Titre : Lupus Dei Année : 2007
Nombre de titres : 11
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Label : Metal Blade Records
Collection : 2 membres possèdent cet album.

Moyenne lecteurs : 17.5/20 (4 avis dont 3 avec commentaire)


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Commentaires

fox-fox6909 20 / 20 Le 10/03/2020 à 17H51

Génial !!!

V.N.A. 17.5 / 20 Le 05/10/2017 à 11H39

À moins d'une annonce de dernière minute assez peu coutumière de nos loups favoris (ils sont plutôt du genre à nous tenir informés tout au loup du processus créatif), Powerwolf n'aura pas sorti de nouvel opus en 2017, brisant ainsi la règle tacite d'un album tous les deux ans (non, un live, ça ne compte pas). À défaut, je prends conscience que j'ai découvert le groupe il y a déjà dix ans (et quelques mois) avec Lupus dei, et ça me fout déjà un coup de vieux alors je n'imagine même pas quand des albums que j'ai eus à la sortie auront vingt ans (et pourtant, ça arrivera bien plus vite que je ne le voudrais ; coucou, The world needs a hero de Megadeth, coucou Iowa de Slipknot).
Back to 2007, then. Je cueille le titre In blood we trust plus ou moins par hasard sur le site de Metal Blade. À la base, je cherchais plutôt un nouveau truc typé death à me mettre sous la dent, alors autant aller voir du côté de l'écurie qui me fournissait déjà Six Feet Under, Cannibal Corpse, ou plus récemment Amon Amarth (découvert par ce biais un peu avant la sortie de With Oden on our side, autant dire que la méthode me convenait très bien) et This Ending. Enfin bref, je tombe là-dessus et je me demande à quoi peut bien ressembler la musique d'un groupe qui s'appelle Powerwolf, je m'attendrais presque à un truc kitsch un peu débile, mais l'artwork de l'album est plutôt cool, et puis bon, j'ai un morceau à portée de main alors arrête de te demander et écoute.
Alors vient... l'Illumination.
Je suis aussitôt converti aux dieux des loups. Ce son heavy ultra efficace, cet orgue, et surtout cette voix ! J'apprendrai sous peu que le distingué Attila Dorn a une formation de chant d'opéra, mais il ne m'en faut pas tant pour que je coure acheter le CD et... Quoi, je cherchais du death au départ ? Je m'en fous, tu vois bien que je suis occupé. (NB : en l'occurrence, les pronoms "tu" et "je" se réfèrent approximativement à la même personne. Au cas où quelqu'un se poserait la question.)
Bref, je cours acheter le CD, et je pourrais avoir peur parce qu'il m'est déjà arrivé d'acheter un album sur la seule base d'un ou deux bons titres et d'être déçu, mais là non, j'ai confiance, et il s'avère finalement que ma confiance est bien placée, tout l'album est excellent ! Tantôt agressif, tantôt grandiloquent, je n'en décroche plus, je le fais même écouter à ma môman, et il faut finir par lui en offrir un exemplaire pour éviter qu'elle ne vole le mien, il en ira d'ailleurs de même pour tous les autres (et elle me traînera jusqu'à Paris pour les voir en concert quelques années plus tard, mais ceci est une autre histoire).
Difficile alors d'imaginer que le groupe se surpasserait dès 2009 avec Bible of the beast, mais même dix ans plus tard, une renommée qui a grimpé en flèche et une discographie riche de six opus (en attendant la suite), Lupus dei demeure pour moi le deuxième meilleur album des loups (derrière le génial Bible of the beast, si vous n'aviez pas compris).
Et maintenant, j'avais dans l'idée de vous inviter à prier pour un excellent septième album dans un avenir pas trop lointain, mais...
"Hey! Hey! Wolves don't pray!"

Hardos 17.5 / 20 Le 01/01/2016 à 20H59

Un album nettement supérieur au précédent qui comporte enfin quelques incontournables tels que Saturday Satan, ou Lupus Dei.