Hellfest 2024 : Voici nos photos et report sur cette seconde journée de festival; journée placé sous le signe du prog (Klone / Pain Of Salvation / Textures / ...); on y retrouvera Shaka Ponk dont la présence avait fait grincer des dents et avec un final sur Prodigy qui transformera les mainstage en dancefloor.
Isafjørd (post-rock), le duo islandais composé de Ragnar Zolberg (Sign, ex-Pain of Salvation) et d'Addi Tryggvason (Sólstafir), va se lancer dans l'écriture du successeur de Hjartastjak.
Nouvelle semaine = nouvelle fournée de sorties Metal / Punk / Rock... : - Nofx (Punk Rock, USA)
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- Isafjørd (Folk / Post Rock, Islande, Avec des membres de Solstafir, Pain Of Salvation)
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- Jours Pâles (Black Metal, France)
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- T.O.M.B. (Noise / Black Metal, USA)
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- Amberian Dawn (Power Metal, Finlande, Album de reprises de Abba)
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- Ancient Mastery (Black Metal, Autriche)
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- Appalling (Black / Death Metal, USA)
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- Binary Order (Indus, UK)
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- Blame Kandinsky (Mathcore, Grèce)
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- Byzantine (Thrash, USA)
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- Celestial Season (Stoner, Pays-Bas)
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- Coffin Feeder (Death, Belgique, avec des membres de Leng Tch'e, Fleddy Melculy et Aborted)
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- Despite Exile (Black / Death, Italie)
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- Deströyer 666 (Black / Thrash, Australie)
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- Dying Sun (Doom / Heavy Metal / Hard Rock, Australie)
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- Dystopia A.D. (Death Melo, USA)
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- Falling Floors (Space Rock / Psyche, UK)
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- Gavran (Sludge / Doom, Pays-Bas)
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- Getšemane (Prog Rock, Finlande)
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- Grava (Sludge / Hardcore, Danemark)
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- Hammers Of Misfortune (Thrash / Prog / Psyche, USA)
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- Heron (Sludge / Doom, Canada)
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- Hrad (Black Metal / Dungeon Synth, France)
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- Imha Tarikat (Black Metal, Allemagne)
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- Klada (Black Metal, Bulgarie)
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- Krushhammer (Death, Brésil)
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- Lebrique (Noise Rock, UK)
🎧 - Lisieux (Néo Folk - France) 🎧
- Lost Baron (Stoner Metal / Rock, Belgique)
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- Lyzzärd (Heavy, Portugal)
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- Mick’s Jaguar (Heavy Rock, USA)
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- Minus Youth (Hardcore, Allemagne)
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- Napalm Ted (Death Metal / Grindcore / Punk, Finlande)
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- Obvurt (Tech Death, Canada)
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- Opus Arise (Prog Metal / Metal Sympho, Canada)
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- Qrixkuor (Death Metal, UK)
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- Repentless (Death Metal, USA)
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- Shinning Wizard (Death, USA)
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- Swept To Sea (Metalcore, USA)
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- The Bleak Picture (Dark Metal, Finlande)
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- The Ghost Of Fu Kang Walker (Hard Rock, USA)
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- Udånde (Black Metal, Slovaquie)
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- Umbra (Death / Black / Doom, Chili)
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- Veilburner (Black / Death Metal, USA)
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- Vis Mystica (Power Metal, USA, Thématique Star Wars)
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- Wage War (Alt Metal, USA, Version acoustique)
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- White Lung (Punk / Post Punk, Canada)
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- Årabrot (Noise Rock, Norvègien)
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24 juin 2022
La plus grosse journée de sortie de l'année pile entre les deux WE du Hellfest ? Pas merci les groupes ! Mais voici plus de 90 (!!!) sorties, avec beaucoup de belles sorties : - Porcupine Tree (Rock / Metal progressif, UK)
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- Alestorm (Power Metal / Folk Metal, UK)
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- Final Light (Darkwave, France / Suède, le projet de Perturbator et Johanes de Cult Of Luna)
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- Betraying The Martyrs (Metalcore, France / Paris, un EP)
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- 0N0 (Indus / Doom / Death, Slovaquie)
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- 10,000 Years (Stoner Metal, Suède)
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- Alexisonfire (Post Hardcore, Canada)
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- Automatic (Post Punk, USA)
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- Axioma (Black Metal / Sludge, USA, Avec des membres de Keelhaul, Brain Tentacles)
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- Belphegor (Black / Death, Autriche)
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- Black River (Groove Metal / Alt Metal, Pologne)
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- Bongbongbeerwizards (Sludge / Drone, Allemagne)
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- Cachemira (Psyche, Espagne)
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- Candy (Hardcore, USA)
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- Chaotian (Death Metal, Danemark)
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- Classless Act (Hard Rock, USA)
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- Coheed and Cambria (Post Hardcore / Prog Metal, USA)
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- Colored Moth (Noise Rock / Screamo, Allemagne)
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- Dali Van Gogh (Hard Rock, Canada)
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- Darkane (Death / Thrash, Suède)
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- Dawn Of Destiny (Power Metal, Allemagne)
🎧 - Deep Space Mask (Stoner / Doom, France / Roanne)
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- Devil's Train (Hard Rock, Allemagne)
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- Dumb Waiter (Math Rock / Jazz Fusion, USA)
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- Dying Desolation (Metalcore, USA)
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- Emery (Post Hardcore, USA)
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- Enchantment (Death Doom, UK)
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- Enphin (Space Rock / Electro, Finlande)
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- Entrails (Death Metal, Suède)
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- Fairweather (Post Hardcore, USA, Un EP)
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- Fallen Sanctuary (Power Metal, Italie / Autriche, Avec des membres de Serenity et Temperance)
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- Graywave (Shoegaze, UK, Un EP)
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- Guillotine A.D. (Black / Death, USA)
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- Hats Barn (Black Metal, France)
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- Horned Wolf (Heavy Metal, USA)
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- Human Barbecue (Brutal Death, Belgique)
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- HUSH. (Sludge / Crust, USA)
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- I Fight Bears (Metalcore, UK, Un EP)
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- Instigate (Death Metal, Italie)
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- Intoxicated (Thrash / Death, USA)
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- Jisei (Grindcore / Death Metal, Canada)
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- Khold (Black Metal, Pays Bas)
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- Knoll (Grindcore, USA)
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- Kollaps (Indus Metal / Experimental, Australie)
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- Liber Null (Black Metal, Pays Bas / Italie)
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- Limbs (Metalcore, USA)
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- Locust Point (Hard Rock / Heavy, USA)
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- Löve Me Förever: A Tribute to Motörhead (Tribute, International, Tribute à Mötorhead avec PLEIN de monde)
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- Made Of Teeth (Sludge / Punk / Hardcore, UK)
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- Mankind Grief (Death / Deathcore, Espagne)
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- Martha (Indie Rock, USA)
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- mine collapse (Noise / Sludge, USA)
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- Mirror Queen (Stoner / Rock, USA)
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- Misgivings (Death Metal, France)
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- Mystery Dudes (Heavy Rock / Stoner, Norvège)
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- Nervus (Indie Rock / Punk, UK)
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- Nightbearer (Death Metal, Allemagne)
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- Nubivagant (Black Metal, Italie)
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- Omnigone (Punk / Ska, USA, Split avec Protagonist)
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- Onelinedrawing (Emo Punk, USA)
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- Our Dying World (Metalcore, USA)
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- Paganizer (Death Metal, Suède)
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- Perdition Temple (Black Death, USA)
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- Perpetual Night (Death Metal Melo, Espagne)
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- Petrol Girls (Punk Rock / Riot GRRRL, UK)
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- Philosophobia (Prog Metal, USA, Avec des membres de Kamelot, Pain of Salvation, Cyrha, Mekong Delta)
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- Process of Guilt (Doom, Portugal)
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- Profiler (Metalcore, UK)
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- Projected (Hard Rock, USA, Avec des membres de Sevendust, Alter Bridge, Tremonti, ...)
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- Radian (Doom / Sludge, USA)
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- RXPTRS (Hardcore / Punk / Metalcore, UK)
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- Saor (Black / Folk Metal, UK)
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- Scorching Tomb (Death Metal, Canada)
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- Serpent Spawn (Death Metal, Allemagne, Avec un membre de Blood)
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- Serpents Oath (Black Metal, Belgique)
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- sickOmania (Death Melo / Thrash, Danemark)
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- Soulers (Drone / Doom, Canada)
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- Speed (Hardcore, Australie)
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- Spiritbox (Metalcore / Djent, Canada, Un EP / Single)
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- still motions (Post Rock, USA)
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- Temple of Worms (Death Metal, France)
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- The Brian Jonestown Massacre (Psyche / Garage, USA)
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- The Hellacopters (Hard Rock, Suède)
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- Velositor (Indus / Neo Metal, USA, Un EP de remix. Avec des membres de Sinsaenum, Daath, Chimaira, End of Days, Behold the Defiant, ...)
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- Vetez Daemonaz (Black Metal, Russie)
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- Vicious Blade (Thrash, USA)
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- Victorius ((Jurassic) Power Metal, Allemagne)
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- Vile Haint (Black Metal, USA)
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- Volcandra (Prog Death / Black Metal, USA)
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- Werewolves (Black / Death, Australie)
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- Yeah, Sick! (Hardcore / Post Hardcore, Australie)
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- Young Guv (Indie Rock, Canada)
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- Zola Jesus (Darkwave, USA)
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01 septembre 2020
Le nouveau Pain Of Salvation se nomme Panther. C'est sorti chez Inside Out Music et ça s'écoute par là.
09 juillet 2020
Du clip pour Pain Of Salvation avec Accelerator à visionner dans la suite. Panther sortira le 28 août chez Inside Out Music.
On continue les découvertes express (et si vous voulez participer : envoyez ça en mail), avec aujourd'huiMoving Backwards des Finlandais de Wheel. Wheel. "Roue", quoi. Un nom tout bête, pas si engageant que ça au final, vers lequel je ne me serais pas penché sans le croisement de plusieurs recommandations Spotify. Avant même de lancer l'écoute, rien qu'en voyant la tracklist, je me dis que j'ai bien fait d'être curieux : malgré l'approche volontairement accessible que le groupe semble avoir, plusieurs titres tutoient les dix minutes, preuve potentielle que les musiciens ne sacrifient pas leurs choix de compositions progressives à cette influence easy-listening. Hypothèse confirmée dès les premières écoutes : musicalement, on se place sur un Rock / Metal Prog sombre mais pourtant poppy, marchant plus au feeling qu'à la technique, quelque part entre Pain Of Salvation, Poem, et les derniers Leprous. Plus loin, on entend aussi vaguement Klone ou Soen, mais les influences sont bien digérées et Wheel a quelque chose de particulier, de bien à eux. En plus de leur nom nul, je veux dire.
Ce soir se tient la seconde soirée du Ready For Prog? Festival, à Toulouse (Métronum) avec Upon Us All, Shattered Skies, Special Providence, et Pain Of Salvation. Les pass sont en vente ici et toutes les infos se trouvent là.
28 août 2019
La prochaine édition du Ready For Prog? Festival se tiendra comme l'an dernier au Metronum (Toulouse) les 11 et 12 octobre. Cette année l'affiche est composée de Eldritch, Manigance, Shattered Skies, Adimiron, Mobius, Special Providence, Threshold, et Pain Of Salvation. Une soirée "warm up" aura lieu le 6 octobre avec Anima Tempa et Between The Buried And Me. Le festival vient de mettre en vente son merch en avance de phase. Pour commander, c'est ici. Et bien sûr, les places sont toujours dispo ici.
12 mars 2019
Le Ready For Prog? Festival se tiendra les 11 et 12 octobre 2019 au Metronum (Toulouse) et son line-up est connu depuis une dizaine de jours : Pain Of Salvation, Threshold, Eldritch, Adimiron, Manigance, Special Providence, Mobius, et Shattered Skies. L'orga vient d'annoncer une soirée de "warm-up" le dimanche 6 octobre 2019 avec Between The Buried And Me qui jouera deux sets. Plus d'infos sur le festival par là et sur la soirée "warm-up" par ici.
BTBAM jouera aussi le lundi 7 octobre à Nantes (Ferrailleur) et le mardi 8 octobre à Paris (Forum De Vaureal).
01 mars 2019
Le Ready For Prog? Festival a annoncé hier sa seconde tête d'affiche : Pain Of Salvation. L'orga annonce aussi qu' "une autre surprise arrive bientôt", bien que le line-up du festival toulousain soit désormais complet (PoS rejoint Eldritch, Special Providence, Manigance, Adimiron, Mobius, Shattered Skies, et enfin la tête d'affiche de l'autre journée, à savoir Threshold). Cette seconde édition du Ready For Prog? Festival se tiendra au Metronum (Toulouse) les 11 et 12 octobre 2019.
18 septembre 2018
Concert du Jour : - Pain Of Salvation et Kingcrow seront à l'Empreinte de Savigny Le Temple (77). Toutes les infos sur l'event fb, et la billetterie est ici.
09 septembre 2018
Concours :Pain Of Salvation et Kingcrow joueront à l'Empreinte de Savigny Le Temple le 18 septembre. Pour l'occasion, 2x1 places sont à remporter en répondant correctement à cette question. Toutes les infos sont sur l'event fb et la billetterie est ici.
05 septembre 2018
Deux belles dates dans les jours à venir à L'Empreinte de Savigny Le Temple : 14/09 L.A. Guns + Jared James Nichols + Stone Trigger (event/billetterie) 18/09 Pain Of Salvation + Kingcrow (event/billetterie)
Le Be Prog! My Friend a annoncé sa programmation finale qui se tiendra le 29 et 30 juin à Barcelone en Espagne : A Perfect Circle, Steve Kackett (Genesis), Sons Of Apollo, Baroness, Pain Of Salvation, Gazpacho, Plini, Oranssi Pazuzu et Persefone. Le festival se paie même le luxe d'avoir la reformation exceptionnelle des suédois de Burst. Toutes les infos sont sur l'event FB.
Soleil Soleil Soleil! En 12 édition le Hellfest a rarement connu journée aussi chaude (et dimanche cela sera pire !), la chaleur va peser sur le festival aujourd’hui, les corps vont souffrir ! Hier on a oublié de préciser un changement important : la taille (et le nombre) des écrans des mainstage, là où on avait des formes rectangulaires un peu étranges on a désormais des écrans énormes au ratio standard : belle amélioration.
Toutes nos photos de la journée sont à voir ici, réalisées par Bacteries, Chazo, et Meo Photo.
Crypt Sermon : Sous une Altar encore timide, les gars de Philadelphie ont réveillé les amateurs de Doom Traditionnel. Sans réinventer le style, bien au contraire, les Américains rendent hommage aux grands de la scène comme Candlemass ou Trouble. Une mise en bouche plutôt sympa avant les autres performances traînantes de la journée.
Ultra Vomit : On arrive sur la Mainstage pile à temps pour voir Ultra Vomit séparer la foule en vue d'un wall of death des familles : team pipi contre team caca, tous prêts à se jeter dessus joyeusement, et sans rester au milieu hein, sinon c'est faire le jeu du pipi, annonce le groupe le plus sérieusement du monde. Bien sûr, c'est le début du titre Pipi VS Caca qui déclenche le wall of death. Les hits se succèdent, tous plus débiles les uns que les autres, et Andréas (de Andréas Et Nicolas) vient même investir la scène comme un fou pour Je Collectionne Des Canards (Vivants). Ayant visiblement du chromosome à revendre, l'olibrius descend même de scène et c'est la sécurité qui le retient de se jeter dans le public... Bonne humeur pour attaquer cette deuxième journée !
Monkey3 : Les portes de cette seconde journée sont ouvertes depuis peu mais pourtant il y a foule sous la Valley pour Monkey3. Le groupe comme souvent retravaille ses morceaux en live. Il faut dire que chacun des membres du quatuor majoritairement instrumental fait preuve d'une virtuosité exemplaire pour offrir au public un aspect différent de leur répertoire, le tout embelli par un son à en fait pâlir plus d'un jusqu’au final du concert, lancé sur une montée vertigineuse qui vient nous gifler la face à grands coups de riffs.
Igorrr : L'OSNI (objet sonore non identifié) de la journée c'est évidemment Igorrr. Avant d’entamer une importante tournée en octobre prochain pour promouvoir Savage Sinusoid, leur tout nouvel album fraîchement sorti la veille, le groupe est de passage à Clisson et énormément de monde était au rendez-vous. Il faut dire que depuis leur signature chez Metal Blade, le groupe qui jouissait déjà d’une forte notoriété ne cesse de grossir. La crainte que le côté breakcore soit surmixé et prenne le pas sur le chant baroque était importante mais le résultat fut tout à fait honorable. Plusieurs nouveaux morceaux furent joués notamment ieuD, le premier single, avant de voir les membres du groupe quitter la scène à l’exception de M. Igorrr qui resta seul pour nous asséner un mix breakcore intense qui ravit les fans de la première heure et qui eut fini d'achever le public pendant ces 40 minutes hautement stroboscopiques. A déconseiller à tout festivalier souffrant d'épilepsie.
Nails : Tout le monde croyait Nails fini, que le groupe avait splitté pour justifier de l’annulation de la dernière tournée européenne sans communiquer sur les raisons de cette décision, mais après un EP deux titres aux côtés de Full Of Hell, le groupe revient sur le devant de la scène et le premier concert du groupe depuis cette histoire se passe à Clisson. Les premiers circle pits ne tardent pas à soulever un rideau de poussière tandis que le frontman lance le premier morceau suivi de très près par You Will Never Be One Of Us. Le chanteur fera d'ailleurs un communiqué en soulignant que ce concert est le premier du groupe depuis longtemps et qu'il apprécie l'accueil réservé par le public. Un contraste impressionnant s’impose entre ces paroles et l’aspect ultra haineux de leur musique.
Bongripper : Sous la Valley, Bongripper a tout simplement cassé le Doom game. Deux morceaux (Hail et Endless), des musiciens réglés comme des horloges dans la gestuelle et un public qui se brise la nuque avec enthousiasme. On pose son cerveau pendant 40 minutes et on se laisse emporter par les rythmiques grasses et les coups de masse de la batterie. Les musiciens s'octroient quelques petits espaces de jams avant de rechuter de plus belle. On soulignera un final ultra-intense façon mur de son qui laisse juste sur le cul, muet et abasourdi pour un petit moment. Pas un mot de la part de Bongripper mais les applaudissement pleuvent à la fin du set. Si ce n'était pas déjà fait, les 'ricains ont prouvé qu'ils atteignent haut la main les sommets du Doom / Sludge instrumental.
Ereb Altor : Le Death/Black de Ereb Altor est vikingisé à la limite du Pagan, lancinant à la limite du Doom. L'excellente dichotomie entre chant clair de qualité et voix saturée hypnotique rend le groupe réellement intéressant, malgré l'absence de jeu de scène ou la sobriété de la communication avec le public. Pas prévus sur mon planning, mais happé par ce que j'entendais venir de la Temple, cette belle découverte m'a fait rester jusqu'à la fin de leur set !
Blood Ceremony : Il est 16h et donc l’heure de prendre notre goûter Black SabbathmeetsJethro Tull. Une section guitare / basse / batterie à l’ancienne, façon Rock 70’s comme beaucoup de groupes récents peuvent le faire et ajoutez à cela une chanteuse / flûtiste qui donne toute la personnalité au projet. Ça fonctionne : les riffs sont entraînants, les mélodies à la flûtes tant dans les soli que dans les mélodies qui apportent une énergie communicatrice à l’ensemble. On y trouve un côté hippie 70’s tellement énergique et cool qu’on ne peut qu’adhérer.
Panthère D'Acier : Sur la Mainstage 1, les derniers survivants du mouvement Hair / Glam Metal se déchaînent en entrecoupant (comme d'hab') leurs titres par des sketches bas du front. Ultra drôle pour certains, sexiste et ridicule pour d'autres, en tout cas Steel Panther ne ménage pas ses efforts et ne laisse personne indifférent. Le groupe sélectionne ses singles et ses tubes pour encore plus marquer le coup, à base de Glory Hole ou de Seventeen Girls In A Row. Comme attendu au vu des concerts précédents du combo, le public est truffé de filles volontaires pour montrer la plupart de leur anatomie, qu'elles soient invitées sur scène par le groupe ou juchées sur des épaules au milieu de la foule. Un spectacle toujours identique depuis des années, mais toujours marquant et décontracté... Selon les points de vue, encore une fois.
Skepticism : Caution Funeral Doom Metal de cette année, un peu moins d’un an après leur prestation au Fall Of Summer 2016. Tout semble tourner au ralenti, les musiciens sont quasi statiques hormis le chanteur qui, par d’infinies précautions, lance quelques fleurs en direction du public et exécute quelques mouvements graves tel un chef d’orchestre abattu. Leur set serait la définition du désespoir. De tristes mélodies au piano, des riffs graves joués avec un lenteur affligée et une batterie qui l’est tout autant. Rien de bon n’est à prendre chez Skepticism. Douleur, tristesse, détresse… Et pourtant, les finlandais tiennent d’une grandeur romantique dont eux seuls ont le secret.
Frank Carter&The Rattlesnakes : Plein après-midi, soleil massif sur la Warzone, public en chaleur, et belle mandale punk-hardcore pour l'ex-Gallows accompagné de ses acolytes fort enthousiastes. Dès le second titre Frank descend dans la fosse, monte sur la barrière, puis monte sur le public (oui), et va faire un titre complet porté par le public. Suivra une montagne de poussière soulevée lorsque le chanteur sus-nommé exige un circle pit autour de la tour régie (le public n’y arrivera pas, mais le circle pit était déjà géant. Le guitariste viendra également jouer sur le public. Même si sur album Frank Carter n’est pas le disque vers lequel on revient souvent, en live c’est magistral, une leçon de rock, pas besoin d’artifice quand on a l’énergie.
Decapitated : Après la messe funéraire de Skepticism, changement de registre brutal puisque ce sont les polonais de Decapitated qui viennent secouer la Altar voisine. Peu de discours entre les morceaux comme le souligne le frontman qui préfère enchaîner les titres pour jouer un maximum, pour le plus grand plaisir des festivaliers. Un agréable remerciement sera tout de même glissé pour l'accueil toujours plus chaleureux réservé à ce groupe qui n'avait plus joué au Hellfest depuis 2010. Fort d'un nouvel album Anticult à paraître le mois prochain, le combo emmené par un chanteur survolté qui n'a de cesse d'enchaîner les aller-retour d'un bout à l'autre de la scène nous assène leur Death Metal technique et déstructuré pendant un peu moins d'une heure.
Mars Red Sky : Décidément la Valley peut se targuer d'une excellente sono cette année, et les Bordelais de Mars Red Sky ne dérogent pas à la règle. Alignement de bons titres comme à l'accoutumée, plus un nouveau morceau d'une dizaine de minutes en avant-dernière friandise, qui augure de fort belles choses pour la suite. On a rarement entendu des basses aussi profondes et intenses sous cette tente. Le Ciel Martien est définitivement une valeur sûre du Stoner/Doom français, à suivre à la trace.
Soilwork : Soilwork est un maudit du Hellfest. Après une édition 2014 qui a vu le groupe casser la Altar, le combo revient sur la même scène... sans claviériste, suite à un problème d'avion. Qu'à cela ne tienne, les mecs ont une revanche à prendre sur ce festival, et ils le font savoir à grand renfort d'énergie et de compos rentre-dedans (Bastard Chain est par exemple vraiment folle, et la set-list est légèrement remaniée pour mieux coller à des ambiances sans synthés). La pêche des musiciens est impressionnante et personne ne tombe dans un trou sous la scène... Bjorn est parfait vocalement, et leur nouveau batteur, élève de l'ancien, est au niveau de son maître. Rendez-vous après un prochain album pour finir de conjurer le sort, sans trou et avec un clavier !
Chelsea Wolfe : A l’approche du concert de Chelsea Wolfe, la chaleur est à la limite du supportable sous la Valley. Pourtant il ne faut pas rechigner à un peu de proximité physique avec les festivaliers pour voir l'élégante chanteuse et ses musiciens. Pour ceux qui n’auraient pas eu la chance de la voir en live encore, un point important est à prendre en compte : les sons basses sont tout particulièrement élevés. Sachant que le concert fut majoritairement composé de morceau de Abyss qui en regorge, certains passages de la première demie-heure sont difficilement supportables pour nos oreilles déjà affaiblies. Ça n'empêchera point cette grande dame de nous délivrer un set maîtrisé par sa progression et au final fou qui verra Chelsea Wolfe hurler dans les micros de sa guitare pour amplifier les larsens du titre Survive.
Alcest : Le soleil commence à se coucher. Quelques rayons orangés dardent encore sous la Temple et Deafheaven eût été fort à propos mais c'est Alcest qui nous gratifiera d'un set tout en rêveries et en couleurs multiples. Son parfait, heure de passage bien calibrée et public au rendez-vous, Neige et sa bande ont eu les conditions parfaites pour livrer un show de qualité. Peu importe les allures de gros(ses) dur(e)s, tout le monde a un petit cœur qui bat quand les Français lâchent leur Post-Black planant. Alcest se focalise d'ailleurs sur une set-list calibrée « Hellfest », plutôt Metal donc avec le récent Kodama, Les Voyages de L' Âme et Délivrance tiré de Shelter. L'heure complète dédiée aux fées et autres forêts merveilleuses passe bien vite et sans le moindre accroc pour nos poètes du Black merveilleux.
Comeback Kid : Comment créer un nuage de poussière au point que la sécu aura du mal à voir les slammers arriver ? Inviter Comeback Kid ! Le groupe va jouer une heure non stop et puiser dans sa désormais conséquente discographie, dommage que Devin Townsend jouait la veille on aurait peut être pu voir un duo (car oui ce dernier joue sur le prochain album du groupe). Finish de cette heure folle sur Wake The Dead, évidemment.
Pain Of Salvation : La première fois que j'ai vu Pain Of Salvation en concert, c'était il y a pile 10 ans, au Hellfest 2007. Pour marquer cet anniversaire, PoS est de retour avec un concert exemplaire. Ultra énergique, la bande à Gildenlöw envoie son Prog subtil et à fleur de peau sans ménager sa peine. Le frontman semble réellement transcendé par les premiers titres, issus du récent In The Passing Light Of Day qui lui est intimement personnel. Après trois brûlots issus de ce dernier album (Full Throttle Tribe, Reasons, Meaningless), Pain Of Salvation opère à un retour arrière, en ayant l'excellente idée de ne s'arrêter que le temps de Linoleum sur la période 2005-2016. Pour le reste, on aura droit à un best-of des vieux albums et Ashes sera un point culminant de la performance. Le groupe clôture en revenant au présent avec le magistral et émouvant On A Tuesday. Quoiqu'en disent ceux qui ont choisis d'aller voir Primus, PoS était parfait. Aucun regret.
Primus : Grosse sensation du Hellfest, la prestation de Primus enchante son monde et envoie ses lignes de basse, via un Les Claypool en feu. L’ensemble est tout à fait enthousiasmant et donne même lieu au meilleur show de la Valley, excepté Chelsea Wolfe. Les projections visuelles qui agrémentaient le set donnaient une dimension épique à la chose, et accentuant l’effet grisant procuré par le groove constant qu’ils imposent. Le public en liesse et fortement trentenaire, excepté une partie qui évacuait de manière sporadique. L’ensemble fut conquit par un rendu démentiel, qui ne se limitait pas à la basse, en fait une setlist carrée, optimale, un diamant pour tous les fans de Primus.
Agnostic Front : Les légendes du Hardcore New-Yorkais connaissent le sujet : une arrivée de Vinnie Stigma avec un gros sourire avec son t-shirt Madball et c’est parti pour un défilé de titres HxC. Que dire de plus? Roger Miret va parler de la Warzone, disant que cela lui rappelle son passage en prison ou que le nom de la scène lui fait penser à son frère (mort au combat semble-t-il?). Evidemment avec le NY HxC : bonne humeur et contact avec le public.
Aerosmith : La tête d’affiche de cette deuxième journée attire encore plus de monde que Deep Purple la veille. Le public est entassé jusque derrière la régie des Mainstages, quasiment jusqu’à l’entrée de la Altar. Pourtant, les écrans géants qui encadrent la scène se bornent à n’afficher qu’un logo Aerosmith, ce qui fait que presque personne ne voit ce qui se passe sur scène. Mais cela ne dure que le temps du premier morceau, et enfin les écrans révèlent un Steven Tyler visiblement fatigué mais volontaire. Le groupe assure un show sans surprise, bien que toujours plaisant à regarder. Ils iront même jusqu’à dépasser leur créneau horaire de presque un quart d’heure pour finir en beauté avec les tubes de légende que sont Dream On et Walk This Way. Un spectacle digne d’être vu au moins une fois, sans hésiter, mais plutôt convenu pour celles et ceux déjà présents en 2014.
Opeth : La bande à Mikael Akerfeldt est désormais habituée du Hellfest. C’est un groupe confiant qui foule la scène de la Altar pour le dernier créneau de la tente ce soir avec le titre éponyme du dernier album, Sorceress. Les Suédois alterneront ensuite les vieilleries Death Prog et les morceaux plus récents dans la veine psyché en assénant un Ghost Of Perdition magistral dès le second titre avant de le faire suivre par Cusp Of Eternity et un Heir Apparent explosif. Le temps que Mikael sorte quelques blagues sur Aerosmith qui jouait au même moment (et qu’il apprécie également), Opeth enchaîne sur Era avant d’introduire le très long titre final Deliverance. La leçon fut dite mais comme toujours, une heure pour Opeth c’est définitivement trop court.
Slo Burn : L'un des nombreux projets de John Garcia, l'un de ses plus anciens (avant Hermano), et comme à chaque fois que l'un de ses groupes s’exhibe en live, ça casse la gueule. Pourtant la matière n'est pas pléthorique puisque le groupe n'a sorti qu'une démo et un EP en 1997, mais le feeling est là, entre Blues et Heavy suintant, le chant étant assez discret, on a parfois l'impression d'assister à un concert de Karma To Burn. Difficile cependant de savoir qui a copié l'autre, sachant qu'ils ont évolué dans la même décennie. Quoi qu'il en soit, le rendu est monstrueux, le set est carré, puissant et objectivement incandescent.
Deafheaven : Mettons les choses au clair tout de suite. Le son n’était pas des plus avenant, notamment sur les guitares en retrait et le chant trop présent. Sauf que. Les gens qui connaissent le groupe savent. Il ya quelque chose de fortement émotionnelles dans Deafheaven. Dans les blasts, dans ces guitares mélancoliques tantôt Black tantôt Post-Hardcore, dans ce chant presque maniéré mais au bord du gouffre. Il faut écouter Brought To The Water, Dream House ou même Cody (la reprise de Mogwai) pour s’en rendre compte. Alors on ferme les yeux, on souffre, on lève le poing et l’on subit la musique de Deafheaven à la fois grandiose, terrible et douloureux.
Suicidal Tendencies : Warzone surblindée, normal pour un set survitaminé, en compagnie exceptionnelle de Dave Lombardo, qui accompagne le groupe sur leur tournée annuelle. Et ma foi, une bonne branlée comme on en a l’habitude avec les Californiens, rendu nickel comme sur la plupart de leurs concifs. Le monde insatiable faisait qu’on ne pouvait apprécier pleinement la prestation, mais le rendu était à la hauteur des attentes générales. Un immanquable au vu de leur parcours, le Hardcore West-Coast par excellence.
Il y a du changement chez Pain Of Salvation avec le départ du guitariste Ragnar Zolberg remplacé par Johan Hallgren qui avait quitté le groupe fin 2011 après leur tournée aux côtés d'Opeth. Le communiqué du groupe se lit ici.
Concours : Pain Of Salvation et Port Noir (FB) seront en concert en France pour deux dates le mois prochain: - 07/04/2017 - Ninkasi Kao (Lyon - Event FB) - 11/04/2017 - Divan du Monde (Paris COMPLET - Event FB) Les places sont disponibles sur la billetterie Access Live et également chez Digitick et Fnac Spectacles. Pour cette occasion, Access Live
vous permet de gagner 2 x 1 place pour le concert de Lyon. Pour
participer, ça se passe par ici. Bonne chance !
20 janvier 2017
Chronique et nouvel album du moment : Pain Of Salvation - In The Passing Light Of Day "Avec In The Passing Light Of Day, les
progueux accouchent d'un album grandiose auquel on ne croyait plus. Sur
tous les plans, la cuvée 2017 se compare aux débuts de la discographie
de PoS, au point que tous les aspects du disque peuvent être évalués avec la phrase[...]"
Pain Of Salvation se produira au Divan du Monde de Paris le 11 avril.
11 novembre 2016
Pain of Salvation sortiront leur nouvel album, In The Passing Light Of Day, le 13 janvier prochain chez InsideOut Music. Un teaser est disponible dans la suite.
30 avril 2016
Daniel Gildenlöw de Pain Of Salvation a annoncé la sortie prochaine d'un nouvel album qui portera le nom de In The Passing Light Of Day. Le musicien donne rendez-vous en juin pour plus de détails.
03 novembre 2014
Les clips du lundi : - Flying Lotus > "Ready Err Not" (sur You're Dead!) - Deerhoof > "Mirror Monster' (sur La Isla Bonita) - The Afghan Whigs > "Lost in the Woods" (sur Do to the Beast) - FKA Twigs > "Video Girl" (sur LP1) - Pain of Salvation > "1979" (sur Road Salt 2) - Circa Survive > "Schema" (sur Descensus, sortie le 24/11) - Avey Tare > "Catchy" (sur Enter the Slasher House) - Motionless in White > "Dead As Fuck" (sur Reincarnate) - Esben and The Witch > "Bathed in Light" (sur A New Nature)
20 octobre 2014
C'est sur Soundcloud qu'il vous faudra aller si une version acoustique de "Linoleum", par Pain of Salvation, vous intéresse. Falling Home sort le 10 novembre.
13 octobre 2014
Pain of Salvation s'apprête à sortir un album acoustique, Falling Home, le 10 novembre. Il comprendra un inédit, deux reprises et des morceaux de leurs anciens albums réinterprétés.
17 avril 2013
Pain of Salvation, Anneke Van Giersbergen et Arstidir seront en concert ce soir au Trabendo (Paris). Les places sont en vente sur Digitick et Fnac. Toutes les infos sur le site de la salle. Bon concert !
08 avril 2013
Concours : Pain of Salvation, Anneke Van Giersbergen et Arstidir seront en concert le mercredi 17 avril au Trabendo (Paris). Garmonbozia, A Jeter Prom et le Trabendo mettent en jeu 02 places. Pour participer rien de plus simple il vous suffit de répondre à la question. Les places sont en vente sur Digitick et Fnac. Toutes les infos sur le site de la salle. Bonne chance !
25 janvier 2013
Pain of Salvation va se lancer dans une tournée acoustique en avril avec deux passages par la France : le 14/04 à Toul (Chez Paulette) et le 17/04 à Paris (Trabendo). Toutes les autres dates sont en ligne sur le site du groupe.
Ce soir à Bordeaux et le 23 à Montpellier Opeth et Pain Of Salvation finiront leur tournée française commencée hier par Paris, et il reste encore des places! Ici pour Bordeaux, là pour Montpellier.
22 octobre 2011
Le guitariste Johan Hallgren a décidé de quitter Pain Of Salvation après 13 ans d'activité afin de se consacrer à sa vie de famille. Il participera quand même à tournée de fin d'année en compagnie d'Opeth.
06 septembre 2011
Pain Of Salvation sortira Road Salt Two le 26 septembre prochain. Conditionned, un premier extrait s'écoute ici.
Chronique Rétro avec The Perfect Element, Part I par Pain Of Salvation : "C'est en 2000 qu'est sortie cette perle de Rock Progressif. Passée plutôt inaperçue à l'époque, sans doute à cause des excellents Six Degrees of Inner Turbulence ou Metropolis p.2 de Dream Theater, il fait partie des essentiels du Metal/prog rock au même titre que ces derniers. [...]"
22 juillet 2011
Du coté de Radio Metal publication des interviews de Megadeth et Pain Of Salvation (ici) et mise en ligne d'un nouveau titre de Ghost Brigade (Until Fear No Longer Defines) là.
16 juillet 2011
Les places pour la tournée Opeth&Pain Of Salvation sont en ventes (sauf Montpellier) : Bordeaux (17/11) ici, Paris (16/11) ici, et pour la Suisse les billets pour Lausane (25/11) sont là.
13 juillet 2011
Opeth et Pain Of Salvation ont annoncés trois dates françaises : 16/11 : Paris (Bataclan) 17/11 : Bordeaux (Krakatoa, préventes) 23/11 : Montpellier (Rockstore) Si vous être au courant d'autres dates n'hésitez pas le dire ou à les ajouter dans l'agenda.
31 mars 2011
Le clip de Where It Hurts, extrait de Road Salt One de Pain Of Salvation, se matte en cliquant là. Le combo est toujours en train de plancher sur Road Salt Two. Attention toutefois, il s'agit de la version censurée, la version initiale ayant été supprimée de Youtube.