Paradise Lost façonne son identité musicale, s'éloignant encore un peu plus de la lourdeur des débuts, distillant une atmosphère grave. Il y a quelque chose d'apaisant dans la tristesse dégagée car les riffs, les rythmiques et le chant ne baignent pas dans une totale noirceur. Tout cela est plein de vie, et pourtant le vague à l'âme s'installe tout au long de compositions variées. On évite de tomber dans la répétition grâce à certaines structures moins classiques ("Joys of the emptiness", "Colossal rains", "Deus misereatur"). Le son est cette fois-ci à la hauteur des efforts des musiciens… et du parolier, puisque Nick Holmes livre des textes travaillés et somptueux.
Un des nombreux joyaux des années 90, marquant musicalement et émotionnellement.

Comment peut t'on donner un 14 a cette album monstre. Surment l'un de leur meilleurs de leur cariere !!

Mouais, pas terrible celui-là. Manque de pêche, mélodie juste pas accrocheuse. Dommage, moi qui était tellement envouté pas In Requiem...

EMBER FIRE la musique de paradise lost ke jaime par dessus toutes les autres !!!et le meilleur solo ke jai entendu!!magnifique!

Peut etre pas aussi bon que Draconian times mais quel album ! Dying freedom, colossal rains, weeping words... des chansons magnifiques !

On commence cet album avec un "ember fire" remonté puis on enchaine avec des morceaux tous plus bon les un que les autres. Cet album signe la fin de la période doom/death du groupe et adopte le gothique metal qui ferat leur gloire. Mention spéciale A Greg Mackintosh pour les solo de guitare envoutant.

Morceaux à écouter: Embers fire, Remembrance, Colossal rains.

Magnifique! Ultra mélodique et déséspéré, un morceau comme Colossal Rains me fout les frissons à chaque fois! LE Paradise Lost à avoir, ou en tout cas à écouter pour découvrir le groupe...