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Vendredi 21 octobre 2022
Vendredi, tu connais la suite. Donc allez la liste des sorties ! (et tu écoutes quoi en premier ?) - Architects (Metalcore ?)
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- Brutus (Alt Punk / Hardcore, Belgique)
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- Ugly Kid Joe (Hard Rock, USA)
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- The Otolith (Doom, USA, Avec des ex Subrosa)
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- 84 Tigers (Post Hardcore, USA, Avec des membres de Small Brown Bike et The Swellers)
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- A Wake In Providence (Deathcore, USA) 🎧
- Abduction (Black Metal, UK)
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- Archers Of Loaf (Indie Rock, USA)
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- Arctic Monkeys (Indie Rock, UK)
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- Avatarium (Doom Rock, Suède, Projet de Leif Edling de Candlemass)
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- Battalions (Sludge / Stoner Metal, UK)
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- Black Math Horseman (Post-Metal, USA)
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- Black Royal (Heavy / Stoner / Death Metal, Finlande)
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- Black Space Riders (Stoner / Heavy Rock, Allemagne)
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- Black Veil Brides (Metalcore / Alt Rock, USA, un EP)
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- Black Widows (Metal Sympho, Portugal)
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- Blue Sunshine (Jazz / Noise, Canada)
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- Breath Of Sindragosa (Deathcore, USA)
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- Cabal (Deathcore, Danemark)
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- Cassius King (Heavy / Doom / Stoner Metal, USA)
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- Chain Wolf (Thrash / Crossover, USA)
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- Cryptic Rising (Death Metal, USA)
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- Darko (Punk Rock, UK)
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- Disgusting Perversion (Death Metal, Allemagne)
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- Eaters Of The Soil (Noise / Jazzcore, Pays-Bas)
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- Exhumed (Death Metal / Grindcore, USA)
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- Flagman (Fusion, USA)
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- Folkrim (Folk Metal, Finlande)
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- Fomies (Garage / Psyche, Suisse)
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- Galicia (Black / Death Metal, USA)
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- Ggu:ll (Black / Doom, Pays Bas, Avec des ex Dodecahedron)
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- Ghostminister (Indus, Norvège)
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- Goat (Fusion / World Music / Psyche, Suède)
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- God Alone. (Math Rock, Ireland)
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- Gospelheim (Gothic Metal / Black Metal, UK)
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- Howard (Stoner / Rock, France)
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- In This Moment (Metalcore, USA, Un EP)
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- Inclination (Hardcore, USA, avec Isaac Hale, guitariste de Knocked Loose)
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- Invictus (Power Metal, Allemagne)
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- Livid (Powerviolence, USA)
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- Lost In Kiev (Post Rock, France)
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- Miët (Noise Rock, France)
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- Moundrag (Heavy Psych, France)
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- Mountainscape (Post-Metal, UK)
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- New Junk City (Punk Rock, USA)
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- Nighted (Black Metal, Suisse)
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- No Return (Thrash / Death, France) 🎧
- Noise Unit (Indus, Canada)
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- O.R.K (Prog Metal, Australie, avec Colin Edwin, ex Porcupine Tree)
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- Omegavortex (Black Death, Allemagne, Split avec Pious Levus)
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- Pinkshift (Pop Punk / Alt Rock, USA)
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- Pistacia (Metalcore / Neo, USA)
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- Radiant. (Noise Rock, France / Paris)
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- Ruby The Hatchet (Doom Rock, USA)
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- Sahg (Doom, Norvège)
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- Sarcator (Thrash Metal, Suède)
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- Seraina Telli (Hard Rock, Suisse)
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- Serj Tankian (Fusion / Rock / Metal, USA)
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- Steel Inferno (Heavy Metal, Danemark)
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- Stryper (Heavy Metal, USA)
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- Teri Gender Bender (Lo-Fi / Experimental, USA, Teri de Le Butcherettes)
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- The New Roses (Hard Rock, Allemagne)
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- Tobias Sammet's Avantasia (Power Metal, Allemagne)
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- Vigilance (Heavy / Black Metal, Slovénie)
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- Vintertodt (Black Metal, USA)
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- Wesenwille (Black Metal, Pays-Bas)
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- Witch Blade (Heavy Metal, Suède)
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- Witch Fever (Punk / Grunge, UK)
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- Wizrd (Prog Rock, Norvège)
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Mardi 20 septembre 2022
Live Report : au début de l'été, nous étions en Belgique, au Ieperfest 2022 qui soufflait ses 30 bougies cette année avec une programmation Hardcore aux petits oignons. De Terror, à Knocked Loose en passant par Wiegedood, Vein.fm ou encore Mindforce et Downfall Of Gaia, on vous raconte tout ça par ici. Pour le moment, nous n'avons été en mesure de ne récupérer des photos que pour la journée du vendredi mais promis, dès qu'on a les photos des autres journées, on met à jour le report !
Vendredi 12 août 2022
Un live "pro" de Knocked Loose au Outbreak Fest a été mis en ligne. La captation a été faite le 21 juin de cette année. On peut y voir Alex Taylor de Malevolence rejoindre le groupe sur scène.
Jeudi 04 août 2022
Inclination (avec Isaac Hale, guitariste de Knocked Loose) sortira son premier album le 21 octobre, il aura pour nom Unaltered Perspective et en voici un premier extrait avec Epidemic (feat Tom Sheehan de Indecision).
Dimanche 19 juin 2022
Hellfest 2022 : Second jour de cette nouvelle édition 2022. Malgré la chaleur, nous avons enchainé les concerts et on vous détaille notre second jour au festival avec (entre autres) Ghost, Knocked Loose, Skillet, Envy, Anti-Flag, ... Le report est lisible ici et nos photos sont en ici et là pour nos photographes (Florian Denis - Chazo - Bacteries)
Ce samedi au Hellfest aura certainement dans la presse non spécialisé des titres comme "Il a fait chaud en Enfer", "Cuisson à Clisson", "Le métal fait monter le mercure", "Au Hellfest : l’enfer de la canicule", "Bagarre sous le cagnard" … bref vous l’aurez compris il a fait chaud, extrêmement chaud. Les deux ou trois degrés de différence avec la veille ont fait très mal. Bravo à celles et ceux qui arrivent à braver la chaleur pour faire des circles pit en plein soleil. Nous, on enchaine avec les groupes que l'on a pu voir dans la journée / soirée pour le meilleur... ou pas forcément.
Vendredi 17 juin 2022
L'orga du Ieperfest était invité dans l'émission Pyongyang City Rockers de radio campus. Ca s'écoute par ici. La prochaine édition aura lieu du 1er au 3 juillet prochains. Histoire de vous donner envie voici l'affiche complète : Stick To Your Guns, Terror, Knocked Loose, Mindforce, Lionheart, Wiegedood, Liar, Dudsekop, Gatecreeper, Judiciary, Killthelogo, One Step Closer, Drain, Eyehategod, Morning Again, Sekto, Vein.fm, Whatever It Takes, Downfall of Gaia, Get The Shot, Hemelbestormer, Magnitude, Wolvennest, Abrahamic Liars, Crucified, The Curse Of Millhaven, Dare, Eleanora, Glassbone, Hell Can Wait, Her Fault, Mark My Way, Coffin Feeder, Deconsecrate, Last, Last Wishes, Loud Love, Mainstrike, Mindwar, Overlord, Questions, Street Soldier, Animal Club, Dead Heat, The Fight, Frontierer, Pound, Restraining Order, Scowl, Skemer, Warfare, Zulu.
Mercredi 04 mai 2022
"God Knows" de Knocked Loose est disponible en clip par là. Le titre est présent sur A Tear In The Fabric Of Life.
Dimanche 20 mars 2022
On est passé à côté, mais le Demo de XweaponX (Straight Edge Hardcore) s'écoute ici. On y retrouve des membres de Dare ou Knocked Loose.
Samedi 25 décembre 2021
Chronique Knocked Loose - A Tear In The Fabric Of Life : "A Tear In The Fabric Of Life apporte encore un peu plus la démonstration de l’importance majeure de la subtilité dans l’exercice de la violence [...]"
Jeudi 04 novembre 2021
Un set de Knocked Loose au Rolling Stone Studios est à voir ici. Cinq titres extrait de leur EP / BO intitulé A Tear In The Fabric Of Life sorti le mois dernier.
Samedi 23 octobre 2021
Knocked Loose a entièrement clippé son dernier EP A Tear in the Fabric of Life. C'est ouf et ça se visionne via ce lien.
Vendredi 15 octobre 2021
Les sorties du jour avec leur lien d'écoute. Bonne découvertes ! - Frank Carter and the Rattlesnakes (Punk / Alt Rock, UK)
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- The Agonist (Metalcore, Canada)
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- Ice Nine Kills (Metalcore, USA)
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- Melvins (Alt Rock / Grunge / ..., USA, Un album de reprises acoustiques)
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- Aeon (Death Metal, Suède)
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- Alene (Black / Doom, USA)
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- Baron Crâne (Fusion, France / Paris)
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- Bound in Fear (Deathcore, UK)
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- Cherubs (Noise, USA)
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- Craneium (Stoner, Finlande)
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- Crystal Coffin (Black Metal Melo, Canada)
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- DED (Rock Metal, USA)
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- Demiurgon (Death Metal, Italie)
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- Destinity (Death Metal Melodique, France)
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- Deviant Process (Tech Death, Canada)
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- Dødsdrift (Black Metal, Allemagne)
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- Feed The Corpses To The Pigs (Black / Death / Grind, USA)
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- Gallery of Ghouls (Death'n Roll / Horror Punk, USA)
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- Hate (Black / Death, Pologne)
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- Heart&Lung (Pop Punk, USA)
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- Hippotraktor (Post Metal, Belgique)
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- Illudium (Post Metal / Darkwave, USA)
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- Inebrious Incarnate (Brutal Death, UK)
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- Knocked Loose (Hardcore, USA, Un EP qui sert de BO à un court métrage sorti par le groupe.)
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- Kælan Mikla (Darkwave, Islande)
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- Lair Of The White Worm (Indus, UK)
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- Lamentum (Death Doom, Mexique)
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- Lords Of Black (Power / Heavy, Espagne)
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- Lost Love (Punk, Canada)
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- Lutharo (Power Metal, Canada)
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- Misanthur (Black Metal, Pologne)
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- Necromantia (Black / Death, Grèce)
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- Noltem (Dark Metal, USA)
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- Orgrel (Black Metal, Italie)
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- Parlor (Hardcore, France / Paris)
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- Pyny (Prog Rock, Mexique)
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- Rage In My Eyes (Heavy Metal, Brésil)
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- Reaping Asmodeia (Deathcore, USA)
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- Rebellix (Heavy / Thrash, Finlande)
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- Red Means No Mercy (Deathcore, Allemagne)
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- Seether (Alt Rock, Afrique Du Sud, Une compilation)
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- Shi - 死 (Sludge, USA)
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- Sol Sistere (Post Black, Chili)
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- The Lucid (Heavy, USA, Le nouveau groupe lancé par l'ex-Megadeth David Ellefson)
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- Tom Morello (Alt Rock, USA)
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- Tunic (Noise Punk, USA)
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- Twelve Foot Ninja (Djent / WTF, USA)
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- Vildhjarta (Metal Prog, Suède)
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- Zetar (Black Death, USA)
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Jeudi 14 octobre 2021
"A Tear in the Fabric of Life" de Knocked Loose, soit plus de 20 minutes de vidéo, se regarde là.
Lundi 22 mars 2021
Wristmeetrazor (Metalcore - US) sortira Replica Of A Strange Love le 11 juin chez Prosthetic Records. Du clip avec Last Tango In Paris avec Isaac Hale de Knocked Loose à visionner dans la suite.
Mercredi 02 septembre 2020
Cole Crutchfield de Knocked Loose sort un album pour son projet Indie/Emo nommé Eastwood. It Never Gets Easy se dévoile avec I (Don't) Need You avant sa sortie le 18 octobre chez Pure Noise.
Jeudi 27 août 2020
Les réactions du monde musical ont été nombreuses hier suite à la mort de Riley Gale, Jay Weinberg (Slipknot), Ice-T (Body Count), Scott Lewis (Carnifex), Hatebreed, Anthrax, Deafheaven, Matt Heafy (Trivium), Randy Blythe (Lamb Of God), Jesse Leach (Killswitch Engage), Tony Foresta (Municipal Waste), Geoff Rickly (Thursday), Touche Amore, Khemmis, Fucked Up, Xibalba, Knocked Loose, Shai Hulud, Code Orange, Harm's Way, Nonpoint, ... Des hommages de toute la scène. La preuve que Power Trip avait déjà marqué les esprits.
Jeudi 21 mai 2020
Le WE dernier Knocked Loose a participé à un festival virtuel qui a eut lieu sur Minecraft (oui oui), une vidéo capté du public (oui oui, cette news est incroyable à écrire) est à voir ici (le son au début est pété, et les gros relous balancent des feus d'artifices = ceux qui gueulent "A Poil"). Et oui, il y a eut un Wall Of Death.
Jeudi 13 février 2020
Le Furnace Fest aux USA a fait deux belles annonces pour son édition 2020 : Poison The Well (qui jouera The Opposite Of December) et Showbread (qui jouera No Sir, Nihilism Is Not Practical), dans ce festival on retrouve aussi August Burns Red, All Get Out, Defeater, Cave In, Converge, Norma Jean, Mineral, Zao, Shai Hulud, Knocked Loose, ...
Mercredi 22 janvier 2020
L'affiche de la 28ème édition du Ieperfest, qui aura lieu du 3 au 5 juillet à Ypres commence à bien se remplir. Sont d'ors et déjà prévus Additional Time, All Out War, Animal Club, Coldstare, The Curse of Millhaven, Deafheaven, Death Before Dishonor, Deconsecrate, First Blood, Flush, Frontierer, Gatecreeper, Get The Shot, Her Fault, Jinjer, Knocked Loose, Liar, Lionheart, Loud Love, Mainstrike, Mark My Way, Martyrdöd, Old Man Gloom, Questions, Renounced, Sektor, Subzero, Use Knife, Wisdom In Chains, Wolfpack et Wolvennest. Par ailleurs, parmi d'autres vidéos, le festival a mis en ligne le set d'Hangman's Chair lors de l'édition 2019. Rendez-vous dans la suite pour voir cela.
Jeudi 02 janvier 2020
Pour 2020 on vous souhaite plein de belles découvertes musicales ! Pour Metalorgie ça devrait être une année plein de nouveautés, on vous dévoile la première dans quelques semaines. En attendant : on attends vos notes sur les albums sorties en 2019 pour faire le top lecteurs ! Cette année on a eut des sorties de Tool, Frail Body, Knocked Loose, Cult Of Luna, Hypno5e, Big Brave, Torche, Numenorean, Slipknot, Mgla, Bad Religion, Misþyrming, Norma Jean, Cranial, Verdun, Killswitch Engage, Sacred Reich, Step In Fluid, Chelsea Wolfe, Airbourne, Lysistrata, Lingua Ignota, The Great Old Ones, Mayhem, Defeater, Arabrot, Zaum, Devin Townsend, Cave In, Kadavar, Heilung, Baroness, Blut Aus Nord, Blood Incantation, Sordide, In Flames, Opeth, Klone, Jinjer, Mantra, The Lumberjack Feedback, ... et beaucoup n'ont pas encore assez de notes pour apparaître dans le top lecteurs ! A vos souris.
Jeudi 24 octobre 2019
Bryan Garris (de Knocked Loose) est en invité sur un titre de Dying Wish : Enemies In Red. C'est un peu le match retour vu que la chanteuse de Dying Wish est en invité sur le dernier Knocked Loose (sur A Serpent’s Touch).
Mercredi 16 octobre 2019
Episode numéro 3 pour notre podcast metal hebdo YCKM, dans ce numéro on parle actu (et de quelques "affaires" du monde metal), on s'attarde sur les derniers Cult Of Luna, Knocked Loose et l'ami Maxwell nous propose Crypt Sermon (pour amateur de Doom épique). Evidemment pour accompagner tout ça une programmation musicale qui aligne du Halshug, Boris, Hexecutor, Worhs, Tribulation, Iron Maiden, XavlegbmaofffassssitimivvoamndutroabcwapwaeiippohfffX, ... Depuis votre application de podcast favorite en cherchant YCKM ou Metalorgie (dispo sur Deezer, Spotify et Apple Podcasts entre autres, où vous pourrez vous abonner pour recevoir des notifs lors de l'ajout de nouveaux épisodes) - En ligne via cette page. - Ou même en téléchargeant directement le MP3.
Mercredi 02 octobre 2019
Chronique et nouvel Album du moment : Knocked Loose - A Different Shade of Blue : "une volonté de chaque instant, matérialisée en un bloc de violence implacablement humaine et viscérale, comme si les membres du groupe ne faisaient qu’un, le couteau entre les dents. [...]"
Lundi 26 août 2019
Knocked Loose vient de sortir A Different Shade Of Blue, chez Pure Noise Records et ça s'écoute en intégralité sur bandcamp.
Vendredi 09 août 2019
A Different Shade Of Blue, le prochain album de Knocked Loose, sortira le 23 août chez Pure Noise Records. Trois titres sont en écoute par là.
Samedi 06 avril 2019
En attendant le LP pour cet été, du clip et un trois titres pour Knocked Loose. Excellent clip réalisé par Max Moore, qui s'était déjà occupé de Code Orange et Converge entre autres.
Dimanche 02 décembre 2018
Mercredi 10 octobre 2018
Podcast : nouvel épisode (#5, sous le signe de la loutre) de YCKM dispo, au menu cette semaine : chroniques sur les derniers Conan et Windhand + une revue de presse + un choix de titre varié avec du VƆID, Pénitence Onirique, Knocked Loose, Nine Inch Nails, Anaal Nathrakh, ... Pour écouter ce podcast : - En ligne - En téléchargement le MP3 - iTunes - Deezer - Et ça y est on est aussi sur Spotify (joie bonheur) - Ou en ajoutant le flux RSS dans votre lecteur de podcast favoris (ou en y cherchant Metalorgie ou YCKM directement). Si le podcast n'est pas disponible sur votre appli habituelle (au cas ou en plus d'iTunes il y a des applis comme Podcast Addict / Podcast Republic / ...) n'hésitez pas à nous le dire ! Pour venir discuter de cet épisode direction Discord.
Dimanche 24 juin 2018
Live Report : Hellfest - Jour 2 Et c’est parti pour un samedi qui fera la part belle au Neo Metal, au Hardcore et il y aura pas mal de lien avec le Hip-Hop (Dälek, Ho99o9, Powerflo, Body Count, …). C'est une première d’avoir autant de représentants du genre à Clisson.
Pensées Nocturnes : Simple projet one-man band de Vaerohn à l'origine, c’est au printemps 2017 que Pensées Nocturnes se produit pour la première fois en concert en s’entourant d’une poignée de musiciens. Le groupe montre déjà un professionnalisme exemplaire, preuve d’une expérience de la scène grandissante. Enchaînant les utilisations d’instrument peu habitués à sonner sous la Temple comme l’accordéon, la trompette ou encore le trombone, la formation parisienne dégage une aura sur scène qui nous transporte dans ce monde cauchemardesque où l'on a hâte de s’enfoncer en espérant que le cauchemar dure aussi longtemps que possible.
Monolord : L’un des premiers concerts de la journée et première claque. Une entame de Valley idéale pour se réveiller convenablement. On reste comme à l’habitude des suédois, du riff, du riff, et encore du riff, gras et basé sur un assemblage minimaliste de notes, qui ravira une assemblée en phase de réveil. Les morceaux du dernier album, Rust, s’agglutinent et font leur office, aplatissant les têtes, écrasant les corps. Classique mais efficace, du feeling et de la lourdeur, tout ce qu’on attendait finalement.
Get The Shot : Les Québécois ont littéralement cramé la Warzone, bien aidés par les compos de Infinte Punishment, mais aussi de l’album précédent No Peace In Hell, de la matière gorgée de feeling pour satisfaire la ménagère hardcore de moins de 50 ans. Les messages politiques n’ont pas manqué, orientés en particulier sur la répression policière. Les titres de Get The Shot résonnent dans la Warzone et contentent une affluence étonnamment massive à midi. De quoi retourner une assemblée de coreux à travers une énergie positive.
Demilich : Demilich est l’exemple même de la formation culte qui n’a pas eu droit à la notoriété qu’elle mérite. En effet, les finlandais n’ont sorti qu’un seul et unique album. Je vous encourage, si ce n’est pas déjà fait, à vous plonger dans l’album Nespithe, qui aurait mérité que le groupe se retrouve aux côtés de formations comme Death, Gorguts ou encore Nile. Malgré un son légèrement en retrait, ce qui n’aide pas les festivaliers qui viennent découvrir le groupe sur scène aujourd’hui, les finlandais, très heureux de se produire enfin chez nous, font preuve d’une technicité exemplaire. Pour l’occasion le groupe a même réalisé un t-shirt spécial aux couleurs du drapeau français, fièrement arboré par le bassiste.
Misþyrming : Ce qui est incroyable chez les islandais c’est la virulence avec laquelle ils exécutent leurs morceaux sur scène. Tu sens que les gars ne sont pas là pour rigoler et qu’ils vivent vraiment leur Black Metal, bien plus que certains groupes dans le genre qui sont méchants dans leurs compos, mais dans l’attitude c’est tout autre. Tu ajoutes à ça un son exemplaire où l’on distingue les instruments, une voix de possédée et des leads de guitares fous (sur Söngur Heiftar notamment) et tu obtiens un concert de Black Metal les plus marquants au Hellfest de ces dernières années.
Knocked Loose : Seconde excursion vers la Warzone et seconde gifle, dans le domaine hardcore beatdown moderne, on peut difficilement faire mieux. Rythmique sur-lourde, dérision verbale et feeling outrancier, les jeunes gens de Knocked Loose n’ont déjà plus rien à prouver en direct. A l’image de leurs camarades de Code Orange, les gaziers sont en place et engrangent les points de vie à travers les titres de Laugh Tracks, sans complexe.
Psykup : C’est une immense foule qui déborde déjà de la Altar qui s’est donnée rendez-vous en ce début d’après-midi pour accueillir une de nos formations cultes bien de chez nous : les toulousains de Psykup. Le show aujourd’hui sera dans l’exacte continuité de la tournée de 2017 qui faisait suite à la sortie de Ctrl+Alt+Fuck, leur dernier album. Le seul véritable regret de ce concert vient de ce show entièrement calculé comme il l’était lors de la tournée qui les a amené à filmer leur concert à domicile pour une sortie DVD. Plus de spontanéité et de morceaux des anciens albums auraient été les bienvenus et le résultat n’en aurait été que plus impactant.
Re-Psykup (vu par un autre chroniqueur, qui n’avait pas vu la tournée précédente et n’était donc pas spoilé) : Après un court sample de Surfin’ USA en intro, les membres de Psykup arrivent en chemises à fleurs et en lunettes de soleil, en jetant des frisbees dans la foule. L’ambiance est posée, c’est parti pour quarante minutes d’Autruche-Metal débile, groovy, et précis dans son exécution. « On s’appelle Psykup, on vient de Tokyo ! » lâche le vocaliste, toujours dans l’esprit WTF du groupe. Leur titre Do It Yourself sera dédicacé au Hellfest qui s’est construit à partir de rien. On retiendra aussi les morceaux Cooler Than God ou Love Is Dead, qui marquent par la puissance de leur groove parfaitement retransmis sur scène. En parlant de scène, Psykup n’investit la Altar qu’avec un tout petit backdrop à l’effigie du récent Ctrl+Alt+Fuck, mais a aussi posé de part et d’autre de la batterie six panneaux lumineux qui s’allument pour former différents mots ou logos selon les titres, et qui en fin de set affichent une alternance "Merci! / Bisous!". Des fadas, ces toulousaings.
Oranssi Pazuzu : Cette année le Hellfest nous gâte pour ce qui est des perles underground et / ou old school sous la Temple et l’Altar. Oranssi Pazuzu était assurément un nom à ne pas rater pour qui aime l’ivresse musicale. Avec ses deux guitaristes et son clavier, le groupe débarque sur un premier titre un peu inquiétant question qualité sonore , ça vrombit dans tous les sens, mais il est carrément ardu de distinguer les notes aiguës. Problème réglé dès le deuxième morceau extrait du dernier méfait des Finlandais. Et là, c'est l'envol, le départ vers d'autres dimensions. Oranssi Pazuzu rayonne de puissance et distille ses mélodies étranges, Aux portes du Psyché. Lahja nous met sur les rails avec ses percussions tribales et cette guitare répétitive, un trip qui durera tout le reste du concert, consacré essentiellement à l’excellent dernier né Värähtelijä. Si les non-initiés et réfractaires pourront trouver des longueurs dans les riffs tournant en boucle, les nordiques préparent en fait le terrain pour des explosions incroyables. Le final se fera sur un Vasemman Käden Hierarkia dantesque, brillant par son tempo écrasant qui finit de sonner l’auditoire. Le retour au monde physique est douloureux, voir un autre concert immédiatement après n’est vraiment pas une idée séduisante, on préférera plutôt se ressasser encore quelques minutes les élucubrations fantastiques des scandinaves.
Heilung : Jean Michel Pagan était de sorti sous la Temple vers 17h avec les allemands d’Heilung puisque cette année il n’y avait pas Wardruna pour assumer sa passion pour les peaux de bêtes, le marquage au crayon noir et les cornes à boire. La scène est blindée, on ne peut rien voir à part des silhouettes de types habillés avec des peaux d’animaux morts et des bardages de bois qui servent de cache misère. Des borborygmes, des percussions tribales minimalistes… heureusement qu’on a eu plusieurs siècles d’évolution pour dépasser ce néant musical. Curieux que des mecs souhaitent s’y complaire. Lundi, tout ce beau monde pourra retourner au bureau se faire chier la nouille en réunion et aller faire ses courses au Leader Price du coin, mais le temps d’une petite heure Jean Michel Pagan aura voyagé quelque peu dans des contrées fantasmées, tout comme son patrimoine viking hérité de sa grand mère espagnole.
Modern Life Is War : Augmenté de deux récents nouveaux titres, Modern Life Is War s’est fait plaisir tout en les distribuant à un public malheureusement peu agglutiné devant la scène. Alors que Get The Shot avait rempli les lieux plus tôt dans la journée, on se retrouve un peu désolé de voir un groupe emblématique des 90’s se démener devant un public trop peu intéressé. Le groupe n’est certes pas très porté sur la promo, mais ça ne nous empêche pas de soutenir le bouzier, qui mérite amplement un relais. On tâchera d’en profiter, comme on l’a fait durant leur set.
Jonathan Davis : Jonathan Davis en solo sonne comme du vieux Korn, c’est à dire glauque et lugubre en restant accessible, mais en plus dépressif, en plus Pop et en plus chiant. C’est long et il ne se passe rien. On se rattrape avec l’originalité de la formation : en plus du vocaliste qui donne son nom à son groupe, sont présents sur scène un batteur (celui de Korn d’ailleurs), un guitariste, un claviériste, mais aussi un contrebassiste et un violoniste. Mais en dehors de ça, on ne retiendra pas grand chose d'intéressant ici.
Dälek : Si le Hip-Hop est un peu plus à l’honneur cette année notamment sur cette journée du Samedi, peu de monde s’est pressé pour voir Dälek sous la Valley. Quelle erreur, mais ceux qui connaissent ou venaient pour la découverte ne seront pas déçu. A l’occasion pour ce concert, c’est Mathieu Vandekerckhove d’Amenra qui est venu prêter main forte au duo à la guitare. Celui-ci se montrera assez discret, mais ajoutera tout de même une couche d’effets supplémentaire aux machines de Rek. 50 minutes de Hip-Hop lourd, froid, urbain et bruitiste porté par le flow colérique de MC Dälek. Le son n’est pas à leur avantage, mais on comprend la thématique : c’est noir et lancinant. Dälek pioche surtout dans son dernier et premier album avec trois titres d’Absence : Asylum, Ever Somber et le fantastique Culture For Dollars, mais aussi Echoes Of… d’Endangered Philosophies qui détruit tout sur son passage avec cette rythmique tellement méchante. On y trouvera également les morceau Weapons et Numb en conclusion. Un très bon set, mais on aurait aimé encore plus de basse et encore plus de lourdeur pour faire s'écrouler la Valley.
Pleymo : Les Pleymo attaquent leur set avec United Nowhere puis Ce Soir C’est Grand Soir, de vieux titres bourrins au chant rappé qui permettent au groupe de gagner l’attention de la foule amassée devant les Mainstages, a.k.a. les scènes "revival 2000" de ce samedi. Le groupe fera l’effort de continuer de glisser de nombreux titres bien vénères pour justifier leur présence, malgré quelques incursions vers leurs albums les plus récents. Ces quelques titres, plus mous, laissent indifférent les gens qui, comme moi, regardent de loin, mais l’ambiance dans le pit semble complètement survoltée tout le long de la prestation. Le chanteur remercie d’ailleurs le public et demande si "vous êtes là ?" entre chaque titre (c'est lourd), et provoque un gros Braveheart sur Tank Club. Pleymo finira par Blöhm!, un dernier extrait de leur premier album, datant déjà de 1997 (ça aussi, on nous le rappelle entre les morceaux, que Pleymo a eu une carrière : re-lourd), pour partir en beauté. L’air de rien, quand ils blablataient pas, ils ont tout péta.
Bullet For My Valentine : Même s’il y a encore une énorme masse de monde, la foule semble moins réactive pour Bullet For My Valentine que pour Pleymo. Il faut dire que leur look de poseurs prétentieux en mode coreux à casquette et la distance que les musiciens mettent avec le public (lunettes noires, pas vraiment de communication) n’ajoutent pas à leur capital sympathie. Contrairement aux autres groupes de notre adolescence qui jouent sur les Mainstages aujourd’hui, Bullet For My Valentine joue des titres récents et n’arrive pas à déclencher le petit quelque chose qu’on attend d’eux. Pour couronner le tout, le frontman est peu bavard et de longs blancs s’installent entre les morceaux. Parfois un nouveau titre finit par démarrer, d’autres fois le chanteur sort quelques phrases bateau avant de lancer la suite, mais dans tous les cas on sent un malaise. Heureusement, le groupe finira avec Tears Don’t Fall et Waking The Demon pour un fan-service minimal.
Terror : Que dire sur un show de Terror ? Le groupe était au taquet ? Le public aussi ? Sur les bords de la scène on retrouve les groupes de la journée (prêt à venir faire un feat, aider… si besoin). Scott Vogel harrangue la foule, répète en boucle que c’est bien d’être en vie, d’être libre… Et entre ses discours : ça joue à fond, évidemment.
C’était bien, c’était Terror.
Body Count : Ouvrir son set sur une Mainstage par une reprise de Slayer quand on est un groupe de Rap / Metal, fallait y penser. Mais continuer par une seconde reprise (toujours de Slayer), puis du blabla, puis un solo de guitare noisy, puis du blabla... Au final, Body Count semble pêcher par excès de confiance et tombe dans la désinvolture. On dirait que le groupe est en répétition... Jusqu’à un certain point où le concert commence vraiment, avec les tubes Cop Killer et Talk Shit Get Shot qui sont joués en fin de set. Mais c'était trop tard pour véritablement s'enflammer.
Deftones : Il faut remonter en 2009 pour la dernière apparition de Deftones en terre clissonnaise, donc dire qu’aujourd’hui le groupe était attendu serait le plus gros euphémisme de la journée. L’hystérie s’empare de la foule à l’apparition des premiers membres du groupe et de Chino Moreno qui lance le concert sur Headup. L’effervescence est alors quasi-instantanée dans la fosse et ne redescendra pas de sitôt car les morceaux suivant ne sont autres que My Own Summer et Around The Fur. La setlist aura la particularité de regrouper les morceaux joués à la suite par album, ainsi après Around The Fur s’enchaîne White Pony puis Diamond Eyes. Malgré les conditions proposées par la Mainstage 1, Chino a cette particularité de créer une connexion avec son public en toutes circonstances, atteignant un pic d’émotion sur Knife Party et Change (In The House Of Flies). Le rappel au soleil couchant se fait sur un enchaînement tiré d’Adrenaline sur lequel Sen Dog de Cypress Hill, présent ce jour pour son nouveau groupe Powerflo, vient épauler Chino en arborant fièrement un t-shirt Hellfest Crew. Une seule envie à la sortie du set de Deftones, celle de vouloir les revoir au plus vite.
Limp Bizkit : Lors de leur dernier passage en 2015 le groupe avait fait un set plus que moyen en remplissant leur playlist de reprises (genre Limp Bizkit n’a pas de quoi balancer une heure de tubes). Cette fois ça débute plutôt bien, ça balance des tubes; mais très vite Fred Durst blablate pendant des plombes entres les titres, puis DJ Lethal nous balance des extraits de titres connus (du Slayer, du Pantera, du Nirvana, du Rage Against The Machine...). L'horreur absolue sera atteinte sur La Marseillaise pour une mabiance fête à la saucisse digne de ce nom. Voilà comment prolonger son set, de casser le rythme… Au final si on prend les titres joués c’était une bonne playlist (Rollin' (Air Raid Vehicle), Nookie, My Way, Take A Look Around...) mais avec des interludes relous au possible.
Watain : Tridents en flammes, foule agglutinée, les Suédois sont attendus de pied ferme par une Temple bien remplie et avide d’en découdre. Le rituel prend forme comme d’habitude, Erik Danielsson se la joue solennel et voilà le set lancé. Entre rythmiques hachées qui tabassent et tremolos mordants, Watain mène sa danse avec aisance et bénéficie d’un son très bien équilibré. Exit les bouchons d’oreilles, les notes dissonantes viennent s’échouer sur les brasiers incandescents tandis que la foule réagit avec ferveur. Placé en pleine nuit, le set est empreint d’un mysticisme renforcé par un light show très dynamique voire épileptique. Pour conclure sa mise en scène Danielsson incarne Lucifer en personne en transmettant la lumière au public, avant de retourner dans les ténèbres.
Cro-Mags : Allez, pour ce weekend en virée Crossover on demande les papas : Cro Mags. Version John Joseph évidemment (si vous avez suivi les batailles autour du groupe) et c’est une petite leçon d’histoire et de musique. Le groupe joue limite Thrash puis montre ses aspects plus Hardcore. Pas de grosse révélation ici, mais un concert sympa et énergique.
Nile : Les plus fins égyptologues du Hellfest se sont donnés rendez-vous à l'Altar pour une conférence fort intéressante présidée par Nile. Direction les catacombes des pyramides et la Douât avec le Brutal Death Technique des Américains sans passer par la case tourisme. Agrémenté de quelques samples de musiques d'ambiance histoire d’aérer et de faire humer le sable brûlant au public, le set ne fait pas défaut à la réputation de notre troupe d’historiens. Du Brutal Death Technique exécuté sans accroc, sans énorme prestation non plus. Globalement bon, le son laisse passer les lignes mélodiques qui se faufilent sans souci dans les esgourdes, respiration salutaire entre le matraquage compulsif de George Kollias et le riffing ininterrompu des guitaristes. Avec un Suffocation qui a tout retourné hier, Nile souffre fatalement de la comparaison, et on ne peut pas s’empêcher de noter des guitares trop rocailleuses qui méritaient un son plus plein.
Neurosis : Cette branlée. Ce son de fou furieux. On n’était pas prêts. Ce n’est pas la première fois que Neurosis vient au Hellfest ou qu’on a la chance de les voir sur d’autres festivals, mais là, les mecs ont poussé les potards à 11. Tout sonne parfaitement, de la batterie aux rythmiques tribales jusqu’aux guitares carnassières et au chant terrible de Steve Von Till et Scott Kelly. On sent le groupe très remonté de l’ouverture sur Given To The Rising jusqu’au final apocalyptique du monstrueux Through Silver In Blood. Un pliage de nuque en bonne et due forme et un immense signe de respect pour les américains qui sont encore et toujours largement un cran au dessus de toute la vague de groupes Post-machin.
Parkway Drive : Fulgurante ascension que celle de Parkway Drive qui en 2013 encore se produisait en milieu d’après-midi avec un simple backdrop comme décor. Aujourd’hui c’est bel et bien en tête d’affiche de la Mainstage 2 que les australiens se produisent. Pour l’occasion, le groupe nous dévoile un show de lumière, de pyrotechnie ainsi que d’autres artifices dignes des plus gros noms de cette affiche. Malheureusement, il faut plus qu’un show visuel captivant pour en venir à apprécier une heure de set majoritairement composé de morceaux des deux derniers albums du groupe. Et ce n'est clairement pas leurs meilleurs titres.
Dimmu Borgir : Dimmu Borgir qui clôt les concerts de la Altar, c’est l’assurance d’une surpopulation sous la tente en question pour une fin de soirée placée sous le signe de l’epicness. Après une conventionnelle ouverture avec les deux premiers titres du récent Eonian, les Norvégiens dégainent leurs tubes : The Chosen Legacy, Gateways, Dimmu Borgir... Les lumières rouges, la fumée, et le backdrop qui symbolise une façade d’église donnent une ambiance de messe noire au set. Les chœurs sont parfois un peu faiblards, mais la set-list est un tel best-of que l’efficacité est là. Mais la fatigue aussi, et de loin, le son est étouffé et la magie prend moins bien. Dimmu Borgir termine sa collection de tubes par des inévitables, Progenies Of The Great Apocalypse et Mourning Palace. Rien à redire sur la prestation, mais elle fut difficile à apprécier à cause de la foule et de l’épuisement.
Top 3 :
Méo : Orange Goblin, Get The Shot, Monolord
Bacteries : Deftones, Psykup, Neurosis
Skaldmax : Oranssi Pazuzu, Misþyrming, Deftones
Pentacle : Neurosis, Oranssi Pazuzu, Dälek
Florian : Neurosis, Turnstile, Deftones
Chazo : Deftones, Ho99o9, Psykup
Tang : Neurosis, Knocked Loose, Dälek
Zbrlah : Deftones, Psykup, Enslaved
Nonohate : Neurosis, Deftones, Misþyrming
Mercredi 29 novembre 2017
Jeudi 16 novembre 2017
Le Graspop Metal Meeting a annoncé pas mal de noms de sa programmation 2018 (le festival a souvent une affiche proche de celle du Hellfest en ce qui concerne les mainstage) : Guns N'Roses, Iron Maiden, Ozzy Osbourne, Avenged Sevenfold, Judas Priest, A Perfect Circle, Parkway Drive, Limp Bizkit, Megadeth, Bullet For My Valentine, Kreator, Body Count, Killswitch Engage, Powerwolf, P.O.D., Watain, Asking Alexandria, At The Gates, Less Than Jake, Anti Flag, The Darkness, Iced Earth, Underoath, Exodus, Amaranthe, Thy Art Is Murder, Powerflo, Emmure, Marduk, Tesseract, Miss May I, Stray From The Path, Vader, Tyr, Arkona, Carnivore A.D., Pist*on, Planet Of Zeus, Modern Life Is War, Knocked Loose, BlessTheFall, Asphyx, Zeal And Ardor, Akercocke, Silverstein, Bölzer, Monuments, Stone Broken. Ca se passe en Belgique du 21 eu 24 juin.
Mercredi 19 juillet 2017
Chronique du jour avec Knocked Loose : Laugh Tracks : "Knocked Loose est intéressant car il ne surprend pas. Il annonce la couleur dès le départ [...]"
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