Rosetta

Postcore

États-Unis

Biographie

Formé en 2003 à Philadelphie en Pennsylvanie, Rosetta est la rencontre de Michael Armine (Chant / Programmation - Mykado) David Grossman (Basse / Chant - Sense Fracture), James Matthew Weed (Guitare - Sundayrest) et Bruce McMurtrie Jr. (Batterie - Sense FractureSundayrest). Cette rencontre se fait lors d'un concert où les titres sont totalement improvisés. Séduit, les membres décident de continuer en enregistrant une démo quatre titres, remarquée par Translation Loss Records. Ouvertement influencés par les ténors que sont Isis et Neurosis, Rosetta sort donc son premier album, The Galilean Satellites, en 2005 chez Translation Loss Records et dévoile un Postcore personnel lorgnant vers le Post-Rock et le Drone. En avril 2007, le groupe sort un split nommé Project Mercury avec Balboa et leur second album, Wake/Lift, sort en octobre 2007. Après une tournée américaine et australienne, Rosetta s'associe en 2009 à deux groupes aux univers musicaux proches : Year Of No Light et East Of The Wall pour un split dans lequel ils jouent une reprise de Homesick de The Cure. Le troisième album, A Determinism Of Morality sort l'année suivante, vite suivit d'une flopée de splits pendant deux ans aux côtés de Restorations, Junius et City Of Ships avec lequels ils effectuent une tournée européenne en 2012. En 2013, Rosetta change de label et signe chez Debemur Morti Productions pour la sortie de The Anaesthete.

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Rosetta

«Quintessential Ephemera»

Isis n'étant plus, qu'en est-il de l'héritage laissé par Aaron Turner et sa bande à la scène Post Metal Américaine ? À sa sortie, Oceanic ouvrit une brèche d'où émergea une multitude de formations desquelles Rosetta se démarqua avec son désormais culte premier album The Galilean Satellites. Dix ans plus tard, Quintessential Ephemera, cinquième album du combo de Pennsylvanie est le premier enregist ...

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Rosetta

«The Anaesthete»

Aujourd'hui, le problème majeur de Rosetta, c'est d'avoir fait de son premier album, The Galilean Satellites (2005), une des références incontournables de la scène Postcore. Pavé dans une mare de souffre, ce n'est pas un hasard s'il reste encore cité ici et là à l'aune des nouvelles sorties du genre. Depuis, il faut l'avouer, la qualité a été très inégale jusqu'au faible A Determinism of Morality  ...

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Rosetta

«A Determinism Of Morality»

Le Postcore, ah le Postcore... Vraie révolution pour certains, ou simple effet de mode pour d'autres. Scène qui prit naissance au début des années 2000 avec des monuments comme Through Silver in Blood de Neurosis, S/T de Cult of Luna , Oceanic d'Isis et qui connut un engouement plus ou moins considérable au XXIe siècle. Rosetta est l'un des représentants de cette scène Postcore « Deuxième Vague » ...

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Rosetta

«Wake/Lift»

Après un premier album qui avait permis à Rosetta de briller dans la masse de groupe s’engouffrant dans le post-métal (pour simplifier), suivi d’un split avec le screamo de Balboa revoilà les américains avec Wake/Lift toujours sur Translation Loss Records. Pas de double CD à écouter en simultané cette fois uniquement un CD dans une pochette épurée et certainement beaucoup de travail. Dès les premi ...

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Rosetta

«The Galilean Satellites»

Pour un premier album les américains de Rosetta ne font pas les choses à moitié, déjà par la durée, 2 CD d'une heure, ensuite par le superbe Artwork signé Aaron Turner (Isis) et fort heureusement également par leur musique. The Galilean Satellites a pour thème le voyage dans l'espace, celui d'un homme voulant se couper du monde et qui décide de se réfugier sur Europa (satellite de Jupiter). Cette ...

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