Encore un excellent album, très accessible. Le son est très moderne. Le mélange d'electro et de rock/metal est excellent et plus cohérent que sur One second.
Paradise Lost
Doom / Rock / Pop / Electro

Symbol of Life
1) Isolate
2) Erased
3) Two Worlds
4) Pray Nightfall
5) Primal
6) Perfect Mask
7) Mystify
8) No Celebration
9) Self-Obsessed
10) Symbol of Life
11) Channel for the Pain
Chronique
Il ne nous aura fallu attendre qu´à peine plus d´un an et demi pour que Paradise Lost nous sorte une nouvelle petite merveille, qui trouverait facilement sa place entre « Believe in Nothing » et « One Second » (Cela faisait longtemps qu´un disque n´avait pas tourné en boucle aussi longtemps dans ma chaîne).
Ca commence fort avec « Isolate », qui marque tout de suite un retour à une musique un peu plus énergique (d´ailleurs musicalement cette chanson ferait facilement penser à du Rammstein), par rapport à « Believe in Nothing » : on sent tout de suite que les guitares seront beaucoup plus présentes au long des 53 minutes que dure cet album.
Cependant « Symbol of Life » est rempli de cette même atmosphère propre à tous les albums de Paradise Lost, un mélange de mélancolie, de froid et de noirceur... Et cette formule marche toujours aussi bien. La voix de Nick Holmes est magnifique, les musiques lancinantes.
Ainsi le riff écorché de « Two Worlds » vous filera des frissons jusque au bout des doigts, « Pray Nightfalls » hantera votre esprit (comme le dit si bien le refrain « this all is in my head » et cela n´en sortira plus), « Mystify » vous donnera le cafard avec cette mélodie au piano qui est un vrai supplice/délice pour l´esprit.
Mais, sûrement afin d´éviter que tous ses fans ne se suicident, Paradise Lost laisse traîner quelques chansons qui vous font remonter la pente, telles « Black Mask », « Self Obsessed », « Channel for the pain » : le tempo y est plus appuyé, et la musique un peu plus rentre dedans (encore des passages qui pourrait facilement faire penser à du Rammstein) ; ou encore « Small Toy Boy », reprise des Bronski Beat, qui clôt cet opus de belle manière, avec une touche de légèreté, toute relative, car la griffe Paradise Lost se fait bien sentir (Oui oui, on est à l´opposée totale d´un Sum41 ou Blink182, vous l´aurez compris).
La palme de la chanson la plus triste revient sans conteste à « Xavier », reprise des Dead Can Dance : ca commence avec des choeurs et un gros riff de guitare, pour enchaîner sur un passage samplé, et arrive ensuite la voix qui vous colle la chair de poule...pour finir sur un passage au synthé de toute beauté...très belle reprise.
Si vous avez aimé les derniers disques de Paradise Lost, vous ne devrez pas être déçus, pour ceux qui ne connaîtraient pas, attendez vous à un voyage d´où on ne ressort pas indemne. Et les fans déçus par les derniers disques en date pourron être comblés par ce retour des grosses guitares.
Un album donc chargé d´émotions : éviter de l´écouter le dimanche pour ne pas faire une déprime de fin de week-end.
Les critiques des lecteurs
Encore un excellent album, très accessible. Le son est très moderne. Le mélange d'electro et de rock/metal est excellent et plus cohérent que sur One second.
encore le maximum pour cette fois l'album que je préfère."No celebration" est une chanson définitive, la meilleure du groupe.
Un groupe audacieux qui ne se limite en rien et est bien aimé en retour
tro calme mais du bon paradise lost ^^!!
Je n'aime pas en rajouter mais cet album est incontournable!
Tout commence sur un "Isolate" rammsteinesque, martial à souhait qui vous fera headbanguer d'entrée. "Erased" entame la descente dans les contrées dépressives du paradis perdu. Batterie martiale, basse ronflante, murs de guitares
piano, nappes de synthé, loops élèctroniques, chant féminin, cet album est riche. Sans compter l'atout majeur, Nick Holmes en maître de cérémonie: Holmes nous livre tantôt un chant solennel, quasi mystique (Pray nightfall), tantôt emprunt de tristesse, ou de colère (two worlds) aux mélodies imparables.
Vous serez hanté par les refrains de "celebrate", "perfect mask", happé par les ambiance de cet album (intro doomesque "primal")au rythme varié avec des morceaux plus punchy comme "self obsessed", "channel for the pain" qui vous font dire que ces types maîtrisent le doom en long et en large: normal ils l'ont en parti inventé!
Vous pensiez avoir fini de frissoner et de prendre des claques et bien non car arrivent les bonus, en l'occurence 2 reprises: "Xavier" (à la hauteur de Dead can dance c'est dire !) et enfin un "Small town boys" d'anthologie introduit par un cri venu d'ailleurs mais complètement génial, sans parler des arrangements...
Quand je vous dis que "symbol of life" est incontournable!
D'après ce que j'ai pu écouter des albums de Paradise Lost (de Draconian times à In Requiem), il est pour moi un des meilleurs sans pour autant dénigrer les autres albums qui sont d'un niveau largement au dessus de la moyenne pop rock... Un groupe rare qui a su se renouveler sans cesse sans pour autant tomber dans la facilité, qui a su créer à chaque album une ambiance différente et tournée sur un type de musique en particulier: le doom.
Revenons à l'album, sous ses aspects au premiers abords pop rock se cache un véritable concentré de noirceur, magnifiquement rendu par les samples, la voix de Nick Holms et l'ensemble grave des guitares + basse.
Aucun morceau n'est à jeter, certains sortent du lot (Isolate, erased, pray nightfall, perfect mask, no celebration, symbol of life et Xavier wouhou ça en fait beaucoup..).
Pour conclure, une perle du doom....
C'est l'album qui m'a redonner l'envie de replonger dans l'ambiance paradise lost, tout simplement magnifique...
Aprés un believe in nothing vraiment pas mal, les anglais de Paradise Lost nous reviennent avec ce nouvelle opus. Quand on l'écoute on s'attend à de l'électro comme nous servait généralement le groupe depuis One second et la PAF pasteque, les guitares reviennent. Pas encore trop présente mais juste assez pour ce dire que le groupe va revenir vers c'est début. Pour le meilleur. Les morceaux sont vraiment noir.
Morceau à écouter: Primal, No celebration, Symbl of life, Xavier.
très bon retour vers ses origines tout en gardant leurs meilleurs passages électro de one second et de host, paradise lost nous delivre un petit bijou que je ne me permettrait pas de comparer a ramstein (c'est plutot ce dernier qui devrait prendre exemple sur paradise lost car son manque d'inspiration actuel le demontre!).
La plupart des musiques restent dans la tete,"No celebration","pray nightfall" sont de vraies perles,l'ensemble est assez homogene et il faut plusieurs écoutes pour préférer certaines musiques (et oui c'est du métal intelligent,ca fait du bien!),ce qui fait que la durée de vie de l'album est bonne.
Nick holmes nous montre tout son potentiel vocal et gregor makintosh revient a la charge (doucement ce n'est pas draconian times!).Je le conseil a tous les fans du metal gothic electro
exellent album,rien a dire...
il m'as fallut une seule écoute pour me rendre compte que ce disque était tres bon et plusieurs écoutes pour me rendre compte qu'il était géniale !
vraiment excellent, a écouter absolument
Plutôt bon, mais l'ensemble est trop inégal. J'adore les premiers morceaux, en particulier le duo avec Devin Townsend, mais les suivants font un peu retomber la sauce...