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Mardi 13 juin 2023
Arte Concert a annoncé la liste des diffusions que la chaîne fera lors du Hellfest (certaines sur Facebook et Youtube live). On retrouve entre autres Code Orange, Today Is The Day, Architects, Amenra, Fishbone, Parkway Drive, Dvne, Vreid, Less Than Jake, Sum 41, Machine Gun Kelly, 1349, Powerwolf, The Hu, Carpenter Brut, Arch Enemy, Testament, Electric Callboy, Halestorm, Amon Amarth...
Vendredi 16 décembre 2022
Le Hellfest 2023 a dévoilé son affiche, sont donc annoncés :
- 15 juin : Kiss, Hollywood Vampires, Generation Sex, Coheed And Cambria, Parkway Drive, Architects, In Flames, I Prevail, Code Orange, Fishbone, Svinkels, Ludvig Von 88, Poésie Zero, Amenra, The Soft Moon, Birds In Row, Celeste, Today Is The Day, Katatonia, Hypocrisy, Candlemass, Nighfall, Behemoth, Dark Funeral, Harakiri For The Sky, Imperial Triumphant, Blackbraid
- 16 juin : Mötley Crüe, Def Leppard, Alter Bridge, Skid Row, Elegant Weapons, British Lion, The Quireboys, P-Troll, Sum 41, Machine Gun Kelly, Papa Roach, Motionless In White, Eths, Nothing More, Mod Sun, Escape The Fate, Vended, Rancid, Flogging Molly, Gogol Bordelo, Less Than Jake, Cockney Rejects, The Chats, Homintern Sect, Peter Pan Speedrock, Syndrome 81, The Cult, Greg Puciato, Primitive Man, Weedeater, Helms Alee, Bongripper, LLNN, My Dilligence, As I Lay Dying, Suffocation, Bloodbath, Aborted, Unearth, Full Of Hell, Nostromo, Candy, Venefixion, Venom Inc., Gorgoroth, 1349, Vreid, Der Weg Einer Freiheit, 1914, ACOD, Belenos, Hetroertzen
- 17 juin : Iron Maiden, Porcupine Tree, Carpenter Brut, Puscifer, Beast In Black, Riverside, Evergrey, Scarlean, Within Temptation, Powerwolf, Arch Enemy, Seether, Asking Alexandria, Fever 333, Bloodywood, Cobra The Impaler, Black Flag, Municipal Waste, Stray From The Path, Pro Pain, Sould Glo, Mindforce, Spiritworld, Zulu, Hard Mind, Clutch, Monster Magnet, Earthless, The Obsessed, Stoned Jesus, Crowbar, King Buffalo, Spirit Adrift, Decasia, Meshuggah, Voïvod, Lorna Shore, Born Of Osiris, Gorod, Loathe, Ten56., The Dali Thundering Concept, Pestifer, The Hu, Faun, Finntroll, Myrath, Saor, Svalbard, Halandra, White Ward, Nature Morte
- 18 juin : Slipknot, Pantera, Amon Amarth, Hatebreed, Hollywood Undead, Ho99o9, Florence Black, Do Or Die, Tenacious D, Incubus, Electric Callboy, Halestorm, The Distillers, Thundermother, Skynd, The Ghost Inside, Rise Of The Northstar, The Amity Affliction, Cane Hill, Paleface, End, Resolve, Beyong The Styx, Melvins, Dance With The Dead, Legion Of Doom, Mutoid Man, Empire State Bastard, Wolvennest, Doodseskader, Testament, Dark Angel, Exodus, Holy Mosos, Vektor, Evil Invaders, Schizophrenia, Aleister, Fields Of The Nephilim, Paradise Lost, Lord Of The Lost, She Past Away, Treponem Pal, The Old Dead Tree, Strigoi, Blod
Ca se passe du 15 au 18 juin à Clisson et c'est déjà complet.
Vendredi 09 septembre 2022
Grosse journée de sorties ! Beaucoup de tête d'affiche pour cette rentrée. Qu'écoutez vous en premier ? - Ozzy Osbourne (Heavy, UK)
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- Electric Callboy (Metalcore / Eurodance, Allemagne)
🎧 : Décalé au 16 septembre.
- Parkway Drive (Metalcore, Australie)
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- Bloodbath (Death Metal, Suède)
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- A Void (Grunge / Rock, France)
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- Abrams (Sludge / Post-Metal, USA)
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- Abrams (Stoner, USA)
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- Allen/Olzon (Metal Sympho, Suède)
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- An Abstract Illusion (Prog Death, Suède)
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- Angel of Suicide (Black Metal, France)
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- ANZV (Black Metal, Portugal)
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- Armor For Sleep (Alt Rock / Emo, USA)
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- Arsena (Thrash, USA)
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- Astral Spectre (Rock Occulte / Black Metal, Allemagne)
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- Awaken the Misogynist (Brutal Death, International)
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- Berried Alive (Experimental / Djent, USA)
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- Bones (Death Metal, Belgique)
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- Built To Spill (Indie Rock, USA)
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- Cigar (Pop Punk, USA)
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- Crippled Black Phoenix (Folk / Post Rock, UK)
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- Cult Leader (Chaotic Hardcore, USA, Split avec END, ça rigole donc zéro)
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- Demon Hunter (Metalcore, USA)
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- Eat Your Heart Out (Pop Punk / Alt Rock, Australie)
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- Escarnium (Death Metal, Brésil)
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- Fallujah (Tech Death, USA)
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- Flogging Molly (Street Punk / Punk Celtique, USA)
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- Greber (Death, Canada)
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- Havok (Death Metal, Suède)
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- Highly Suspect (Alt Rock, USA)
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- Holy Fawn (Blackgaze, USA)
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- I AM (Death Metal, USA)
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- Icon For Hire (Alt Rock / Hard Rock, USA)
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- Inhuman Depravity (Death Metal, Portugal)
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- J.R. SLAYER (Indie Rock / Punk, USA)
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- KMFDM (Indus Metal, Allemagne)
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- Lunar Spells (Black Metal, Grèce)
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- Malemort (Heavy / Hard Rock, France / Paris)
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- Megalophobe (Avant Garde, USA, Split avec Gridfailure)
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- Motihari Brigade (Rock, USA)
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- Mourir (Black Metal, France)
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- Nessel (Post Metal / Shoegaze / Screamo, Allemagne)
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- Netherlands (Noise Rock / Psyche, USA)
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- Offernat (Heavy / Sludge, Danemark)
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- Perversion (Black Death, USA)
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- Preoccupations (Post Punk, Canada)
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- Revocation (Death Metal / Thrash, USA)
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- Rotborn (Death Metal, Brésil)
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- Sideburn (Metalcore, France)
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- Slugcrust (Death Metal / Crust, USA)
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- Stray From The Path (Metalcore, USA)
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- The Afghan Whigs (Alt Rock, USA, Mark Lanegan chante sur deux titres de cet album.)
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- The Deer (Folk / Indie Rock, USA)
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- The Midnight (Synthwave / Sytnth Pop, USA)
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- The Summer Set (Pop Punk, USA)
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- The Wolf You Feed (Prog Metal, France)
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- The Young Gods (Experimental / Electro, Suisse)
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- Toadeater (Post-Black, Allemagne)
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- Toughness (Death Metal, Pologne)
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- Trauma (Thrash, USA)
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- Tyler Bryant&The Shakedown (Rock, USA)
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- Unbounded Terror (Death Metal, Espagne)
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- Until I Wake (Alt Metal / Metalcore, USA)
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- Valborg (Doom Death, Allemagne)
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- Vermilia (Black Metal / Pagan Metal, Finlande)
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- Ville Laihiala&Saattajat (Hard Rock, Finlande)
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- Vrenth (Death Metal, USA)
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- Vögel (Prog / Black Metal, Islande)
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- Warforged (Black Death, USA)
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- Wayward Dawn (Death Metal, Danemark)
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- Wounds of Recollection | Daygraves (Post Black / Post Rock, USA)
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Jeudi 25 août 2022
Nouveau titre dévoilé par Parkway Drive avec Darker Still (toujours dans un style bien différent de leurs habitudes). L'album éponyme sort le 9 septembre.
Jeudi 07 juillet 2022
Parkway Drive a dévoilé un nouveau titre : The Greatest Fear. Avec quelques changements stylistiques pour celui ci, du genre Neo Metal vs Goth Metal vs Solo. Darker Still sort le 9 septembre.
Mercredi 08 juin 2022
Parkway Drive est de retour avec un nouveau single : Glitch. Le groupe sera à Paris (Zénith) le 27 septembre.
Jeudi 11 novembre 2021
Parkway Drive sera à Paris le 27 septembre 2022 (Zenith) accompagné de While She Sleeps.
Jeudi 11 juin 2020
Hellfest et Arte Concerts vont proposer, sur les dates de l'édition 2020, un festival video basé sur des lives des années passés. Au programme on retrouvera, entre autres : Parkway Drive, Faith No More, DevilDriver, Anti-Flag, Bad Religion, Madball, Gallows, Papa Roach, Sepultura, Tagada Jones, Prophets Of Rage, Punish Yourself, Suicidal Tendencies, Beartooth, The Dillinger Escape Plan, ... De plus le 18 juin à 20H il y aura un concert en direct des locaux du Hellfest avec 3 formations Nantaises : Stinky, Regarde Les Hommes Tomber et Ultra Vomit. A 22H ce concert sera suivi d'un documentaire inédit : Hellfest 15 ans de bruit et de fureur. Rendez vous 18, 19, 20 et 21 juin sur hellfest.fr pour suivre cela. L'affiche complète est à voir ici.
Mercredi 05 février 2020
Parkway Drive sortira Viva The Underdogs le 27 mars chez Epitaph Records, un documentaire sur le groupe. Un B.O est prévue avec onze tires lives enregistrés au Waken Open Air en 2019 ainsi que trois titres enregistrés en Allemagne. Voici la pochette et la tracklist. Le morceau Die Leere s'écoute dans la suite.
Mercredi 15 janvier 2020
Et comme chaque semaine YCKM nous propose un nouve épisode, n°13 pour cette saison, avec cette fois le black norvégien de Mare et le death de Blood Incantation. Avec une programmation alternant Monster Magnet, Haunt, Wormrot, Evanescence, Parkway Drive, Abuse of Power, ... Pour écouter : sur vos applis de podcast cherchez YCKM ou Metalorgie, sinon ici (avec même un MP3 dispo au téléchargement si vous le souhaitez).
Samedi 14 septembre 2019
Parkway Drive sera à Paris (Zenith) le 15 avril prochain, les places seront en vente le 17 septembre à 10H.
Mardi 22 janvier 2019
Parkway Drive (Metalcore) vient de clipper le titre "Shadow Boxing". Ce morceau est issu de leur dernier album en date, Reverence, paru le 4 mai de l'année dernière chez Epitaph Records. Clip à retrouver ici.
Jeudi 29 novembre 2018
Hey comme chaque fin d'année on va vous bassiner pour que vous notiez vos albums écoutés en 2018 afin de faire le top lecteurs (l'un des articles les plus lu de l'année). Donc si vous avez des coups de cœur, des "mouais", des "enlève ça tout de suite c'est dégueulasse" il est temps de venir poser une petite note ! Pour vous aider voilà quelques groupes ayant sortis des albums en 2018 : Hangman's Chair, Zeal And Ardor, Soulfly, Mass Hysteria, A Perfect Circle, No One Is Innocent, Deafheaven, Scars On Broadway, Powerwolf, Turnstile, Machine Head, Immortal, Ghost, Parkway Drive, Cult Leader, Daughters!, Ken Mode, Birds In Row, Khemmis, Hardcore Anal Hydrogen, Will Haven, Messa, Portal, Lofofora
Mardi 07 août 2018
Le Wacken Open Air a annoncé une partie des groupes de son affiche 2019 : Sabaton (20ème anniversaire), Parkway Drive, Powerwolf, Airbourne, Rose Tatoo, Within Temptation, Meshuggah, Krokus, Dark Funeral, Avatar, Demons&Wizards. Déjà 50 000 billets ont été vendu pour cette édition qui se tiendra du 1er au 3 août, ça sera la 30ème édition du festival.
Lundi 23 juillet 2018
Chronique de Reverence, le dernier Parkway Drive : Reverence est sans nul doute un bon album pourtant il marque le début d’une routine dans laquelle il n’est pas bon de stagner. [...]
Jeudi 05 juillet 2018
Parkway Drive sera à l'Olympia de Paris le 4 février prochain et le lendemain à Bruxelles (Forest National).
Mercredi 27 juin 2018
Hellfest 2018 : On va continuer de vous donner les liens des galeries photos / vidéos / reportages sur le Hellfest. Si vous en publiez n'hésitez pas à nous prévenir.
Déjà chez nous :
Vendredi : Report / Photos Samedi : Report / Photos Dimanche : Report / Photos
Ailleurs :
- Radio Metal a fait son Fil Rouge lors du Hellfest, à voir ici. - Des photos prises depuis la fosse ici, signé GPR. - Plein de photos du site, du public signées Justine Cannarella à voir là. - Les vidéos de Arte Concert (avec entre autres : Svinkels, Pleymo, Children Of Bodom, Nile, Parkway Drive, Memoriam, Madball, Bad Religion, ...)
Dimanche 24 juin 2018
Live Report : Hellfest - Jour 2 Et c’est parti pour un samedi qui fera la part belle au Neo Metal, au Hardcore et il y aura pas mal de lien avec le Hip-Hop (Dälek, Ho99o9, Powerflo, Body Count, …). C'est une première d’avoir autant de représentants du genre à Clisson.
Pensées Nocturnes : Simple projet one-man band de Vaerohn à l'origine, c’est au printemps 2017 que Pensées Nocturnes se produit pour la première fois en concert en s’entourant d’une poignée de musiciens. Le groupe montre déjà un professionnalisme exemplaire, preuve d’une expérience de la scène grandissante. Enchaînant les utilisations d’instrument peu habitués à sonner sous la Temple comme l’accordéon, la trompette ou encore le trombone, la formation parisienne dégage une aura sur scène qui nous transporte dans ce monde cauchemardesque où l'on a hâte de s’enfoncer en espérant que le cauchemar dure aussi longtemps que possible.
Monolord : L’un des premiers concerts de la journée et première claque. Une entame de Valley idéale pour se réveiller convenablement. On reste comme à l’habitude des suédois, du riff, du riff, et encore du riff, gras et basé sur un assemblage minimaliste de notes, qui ravira une assemblée en phase de réveil. Les morceaux du dernier album, Rust, s’agglutinent et font leur office, aplatissant les têtes, écrasant les corps. Classique mais efficace, du feeling et de la lourdeur, tout ce qu’on attendait finalement.
Get The Shot : Les Québécois ont littéralement cramé la Warzone, bien aidés par les compos de Infinte Punishment, mais aussi de l’album précédent No Peace In Hell, de la matière gorgée de feeling pour satisfaire la ménagère hardcore de moins de 50 ans. Les messages politiques n’ont pas manqué, orientés en particulier sur la répression policière. Les titres de Get The Shot résonnent dans la Warzone et contentent une affluence étonnamment massive à midi. De quoi retourner une assemblée de coreux à travers une énergie positive.
Demilich : Demilich est l’exemple même de la formation culte qui n’a pas eu droit à la notoriété qu’elle mérite. En effet, les finlandais n’ont sorti qu’un seul et unique album. Je vous encourage, si ce n’est pas déjà fait, à vous plonger dans l’album Nespithe, qui aurait mérité que le groupe se retrouve aux côtés de formations comme Death, Gorguts ou encore Nile. Malgré un son légèrement en retrait, ce qui n’aide pas les festivaliers qui viennent découvrir le groupe sur scène aujourd’hui, les finlandais, très heureux de se produire enfin chez nous, font preuve d’une technicité exemplaire. Pour l’occasion le groupe a même réalisé un t-shirt spécial aux couleurs du drapeau français, fièrement arboré par le bassiste.
Misþyrming : Ce qui est incroyable chez les islandais c’est la virulence avec laquelle ils exécutent leurs morceaux sur scène. Tu sens que les gars ne sont pas là pour rigoler et qu’ils vivent vraiment leur Black Metal, bien plus que certains groupes dans le genre qui sont méchants dans leurs compos, mais dans l’attitude c’est tout autre. Tu ajoutes à ça un son exemplaire où l’on distingue les instruments, une voix de possédée et des leads de guitares fous (sur Söngur Heiftar notamment) et tu obtiens un concert de Black Metal les plus marquants au Hellfest de ces dernières années.
Knocked Loose : Seconde excursion vers la Warzone et seconde gifle, dans le domaine hardcore beatdown moderne, on peut difficilement faire mieux. Rythmique sur-lourde, dérision verbale et feeling outrancier, les jeunes gens de Knocked Loose n’ont déjà plus rien à prouver en direct. A l’image de leurs camarades de Code Orange, les gaziers sont en place et engrangent les points de vie à travers les titres de Laugh Tracks, sans complexe.
Psykup : C’est une immense foule qui déborde déjà de la Altar qui s’est donnée rendez-vous en ce début d’après-midi pour accueillir une de nos formations cultes bien de chez nous : les toulousains de Psykup. Le show aujourd’hui sera dans l’exacte continuité de la tournée de 2017 qui faisait suite à la sortie de Ctrl+Alt+Fuck, leur dernier album. Le seul véritable regret de ce concert vient de ce show entièrement calculé comme il l’était lors de la tournée qui les a amené à filmer leur concert à domicile pour une sortie DVD. Plus de spontanéité et de morceaux des anciens albums auraient été les bienvenus et le résultat n’en aurait été que plus impactant.
Re-Psykup (vu par un autre chroniqueur, qui n’avait pas vu la tournée précédente et n’était donc pas spoilé) : Après un court sample de Surfin’ USA en intro, les membres de Psykup arrivent en chemises à fleurs et en lunettes de soleil, en jetant des frisbees dans la foule. L’ambiance est posée, c’est parti pour quarante minutes d’Autruche-Metal débile, groovy, et précis dans son exécution. « On s’appelle Psykup, on vient de Tokyo ! » lâche le vocaliste, toujours dans l’esprit WTF du groupe. Leur titre Do It Yourself sera dédicacé au Hellfest qui s’est construit à partir de rien. On retiendra aussi les morceaux Cooler Than God ou Love Is Dead, qui marquent par la puissance de leur groove parfaitement retransmis sur scène. En parlant de scène, Psykup n’investit la Altar qu’avec un tout petit backdrop à l’effigie du récent Ctrl+Alt+Fuck, mais a aussi posé de part et d’autre de la batterie six panneaux lumineux qui s’allument pour former différents mots ou logos selon les titres, et qui en fin de set affichent une alternance "Merci! / Bisous!". Des fadas, ces toulousaings.
Oranssi Pazuzu : Cette année le Hellfest nous gâte pour ce qui est des perles underground et / ou old school sous la Temple et l’Altar. Oranssi Pazuzu était assurément un nom à ne pas rater pour qui aime l’ivresse musicale. Avec ses deux guitaristes et son clavier, le groupe débarque sur un premier titre un peu inquiétant question qualité sonore , ça vrombit dans tous les sens, mais il est carrément ardu de distinguer les notes aiguës. Problème réglé dès le deuxième morceau extrait du dernier méfait des Finlandais. Et là, c'est l'envol, le départ vers d'autres dimensions. Oranssi Pazuzu rayonne de puissance et distille ses mélodies étranges, Aux portes du Psyché. Lahja nous met sur les rails avec ses percussions tribales et cette guitare répétitive, un trip qui durera tout le reste du concert, consacré essentiellement à l’excellent dernier né Värähtelijä. Si les non-initiés et réfractaires pourront trouver des longueurs dans les riffs tournant en boucle, les nordiques préparent en fait le terrain pour des explosions incroyables. Le final se fera sur un Vasemman Käden Hierarkia dantesque, brillant par son tempo écrasant qui finit de sonner l’auditoire. Le retour au monde physique est douloureux, voir un autre concert immédiatement après n’est vraiment pas une idée séduisante, on préférera plutôt se ressasser encore quelques minutes les élucubrations fantastiques des scandinaves.
Heilung : Jean Michel Pagan était de sorti sous la Temple vers 17h avec les allemands d’Heilung puisque cette année il n’y avait pas Wardruna pour assumer sa passion pour les peaux de bêtes, le marquage au crayon noir et les cornes à boire. La scène est blindée, on ne peut rien voir à part des silhouettes de types habillés avec des peaux d’animaux morts et des bardages de bois qui servent de cache misère. Des borborygmes, des percussions tribales minimalistes… heureusement qu’on a eu plusieurs siècles d’évolution pour dépasser ce néant musical. Curieux que des mecs souhaitent s’y complaire. Lundi, tout ce beau monde pourra retourner au bureau se faire chier la nouille en réunion et aller faire ses courses au Leader Price du coin, mais le temps d’une petite heure Jean Michel Pagan aura voyagé quelque peu dans des contrées fantasmées, tout comme son patrimoine viking hérité de sa grand mère espagnole.
Modern Life Is War : Augmenté de deux récents nouveaux titres, Modern Life Is War s’est fait plaisir tout en les distribuant à un public malheureusement peu agglutiné devant la scène. Alors que Get The Shot avait rempli les lieux plus tôt dans la journée, on se retrouve un peu désolé de voir un groupe emblématique des 90’s se démener devant un public trop peu intéressé. Le groupe n’est certes pas très porté sur la promo, mais ça ne nous empêche pas de soutenir le bouzier, qui mérite amplement un relais. On tâchera d’en profiter, comme on l’a fait durant leur set.
Jonathan Davis : Jonathan Davis en solo sonne comme du vieux Korn, c’est à dire glauque et lugubre en restant accessible, mais en plus dépressif, en plus Pop et en plus chiant. C’est long et il ne se passe rien. On se rattrape avec l’originalité de la formation : en plus du vocaliste qui donne son nom à son groupe, sont présents sur scène un batteur (celui de Korn d’ailleurs), un guitariste, un claviériste, mais aussi un contrebassiste et un violoniste. Mais en dehors de ça, on ne retiendra pas grand chose d'intéressant ici.
Dälek : Si le Hip-Hop est un peu plus à l’honneur cette année notamment sur cette journée du Samedi, peu de monde s’est pressé pour voir Dälek sous la Valley. Quelle erreur, mais ceux qui connaissent ou venaient pour la découverte ne seront pas déçu. A l’occasion pour ce concert, c’est Mathieu Vandekerckhove d’Amenra qui est venu prêter main forte au duo à la guitare. Celui-ci se montrera assez discret, mais ajoutera tout de même une couche d’effets supplémentaire aux machines de Rek. 50 minutes de Hip-Hop lourd, froid, urbain et bruitiste porté par le flow colérique de MC Dälek. Le son n’est pas à leur avantage, mais on comprend la thématique : c’est noir et lancinant. Dälek pioche surtout dans son dernier et premier album avec trois titres d’Absence : Asylum, Ever Somber et le fantastique Culture For Dollars, mais aussi Echoes Of… d’Endangered Philosophies qui détruit tout sur son passage avec cette rythmique tellement méchante. On y trouvera également les morceau Weapons et Numb en conclusion. Un très bon set, mais on aurait aimé encore plus de basse et encore plus de lourdeur pour faire s'écrouler la Valley.
Pleymo : Les Pleymo attaquent leur set avec United Nowhere puis Ce Soir C’est Grand Soir, de vieux titres bourrins au chant rappé qui permettent au groupe de gagner l’attention de la foule amassée devant les Mainstages, a.k.a. les scènes "revival 2000" de ce samedi. Le groupe fera l’effort de continuer de glisser de nombreux titres bien vénères pour justifier leur présence, malgré quelques incursions vers leurs albums les plus récents. Ces quelques titres, plus mous, laissent indifférent les gens qui, comme moi, regardent de loin, mais l’ambiance dans le pit semble complètement survoltée tout le long de la prestation. Le chanteur remercie d’ailleurs le public et demande si "vous êtes là ?" entre chaque titre (c'est lourd), et provoque un gros Braveheart sur Tank Club. Pleymo finira par Blöhm!, un dernier extrait de leur premier album, datant déjà de 1997 (ça aussi, on nous le rappelle entre les morceaux, que Pleymo a eu une carrière : re-lourd), pour partir en beauté. L’air de rien, quand ils blablataient pas, ils ont tout péta.
Bullet For My Valentine : Même s’il y a encore une énorme masse de monde, la foule semble moins réactive pour Bullet For My Valentine que pour Pleymo. Il faut dire que leur look de poseurs prétentieux en mode coreux à casquette et la distance que les musiciens mettent avec le public (lunettes noires, pas vraiment de communication) n’ajoutent pas à leur capital sympathie. Contrairement aux autres groupes de notre adolescence qui jouent sur les Mainstages aujourd’hui, Bullet For My Valentine joue des titres récents et n’arrive pas à déclencher le petit quelque chose qu’on attend d’eux. Pour couronner le tout, le frontman est peu bavard et de longs blancs s’installent entre les morceaux. Parfois un nouveau titre finit par démarrer, d’autres fois le chanteur sort quelques phrases bateau avant de lancer la suite, mais dans tous les cas on sent un malaise. Heureusement, le groupe finira avec Tears Don’t Fall et Waking The Demon pour un fan-service minimal.
Terror : Que dire sur un show de Terror ? Le groupe était au taquet ? Le public aussi ? Sur les bords de la scène on retrouve les groupes de la journée (prêt à venir faire un feat, aider… si besoin). Scott Vogel harrangue la foule, répète en boucle que c’est bien d’être en vie, d’être libre… Et entre ses discours : ça joue à fond, évidemment.
C’était bien, c’était Terror.
Body Count : Ouvrir son set sur une Mainstage par une reprise de Slayer quand on est un groupe de Rap / Metal, fallait y penser. Mais continuer par une seconde reprise (toujours de Slayer), puis du blabla, puis un solo de guitare noisy, puis du blabla... Au final, Body Count semble pêcher par excès de confiance et tombe dans la désinvolture. On dirait que le groupe est en répétition... Jusqu’à un certain point où le concert commence vraiment, avec les tubes Cop Killer et Talk Shit Get Shot qui sont joués en fin de set. Mais c'était trop tard pour véritablement s'enflammer.
Deftones : Il faut remonter en 2009 pour la dernière apparition de Deftones en terre clissonnaise, donc dire qu’aujourd’hui le groupe était attendu serait le plus gros euphémisme de la journée. L’hystérie s’empare de la foule à l’apparition des premiers membres du groupe et de Chino Moreno qui lance le concert sur Headup. L’effervescence est alors quasi-instantanée dans la fosse et ne redescendra pas de sitôt car les morceaux suivant ne sont autres que My Own Summer et Around The Fur. La setlist aura la particularité de regrouper les morceaux joués à la suite par album, ainsi après Around The Fur s’enchaîne White Pony puis Diamond Eyes. Malgré les conditions proposées par la Mainstage 1, Chino a cette particularité de créer une connexion avec son public en toutes circonstances, atteignant un pic d’émotion sur Knife Party et Change (In The House Of Flies). Le rappel au soleil couchant se fait sur un enchaînement tiré d’Adrenaline sur lequel Sen Dog de Cypress Hill, présent ce jour pour son nouveau groupe Powerflo, vient épauler Chino en arborant fièrement un t-shirt Hellfest Crew. Une seule envie à la sortie du set de Deftones, celle de vouloir les revoir au plus vite.
Limp Bizkit : Lors de leur dernier passage en 2015 le groupe avait fait un set plus que moyen en remplissant leur playlist de reprises (genre Limp Bizkit n’a pas de quoi balancer une heure de tubes). Cette fois ça débute plutôt bien, ça balance des tubes; mais très vite Fred Durst blablate pendant des plombes entres les titres, puis DJ Lethal nous balance des extraits de titres connus (du Slayer, du Pantera, du Nirvana, du Rage Against The Machine...). L'horreur absolue sera atteinte sur La Marseillaise pour une mabiance fête à la saucisse digne de ce nom. Voilà comment prolonger son set, de casser le rythme… Au final si on prend les titres joués c’était une bonne playlist (Rollin' (Air Raid Vehicle), Nookie, My Way, Take A Look Around...) mais avec des interludes relous au possible.
Watain : Tridents en flammes, foule agglutinée, les Suédois sont attendus de pied ferme par une Temple bien remplie et avide d’en découdre. Le rituel prend forme comme d’habitude, Erik Danielsson se la joue solennel et voilà le set lancé. Entre rythmiques hachées qui tabassent et tremolos mordants, Watain mène sa danse avec aisance et bénéficie d’un son très bien équilibré. Exit les bouchons d’oreilles, les notes dissonantes viennent s’échouer sur les brasiers incandescents tandis que la foule réagit avec ferveur. Placé en pleine nuit, le set est empreint d’un mysticisme renforcé par un light show très dynamique voire épileptique. Pour conclure sa mise en scène Danielsson incarne Lucifer en personne en transmettant la lumière au public, avant de retourner dans les ténèbres.
Cro-Mags : Allez, pour ce weekend en virée Crossover on demande les papas : Cro Mags. Version John Joseph évidemment (si vous avez suivi les batailles autour du groupe) et c’est une petite leçon d’histoire et de musique. Le groupe joue limite Thrash puis montre ses aspects plus Hardcore. Pas de grosse révélation ici, mais un concert sympa et énergique.
Nile : Les plus fins égyptologues du Hellfest se sont donnés rendez-vous à l'Altar pour une conférence fort intéressante présidée par Nile. Direction les catacombes des pyramides et la Douât avec le Brutal Death Technique des Américains sans passer par la case tourisme. Agrémenté de quelques samples de musiques d'ambiance histoire d’aérer et de faire humer le sable brûlant au public, le set ne fait pas défaut à la réputation de notre troupe d’historiens. Du Brutal Death Technique exécuté sans accroc, sans énorme prestation non plus. Globalement bon, le son laisse passer les lignes mélodiques qui se faufilent sans souci dans les esgourdes, respiration salutaire entre le matraquage compulsif de George Kollias et le riffing ininterrompu des guitaristes. Avec un Suffocation qui a tout retourné hier, Nile souffre fatalement de la comparaison, et on ne peut pas s’empêcher de noter des guitares trop rocailleuses qui méritaient un son plus plein.
Neurosis : Cette branlée. Ce son de fou furieux. On n’était pas prêts. Ce n’est pas la première fois que Neurosis vient au Hellfest ou qu’on a la chance de les voir sur d’autres festivals, mais là, les mecs ont poussé les potards à 11. Tout sonne parfaitement, de la batterie aux rythmiques tribales jusqu’aux guitares carnassières et au chant terrible de Steve Von Till et Scott Kelly. On sent le groupe très remonté de l’ouverture sur Given To The Rising jusqu’au final apocalyptique du monstrueux Through Silver In Blood. Un pliage de nuque en bonne et due forme et un immense signe de respect pour les américains qui sont encore et toujours largement un cran au dessus de toute la vague de groupes Post-machin.
Parkway Drive : Fulgurante ascension que celle de Parkway Drive qui en 2013 encore se produisait en milieu d’après-midi avec un simple backdrop comme décor. Aujourd’hui c’est bel et bien en tête d’affiche de la Mainstage 2 que les australiens se produisent. Pour l’occasion, le groupe nous dévoile un show de lumière, de pyrotechnie ainsi que d’autres artifices dignes des plus gros noms de cette affiche. Malheureusement, il faut plus qu’un show visuel captivant pour en venir à apprécier une heure de set majoritairement composé de morceaux des deux derniers albums du groupe. Et ce n'est clairement pas leurs meilleurs titres.
Dimmu Borgir : Dimmu Borgir qui clôt les concerts de la Altar, c’est l’assurance d’une surpopulation sous la tente en question pour une fin de soirée placée sous le signe de l’epicness. Après une conventionnelle ouverture avec les deux premiers titres du récent Eonian, les Norvégiens dégainent leurs tubes : The Chosen Legacy, Gateways, Dimmu Borgir... Les lumières rouges, la fumée, et le backdrop qui symbolise une façade d’église donnent une ambiance de messe noire au set. Les chœurs sont parfois un peu faiblards, mais la set-list est un tel best-of que l’efficacité est là. Mais la fatigue aussi, et de loin, le son est étouffé et la magie prend moins bien. Dimmu Borgir termine sa collection de tubes par des inévitables, Progenies Of The Great Apocalypse et Mourning Palace. Rien à redire sur la prestation, mais elle fut difficile à apprécier à cause de la foule et de l’épuisement.
Top 3 :
Méo : Orange Goblin, Get The Shot, Monolord
Bacteries : Deftones, Psykup, Neurosis
Skaldmax : Oranssi Pazuzu, Misþyrming, Deftones
Pentacle : Neurosis, Oranssi Pazuzu, Dälek
Florian : Neurosis, Turnstile, Deftones
Chazo : Deftones, Ho99o9, Psykup
Tang : Neurosis, Knocked Loose, Dälek
Zbrlah : Deftones, Psykup, Enslaved
Nonohate : Neurosis, Deftones, Misþyrming
Jeudi 15 mars 2018
Le prochain Parkway Drive sortira le 4 mai prochain et se nommera Reverence. Et l'album se dévoile via un premier titre : The Void.
Samedi 13 janvier 2018
American Satan est un film qui sortira le 16 janvier prochain et qui a la particularité d'être réalisé par Ash Avildsen, le fondateur de Sumerian Records. Pour l'occasion l'OST sera particulièrement garnie : Parkway Drive, The DIllinger Escape Plan, Skid Row, Deftones, parmi de nombreux autres.
Jeudi 16 novembre 2017
Le Graspop Metal Meeting a annoncé pas mal de noms de sa programmation 2018 (le festival a souvent une affiche proche de celle du Hellfest en ce qui concerne les mainstage) : Guns N'Roses, Iron Maiden, Ozzy Osbourne, Avenged Sevenfold, Judas Priest, A Perfect Circle, Parkway Drive, Limp Bizkit, Megadeth, Bullet For My Valentine, Kreator, Body Count, Killswitch Engage, Powerwolf, P.O.D., Watain, Asking Alexandria, At The Gates, Less Than Jake, Anti Flag, The Darkness, Iced Earth, Underoath, Exodus, Amaranthe, Thy Art Is Murder, Powerflo, Emmure, Marduk, Tesseract, Miss May I, Stray From The Path, Vader, Tyr, Arkona, Carnivore A.D., Pist*on, Planet Of Zeus, Modern Life Is War, Knocked Loose, BlessTheFall, Asphyx, Zeal And Ardor, Akercocke, Silverstein, Bölzer, Monuments, Stone Broken. Ca se passe en Belgique du 21 eu 24 juin.
Dimanche 04 décembre 2016
Mardi 22 novembre 2016
Stick To Your Guns rejoint les rangs de la prochaine tournée européenne de Parkway Drive qui fera halte au Bataclan de Paris le 13 avril en compagnie d'Asking Alexandira.
Mardi 01 novembre 2016
Le Groezrock, qui se tiendra les 29 et 30 avril 2017 à Meerhout en Belgique, a annoncé ses deux têtes d'affiches : Deftones et Parkway Drive. Les tickets sont en vente ici.
Samedi 24 septembre 2016
Parkway Drive sort un clip pour Bottom Feeder. la chanson d'un AdC sans assist frustré... Comprendra qui pourra.
Jeudi 15 septembre 2016
En plus de la date du 13 avril au Bataclan de Paris en compagnie de Parkway Drive, Asking Alexandria sera en France en 2017 pour deux autres dates : 01 mars - Lyon, Ninkasi Kao 02 mars - Pennes Mirabeau, Jas Rod
Mercredi 07 septembre 2016
Mercredi 24 août 2016
En concert aujourd'hui : - Parkway Drive, The Word Alive et Burning Down Alaska jouent ce soir au Parc des Expositions de Colmar. Les places sont en vente par ici. Toutes les infos sont sur l'event FB.
Lundi 25 juillet 2016
Parkway Drive c'est dans un mois à Colmar (Parc des Expositions), le mercredi 24 août précisément (event FB / billets sur Weezevent). Ils seront accompagnés de The Word Alive et Burning Down Alaska.
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