Avec ses dernières productions, Lordi avait tendance à garder la même recette et tourner en rond. Quelle surprise donc que ce Monstereophonic construit en deux parties bien distinctes.
La première partie, Theaterror (une introduction puis six morceaux) semble un bilan de tout ce que le groupe a fait jusque-là, de bonne qualité mais rien de neuf ici.
L'excellente surprise de l'album, c'est la deuxième partie, Demonarchy (également une introduction plus six morceaux), une sorte de demi concept album avec des morceaux plus longs (autour de six minutes contre les quatre habituelles) et plus complexes, plus travaillés, qui donnent envie d'y revenir afin de mieux les apprécier.
C'est certainement la meilleure chose qui pouvait arriver au groupe, en espérant qu'il poursuive dans cette voie à l'avenir.