Main Stage : Dream Theater, Demons&Wizards, Godsmack, Sonata Arctica, Gloryhammer, Last Temptation, Whitesnake, Deadland Ritual, Richie Kotzen, Kortini, FM, Slash, Stone Temple Pilots, Clutch, Blacherry Smoke, Eisbrecher, Nova Twins, + 1 groupe Main Stage 2 : - Ultra Vomit, Dagoba, No One Is Innocent, Lofofora, Blackrain, Klone, Architects, Böhse Onkelz, Eagles Of Death Metal, The Fever 333, Whitechapel, Skindred, Like A Storm, Anthrax, Testament, Trivium, Death Angel, Municipal Waste, Insanity Alert, Alien Weaponry Temple : - Hellhammer (!!!), Venom INC., Impaled Nazarene, Diamond Head, Trollfest, Uada, Aorlhac, Cradle Of Filth, Combichrist, Myrkur, Carach Angren, Punish Yourself, Dool, Wolfheart, Shaârghot, Tormentor, Carpathian Forest, Skald, Wiegedood, Lucifer's Child, Cemican, Bliss Of Flesh, Hyrgal Altar : - Possessed, Pestilence, Kvelertak, Power Trip, Daughters, Sublime Cadaveric Decomposition, Cult Leader, Freitot, Dark Tranquillity, Candlemass, Moonspell, Archspire, Allegaeon, Trepalium, Cypecore, Daw Of Disease, Cannibal Corpse, Vltimas, Immolation, Vomitory, Revocation, Devourment, Psycroptic, Embryonic Cells Warzone : - Descendents, Me First And The Gimme Gimmes, No Fun At All, Hank Von Hell, The Interrupters, The Dwarves, The Rumjacks, Stinky, Le Bal des Enrages, Sham69, Les Wampas, The Living End, Mad sin, Batobile, The Creepshow, Banane Metalik, Enter Shikari, Cancer Bats, Nasty, Beartooth, Morning Again, Employer To Serve, Brutus, The Amsterdam Red Light District Valley : - Uncle Acid And The Deadbeats, Graveyard, All Them Witches, My Sleeping Karma, Radio Moscow, Conan, Valley Of The Sun, The Necromancers, Envy, The Ocean, Cave In, Mantar, Sumac, Will Haven, Fiend, Coilguns, The Obsessed, YOB, Emma Ruth Rundle, Messa, Gold, Ddent + 2 à annoncer
Jeudi 08 novembre 2018
Sonata Arctica a débuté l'enregistrement d'un nouvel album (prévu pour 2019), de plus le groupe fera deux dates acoustiques en mars : - 22/03 : Paris (Trabendo) - 23/03 : Lyon (Ninkasi Kao)
Jeudi 07 juin 2018
Metal Tics revient avec un épisode 2 ! Pour rappel ce Youtubeur (français) reprend tous les gimmicks d'un groupe pour créer un titre à partir de ces derniers, après Slayer voilà Sonata Arctica. Gros boulot encore une fois, super intéressant pour les musiciens entre autres, à voir ici.
Dimanche 24 décembre 2017
Samedi 13 août 2016
Sonata Arctica a mis en ligne un lyric vidéo pour le single Closer To An Animal et ça s'écoute dans la suite. The Ninth Hour sortira le 7 octobre chez Nuclear Blast Records.
Mardi 09 août 2016
L'édition 2016 du Wacken Open Air venant tout juste de prendre fin, vous pouvez vous y replonger à travers plusieurs concerts visibles dans leurs intégralités sur Arte Concert avec notamment Triptykon, Entombed A.D. ou encore Bullet For My Valentine.
Le festival annonce déjà les premiers noms de l'édition 2017 avec Amon Amarth, Avantasia, Kreator, Mayhem De Mysteriis Dom Sathanas set, Paradise Lost, Heaven Shall Burn, Lacuna Coil, Powerwolf, Candlemass, Sonata Arctica, Hämatom et Saltatio Mortis.
Samedi 23 juillet 2016
Le prochain Sonata Arctica se nomme The Ninth Hour, (pochette) et sortira le 7 octobre chez Nuclear Blast Records.
Mercredi 29 juin 2016
Chronique Secret Rule - Machination : "Si on vous parle d'un groupe de Metal à chanteuse comptant dans ses rangs l'ex batteur de Delain et l'actuel claviériste de Sonata Arctica, à quoi pensez-vous ? On peut s'imaginer une sorte d'Epica-like ou de Nightwish-bis, quelque part entre Symphonique et Power Metal, de grosses orchestrations... Ou bien, il y a Secret Rule, qui propose avec Machination une alternative aussi créative que maladroite. [...]"
Mercredi 02 décembre 2015
Sonata Arctica sortia un single pour les fêtes de fin d'année. Christmas Spirits sera disponible le 18 décembre en version physique limitée et en digital sur le shop de Nuclear Blast.
Mardi 28 avril 2015
Voici la pochette et la tracklist de Fire And Ashes, le prochain ep de Xandria (Metal Symphonique) qui sortira le 31 juillet via Napalm Records. Il a été enregistré aux studios Sandlane Recording Facilities et été produit par Joost Van Den Broek (Epica, ReVamp, Stream Of Passion). On y trouvera deux reprises de Meat Loaf et de Sonata Arctica.
Mardi 21 avril 2015
Cain's Offering (Power Metal avec un ex-Sonata Arctica) dévoile une lyric vidéo pour le titre I Will Build You A Rome. L'album Stormcrow sort le 15 mai chez Frontier Records.
Mardi 27 janvier 2015
Cain's Offering (Power Metal avec un ex-Sonata Arctica) est actuellement en studio pour donner une suite à Gather The Faithful paru en 2009. De plus il y a eu du changement au niveau du line-up : Jukka Koskinen (basse) et Mikko Harkin (claviers) ont été remplacé respectivement par Jonas Kuhlberg et Jens Johansson (Stratovarius).
Mercredi 19 novembre 2014
Mardi 23 septembre 2014
Le morceau Kingdom For A Heart, réenregistré pour les 15 ans du premier album de Sonata Arctica, Ecliptica - Revisited (15th Anniversary Edition), est en écoute dans la suite.
Samedi 23 août 2014
Pour les 15 ans de Ecliptica, Sonata Arctica annonce une version ré-enregistrée de l'album disponible fin octobre.
Mardi 21 janvier 2014
La tracklist de Pariah's Child, le prochain Sonata Arctica est à voir sur leur page. Pour le teaser qui annonce l'album à sortir le 28 mars chez Nuclear Blast Records, c'est dans la suite.
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