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Titre : The 2nd Law
Année : 2012
Tracklist
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01. Supremacy 02. Madness 03. Panic Station 04. Prelude 05. Survival 06. Follow Me 07. Animals 08. Explorers 09. Big Freeze 10. Save Me 11. Liquid State 12. The 2nd Law : Unsustainable 13. The 2nd Law : Isolated System ![]() Label : Warner Music Group Collection : 7 membres possèdent cet album.
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Voici l'album qui m'a laissé le plus sur ma faim; malgré tout il ne m'a pas déçu pour autant car je l'ai quand même acheté. Voici le classement des titres de l'album:
Certains commentaires sont très complets plus bas. Juste pour dire que cet album est une énorme déception, Resistance avait quelques morceaux sympas même si dans l'ensemble, c'était moyen pour du Muse. Là, on touche le fond pour moi. Matthew s'égare au niveau du chant à vouloir faire de l'opéra. L'évolution d'un groupe c'est bien, ils prennent des risques, mais là non c'est pas possible... On ne retrouve vraiment pas le son du groupe, ils sont devenus bien sages. Je ne suis peut-être pas objectif, parce que j'ai tellement adoré ce groupe dans mes jeunes années avec leur rock énervé, les distos, les fuzz aaaaah... C'est fini ce temps là !
Avec The 2nd Law, Muse signe son 6ème album. Pour le meilleur ou pour le pire ? Surtout pour le meilleur. Alliant intelligemment grosses guitares, synthés d’avantage dance, Muse montre ici toute l’étendu de son talent. 1) Supremacy 15/20. Premier morceau assez décevant par rapport au niveau de l’album. En effet même si le riff de guitare est plutôt bien trouvé, celui-ci contraste avec la lourdeur de la batterie, lourdeur renforcée par l’utilisation de violons. Les couplets sont d’avantage réussis avec un Matthew Bellamy avec une voix toujours aussi pure, des violons qui se font plus doux et une batterie aux rythmes militaires. Un morceau quand même bon. 2) Madness 20/20. Un de mes trois morceaux préférés pour plein de raisons. Tout d’abord le crescendo de fin où Matthew Bellamy exploite toute la puissance sonore de sa voix, mais intelligemment. En effet Madness est une chanson d’amour destinée à sa femme avec laquelle il s’est beaucoup disputé. Cette chanson est donc remplie de sincérité, et ça se ressent dans la musique. L’instrumentation plutôt simple nous plonge dans un univers sombre : une batterie syncopée dans ses rythmes, une guitare électro qui plonge dans le grave et des voix artificielles répétant « ma ma ma Madness » en boucle. Matthew Bellamy chante ses incertitudes, ses doutes, mais finit sur une pointe d’optimisme en hurlant : « I NEED TO LOVE » pour finir sur un « Maybe I’m too headstrong ». Une magnifique chanson, aussi bien musicalement que textuellement. 3) Panic Station 19/20. Panic Station rompt brutalement de style avec Madness avec un riff génial très rock. La batterie ne fait qu’accompagner les guitares survoltées sur lesquelles Matthew Bellamy semble d’avantage s’amuser en opérant des répétitions de fin de phrase. Même si le refrain est un peu classique, l’utilisation de cuivres apporte la dose de peps nécessaire à la cohérence du morceau. Pourquoi pas 20 ? Car on ne peut pas mettre un morceau comme celui-là entre Madness (chanson profondément mélancolique) et Survival (explosion incarnée). 4) Prelude/Survival 20/20. Une des grandes réussites de cet album ! Prelude, comme son nom l’indique, est un interlude de musique classique mélangeant violons et piano. Si musicalement il n’y a pas grand chose à dire, il amène à la perfection Survival. Survival qui, rappelons-le, est l’hymne officiel des J.O. de Londres en 2012, est sans doutes un des meilleurs que Muse ait écrit. L’utilisation de chœurs masculins et féminins se renvoyant tour à tour des « Survive » ou des « ha ha ha » qui s’accordent parfaitement avec les rythmes de la batterie est un premier coup de génie. Le deuxième coup de génie c’est comment le morceau explose. Matthew Bellamy commence simplement à chanter par-dessus les chœurs, puis pousse soudainement un long hurlement pour se saisir de sa guitare électrique et entamer un solo impressionnant de puissance. Jusqu’à la fin de la chanson, l’énergie ne démord pas, aidée par une batterie monstrueuse. Du grand Muse. 5) Follow Me 17/20. En écho à Madness ? Cette chanson au titre assez évocateur fonctionne également sur le principe du crescendo. La première chose à noter, c’est que Muse aime les violons. Encore une fois, Matthew Bellamy commence sur de longs violons nostalgiques et un synthé timide qui ne va pas tarder à montrer ce qu’il a dans le ventre. Après une montée du son classique accompagnée d’une batterie un peu simpliste, le synthé se déchire. On ne sait pas si Muse a simplement essayé de faire de l’électro ou s’est orienté dans le dubstep tant la limite est dure à percevoir. Même si cette chanson est un peu commerciale, les « Follow Me » de Matthew Bellamy et les cris de fin assoient encore une fois la grandiloquence et la puissance dont Muse est capable. 6) Animals 12/20. Premier petit problème dans cet album, Animals ne parvient pas à s’imposer comme véritablement indispensable. En effet avec ce morceau, Muse semble choisir la voix de la finesse musicale plutôt que celle de l’énergie. Et de fait l’instrumentation est bien présente (batterie, synthé, guitare furtive et basse assez complexe), mais elle ne varie à aucun moment du morceau, hormis durant les trente dernières secondes qui laissent place à des guitares électriques. Cette chanson cruellement ennuyeuse manque d’énergie et de variation. Dommage. 7) Explorers 20/20. Explorers reprend la même recette qu’Animals, mais dans le bon sens cette fois. On retrouve un piano plutôt simple sur lequel Matthew Bellamy commence. Puis les instruments s’ajoutent au fur et à mesure pour finir dans une apothéose musicale complexe. Tout d’abord la batterie qui se contente au début de jouer sur les cymbales tape sur les tambourins. Puis un synthé qui mime des bruits de bois s’ajoute sur des violons qui se font de plus en plus langoureux et dramatiques. Ces synthés laissent ensuite place à des bruits métalliques, comme si la matière de la chanson même devenait de plus en plus dure. Matthew Bellamy chante de plus en plus aiguë. Puis la chanson se termine sur des chœurs apaisés, comme la fin d’un acte d’amour auquel l’on prend part. 8) Big Freeze 19,5/20. Deux superbes morceaux à la suite, deux styles de composition radicalement différents. Si Explorers mise sur le crescendo, Big Freeze joue sur une alternance entre parties calmes et parties d’avantage mouvementées, telles des montagnes russes. Pour les parties calmes, une batterie plutôt discrète, et des synthés dont les sonorités se mélangent habilement à celles des guitares au rythme totalement décalé sur le chant de Bellamy. Pour les parties mouvementées, la même chose avec une basse supplémentaire. Le génie vient alors que les guitares adoptent un rythme funk, totalement en décalage avec ce qu’on attendrait d’un groupe rock comme Muse. Seul petit bémol, l’intervention de chœurs derrière les cris de Bellamy, pas forcément nécessaires… 9) Save Me 7/20. Pour des montagnes russes, en voilà des montagnes russes ! Après deux superbes morceaux, on a du mal à comprendre l’intervention de cette… pardon ! Pour une fois, c’est le bassiste du groupe, Christopher Wolstenholme, qui prend le micro. Espérons qu’il ne le reprenne pas trop souvent ! Plus sérieusement, on a ici à faire à une bande sonore qui tourne en rond, avec trop d’éléments à la fois. Entre la batterie, les nombreuses guitares qui interviennent, la basse trop plate, les synthés cloches, on se croirait au Pays des Merveilles… On a l’impression d’une piste brouillon où les instruments ne s’accordent pas du tout entre eux. Même la fin plus rock avec l’intervention d’un piano et de chœurs ne renforce que cette sensation de grande confusion. 7 pour le thème personnel qui concerne l’alcoolisme de Christopher. 10) Liquid State 13/20. Si le riff est particulièrement bien trouvé, la voix de Christopher Wolstenholme, encore une fois, ne convainc guère et manque d’énergie. Le manque de variation dans l’instrumentation rend également le morceau ennuyeux à certains moments. Seule la basse rajoute un piment de peps à la chanson. Les refrains sonnent un peu brouillon entre la batterie pas très claire dans ses rythmes, les chœurs et les larsen des guitares. Dommage car cette chanson est de loin la plus rock de l’album. 11) The 2nd Law : Unsustainable 17/20. Les deux dernières pistes de l’album sont exclusivement électroniques. Ici, Muse se livre à un exercice délicat, celui du dubstep. Exercice plutôt réussi puisqu’à côté de Skrillex, dur de voir une réelle différence. Encore une fois, Matt et sa bande aiment les violons et le font savoir : sauf que sur cette piste deux mélodies différentes se superposent. Dommage cependant que la montée du son ne soit pas plus fine, seulement une voix de femme enregistrée qui parle, les violons et des chœurs dramatiques. 12) The 2nd Law : Isolated System 20/20. Une piste brillante pour clore un très bon album dans l’ensemble. Ce morceau très électro dance de club se compose en deux partis : une première plutôt calme où le son est enfermé, puis une deuxième où celui-ci est libéré et où de nombreux éléments électroniques se rajoutent. Au programme ? Une batterie, un piano, une basse, des chœurs, une voix préenregistrée et… des violons ! Est-ce que Matt et sa bande auraient fait une cure de classique ces derniers temps ? C’est à se demander…
En arrivant ici, je sais pas ce qui m'a le plus surpris: le fait que cet album ait moins de la moyenne, où le fait qu'il ait moins que Resistance ? Déjà, The 2nd Law a beacoup de bonnes intentions: L'album se veut plus intime, le groupe voulant éviter de repartir dans lé bordel symphonique qu'était The Resistance, tout en continuant à essayer de nouvelles choses. Ensuite, l'autre bonne idée a été de mettre 2 chansons composées et chantées par Christopher Wolstenholme, le bassiste, où il traite ces problèmes liés à l'alcool. L'album s'ouvre sur la guitare de Supremacy (Quelqu'un a dit Kashmir ?), chanson dans mélangeant le calme des couplets et les envolées chaotiques du refrain, dans le même genre qu'Apocalypse Please. Ensuite vient Madness (Quelqu'un a dit Undisclosed Desire ?), chanson électro-pop sympathique, surtout à partir du solo de guitare (oui j'ai dit solo). Vient la pop 80's de Panic Station (Quelqu'un a dit Another Bites The Dust ?), totalement nouveau pour Muse et très rafraichissant pour le coup. Le piano de Prelude nous rappellera pendant un court instant The Resistance, avant de laisser place à Survival, l'hymne des JO 2012 (tout le monde s'en fout...), chanson tout en crescendo qui fini en apothéose. Vient ensuite la dubstep bien foutu de Follow Me, et on arrive au meilleur morceau de l'album: Animals, un superbe 5/4 avec une fin plein de rage. On repart sur une petite ballade pop avec Explorers (=Invicible + Soldier's Poem...), et le rock entraînant de Big Freeze. On arrive sur les morceaux de Chris: l'aérien Save Me et le sombre Liquid State, non s'en rappeler les premières chansons de Muse. Enfin, l'album se termine sur deux pistes instrumentales, The 2nd Law: Unsustainable, un mélange entre Skrillex et Hans Zimmer, et The 2nd Law: Isolated System, une chanson magnifiquement angoissante (qui m'a aussi permis de comprendre en concert que le sens du rythme n'est pas donné à tout le monde). En résumé, Muse est allé piocher dans beaucoup de genre différent, ce qui donne des chansons aux sonorités différentes, sans pour autant être brouillon. L'album n'a pas vraiment de point faible... Mais il n'a pas de point fort non plus, mis à part Animals qui est la seule chanson qui sort du lot. +++ ++ +
C'est marrant car tout le monde le préfère à Resistance, qui pour moi était de la mauvaise pop mais avec quelques musiques sympathiques. Là, on a le droit à tout ce qui marche actuellement. Les pompages sont énormes, j'ai l'impression d'écouter un plagiat de Depeche Mode, U2 et Queen. Mais ce qui me dérange ce n'est pas d'avoir des influences, c'est plutôt que Muse donne cette impression de se prendre pour des dieux qui ont tout crée. La seule satisfaction de l'album pour moi est la musique Liquid State, que j'aime écouter en boucle de temps en temps.
Ne pas mettre la moyenne au dernier album de Muse témoigne d'une écoute vraiment passive de celui-ci . Il est nécessaire de l'écouter plusieurs fois pour réellement l'apprécier certes , mais une fois que l'on a cerné "The Second Law" , c'est un pur plaisir .
![]() Arrêtez avec votre "soupe commerciale", au contraire, cet album et bien moins facilement abordable que The Resistance. Il est plus travaillé, plus de morceaux valent le détours. Alors que l'album précédent avait quelques perles parmi des compos beaucoup moins bonnes, celui-ci est beaucoup plus homogène. Le bassiste à une voix sympas qui colle bien à Save Me et à Liquid State. Okay, la dubstep était pas indispensable et plutôt déconseillée, mais Unsustainable est réussie. Ensuite, on a des bonnes chansons, comme Supremacy, Madness ou encore survival. Panic station est pour moi la meilleure de l'album. Ils ont carrément recrées le rock des années Queen pour en faire une chanson déjantée et entraînante. Ce n'est pas l'album de l'année, mais il y a du bon boulot de composition derrière. Muse ne refera pas du Origin Of Symmetry, donc il ne faut pas rêver.
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Chiasse intergalactique sauce bisounours(Explorers). Notez que le batteur est passé à mi-temps.
![]() Le niveau zéro de la musique. En un sens cet album est utile, permettant de faire en sorte que les autres se sentent supérieures.
J'ai un peu ravalé ma fierté d'original, et apprécié cet album. Comme un eu tout le monde, j'ai écouté ce groupe plus jeune et je l'ai abandonné à la sortie de Black Holes and Revelations. The resistance était a vomir, ca ne fait aucune doute. Mais cet album m'a agréablement surpris, je l'ai écouté avec beaucoup d'a priori, mais Muse a finalement produit un album agréable a mon oreille. Je regrette de voir tant de 0 catégoriques sur cet album !
![]() J'avais énormément d’aprioris avant l'écoute de l'album, j'avais fait exprès de ne pas écouter les singles sortis avant pour pouvoir juger de l'intégralité de l'oeuvre (à voir la playlist on sent déjà l'idée du concept album, avec un thème tournant autour des lois de la thermodynamique, de l’expansion de l'univers le tout dans un décors apocalyptique comme je les aime), j'ai été déçu à la 1ére écoute mais je ne restais pas indifférent, il y avait deux trois morceaux qui ont attiré mon attention notamment "Animals" et "The 2nd Law: Isolated System" que j'ai trouvé particulièrement réussis, et finalement je me passais l'album régulièrement sans même vraiment m'en rendre compte, et en fin de compte j'aime bien! A force d'écouter, j'ai fini par apprécier des chansons que je n'avais pas forcément aimé à la 1ére écoute comme "Panic Station", et en fin de compte on passe outre les éventuels "plagiats", les comparaisons avec les albums précédents, et autres facilités techniques, on fini juste par kifer ce qu'on entend ... bref, cet album n'est pas aussi terrible que ça, je trouve même qu'il est bien plus réussi (et couillu) que "The Resistance".
j'ai trouvé cet album original dans le sens où il m'a surpris!
En un mot : cACA ! J'étoffe mon commentaire : ce groupe est pour moi mort avec l'album Absolution. Leur son est inbuvable depuis cette date et leurs shows dénués d'intérêt. Dommage car les 2 premiers albums étaient prometteurs mais depuis c'est une soupe infâme !
Un album moyen avec des haut et des bas, quelques chansons ou partie de chansons sont assez bonnes, mais l’album dans ça globalité n'est pas une réussite, vous pouvez lire ma critique complète sur mon site : http://les10meilleurs.fr/bonus-de-la-semaine-18-the-2nd-law-nouvel-album-de-muse/
Muse...c'est pour moi, un premier album sympa, un deuxième tout simplement incroyable, suivi d'un troisième légèrement moins bon mais toujours génial, un quatrième album différent, diversié qui m'a beaucoup plut...j'attendais le cinquième album avec impatiente et qu'est ce que je l'ai détesté...alors pour ce sixième album j'étais assez sceptique, mais j'ai fini par l'acheter (juste pour Madness...)! PS: j'ai voulu faire une playlist de l'auto-plagiat:
(je reprend une de mes critiques d'un autre site, la flemme de réécrire autre chose^^ donc bon sinon, un avis qui contrebalancera peut-être cette vague de haine que l'on voit fleurir sur la webosphère, alors même que l'album n'est pas plus commercial que les deux autres albums le précédant) Muse aime bien surprendre son auditeur. Muse aime bien aussi Queen, U2, Stevie Wonder maintenant. Et les James Bond aussi. Ah oui et Keane aussi, mais ça on le savait depuis leur quatrième album. Vous l'avez compris, ce nouvel album est très (trop peut-être, à voir) référencé. Bourré d'influences, il contient néanmoins le cachet Muse, et tant mieux. La prod' du disque est un peu plus intimiste que celle de Black Holes And Revelations et de The Resistance. Qui plus est, pas mal de chansons ne sont pas taillées dans les moules classiques des tubes qui cassent la baraque. Mais le style reste proche des opus précédents, le côté burlesque encore plus appuyé. C'est pour ces raisons que cet album risque de décevoir et les anciens fans, et les nouveaux fans, voire le grand public. Pourtant, il n'a selon moi pas à rougir face aux autres oeuvres du groupe. Les mélodies sont très présentes, un aspect grand guignol ressort. Le tout est saupoudré d'élements electro/dancefloor/dubstep ! Mais aussi funk (Panic Station) , pop et hard rock. Bref, l'album est d'une très grande variété, et joue parfois sur la surenchère, parfois sur le minimalisme (magnifique chanson que Madness). Autre élément de surprise : le bassiste a composé deux chansons, et le résultat est réussi. Save Me est une balade aérienne, où la voix juvénile du bassiste crée une ambiance nébuleuse. Le deuxième titre (Liquid State) est plus rock, avec un léger côté stoner agréable. La chanson est certes courte, mais très intense, sans toutefois exploser comme on pourrait s'attendre d'une chanson plus classique. Après, on peut toujours statuer que Muse ne fait plus de rock, et qu'ils n'ont plus une production digne de ce nom (edit : à nuancer, une réécoute de BH&R me fait dire que malgré tout, la prod' reste de bonne qualité, même si certains éléments sonores ne sont pas forcément mis en valeur de la façon la plus idéale possible). On pourrait aussi leur reprocher de plagier un petit peu partout, mais cela serait ne pas connaître un aspect de leur démarche actuelle, qui est de reprendre quelques passages musicaux pour en sortir autre chose. Cet album est moins accessible que d'habitude certes, parfois même minimaliste. Mais plusieurs écoutes pourraient faire changer d'avis ceux qui y sont pour le moment réticents. A condition bien sûr de ne pas en attendre quelque chose de particulier, et de se laisser porter par leur style, en constante évolution.
Mouahahahahah ! Super blague, merci Muse !!!!! En tout cas ça va bien plaire à la masse, ça y a pas de doute...
De la bonne soupe de super marché. Qui aurait cru qu'après Showbiz et Origin Of Symmetry que Muse en arriverait un jour à ce niveau de médiocrité ...
Mauvais.
Je vous annonce que je viens de devenir sourd grâce à The 2nd Law.
Mouais bof, mais je m'attendais à bien pire.
Un album qui sonne comme une autoparodie. Sauf que le coup du sketch, ils nous le font depuis plusieurs albums maintenant. On les croyait avoir touché le fond avec The Resistance, les mecs se mettent à creuser ! Cet album en devient assez incroyable. Un mélange de tout ce qui se fait de pire en musique, pompeux à l'extrème, vide de sens et d'intéret artistique. C'est nul, et c'est une honte. et ça m'énerve parce que les jeunes filles vont acheter cette merde en masse et ça va passer pour un succès. La gerbe.
Pour écouter cet album, je pense qu'il faire un reset de ce qu'était Muse avant BH&R. A partir de là, on peut commencer à apprécier certaines chansons parce que dans le lot, il y en a qui tiennent la route, qui font bouger (un peu) la tête ou le pied. Panic Station, Survival et son prélude, le refrain de Supremacy, Unsustainable sans le dub, l'ambiance musicale d'Isolated System ou pourquoi pas Liquid State. Mise à part certaines chansons au ras des pâquerettes, ce qu'on peut reprocher à cet album, c'est qu'en effet on peut trouver dans chaque chanson des similitudes avec d'autres groupes voir même, le comble, un plagia d'autres chansons de Muse. Donc, cet album n'a plus rien à voir avec le Muse d'antan. Ils ont digéré leur mue de The Resistance pour assumer jusqu'au bout le côté déjanté qui les caractérise souvent et qu'on retrouve sur les chansons phares de cet album. Ça marchera probablement chez les non-initiés. PS : j'ai été un fan jusqu'à BH&R qui marquait, à mon sens, le déraillement facilement commercial de MUSE.
zzzzzzz...hein?....ah!? un riff !......ah non ....zzzzz
![]() Le mot déception n'est même pas assez fort pour décrire ce que je ressens en écoutant cet immondice musical. Soit Muse a décidé de se foutre de la gueule du monde, soit l'abus de drogues leur a cramé le cerveau. Tout frise la caricature, le chant (Matthew Bellamy en fait beaucoup trop, mais où va-t-on?), des beats electro kitshs dignes du pire des 90's, du dubstep malvenu (on commence à en bouffer à toutes les sauces, même dans les pubs, ça suffit maintenant), quelques envolées lyriques clairement pompées sur Freddie Mercury et des morceaux taillés format radio. Certains crient encore au génie (quoi de pire que des fans aveugles...) mais soyons sérieux: "Ma chériiiiiiiie, c'est la C-A-T-A-S-T-R-O-P-H-E!". Je me suis emmerdé à mourir et pire, aucun morceau ne résonne dans ma tête après écoute. Pour finir, on assiste tout simplement à une orgie entre Queen, U2, Skrillex, Ace of base, Santana et Prince. Je te raconte pas la gueule des mioches. ◄1► |
Muse
Style : Rock Tags : Rock Origine : Royaume-Uni Site Officiel : muse.mu Myspace : ![]() Amateurs : 614 amateurs Facebook : |