|
Jeudi 03 décembre 2020
Nails a perdu le rythme : John Gianelli et Taylor Young (bassiste et batteur) ont quittés le groupe. Des remplaçant seront annoncés prochainement.
Mercredi 21 octobre 2020
Podcast : 5ème émission de la saison pour YCKM, pour cette semaine c'est le dernier Svalbard et Molasses qui passe au grill. Du coté de la programmation musicale on ira se fracasser les oreilles sur du Rotting Christ, Hyrgal, Stinky, Pentagram, Wank For Peace ou encore Nails. Pour écouter c'est ici en ligne ou sur vos applis de podcast en cherchant YCKM ou Metalorgie.
Vendredi 20 décembre 2019
Nails devrait sortir son quatrième opus dans la seconde moitié de 2020 via Nuclear Blast.
Mercredi 17 avril 2019
Nails dévoile son nouveau single intitulé I Don't Want To Know You et le clip se visionne dans la suite.
Mercredi 27 mars 2019
Podcast : Vouna et Wino sont au menu du dernier YCKM, le premier pour une chronique ce one woman band de black; et la seconde partie pour s'intéresser à la carrière de Robert Scott Weinrich (dit Wino) légende du metal vu notamment dans Saint Vitus, The Obsessed, Shrinebuilder, Spirit Caravan, Probot, ... Et dans la playlist vous pourrez y croiser Nails, Mötley Crüe, Fear Factory, Full Of Hell, Darkenhold
Pour écouter ce podcast :
- En ligne
- En téléchargement le MP3
- iTunes
- Deezer
- Spotify
- Ou via flux RSS
Pour venir discuter de cet épisode direction Discord.
Jeudi 02 août 2018
A Forgotten Sea de Warstone (Grindcore / Powerviolence - ffo Nails, Svffer, WVRM, ...) s'écoute et se télécharge à prix libre par ici.
Mercredi 04 avril 2018
Second ep pour Meth. (Grindcore / Powerviolence / Hardcore - US, pour les amateurs de Nails, Gaza, Call Of The Void...) avec I Love You et ça s'écoute ou se télécharge a prix libre sur bandcamp.
Vendredi 02 mars 2018
Fireburn (avec des ex-Nails, Bad Brains, Danzig...) sort un nouveau 7" intitulé Shine. Les deux morceaux s'écoutent par ici.
Vendredi 11 août 2017
Fireburn est un nouveau supergroupe de Hardcore réunissant des membres de Nails, Bad Brains et Danzig, entre autres. Ils viennent de sortir un EP, Don’t Stop The Youth, qui s'écoute dans la suite. Sortie en vinyle pour septembre.
Samedi 05 août 2017
Haemorrhage (Goregrind - Espagne) sortira We Are The Gore le 6 octobre chez Relapse Records. Il a été enregistré au Mpire Studio de Madrid par Alfredo et Javi Ustara puis masterisé par Brad Boatright (Obituary, Nails, Skinless). Voici la pochette et la tracklist. Une lyric vidéo pour le titre Nauseating Employments se visionne par là.
Dimanche 18 juin 2017
Hellfest 2017
Photos : - Samedi : photos groupes et artistes. - Vendredi : photos groupes et artistes.
Report :
La veille se lit ici.
Soleil Soleil Soleil! En 12 édition le Hellfest a rarement connu journée aussi chaude (et dimanche cela sera pire !), la chaleur va peser sur le festival aujourd’hui, les corps vont souffrir !
Hier on a oublié de préciser un changement important : la taille (et le nombre) des écrans des mainstage, là où on avait des formes rectangulaires un peu étranges on a désormais des écrans énormes au ratio standard : belle amélioration.
Toutes nos photos de la journée sont à voir ici, réalisées par Bacteries, Chazo, et Meo Photo. Crypt Sermon : Sous une Altar encore timide, les gars de Philadelphie ont réveillé les amateurs de Doom Traditionnel. Sans réinventer le style, bien au contraire, les Américains rendent hommage aux grands de la scène comme Candlemass ou Trouble. Une mise en bouche plutôt sympa avant les autres performances traînantes de la journée. Ultra Vomit : On arrive sur la Mainstage pile à temps pour voir Ultra Vomit séparer la foule en vue d'un wall of death des familles : team pipi contre team caca, tous prêts à se jeter dessus joyeusement, et sans rester au milieu hein, sinon c'est faire le jeu du pipi, annonce le groupe le plus sérieusement du monde. Bien sûr, c'est le début du titre Pipi VS Caca qui déclenche le wall of death. Les hits se succèdent, tous plus débiles les uns que les autres, et Andréas (de Andréas Et Nicolas) vient même investir la scène comme un fou pour Je Collectionne Des Canards (Vivants). Ayant visiblement du chromosome à revendre, l'olibrius descend même de scène et c'est la sécurité qui le retient de se jeter dans le public... Bonne humeur pour attaquer cette deuxième journée ! Monkey3 : Les portes de cette seconde journée sont ouvertes depuis peu mais pourtant il y a foule sous la Valley pour Monkey3. Le groupe comme souvent retravaille ses morceaux en live. Il faut dire que chacun des membres du quatuor majoritairement instrumental fait preuve d'une virtuosité exemplaire pour offrir au public un aspect différent de leur répertoire, le tout embelli par un son à en fait pâlir plus d'un jusqu’au final du concert, lancé sur une montée vertigineuse qui vient nous gifler la face à grands coups de riffs. Igorrr : L'OSNI (objet sonore non identifié) de la journée c'est évidemment Igorrr. Avant d’entamer une importante tournée en octobre prochain pour promouvoir Savage Sinusoid, leur tout nouvel album fraîchement sorti la veille, le groupe est de passage à Clisson et énormément de monde était au rendez-vous. Il faut dire que depuis leur signature chez Metal Blade, le groupe qui jouissait déjà d’une forte notoriété ne cesse de grossir. La crainte que le côté breakcore soit surmixé et prenne le pas sur le chant baroque était importante mais le résultat fut tout à fait honorable. Plusieurs nouveaux morceaux furent joués notamment ieuD, le premier single, avant de voir les membres du groupe quitter la scène à l’exception de M. Igorrr qui resta seul pour nous asséner un mix breakcore intense qui ravit les fans de la première heure et qui eut fini d'achever le public pendant ces 40 minutes hautement stroboscopiques. A déconseiller à tout festivalier souffrant d'épilepsie. Nails : Tout le monde croyait Nails fini, que le groupe avait splitté pour justifier de l’annulation de la dernière tournée européenne sans communiquer sur les raisons de cette décision, mais après un EP deux titres aux côtés de Full Of Hell, le groupe revient sur le devant de la scène et le premier concert du groupe depuis cette histoire se passe à Clisson. Les premiers circle pits ne tardent pas à soulever un rideau de poussière tandis que le frontman lance le premier morceau suivi de très près par You Will Never Be One Of Us. Le chanteur fera d'ailleurs un communiqué en soulignant que ce concert est le premier du groupe depuis longtemps et qu'il apprécie l'accueil réservé par le public. Un contraste impressionnant s’impose entre ces paroles et l’aspect ultra haineux de leur musique.
Bongripper : Sous la Valley, Bongripper a tout simplement cassé le Doom game. Deux morceaux (Hail et Endless), des musiciens réglés comme des horloges dans la gestuelle et un public qui se brise la nuque avec enthousiasme. On pose son cerveau pendant 40 minutes et on se laisse emporter par les rythmiques grasses et les coups de masse de la batterie. Les musiciens s'octroient quelques petits espaces de jams avant de rechuter de plus belle. On soulignera un final ultra-intense façon mur de son qui laisse juste sur le cul, muet et abasourdi pour un petit moment. Pas un mot de la part de Bongripper mais les applaudissement pleuvent à la fin du set. Si ce n'était pas déjà fait, les 'ricains ont prouvé qu'ils atteignent haut la main les sommets du Doom / Sludge instrumental. Ereb Altor : Le Death/Black de Ereb Altor est vikingisé à la limite du Pagan, lancinant à la limite du Doom. L'excellente dichotomie entre chant clair de qualité et voix saturée hypnotique rend le groupe réellement intéressant, malgré l'absence de jeu de scène ou la sobriété de la communication avec le public. Pas prévus sur mon planning, mais happé par ce que j'entendais venir de la Temple, cette belle découverte m'a fait rester jusqu'à la fin de leur set ! Blood Ceremony : Il est 16h et donc l’heure de prendre notre goûter Black Sabbath meets Jethro Tull. Une section guitare / basse / batterie à l’ancienne, façon Rock 70’s comme beaucoup de groupes récents peuvent le faire et ajoutez à cela une chanteuse / flûtiste qui donne toute la personnalité au projet. Ça fonctionne : les riffs sont entraînants, les mélodies à la flûtes tant dans les soli que dans les mélodies qui apportent une énergie communicatrice à l’ensemble. On y trouve un côté hippie 70’s tellement énergique et cool qu’on ne peut qu’adhérer. Panthère D'Acier : Sur la Mainstage 1, les derniers survivants du mouvement Hair / Glam Metal se déchaînent en entrecoupant (comme d'hab') leurs titres par des sketches bas du front. Ultra drôle pour certains, sexiste et ridicule pour d'autres, en tout cas Steel Panther ne ménage pas ses efforts et ne laisse personne indifférent. Le groupe sélectionne ses singles et ses tubes pour encore plus marquer le coup, à base de Glory Hole ou de Seventeen Girls In A Row. Comme attendu au vu des concerts précédents du combo, le public est truffé de filles volontaires pour montrer la plupart de leur anatomie, qu'elles soient invitées sur scène par le groupe ou juchées sur des épaules au milieu de la foule. Un spectacle toujours identique depuis des années, mais toujours marquant et décontracté... Selon les points de vue, encore une fois. Skepticism : Caution Funeral Doom Metal de cette année, un peu moins d’un an après leur prestation au Fall Of Summer 2016. Tout semble tourner au ralenti, les musiciens sont quasi statiques hormis le chanteur qui, par d’infinies précautions, lance quelques fleurs en direction du public et exécute quelques mouvements graves tel un chef d’orchestre abattu. Leur set serait la définition du désespoir. De tristes mélodies au piano, des riffs graves joués avec un lenteur affligée et une batterie qui l’est tout autant. Rien de bon n’est à prendre chez Skepticism. Douleur, tristesse, détresse… Et pourtant, les finlandais tiennent d’une grandeur romantique dont eux seuls ont le secret. Frank Carter&The Rattlesnakes : Plein après-midi, soleil massif sur la Warzone, public en chaleur, et belle mandale punk-hardcore pour l'ex-Gallows accompagné de ses acolytes fort enthousiastes. Dès le second titre Frank descend dans la fosse, monte sur la barrière, puis monte sur le public (oui), et va faire un titre complet porté par le public. Suivra une montagne de poussière soulevée lorsque le chanteur sus-nommé exige un circle pit autour de la tour régie (le public n’y arrivera pas, mais le circle pit était déjà géant. Le guitariste viendra également jouer sur le public. Même si sur album Frank Carter n’est pas le disque vers lequel on revient souvent, en live c’est magistral, une leçon de rock, pas besoin d’artifice quand on a l’énergie. Decapitated : Après la messe funéraire de Skepticism, changement de registre brutal puisque ce sont les polonais de Decapitated qui viennent secouer la Altar voisine. Peu de discours entre les morceaux comme le souligne le frontman qui préfère enchaîner les titres pour jouer un maximum, pour le plus grand plaisir des festivaliers. Un agréable remerciement sera tout de même glissé pour l'accueil toujours plus chaleureux réservé à ce groupe qui n'avait plus joué au Hellfest depuis 2010. Fort d'un nouvel album Anticult à paraître le mois prochain, le combo emmené par un chanteur survolté qui n'a de cesse d'enchaîner les aller-retour d'un bout à l'autre de la scène nous assène leur Death Metal technique et déstructuré pendant un peu moins d'une heure. Mars Red Sky : Décidément la Valley peut se targuer d'une excellente sono cette année, et les Bordelais de Mars Red Sky ne dérogent pas à la règle. Alignement de bons titres comme à l'accoutumée, plus un nouveau morceau d'une dizaine de minutes en avant-dernière friandise, qui augure de fort belles choses pour la suite. On a rarement entendu des basses aussi profondes et intenses sous cette tente. Le Ciel Martien est définitivement une valeur sûre du Stoner/Doom français, à suivre à la trace. Soilwork : Soilwork est un maudit du Hellfest. Après une édition 2014 qui a vu le groupe casser la Altar, le combo revient sur la même scène... sans claviériste, suite à un problème d'avion. Qu'à cela ne tienne, les mecs ont une revanche à prendre sur ce festival, et ils le font savoir à grand renfort d'énergie et de compos rentre-dedans (Bastard Chain est par exemple vraiment folle, et la set-list est légèrement remaniée pour mieux coller à des ambiances sans synthés). La pêche des musiciens est impressionnante et personne ne tombe dans un trou sous la scène... Bjorn est parfait vocalement, et leur nouveau batteur, élève de l'ancien, est au niveau de son maître. Rendez-vous après un prochain album pour finir de conjurer le sort, sans trou et avec un clavier !
Chelsea Wolfe : A l’approche du concert de Chelsea Wolfe, la chaleur est à la limite du supportable sous la Valley. Pourtant il ne faut pas rechigner à un peu de proximité physique avec les festivaliers pour voir l'élégante chanteuse et ses musiciens. Pour ceux qui n’auraient pas eu la chance de la voir en live encore, un point important est à prendre en compte : les sons basses sont tout particulièrement élevés. Sachant que le concert fut majoritairement composé de morceau de Abyss qui en regorge, certains passages de la première demie-heure sont difficilement supportables pour nos oreilles déjà affaiblies. Ça n'empêchera point cette grande dame de nous délivrer un set maîtrisé par sa progression et au final fou qui verra Chelsea Wolfe hurler dans les micros de sa guitare pour amplifier les larsens du titre Survive.
Alcest : Le soleil commence à se coucher. Quelques rayons orangés dardent encore sous la Temple et Deafheaven eût été fort à propos mais c'est Alcest qui nous gratifiera d'un set tout en rêveries et en couleurs multiples. Son parfait, heure de passage bien calibrée et public au rendez-vous, Neige et sa bande ont eu les conditions parfaites pour livrer un show de qualité. Peu importe les allures de gros(ses) dur(e)s, tout le monde a un petit cœur qui bat quand les Français lâchent leur Post-Black planant. Alcest se focalise d'ailleurs sur une set-list calibrée « Hellfest », plutôt Metal donc avec le récent Kodama, Les Voyages de L' Âme et Délivrance tiré de Shelter. L'heure complète dédiée aux fées et autres forêts merveilleuses passe bien vite et sans le moindre accroc pour nos poètes du Black merveilleux. Comeback Kid : Comment créer un nuage de poussière au point que la sécu aura du mal à voir les slammers arriver ? Inviter Comeback Kid ! Le groupe va jouer une heure non stop et puiser dans sa désormais conséquente discographie, dommage que Devin Townsend jouait la veille on aurait peut être pu voir un duo (car oui ce dernier joue sur le prochain album du groupe). Finish de cette heure folle sur Wake The Dead, évidemment. Pain Of Salvation : La première fois que j'ai vu Pain Of Salvation en concert, c'était il y a pile 10 ans, au Hellfest 2007. Pour marquer cet anniversaire, PoS est de retour avec un concert exemplaire. Ultra énergique, la bande à Gildenlöw envoie son Prog subtil et à fleur de peau sans ménager sa peine. Le frontman semble réellement transcendé par les premiers titres, issus du récent In The Passing Light Of Day qui lui est intimement personnel. Après trois brûlots issus de ce dernier album (Full Throttle Tribe, Reasons, Meaningless), Pain Of Salvation opère à un retour arrière, en ayant l'excellente idée de ne s'arrêter que le temps de Linoleum sur la période 2005-2016. Pour le reste, on aura droit à un best-of des vieux albums et Ashes sera un point culminant de la performance. Le groupe clôture en revenant au présent avec le magistral et émouvant On A Tuesday. Quoiqu'en disent ceux qui ont choisis d'aller voir Primus, PoS était parfait. Aucun regret.
Primus : Grosse sensation du Hellfest, la prestation de Primus enchante son monde et envoie ses lignes de basse, via un Les Claypool en feu. L’ensemble est tout à fait enthousiasmant et donne même lieu au meilleur show de la Valley, excepté Chelsea Wolfe. Les projections visuelles qui agrémentaient le set donnaient une dimension épique à la chose, et accentuant l’effet grisant procuré par le groove constant qu’ils imposent. Le public en liesse et fortement trentenaire, excepté une partie qui évacuait de manière sporadique. L’ensemble fut conquit par un rendu démentiel, qui ne se limitait pas à la basse, en fait une setlist carrée, optimale, un diamant pour tous les fans de Primus. Agnostic Front : Les légendes du Hardcore New-Yorkais connaissent le sujet : une arrivée de Vinnie Stigma avec un gros sourire avec son t-shirt Madball et c’est parti pour un défilé de titres HxC. Que dire de plus? Roger Miret va parler de la Warzone, disant que cela lui rappelle son passage en prison ou que le nom de la scène lui fait penser à son frère (mort au combat semble-t-il?). Evidemment avec le NY HxC : bonne humeur et contact avec le public. Aerosmith : La tête d’affiche de cette deuxième journée attire encore plus de monde que Deep Purple la veille. Le public est entassé jusque derrière la régie des Mainstages, quasiment jusqu’à l’entrée de la Altar. Pourtant, les écrans géants qui encadrent la scène se bornent à n’afficher qu’un logo Aerosmith, ce qui fait que presque personne ne voit ce qui se passe sur scène. Mais cela ne dure que le temps du premier morceau, et enfin les écrans révèlent un Steven Tyler visiblement fatigué mais volontaire. Le groupe assure un show sans surprise, bien que toujours plaisant à regarder. Ils iront même jusqu’à dépasser leur créneau horaire de presque un quart d’heure pour finir en beauté avec les tubes de légende que sont Dream On et Walk This Way. Un spectacle digne d’être vu au moins une fois, sans hésiter, mais plutôt convenu pour celles et ceux déjà présents en 2014. Opeth : La bande à Mikael Akerfeldt est désormais habituée du Hellfest. C’est un groupe confiant qui foule la scène de la Altar pour le dernier créneau de la tente ce soir avec le titre éponyme du dernier album, Sorceress. Les Suédois alterneront ensuite les vieilleries Death Prog et les morceaux plus récents dans la veine psyché en assénant un Ghost Of Perdition magistral dès le second titre avant de le faire suivre par Cusp Of Eternity et un Heir Apparent explosif. Le temps que Mikael sorte quelques blagues sur Aerosmith qui jouait au même moment (et qu’il apprécie également), Opeth enchaîne sur Era avant d’introduire le très long titre final Deliverance. La leçon fut dite mais comme toujours, une heure pour Opeth c’est définitivement trop court. Slo Burn : L'un des nombreux projets de John Garcia, l'un de ses plus anciens (avant Hermano), et comme à chaque fois que l'un de ses groupes s’exhibe en live, ça casse la gueule. Pourtant la matière n'est pas pléthorique puisque le groupe n'a sorti qu'une démo et un EP en 1997, mais le feeling est là, entre Blues et Heavy suintant, le chant étant assez discret, on a parfois l'impression d'assister à un concert de Karma To Burn. Difficile cependant de savoir qui a copié l'autre, sachant qu'ils ont évolué dans la même décennie. Quoi qu'il en soit, le rendu est monstrueux, le set est carré, puissant et objectivement incandescent. Deafheaven : Mettons les choses au clair tout de suite. Le son n’était pas des plus avenant, notamment sur les guitares en retrait et le chant trop présent. Sauf que. Les gens qui connaissent le groupe savent. Il ya quelque chose de fortement émotionnelles dans Deafheaven. Dans les blasts, dans ces guitares mélancoliques tantôt Black tantôt Post-Hardcore, dans ce chant presque maniéré mais au bord du gouffre. Il faut écouter Brought To The Water, Dream House ou même Cody (la reprise de Mogwai) pour s’en rendre compte. Alors on ferme les yeux, on souffre, on lève le poing et l’on subit la musique de Deafheaven à la fois grandiose, terrible et douloureux. Suicidal Tendencies : Warzone surblindée, normal pour un set survitaminé, en compagnie exceptionnelle de Dave Lombardo, qui accompagne le groupe sur leur tournée annuelle. Et ma foi, une bonne branlée comme on en a l’habitude avec les Californiens, rendu nickel comme sur la plupart de leurs concifs. Le monde insatiable faisait qu’on ne pouvait apprécier pleinement la prestation, mais le rendu était à la hauteur des attentes générales. Un immanquable au vu de leur parcours, le Hardcore West-Coast par excellence. Top 3 des chroniqueurs présents : Bacteries : Frank Carter, Pain Of Salvation, Comeback Kid Grum Lee : Ugly Kid Joe, Saxon, Dee Snider Pentacle : Deafheaven, Bongripper, Alcest Max : Bongripper, Skepticism, Deafheaven Zbrlah : Pain Of Salvation, Opeth, Alcest Meo : Bongripper, Monkey 3, Slo Burn Nonohate : Opeth, Chelsea Wolfe, Bongripper Julien : Igorrr, Opeth, Primus Tang : Chelsea Wolfe, Primus, Slo Burn (+ Mars Red Sky)
Vendredi 31 mars 2017
Futures Faces (Post-Punk - Suisse avec des membres d'Equus et Elizabeth) sortira son premier ep, Revolt, le 26 mai chez Throatruiner Records et G.P.S. Prod. Il a été masterisé par Brad Boatright au Audiosiege (Nails, Beastmilk, Okkultokrati). Le titre Embraces est en écoute dans la suite.
Vendredi 30 décembre 2016
Mercredi 09 novembre 2016
Le split Nails / Full Of Hell est en écoute intégrale par ici. Sortie le 2 décembre chez Closed Casket Activities.
Jeudi 13 octobre 2016
Nails n'est pas complètement mort et vient de publier sur sa page Facebook la pochette d'un split 7" avec Full of Hell qui sortira le 2 décembre.
Mardi 26 juillet 2016
Nails, c'est fini, après avoir sorti récemment l'album You Will Never Be One Of Us chez Nuclear Blast Records (actuellement Album du Moment dans nos pages). C'est en tout cas ce que semble confirmer le message laissé par leur tourneur pour le concert normalement prévu à Paris le 8 novembre avec Full Of Hell.
Jeudi 14 juillet 2016
Chronique et nouvel album du moment : Nails - You Will Never Be One Of Us : "You Will Never Be One Of Us est une nouvelle réussite pour Nails qui ne manque jamais de frapper fort et bien. Pourtant déjà maître dans l'art de l'excision d'organes auditifs, il semble bien qu'il ait encore pris en grade jusqu’à devenir docteur ès torture sonore [...]"
Vendredi 01 juillet 2016
Plusieurs lives (captation pro) en provenance du Marlin Room at Webster Hall de New York à retrouver dans la suite, avec Nails, Full Of Hell, God's Hate et Eternal Sleep.
Vendredi 17 juin 2016
Le nouveau Nails, You Will Never Be One Of Us, sort aujourd'hui et s'écoute en intégralité ici.
Samedi 11 juin 2016
Life Is A Death Sentence, nouveau morceau de Nails, extrait de leur prochain You Will Never Be One Of Us, s'écoute dans la suite. Sortie le 17 juin.
Vendredi 20 mai 2016
Le clip de "Savage Intolerance" de Nails, issu du prochain album You Will Never Be One Of Us, se matte dans la suite.
Mercredi 11 mai 2016
Le deuxième épisode du making of du prochain méfait de Nails est à voir dans la suite.
Mardi 19 avril 2016
Nails sera de retour à Paris le 08 novembre avec son nouveau disque You Will Never Be One Of Us, en compagnie de Full Of Hell. (Event FB / Billetterie)
Samedi 16 avril 2016
Nails sortira son prochain disque nommé You Will Never Be One Of Us chez Nuclear Blast Records le 17 juin et il a été mixé par Kurt Ballou (Converge, Vallenfyre, Misery Index). La pochette et la tracklist sont à voir sur leur page. Le clip du morceau éponyme se visionne dans la suite.
Jeudi 31 mars 2016
Le photographe ImmortalizR va exposer ses clichés live chez Dr Martens (FB, 12 rue Pierre Lescot Paris 1er) du 14 avril au 14 mai. Il a notamment photographié : Comeback Kid, Biohazard, Weedeater, Nails, Karma To Burn, Danko Jones, NOFX, Turnstile, Buzzcocks Trash Talk, Anti-Flag, Kvelertak, Atari Teenage Riot,...
Lundi 25 janvier 2016
God’s Hate vous fait écouter Unsound Fury, issue de leur nouvel album Mass Murder (sortie le 5 février). C'est Taylor Young (Nails/Twitching Tongues) qui est invité à chanter sur ce titre.
Lundi 11 janvier 2016
Nails a terminé le tracking de leur prochain You Will Never Be One Of Us avec Kurt Ballou (Converge) à la production.
Mercredi 02 décembre 2015
Nails sera prochainement en studio pour son troisième LP. Il sortira courant 2016 chez Nuclear Blast et s'intitule You Will Never Be One Of Us.
Vendredi 31 juillet 2015
Découvrez Sodomites, second extrait de Archangel le prochain Soulfly qui sera disponible le 14 août chez Nuclear Blast. Le titre contient Todd Jones de Nails en guest.
Vendredi 20 mars 2015
Le True Enemy de Disgrace (hardcore avec du monde de Nails, Forced Order et Twitching Tongues) est en écoute intégrale via Lambgoat.com.
Lundi 09 mars 2015
Disgrace (Nails + Twitching Tongues) dévoile le titre "Slave to The Lead God", issu de son nouvel album, True Enemy (sortie le 24 mars chez Closed Casket Activities).
Jeudi 19 février 2015
Concours : Terror, Nails, Risk It, Redemption Denied et Confusion seront en concert le jeudi 12 mars à Petit Bain (Paris). We Care Booking et Petit Bain met en jeu 2x2 places. Pour participer rien de plus simple il vous suffit de répondre à la question. Les places sont en vente sur Francebillet, Weezevent et Digitick. Toutes les infos sur l'event Facebook. Bonne chance !
"TERROR sera de retour dans la capitale le 12 mars et amènera dans ses bagages de bons gros supports !!! de quoi faire tanguer le beau bateau jaune !! une belle soirée HxC en perspective ."
Jeudi 25 décembre 2014
Deux titres de Nails, extrait du disque du magazine Decibel de février, sont en écoute ici.
Mercredi 24 décembre 2014
Nails a dévoilé deux nouveaux titres, Among The Arches Of Intolerance et In Pain, en écoute sur Soundcloud. En concert avec Terror, Risk it et Redemption Denied à Petit Bain (Paris) le 12 mars 2015. Toutes les informations sur l'événement facebook
Lundi 15 décembre 2014
Le webzine Cvlt Nation a mis en ligne sa 8eme mixtape, on y retrouve du Nails, Xaphan ou encore Lord Mantis. C'est à retrouver sur soundcloud en téléchargement libre.
Vendredi 28 novembre 2014
Terror, Nails, Risk it et Redemption Denied seront à Petit Bain (Paris) le 12 mars 2015. Toutes les informations sur l'événement facebook.
Vendredi 17 octobre 2014
Xibalba a achevé l'enregistrement de Tierra y Libertad aux côtés de Taylor Young (Nails, Twitching Tongues). Sortie prévue en janvier.
Mercredi 13 août 2014
Le Temples Festival a mit en ligne une vidéo post-édition 2014. Pour rappel, le festival qui prend place à Bristol en Angleterre vient de dévoiler une première vague de groupes pour 2015 : Converge, Pig Destroyer, Between The Buried And Me, Goatsnake, Triptykon, Nails, Torche, Trap Them, Portal, Celeste...
Dimanche 10 août 2014
Converge, Pig Destroyer, Between The Buried And Me, Goatsnake, Triptykon, Nails, Torche, Trap Them, Portal, Will Haven, Bölzer, Celeste, Today Is The Day, Bongzilla, Magrudergrind, Impetuous Ritual, Goatwhore, Leng T'che... et plein d'autres sur la même affiche? Ca fait rêver et c'est pas très loin de chez nous, du côté de Bristol en Angleterre du 29 au 31 mai. Il reste encore 55 groupes à annoncer pour cette nouvelle édition du Temples Festival.
Samedi 21 juin 2014
La page concours pour la date de Nails a été mise à jour avec l'un des trois coloris (visibles là) de sérigraphies réalisées par Brian Cougar. Il y aura 30 exemplaires disponibles (or/noir 10 exemplaires, blanc/noir 15 exemplaires, blanc/rouge 5 exemplaires) le soir du concert pour 10€. Pour rappel, le concours se termine demain à minuit et Nails sera donc accompagné de Stuntman dimanche 29 juin au Nouveau Casino (Paris). Les places sont en vente sur Fnac et Digitick. Toutes les infos via l'événement Facebook ou sur le site de la salle.
|
|