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Jeudi 22 février 2024
Power Trip a annoncé qu'il ferait une tournée (après une date l'an dernier), c'est Seth Gilmore (Skourge/Fugitive) qui officiera à la place de Riley Gale.
Mardi 05 décembre 2023
Les membres survivants de Power Trip se sont réunis sur scène au Texas le 1er décembre et Seth Gilmore (Fugitive) remplaçait le défunt chanteur Riley Gale. C'est la première apparition sur scène de Power Trip depuis le décès de Riley en 2020 à l'âge de 34 ans. Une vidéo amateur du concert se visionne dans la suite.
Dimanche 22 octobre 2023
On avait oublié d'en parler, mais "Hazardous Vegetation" de Poison the Preacher (pour fans de Power Trip) a été clippé. Le titre est sur Psycho Preacher, leur split avec Psycho Mosher.
Jeudi 12 janvier 2023
Le site Loudwire a publié une liste des 100 meilleurs albums[https://loudwire.com/top-100-hard-rock-metal-albums-21st-century/] du 21ème siècle ... De Lateralus de Tool à Mezmerize de System Of A Down le webzine s'attarde surtout sur les gros nom de la scène. Même si on y retrouve Power Trip, Isis, Celtic Frost, Pig Destroyer ou Woods Of Ypres on a surtout une liste de têtes d'affiche.
Vendredi 23 septembre 2022
Blaze Ibanez (Guitariste de Power Trip) a confirmé dans une interview qu'il composait bien des titres avec Chris Ulsh, et qu'un album verrait certainement le jour. Pas plus d'infos sur ce Power Trip sans l'emblématique Riley Gaze
Vendredi 16 septembre 2022
Grosse semaine de sorties ! Vous écoutez quoi en premier ? - Behemoth (Black / Death, Pologne)
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- Clutch (Stoner / Blues Rock, USA)
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- The Devil Wears Prada (Metalcore, USA)
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- The Necromancers (Heavy / Doom / Hard Rock, France)
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- ACOD (Thrash / Black Metal, France)
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- Ahasver (Sludge / Prog Metal, France, Avec des membres de Gorod, Eryn Non Dae, Drawers, Draw Me A Sheep et Psykup)
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- Aviana (Metalcore, Suède)
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- Battlesword (Death Metal Melo, Allemagne)
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- Certa Mortis (Black Metal, France)
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- Choke (Death / Grindcore, USA)
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- Confessions Of A Traitor (Metalcore, UK)
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- Dead City Ruins (Hard Rock, Australie)
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- Dead Void (Death Doom, Danemark)
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- Death Cab For Cutie (Indie Rock / Alt Rock, USA)
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- Demons (Noise / Punk / Hardcore, USA)
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- Destrage (Mathcore Progressif, Italie)
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- Disco Doom (Alt Rock, USA)
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- Earth Crisis (Hardcore, USA, Un EP)
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- Edinbridge (Metal Sympho, Autriche)
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- Electric Callboy (Metalcore / Eurodance, Allemagne)
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- Epoch Of Unlight (Death Melo / Black Metal, USA)
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- Fans Of The Dark (Hard Rock, Suède)
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- Frolic (Thrash, USA)
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- Gogol Bordelo (Gypsy Punk, Ukraine)
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- Hetroertzen (Black Metal, Chili)
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- Industrial Puke (Crust, Suède, Avec un membre de Burst)
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- Innumerable Forms (Death / Doom, USA, Avec des membres de Power Trip, Sumerlands, Magic Circle, Devil Master...)
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- Irist (Sludge / Groove Metal, USA)
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- Kerberos (Symphonic Death Metal, Suisse)
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- Kill Division (Death Metal, USA)
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- Liar Thief Bandit (Rock / Garage, Suède)
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- Lybica (Metal Instrumental, USA, Avec le batteur de Killswitch Engage)
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- Maggie Lindemann (Pop Punk / Trap Metal, USA)
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- Medieval Demon (Black Metal, Grèce)
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- Mindforce (Hardcore, USA)
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- Morbus Grave (Death Metal, Italie)
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- Mork (Black Metal, Norvège)
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- Morthibus (Black / Death Metal, International)
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- Mortuous (Death Metal, USA)
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- Mute Ocean (Black Metal Atmo, Russia)
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- No Age (Noise Rock / Post Punk, USA)
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- No Devotion (Indie Rock / Alt Rock, UK, Avec le chanteur de Thursday et des membres de Lostprophets.)
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- Nonvector (Metal Prog, USA, Un EP)
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- Omophagia (Deathcore, Suisse)
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- Phobophilic (Death Metal, USA)
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- Pirkan (Drone, Roumanie)
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- Scarlean (Alt Metal, France)
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- Science Of Disorder (Death Metal / Metalcore, Suisse)
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- Spiritus Mortis (Doom, Finlande)
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- Starcrawler (Indie / Grunge, USA)
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- Stupeflip (Hip Hop / Punk / Rock, France)
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- Sumerlands (Power / Heavy, USA)
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- The 69 Eyes (Gothic / Glam Rock, Finlande)
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- The Beths (Indie Rock / Pop Punk, Nouvelle Zélande)
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- The Black Angels (Rock / Psyche, USA)
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- The Darling Fire (Post Hardcore, USA)
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- The Erinyes (Metal Sympho, International, Avec des membres de Elyose, l Semblant et Walk In Darkness)
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- The Mars Volta (Alt Rock, USA)
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- The Murlocs (Garage, Australie)
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- The Retaliators (BO, International, Avec Papa Roach, Mötley Crüe, Five Finger Death Punch, Asking Alexandria, Within Temptation, Ice Nine Kills, The HU, ...)
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- Tribal Gaze (Death, USA)
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- Vathr (Black Metal, Norvège)
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- Veritates (Heavy / Power Metal, Allemagne)
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- Virtual Symmetry (Prog Metal, Italie)
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- Weeping Wound (Metalcore, USA)
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- Well Wisher (Indie Punk, USA)
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- White Hills (Ambient, USA)
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- Wolfheart (Death Melo, Finlande)
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- Wytch Hazel (Hard Rock / Heavy Metal, UK, Split avec Spell)
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- Æries (Prog Metal, Allemagne)
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Jeudi 07 juillet 2022
Des membres de Power Trip, Creeping Death, Skourge, Impalers, ... ont formés un nouveau groupe nommé Fugitive. Le style est annoncé comme du Thrash'n Roll et un EP devrait prochainement sortir sur 20 Buck Spin.
Samedi 21 mai 2022
Bientôt du nouveau pour Power Trip ? C'est ce qu'a laissé entendre leur guitariste Blake Ibanez dans une interview à BangerTV.
Jeudi 10 mars 2022
Le prochain Devil Master (Black Metal / Punk, USA) sortira le 29 avril sur Relapse Records, il aura pour nom Ecstasies Of Never Ending Night. Voici un premier extrait avec Acid Black Mass (décrit par le groupe comme du crust Japonais rencontrant du black metal). On retrouve dans le groupe Chris Ulsh de Power Trip / Iron Age.
Mercredi 22 septembre 2021
Jeudi 27 mai 2021
Les raisons de la mort de Riley Gale (Power Trip) ont été révélée : overdose de fentanyl. C'est un analgésique opioïde qui équivaut à cent fois celui de la morphine. Aux Etats-Unis 90 personnes en meurent chaque jour (plus d'infos ici).
Samedi 03 octobre 2020
Le regretté chanteur de Power Trip, Riley Gale a désormais une librairie à son nom à Dallas, la ville où il vivait.
Mercredi 23 septembre 2020
Retour de YCKM pour une nouvelle saison ! Notre podcast metal (à tendance extrême, mais pas que) hebdomadaire est de retour, une équipe avec de nouvelles têtes, mais toujours du gros son, des news, et des chroniques (cette semaine ça sera Mortiferum et Ashtar). Niveau playlist on retrouvera Power Trip, Thou, Baron Crâne, Nine Eleven, Pilori, Fange, Howard, ... Pour écouter : cherchez YCKM ou Metalorgie sur vos applis de podcasts, vous avez sinon le flux RSS ici, ou en MP3 directement là.
Jeudi 27 août 2020
Les réactions du monde musical ont été nombreuses hier suite à la mort de Riley Gale, Jay Weinberg (Slipknot), Ice-T (Body Count), Scott Lewis (Carnifex), Hatebreed, Anthrax, Deafheaven, Matt Heafy (Trivium), Randy Blythe (Lamb Of God), Jesse Leach (Killswitch Engage), Tony Foresta (Municipal Waste), Geoff Rickly (Thursday), Touche Amore, Khemmis, Fucked Up, Xibalba, Knocked Loose, Shai Hulud, Code Orange, Harm's Way, Nonpoint, ... Des hommages de toute la scène. La preuve que Power Trip avait déjà marqué les esprits.
Mercredi 26 août 2020
Riley Gale, le chanteur de Power Trip, est mort. Il avait 35 ans.Les causes n'ont pas été révélées. Le groupe préparait un nouvel album et on avait pu le voir récemment sur un titre avec Body Count. Nous avions eut la chance de le recevoir lors d'un Metalorgie Fest ou de nous entretenir avec lui en 2018. RIP
Lundi 20 avril 2020
Masterpiece Machine (avec deux musiciens venant de Fucked Up et Power Trip) vient de sortir un ep deux titres chez Triple B Records et ça s'écoute par là.
Jeudi 16 avril 2020
Ce vendredi sort le premier 12" de Masterpiece Machine, ce groupe réuni deux Fucked Up (guitare et batterie) avec Riey Gale (chanteur de Power Trip) pour un groupe dans une veine indus à la Prong / Ministry. Un titre a été dévoilé ici.
Lundi 13 avril 2020
Drain (Crossover Thrash - US, si tu aimes Iron Reagan ou Power Trip) a sorti le 10 avril son premier album intitulé California Cursed chez Revelation Records et ça s'écoute par ici.
Jeudi 12 mars 2020
Power Trip est actuellement en studio pour y enregistrer son nouvel album, le groupe sera ensuite en tournée avec Lamb Of God et Kreator, dont le 17 avril avril à paris.
Dimanche 29 décembre 2019
Krimewatch, Power Trip, Fury et d'autres groupes vont participer à un album tribute à The Outburst. Hot Sh!t Attitude sort le 31 janvier.
Samedi 21 décembre 2019
Power Trip qui reprend une musique des années 80 ? ça se tient ! Cette chanson figurera sur une compil de reprises d'Outburst qui verra le jour accompagné d'une réédition courant 2020. Par ailleurs, les texans sont également en studio pour l'enregistrement de leur nouvel opus.
Jeudi 10 octobre 2019
Power Trip a confirmé qu'un nouvel album est bien en cours. De plus leur single Hornet's Nest est dispo sur Spotify.
Jeudi 03 octobre 2019
High Command (Crossover - US, pour les amateurs de Power Trip) vient de sortir Beyond The Wall Of Desolation chez Southern Lord Recordings et ça s'écoute en intégralité sur bandcamp.
Jeudi 05 septembre 2019
Lamb Of God, Kreator et Power Trip sur une même affiche ? Pas mal, et ça passera par Paris, Zurich et Bruxelles en 2020 : - 07/04 : Zurich (Suisse) - 17/04 : Paris (Olympia) - 19/04 : Bruxelles (AB) Les places seront en vente vendredi à 10H.
Lundi 02 septembre 2019
High Command (Crossover - US, pour les amateurs de Power Trip) sortira son premier opus, Beyond The Wall Of Desolation, le 27 septembre chez Southern Lord Recordings. Pochette, tracklist et premier extrait à découvrir sur bandcamp.
Samedi 22 juin 2019
Et voilà la première véritable journée de ce Hellfest qui peut commencer : et celle ci démarre en fanfare avec l’annonce par le festival de l’annulation de Manowar (présent la veille mais parti entre temps). Ca doit donc être ça le fameux “Other Band Play, Manowar Kills”, beaucoup de rumeurs circulent sur les raisons de l’annulation mais officiellement le groupe accuse les organisateurs et le festival laisse sous entendre que le groupe s’est barré sans véritable raison. La suite nous dira qui avait raison, en attendant les fans ont perdus l’occasion de voir cette tournée d’adieu; le créneau manquant est comblé par Sabaton (déjà là la veille, au Knotfest). Mieux que rien, ou double peine ? A vous de juger ! En parallèle de ce report, toutes nos photos sont en ligne par ici !
En ce premier jour de Hellfest, la Mainstage 2 ne met à l’honneur que des groupes français. Après Fallen Lillies, le groupe des gagnantes du tremplin Voice Of Hell, c’est Klone qui offre une trop courte demi-heure de Prog intense et à fleur de peau, massif et pourtant aérien. L’interprétation et le son sont incroyables de précision, rendant encore plus facile pour la musique de Klone de se charger en émotion. Un vocaliste peu loquace entre les titres et un jeu de scène très épuré (les musiciens ne se permettant que quelques coup de cervicales, servis avec parcimonie) finissent de créer un aura de magie autour de la performance du quintet, qu’on aurait volontiers laissé se prolonger.
La tradition du Hellfest qui programme des groupes français d’excellente qualité pour inaugurer chaque matin les “petites” scènes du festival est encore respectée cette année. Parmi ces groupes se produisent les parisiens de Sublime Cadaveric Decomposition en cette matinée timide de première journée. Véritables patrons de la scène Goregrind à tendance Brutal Death française, le trio réveille à sa manière les premiers festivaliers à se balader du côté de la Altar et par la même occasion nous communique sa bonne humeur, au beau fixe de plus de 20 ans d'existence du groupe.
Gloryhammer, c’est du Power-Heavy-Speed-Symphonique avec le chanteur de Alestorm, ici aux claviers. C’est moins ouvertement crétin que son autre groupe, mais on se dirige néanmoins vers la Mainstage 1 pour une dose de bonne humeur, histoire de bien commencer la journée. Et au final, on se laisse prendre au jeu ! On est venus en touristes, sans trop connaître autre chose que leur récent clip, mais en fait quand on a pas peur du kitsch, Gloryhammer c’est vraiment très bon ! Bon par contre, tous les clichés du genre sont là (et on conçoit que ça en freine certains), mais les Écossais semblent en être conscients et en jouer. Les titres s’enchaînent, et tous sonnent comme des hymnes en puissance. Encore un concert trop court.
Les conditions pour voir Cult Leader ne sont pas optimales, le groupe joue à 2 mètres de haut sous la Altar et ne bénéficie clairement pas d’un son à sa mesure. Les basses sont très fortes, le tout surnage dans le mix, et le batteur tape comme un sourd comme à son habitude. Donc vraiment, pour reconnaître les morceaux, faut être au taquet. Début sur I Am Healed / Curse Of Satisfaction : malgré tout on est dedans, le chanteur dégueule son mal-être, la basse claque autant que le batteur est à fond. Si on aime ce type de Hardcore / Metal chaotique et viscéral, difficile d’y rester insensible. Great I Am ou Suffer Louder du premier album sont également joués. Pas de temps morts, peu de pause, le maître mot reste la violence et les titres calmes du dernier albums ne seront pas joué aujourd'hui. Alors certes, le fait de voir Cult Leader sur ce type de scène en début de journée n’est pas le top, surtout après un concert à même le sol et avec un bon son à Rouen, il y a deux jours, mais il se dégage toujours ce truc méchant, violent et cathartique quand on les voit, et c’est bien là le principal !
C’est triste à dire, mais Gloryhammer a fait un meilleur concert de Sonata Arctica, que Sonata Arctica eux-mêmes. Les choix de setlists sont peu judicieux, seules Fool Moon et Black Sheep se démarquent comme vrais hits (alors que les Finlandais en ont à la pelle, où sont Wolf And Raven, Don’t Say A Word, Letters To Dana…?), les autres titres joués seront sans réel impact sur la foule qui attend que la sauce prenne, en vain. Le son n’aide pas, le synthé est trop discret, la grosse caisse est trop présente, le tout fait un peu “carton”. Tony Kakko semble aussi un peu fatigué, avec sa dégaine de vieux qui veut faire jeune et sa voix un peu poussive.
Originaire de Portland aux États Unis, malgré un son très emprunt à la scène polonaise, Uada n’aura pas laissé le public indifférent en ce premier jour de festival, réussissant à nous transporter dans leur ambiance glaciale et sombre malgré un contexte festival qui ne se prête pas souvent à cette atmosphère ; surtout quand on joue à l’heure du déjeuner.
Malgré un aspect visuel qui peut rebuter les festivaliers qui passent par curiosité avec ce lightshow minimaliste (inexistant) poussé à l’extrême, le public s’était amassé en nombre pour profiter de ce Black à tendance mélodique, qui plus est avec un son excellent.
S’il est exécuté ainsi, le « Black à capuche » a encore de belles années devant lui, et c’est tant mieux.
Si vous suivez un peu l’actualité du site et les chroniques que l’on y publie, vous n’avez pu passer à côté du raz-de-marée qu’a été la sortie de You Won’t Get What You Want, le nouvel album de Daughters. Unanimement encensé par la critique et les publics de tous horizons, les américains enchaînent les tournées suite à une demande toujours plus importante dont celle de l’équipe du Hellfest qui a été jusqu’à les faire venir sur notre continent pour une date unique, avant qu’ils ne refoulent le sol européen pour une vraie tournée des festival au mois d’août. Débutant sur The Reason They Hate Me, le groupe ne proposera aucun extrait de leurs anciens albums pour se concentrer sur You Won’t Get What You Want en enchaînant entre autres sur les excellents Long Road, No Turns, Satan In The Wait ou encore Less Sex. Malgré quelques problèmes techniques notamment au niveau de l’amplification du guitariste Nick Sadler qui était à deux doigts de quitter la scène de rage, le groupe livrera un set aussi excellent que frustrant de part sa durée et terminera de détruire ce qu’il nous reste de neurones avec le combo Guest House / Ocean Song sur lequel le chanteur Alexis Marshall profitera de faire quelques bains de foule assez chaotiques.
My Sleeping Karma et le Hellfest c’est une grande histoire d’amour qui dure depuis presque 10 ans maintenant. J’ai encore le souvenir de l’édition 2013 où les allemands débutaient leur concert sous une Valley au public clairsemé jusqu’à ce que la météo se gâte et que des trombes d’eau s'abattent sur Clisson et poussent le public à s’abriter sous une tente rapidement pleine à craquer. Sur scène les allemands n’en revenaient pas et marquaient de plusieurs temps d’arrêt leur set pour s’extasier de la réception dithyrambique de ce public surprise et nous remercier chaleureusement à répétition. Nous sommes en 2019 et le constat est à peu de chose prêt le même si ce n’est que la météo est excellente et que si la Valley est déjà bien remplie avant le début de leur set, ce n’est pas un hasard cette fois.
Bien que l’actualité du groupe soit inchangée depuis la sortie de Moksha en 2015, très représenté dans la setlist aujourd’hui, on ne peut cacher son plaisir devant une si bonne performance. Espérons seulement que pour leur retour en terre clissonnaise, les allemands auront dans leurs bagages des nouveaux titres à nous interpréter.
Si la terre a tremblé près de vous et que vous étiez dans les dix kilomètres à la ronde autour de Clisson Rock City, vous avez sans doute subi les chocs et fracas causés par Power Trip et la bande de sauvages qui les ont acclamés tout au long du set. Leur Thrash Crossover en main, les Texans ont à peine eu à lever le petit doigt pour retourner la fosse, déjà chaude bouillante et acquise à leur cause dès les premiers morceaux. Marée humaine, gestes brusques et en rythme avec des coups de médiators aussi lourds qu’agiles, l’Altar a vu son sol solidement labouré. La faute à des titres beaucoup trop efficaces, déjà connus depuis un moment (Nightmare Logic en 2017) et qui ont fait leur chemin dans les caboches et les cœurs. Power Trip n’a pas démérité, et est reparti en fier vainqueur, lâchant au passage un nouveau titre qui ne présage que du bon pour l’avenir.
Enfin ! Il aura fallu quatorze longues années entre la sortie de Touched By The Crimson King et la présence au Hellfest du groupe Demons And Wizards récemment reformé. S’il était évident que les deux protagonistes seraient bien là, Jon Schaffer et Hansi Kürsch sont accompagnés pour le live par un backing-band de luxe, composé de membres de leurs groupes respectifs, Iced Earth et Blind Guardian. Le sextet propose d’ailleurs une reprise de chacune de ces formations (Burning Times de Iced Earth, et Welcome To Dying de Blind Guardian).
Un problème de guitare sur l’excellent Crimson King oblige Jon Schaffer à assurer seul les parties de six-cordes. Mais en dehors de cet incident, le son est excellent sur les autres titres. On aura droit à un best-of des deux albums (malheureusement aucun inédit), et un final en beauté sur Blood On My Hands et le poignant Fiddler On The Green. Vivement la suite.
Dream Theater : les papas du Prog n’ont pas de backdrop, rien à projeter sur les écrans derrière eux. En plus, James Labrie n’est vraiment pas en forme, sa voix est poussive, fébrile, et le frontman semble s’essouffler très rapidement. Et pourtant l'interprétation virtuose, fidèle à la réputation des gaziers, ainsi que la sonorisation optimale et les bons choix de setlists font que l’heure attribuée à Dream Theater est incroyable. L’excellent dernier album est mis à l’honneur sur la moitié des pistes jouées, les autres allant taper dans les vieilleries à la fois Heavy, efficaces, et relativement courtes (As I Am, Peruvian Skies, The Dance Of Eternity, et Lie). Lors du final Pale Blue Dot, le vocaliste semble mieux réussir à placer sa voix, pour qu’on parte sans regret, avec de vraies étoiles dans les yeux.
La palme du groupe cra-cra du jour revient sans hésiter à Impaled Nazarene, passablement pas très intelligent (bon, on était prévenus) et balançant des titres sonnant comme une lune de miel de bulldozers. Alors c’est rigolo quelques minutes mais dans l’absolu, pas facile donc de rentrer dans le trip, notamment à cause d’une prestation scénique proche du néant, avec un chanteur faisant les cent pas et arborant le charisme d’un gibbon malade. A tel point qu’il en perd son public, râle gentiment en ne désignant qu’un petit groupe de « vrais fans », ce qui n’arrange pas forcément la situation. Le concert décolle enfin un peu lorsque le son s’améliore et que la set-list prend un tournant plus Thrashy ou Rock n’ Roll (toute proportion gardée quand même), sans convaincre franchement.
On n’attendait pas grand chose du concert de Kvelertak. On se trompait. Le nouveau chanteur a semble-t-il redonné une âme au groupe et surtout une flamme ! Quelle patate ! Les vieux morceaux font plaisir à attendre. La foule est ultra réactive, ça pogote, ça lance même des walls of death. Tout le groupe est à fond et clairement le nouveau chanteur instaure une dynamique incroyable dans ce concert. Kvelertak c’est le Rock’n Roll, la bonne humeur, le Motorhead norvégien. Même les passages mid-tempo sont plutôt cool et ne font pas redescendre la température. On en attendait pas tant et on a passé un super moment !
Ultra Vomit, on aime ou on n’aime pas, mais ça ne laisse personne indifférent. Et visiblement ce soir le public du Hellfest a choisi son camp. Incroyable de voir autant de monde au pied de la main stage qui accueille en ce début de soirée les désormais (trop ?) célèbre nantais. Impossible de marcher dans ce bourbier, il vous faudra des chaussures de golf… Les blagues (pas toujours inspirées) fusent, fétus et ses comparses sont en forme, visiblement contents d’être là, et enchaînent leurs tubes pendant une petite heure. De Boulangerie Pâtisserie à Evier Metal en passant par Maïté Ravendark, on ne voit pas le temps passer tellement la bonne humeur semble s’être répandue à toute l’assemblée. Quelques guests (Tagada Jones, Black Bomb A, un sosie de Calogéro…), quelques surprises (une chorale de gospel sur Jesus), et on repart de la Mainstage, si ce n’est grandi ou plus intelligent, au moins les zygomatiques détendus...
Du côté de la Warzone Hank Von Hell (ex chanteur de Turbonegro) vient défendre son album solo devant une scène bien vide. Et à l’image de son album plutôt fade le concert peine à vraiment être fun. Dommage, on attendait Hank sur le live.
Possessed a remis les pendules à l'heure sur ce qu'est le Death Metal Old School. Avec un jeu de scène très statique et solennel lors des morceaux (n'empêchant pas de grands sourires du chanteur lors des interludes), les Américains ont déroulé un set bardé de riffs tous plus méchants les uns que les autres, combinant à merveille la vélocité du riffing Thrash aux gammes infernales du Death, sans omettre le quota de lourdeur par morceau. Possessed délivre un Death Metal racé, très classe et enlevé dans son exécution sans forcer quoi que ce soit. Le groupe n'est ni particulièrement mélodique, lourd, lent, rapide ou technique, des attributs sur lesquels misent beaucoup d’autres formations en choisissant particulièrement une voie précise. Les Américains de leur côté conjuguent à merveille toutes les facettes du genre avec des musiciens parés à toute épreuve et aidés par un son très fin et dosé sous l'Altar. Une leçon de Death Metal.
Pour cette fin d’après midi, une belle surprise nous attend sous la Valley. Si Uncle Acid And The deadbeats nous propose depuis quelques années déjà des albums de très bonne qualité, s’installant de plus en plus confortablement sur la planète Doom, nous avons été soufflé par leur prestation scénique. A mi chemin entre Rock psychédélique et Doom, les anglais jouent fort, très fort même, et choisissent bien leur setlist : sans jamais s’enfermer dans une succession de titres qui auraient pu tourner en rond, Tonton Acide transforme peu à peu la Valley en fournaise. Le déroulé du concert est assez fou : un premier titre assez timide, puis le soleil se couche, les lights s’installent, se mêlent aux extraits de films des années 70 projetés sur un écran, et la Valley au départ assez vide se remplit, les gens dansent, ferment les yeux, pendant que le groupe enchaîne les cartons Doom / Psyché avec une énergie folle. Un des meilleurs concerts de la journée, sans aucun doute...
Le concert de Triumph Of Death revêtait une importance historique certaine pour le Metal Extrême, tout simplement parce que Hellhammer n'avaient jamais pu faire de concerts et la plupart de leurs chansons n'avaient jamais été jouées sur scène. En connaissant Tom Warrior, on pouvait s'attendre à ce que cet hommage à son groupe devenu culte et pionnier du Black Metal ne se contente pas de baigner dans la nostalgie. Ces chansons ont donc été réimaginées avec un accordage plus grave et un rythme légèrement plus lent que les versions studio, ce qui fonctionne particulièrement sur The Reaper. Il est d'ailleurs presque étrange de les entendre avec une production « normale » de concert Metal, venant d'un groupe connu pour la qualité légendairement mauvaise de ses enregistrements. La performance ne fait pas un pli, les musiciens sont très appliqués et le son est excellent, massif. Les classiques comme Maniac, Aggressor sont joués, des titres qui ont donné leurs noms à des grands acteurs de la scène Black Metal norvégienne. Bien sûr, ce concert est un bon rappel qu'un certain nombre de chansons d'Hellhammer sont de piètres contrefaçons de Venom, et que leur meilleure sortie reste Apocalyptic Raids. De fait, c'est une interprétation qui reste fidèle à l'héritage du groupe, tout en y apportant une nouvelle approche.
On a déjà vu Sabaton hier soir, du coup c’est de loin qu’on jette une oreille distraite sur leur prestation d’aujourd’hui. La set-list est la même, et l’énergie (déjà pas bien dingue la veille) est plus basse. Le chanteur n’a plus de voix et assure le minimum syndical, ”parce que nous, on n’annule pas”. On le verra scotcher les paroles devant ses musiciens pour qu’ils l’aident à assurer les parties vocales, et les titres où la chorale militaire est présente riment avec absence du frontman.
Gojira : On rigole, on rigole, mais c'était la première fois que Gojira jouaient de nuit au Hellfest depuis un long moment, de quoi leur laisser un contexte plus propice pour envoûter le public avec leurs visuels soignés. Au niveau de la setlist, les landais ne prennent aucun risque et optent pour du classique et rodé : une ouverture sur Oroborus, suivie de Backbone et il y aura peu de sorties fantaisies, mis à part la plus rare et biscornue Blow Me Away You(niverse), qui sera pour l'occasion jouée dans une version allongée se terminant dans une sorte de jam psychédélique, un exercice assez surprenant de la part de Gojira. Le reste ne surprend guère mais fait très plaisir avec Clone, Terra Inc ou même le nouveau incontournable Silvera avec ses lignes de tapping harmonisée. C'est l'occasion pour Joe Duplantier de remercier le Hellfest et les groupes français qui ont partagé la scène avec eux pour cette journée spéciale « groupes français ». On a également droit à un solo de guitare de Joe Duplantier très planant, qui renvoie aux rythmes hypnotiques de The Shooting Star. On a presque envie de soupirer avec le final sur Vacuity, tant cette chanson a trusté leurs fins de set, mais c'est sans compter une dernière surprise du quatuor, qui balance The Gift Of Guilt très mélodique, toujours avec de belles lignes de tapping. On regrette juste ce moment gênant où le feu d'artifice a commencé à exploser pendant le final du morceau, venant ainsi le gâcher royalement. Mais ne boudons pas notre plaisir, Gojira est venu, a vu et a vaincu avec un son très musclé, une mise en place toujours aussi chirurgicale et une setlist qui aura mis le plus grand nombre d'accord. Un concert qui restera sans doute dans l'histoire du festival.
Sum 41 au Hellfest. Qui l’eut cru ?! Deryck Whibley semble toujours avoir 17 ans, à la fois physiquement et vocalement. L’énergie est au rendez-vous, mais la spontanéité pas toujours. Si les titres les plus récents ne trouvent pas forcément écho, les Still Waiting, Motivation, The Hell Song, Fat Lip, et autres In Too Deep fédèrent une Warzone complètement sursaturée de monde, au point d’en être tout à fait impraticable. Mention spéciale pour les reprises un peu WTF : Another Brick In The Wall (de Pink Floyd) vient ménager une pause dans le set avec son interprétation assez fidèle à l’originale, alors que We Will Rock You (de Queen) est accéléré à fond et joué le plus Punk possible. Un concert qu’on devait à l’adolescent qu’on était il y a encore pas si longtemps...
Tops 3 du jour :
Bacteries : Daughters, Uncle Acid And The Deadbeats, Diamond Head
Chazo : Gojira, Godsmack, Kvelertak
Florian : Fu Manchu, Descendents, Dropkick Murphys
Méo : Uncle Acid And The Deadbeats, My Sleeping Karma, The Necromancers
LeLag : Uncle Acid And The Deadbeats, Gojira, Daughters
Neredude : Possessed, Gojira, Power Trip
Nonohate : Daughters, Possessed, Gojira
Pentacle : Daughters, Possessed, Gojira
Skaldmax : Possessed, Daughters, Power Trip
Zblrah : Manowar.
Mardi 27 novembre 2018
L'affiche du Hellfest 2019 a été dévoilée : Les têtes d'affiche : - Manowar, Kiss, Tool, Dropkick Murphys, Def Leppard, Lynyrd Skynyrd, Gojira, ZZ Top, Slayer, Mass Hysteria, Within Temptation, Lamb Of God, King Diamond, The Sister Of Mercy, Emperor, Carcass, Bloodbath, Deicide, Sum 41, The Adicts, Refused, Fu Manchu, Cult Of Luna, Philip H. Anselmo&The Illegals, ... Main Stage : Dream Theater, Demons&Wizards, Godsmack, Sonata Arctica, Gloryhammer, Last Temptation, Whitesnake, Deadland Ritual, Richie Kotzen, Kortini, FM, Slash, Stone Temple Pilots, Clutch, Blacherry Smoke, Eisbrecher, Nova Twins, + 1 groupe Main Stage 2 : - Ultra Vomit, Dagoba, No One Is Innocent, Lofofora, Blackrain, Klone, Architects, Böhse Onkelz, Eagles Of Death Metal, The Fever 333, Whitechapel, Skindred, Like A Storm, Anthrax, Testament, Trivium, Death Angel, Municipal Waste, Insanity Alert, Alien Weaponry Temple : - Hellhammer (!!!), Venom INC., Impaled Nazarene, Diamond Head, Trollfest, Uada, Aorlhac, Cradle Of Filth, Combichrist, Myrkur, Carach Angren, Punish Yourself, Dool, Wolfheart, Shaârghot, Tormentor, Carpathian Forest, Skald, Wiegedood, Lucifer's Child, Cemican, Bliss Of Flesh, Hyrgal Altar : - Possessed, Pestilence, Kvelertak, Power Trip, Daughters, Sublime Cadaveric Decomposition, Cult Leader, Freitot, Dark Tranquillity, Candlemass, Moonspell, Archspire, Allegaeon, Trepalium, Cypecore, Daw Of Disease, Cannibal Corpse, Vltimas, Immolation, Vomitory, Revocation, Devourment, Psycroptic, Embryonic Cells Warzone : - Descendents, Me First And The Gimme Gimmes, No Fun At All, Hank Von Hell, The Interrupters, The Dwarves, The Rumjacks, Stinky, Le Bal des Enrages, Sham69, Les Wampas, The Living End, Mad sin, Batobile, The Creepshow, Banane Metalik, Enter Shikari, Cancer Bats, Nasty, Beartooth, Morning Again, Employer To Serve, Brutus, The Amsterdam Red Light District Valley : - Uncle Acid And The Deadbeats, Graveyard, All Them Witches, My Sleeping Karma, Radio Moscow, Conan, Valley Of The Sun, The Necromancers, Envy, The Ocean, Cave In, Mantar, Sumac, Will Haven, Fiend, Coilguns, The Obsessed, YOB, Emma Ruth Rundle, Messa, Gold, Ddent + 2 à annoncer
Mercredi 21 novembre 2018
Podcast : 11ème épisode pour YCKM, notre podcast metal, avec une revue de presse du monde metal, deux chroniques sur le film Bohemian Rapsody (le biopic sur Queen) et sur PinioL. Et dans la programmation musicale vous retrouverez du Metallica, Electric Wizard, Iron Maiden, Integrity, Deftones, Power Trip, All Pigs Must Die, Amen ra, Anal Trump, Decapitated, ... Pour écouter ce podcast : - En ligne - En téléchargement le MP3 - iTunes - Deezer - Spotify - Ou via flux RSS Pour venir discuter de cet épisode direction Discord.
Mercredi 14 novembre 2018
Tool sera bien au Hellfest 2019, l'annonce vient du tourneur du groupe. Le festival français devrait annoncer son line up d'ici la fin du mois (quels sont vos pronos ?). Nous on mise sur Def Leppard, Slipknot, Rammstein, Tenacious D, Slash, Fever 333, Behemoth, Godsmack, Alice In Chains, Power Trip, Halestorm, Whitesnake, Skindred, Gold, Orange Goblin, Sick Of It All, Birds In Row, Shining, Hangman's Chair, Cult Leader, ...
Dimanche 23 septembre 2018
Jeudi 14 juin 2018
Power Trip dans ton salon ? C'est l'idée de "House Of Strombo" où un groupe joue un concert dans une maison, pleine de gens évidemment. Ça démarre sur un "pour les prochaines minutes je suis très heureux que cette maison ne soit pas la mienne".
Vendredi 27 avril 2018
Power Trip sort aujourd'hui une compilation de morceaux du début de sa carrière, intitulée Opening Fire : 2008-2014 et ça se découvre sur bandcamp.
Mercredi 28 mars 2018
Le site bandcamp a publié un article retraçant 20 ans d'histoires du label Southern Lord Recordings. On y retrouve pas mal de groupes cultes de la scène Doom / Drone / Expérimentale avec du Sleep, Sunn O))), Earth, Power Trip... C'est à lire (en anglais) et à écouter par là.
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