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Mercredi 27 novembre 2019
Ca y est l'affiche du Hellfest 2020 est enfin là ! En image ici ou on la voilà en textuel :
Vendredi : Mainstage 1 : Deftones, Incubus, Un groupe non annoncé, Leprous, Ego Kill Talent, Soen, Frog Leap Mainstage 2 : Volbeat, The Offspring, Un groupe non annoncé, Frank Carter And The Rattlesnakes, The Inspector Cluzo, Ghostmane, Danko Jones, The Wildhearts, Laura Cox Altar : Obituary, Death DTA, At The Gates, Entombed A.D., Grave, Unleashed, Cadaver, Necrowretch, Tremplin Voice Of Hell, Temple : Mayhem, Abbath, Rotting Christ, Primordial, The Great Old Ones, Seth, Mephorash, Numen, Tremplin Voice Of Hell Valley : Electric Wizard, Baroness, OM, Witchcraft, Black Mountain, Elder, ASG, Greenleaf, Ecstatic Vision War Zone : Body Count, Suicidal Tendencies, Powerflo, Youth Of Today, Dog Eat Dog, Slapshot, Jesus Piece, Higher Power, In Other Climes
Samedi : Mainstage 1 : Faith No More, Infectious Grooves, Alter Bridge, Un groupe non annoncé, Heaven Shall Burn, Thy Art Is Murder, Crystal Lake, Fire From The Gods Mainstage 2 : Deep Purple, Airbourne, Steel Panther, Alestorm, The Darkness, Last In Line, L7, The Dead Daisies, Galactic Empire Altar : Sepultura, Sacred Reich, Flotsam And Jetsam, Exciter, Loudblast, Xentrix, Rectal Smegma, Brutal Sphincter, Karras Temple : Wardruna, The Hu, Ensiferum, Taake, Kampfar, Einherjer, Helheim, Akatrum, Artús Valley : Envy, Mono, John Garcia And The Band Of Gold, High On Fire, Pelican, Me And That Man, The Picturebooks, Duel, Point Mort War Zone : Social Distortion, Anti Flag, Agnostic Front, Reverend Horton Heat, The Toy Dolls, Frustation, Guerilla Poubelle, Lion's Law, Grade 2
Dimanche : Mainstage 1 : System Of A Down, Korn, Maximum The Hormone, Baby Metal, Jinjer, Lacuna Coil, Kontrust, Deadly Apples Mainstage 2 : Judas Priest, Running Wild, Down, Michael Schenker, Doro, Sortilège, Delain, Battle Beast, Tempt Altar : Devin Townsend, Meshuggah, The Black Dahlia Murder, Periphery, Dying Fetus, Misery Index, Ingested, Dyscarnate, Exocrine Temple : Watain, Alcest, Belzebubs, Borknagar, Gaahls Wyrd, Regarde Les Hommes Tomber, Numenorean, Penitence Onirique, Deliverance Valley : Killing Joke, Perturbator, Life Of Agony, 3Teeth, Hangman's Chair, Twin Temple, Inter Arma, Lysistrata, Abrahma War Zone : Walls Of Jericho, August Burns Red, While She Sleeps, Lionheart, Rotting Out, Moscow Death Brigade, Landmvrks, Wolfpack
Le festival est déjà complet pour les pass 3 jours, restera les pass journalier (dont la date d'achat n'est pas encore annoncée). Alors ?
Vendredi 21 décembre 2018
Samedi 08 décembre 2018
"Jim's Whiskers" est le nouveau single mis en images par John Garcia, à découvrir ici.
Jeudi 08 novembre 2018
John Garcia And The Band Of Gold (donc John Garcia, ex Kyuss) vient de dévoiler le titre Chicken Delight. L'album éponyme sortira le 4 janvier chez Napalm Records.
Dimanche 18 juin 2017
Hellfest 2017
Photos : - Samedi : photos groupes et artistes. - Vendredi : photos groupes et artistes.
Report :
La veille se lit ici.
Soleil Soleil Soleil! En 12 édition le Hellfest a rarement connu journée aussi chaude (et dimanche cela sera pire !), la chaleur va peser sur le festival aujourd’hui, les corps vont souffrir !
Hier on a oublié de préciser un changement important : la taille (et le nombre) des écrans des mainstage, là où on avait des formes rectangulaires un peu étranges on a désormais des écrans énormes au ratio standard : belle amélioration.
Toutes nos photos de la journée sont à voir ici, réalisées par Bacteries, Chazo, et Meo Photo. Crypt Sermon : Sous une Altar encore timide, les gars de Philadelphie ont réveillé les amateurs de Doom Traditionnel. Sans réinventer le style, bien au contraire, les Américains rendent hommage aux grands de la scène comme Candlemass ou Trouble. Une mise en bouche plutôt sympa avant les autres performances traînantes de la journée. Ultra Vomit : On arrive sur la Mainstage pile à temps pour voir Ultra Vomit séparer la foule en vue d'un wall of death des familles : team pipi contre team caca, tous prêts à se jeter dessus joyeusement, et sans rester au milieu hein, sinon c'est faire le jeu du pipi, annonce le groupe le plus sérieusement du monde. Bien sûr, c'est le début du titre Pipi VS Caca qui déclenche le wall of death. Les hits se succèdent, tous plus débiles les uns que les autres, et Andréas (de Andréas Et Nicolas) vient même investir la scène comme un fou pour Je Collectionne Des Canards (Vivants). Ayant visiblement du chromosome à revendre, l'olibrius descend même de scène et c'est la sécurité qui le retient de se jeter dans le public... Bonne humeur pour attaquer cette deuxième journée ! Monkey3 : Les portes de cette seconde journée sont ouvertes depuis peu mais pourtant il y a foule sous la Valley pour Monkey3. Le groupe comme souvent retravaille ses morceaux en live. Il faut dire que chacun des membres du quatuor majoritairement instrumental fait preuve d'une virtuosité exemplaire pour offrir au public un aspect différent de leur répertoire, le tout embelli par un son à en fait pâlir plus d'un jusqu’au final du concert, lancé sur une montée vertigineuse qui vient nous gifler la face à grands coups de riffs. Igorrr : L'OSNI (objet sonore non identifié) de la journée c'est évidemment Igorrr. Avant d’entamer une importante tournée en octobre prochain pour promouvoir Savage Sinusoid, leur tout nouvel album fraîchement sorti la veille, le groupe est de passage à Clisson et énormément de monde était au rendez-vous. Il faut dire que depuis leur signature chez Metal Blade, le groupe qui jouissait déjà d’une forte notoriété ne cesse de grossir. La crainte que le côté breakcore soit surmixé et prenne le pas sur le chant baroque était importante mais le résultat fut tout à fait honorable. Plusieurs nouveaux morceaux furent joués notamment ieuD, le premier single, avant de voir les membres du groupe quitter la scène à l’exception de M. Igorrr qui resta seul pour nous asséner un mix breakcore intense qui ravit les fans de la première heure et qui eut fini d'achever le public pendant ces 40 minutes hautement stroboscopiques. A déconseiller à tout festivalier souffrant d'épilepsie. Nails : Tout le monde croyait Nails fini, que le groupe avait splitté pour justifier de l’annulation de la dernière tournée européenne sans communiquer sur les raisons de cette décision, mais après un EP deux titres aux côtés de Full Of Hell, le groupe revient sur le devant de la scène et le premier concert du groupe depuis cette histoire se passe à Clisson. Les premiers circle pits ne tardent pas à soulever un rideau de poussière tandis que le frontman lance le premier morceau suivi de très près par You Will Never Be One Of Us. Le chanteur fera d'ailleurs un communiqué en soulignant que ce concert est le premier du groupe depuis longtemps et qu'il apprécie l'accueil réservé par le public. Un contraste impressionnant s’impose entre ces paroles et l’aspect ultra haineux de leur musique.
Bongripper : Sous la Valley, Bongripper a tout simplement cassé le Doom game. Deux morceaux (Hail et Endless), des musiciens réglés comme des horloges dans la gestuelle et un public qui se brise la nuque avec enthousiasme. On pose son cerveau pendant 40 minutes et on se laisse emporter par les rythmiques grasses et les coups de masse de la batterie. Les musiciens s'octroient quelques petits espaces de jams avant de rechuter de plus belle. On soulignera un final ultra-intense façon mur de son qui laisse juste sur le cul, muet et abasourdi pour un petit moment. Pas un mot de la part de Bongripper mais les applaudissement pleuvent à la fin du set. Si ce n'était pas déjà fait, les 'ricains ont prouvé qu'ils atteignent haut la main les sommets du Doom / Sludge instrumental. Ereb Altor : Le Death/Black de Ereb Altor est vikingisé à la limite du Pagan, lancinant à la limite du Doom. L'excellente dichotomie entre chant clair de qualité et voix saturée hypnotique rend le groupe réellement intéressant, malgré l'absence de jeu de scène ou la sobriété de la communication avec le public. Pas prévus sur mon planning, mais happé par ce que j'entendais venir de la Temple, cette belle découverte m'a fait rester jusqu'à la fin de leur set ! Blood Ceremony : Il est 16h et donc l’heure de prendre notre goûter Black Sabbath meets Jethro Tull. Une section guitare / basse / batterie à l’ancienne, façon Rock 70’s comme beaucoup de groupes récents peuvent le faire et ajoutez à cela une chanteuse / flûtiste qui donne toute la personnalité au projet. Ça fonctionne : les riffs sont entraînants, les mélodies à la flûtes tant dans les soli que dans les mélodies qui apportent une énergie communicatrice à l’ensemble. On y trouve un côté hippie 70’s tellement énergique et cool qu’on ne peut qu’adhérer. Panthère D'Acier : Sur la Mainstage 1, les derniers survivants du mouvement Hair / Glam Metal se déchaînent en entrecoupant (comme d'hab') leurs titres par des sketches bas du front. Ultra drôle pour certains, sexiste et ridicule pour d'autres, en tout cas Steel Panther ne ménage pas ses efforts et ne laisse personne indifférent. Le groupe sélectionne ses singles et ses tubes pour encore plus marquer le coup, à base de Glory Hole ou de Seventeen Girls In A Row. Comme attendu au vu des concerts précédents du combo, le public est truffé de filles volontaires pour montrer la plupart de leur anatomie, qu'elles soient invitées sur scène par le groupe ou juchées sur des épaules au milieu de la foule. Un spectacle toujours identique depuis des années, mais toujours marquant et décontracté... Selon les points de vue, encore une fois. Skepticism : Caution Funeral Doom Metal de cette année, un peu moins d’un an après leur prestation au Fall Of Summer 2016. Tout semble tourner au ralenti, les musiciens sont quasi statiques hormis le chanteur qui, par d’infinies précautions, lance quelques fleurs en direction du public et exécute quelques mouvements graves tel un chef d’orchestre abattu. Leur set serait la définition du désespoir. De tristes mélodies au piano, des riffs graves joués avec un lenteur affligée et une batterie qui l’est tout autant. Rien de bon n’est à prendre chez Skepticism. Douleur, tristesse, détresse… Et pourtant, les finlandais tiennent d’une grandeur romantique dont eux seuls ont le secret. Frank Carter&The Rattlesnakes : Plein après-midi, soleil massif sur la Warzone, public en chaleur, et belle mandale punk-hardcore pour l'ex-Gallows accompagné de ses acolytes fort enthousiastes. Dès le second titre Frank descend dans la fosse, monte sur la barrière, puis monte sur le public (oui), et va faire un titre complet porté par le public. Suivra une montagne de poussière soulevée lorsque le chanteur sus-nommé exige un circle pit autour de la tour régie (le public n’y arrivera pas, mais le circle pit était déjà géant. Le guitariste viendra également jouer sur le public. Même si sur album Frank Carter n’est pas le disque vers lequel on revient souvent, en live c’est magistral, une leçon de rock, pas besoin d’artifice quand on a l’énergie. Decapitated : Après la messe funéraire de Skepticism, changement de registre brutal puisque ce sont les polonais de Decapitated qui viennent secouer la Altar voisine. Peu de discours entre les morceaux comme le souligne le frontman qui préfère enchaîner les titres pour jouer un maximum, pour le plus grand plaisir des festivaliers. Un agréable remerciement sera tout de même glissé pour l'accueil toujours plus chaleureux réservé à ce groupe qui n'avait plus joué au Hellfest depuis 2010. Fort d'un nouvel album Anticult à paraître le mois prochain, le combo emmené par un chanteur survolté qui n'a de cesse d'enchaîner les aller-retour d'un bout à l'autre de la scène nous assène leur Death Metal technique et déstructuré pendant un peu moins d'une heure. Mars Red Sky : Décidément la Valley peut se targuer d'une excellente sono cette année, et les Bordelais de Mars Red Sky ne dérogent pas à la règle. Alignement de bons titres comme à l'accoutumée, plus un nouveau morceau d'une dizaine de minutes en avant-dernière friandise, qui augure de fort belles choses pour la suite. On a rarement entendu des basses aussi profondes et intenses sous cette tente. Le Ciel Martien est définitivement une valeur sûre du Stoner/Doom français, à suivre à la trace. Soilwork : Soilwork est un maudit du Hellfest. Après une édition 2014 qui a vu le groupe casser la Altar, le combo revient sur la même scène... sans claviériste, suite à un problème d'avion. Qu'à cela ne tienne, les mecs ont une revanche à prendre sur ce festival, et ils le font savoir à grand renfort d'énergie et de compos rentre-dedans (Bastard Chain est par exemple vraiment folle, et la set-list est légèrement remaniée pour mieux coller à des ambiances sans synthés). La pêche des musiciens est impressionnante et personne ne tombe dans un trou sous la scène... Bjorn est parfait vocalement, et leur nouveau batteur, élève de l'ancien, est au niveau de son maître. Rendez-vous après un prochain album pour finir de conjurer le sort, sans trou et avec un clavier !
Chelsea Wolfe : A l’approche du concert de Chelsea Wolfe, la chaleur est à la limite du supportable sous la Valley. Pourtant il ne faut pas rechigner à un peu de proximité physique avec les festivaliers pour voir l'élégante chanteuse et ses musiciens. Pour ceux qui n’auraient pas eu la chance de la voir en live encore, un point important est à prendre en compte : les sons basses sont tout particulièrement élevés. Sachant que le concert fut majoritairement composé de morceau de Abyss qui en regorge, certains passages de la première demie-heure sont difficilement supportables pour nos oreilles déjà affaiblies. Ça n'empêchera point cette grande dame de nous délivrer un set maîtrisé par sa progression et au final fou qui verra Chelsea Wolfe hurler dans les micros de sa guitare pour amplifier les larsens du titre Survive.
Alcest : Le soleil commence à se coucher. Quelques rayons orangés dardent encore sous la Temple et Deafheaven eût été fort à propos mais c'est Alcest qui nous gratifiera d'un set tout en rêveries et en couleurs multiples. Son parfait, heure de passage bien calibrée et public au rendez-vous, Neige et sa bande ont eu les conditions parfaites pour livrer un show de qualité. Peu importe les allures de gros(ses) dur(e)s, tout le monde a un petit cœur qui bat quand les Français lâchent leur Post-Black planant. Alcest se focalise d'ailleurs sur une set-list calibrée « Hellfest », plutôt Metal donc avec le récent Kodama, Les Voyages de L' Âme et Délivrance tiré de Shelter. L'heure complète dédiée aux fées et autres forêts merveilleuses passe bien vite et sans le moindre accroc pour nos poètes du Black merveilleux. Comeback Kid : Comment créer un nuage de poussière au point que la sécu aura du mal à voir les slammers arriver ? Inviter Comeback Kid ! Le groupe va jouer une heure non stop et puiser dans sa désormais conséquente discographie, dommage que Devin Townsend jouait la veille on aurait peut être pu voir un duo (car oui ce dernier joue sur le prochain album du groupe). Finish de cette heure folle sur Wake The Dead, évidemment. Pain Of Salvation : La première fois que j'ai vu Pain Of Salvation en concert, c'était il y a pile 10 ans, au Hellfest 2007. Pour marquer cet anniversaire, PoS est de retour avec un concert exemplaire. Ultra énergique, la bande à Gildenlöw envoie son Prog subtil et à fleur de peau sans ménager sa peine. Le frontman semble réellement transcendé par les premiers titres, issus du récent In The Passing Light Of Day qui lui est intimement personnel. Après trois brûlots issus de ce dernier album (Full Throttle Tribe, Reasons, Meaningless), Pain Of Salvation opère à un retour arrière, en ayant l'excellente idée de ne s'arrêter que le temps de Linoleum sur la période 2005-2016. Pour le reste, on aura droit à un best-of des vieux albums et Ashes sera un point culminant de la performance. Le groupe clôture en revenant au présent avec le magistral et émouvant On A Tuesday. Quoiqu'en disent ceux qui ont choisis d'aller voir Primus, PoS était parfait. Aucun regret.
Primus : Grosse sensation du Hellfest, la prestation de Primus enchante son monde et envoie ses lignes de basse, via un Les Claypool en feu. L’ensemble est tout à fait enthousiasmant et donne même lieu au meilleur show de la Valley, excepté Chelsea Wolfe. Les projections visuelles qui agrémentaient le set donnaient une dimension épique à la chose, et accentuant l’effet grisant procuré par le groove constant qu’ils imposent. Le public en liesse et fortement trentenaire, excepté une partie qui évacuait de manière sporadique. L’ensemble fut conquit par un rendu démentiel, qui ne se limitait pas à la basse, en fait une setlist carrée, optimale, un diamant pour tous les fans de Primus. Agnostic Front : Les légendes du Hardcore New-Yorkais connaissent le sujet : une arrivée de Vinnie Stigma avec un gros sourire avec son t-shirt Madball et c’est parti pour un défilé de titres HxC. Que dire de plus? Roger Miret va parler de la Warzone, disant que cela lui rappelle son passage en prison ou que le nom de la scène lui fait penser à son frère (mort au combat semble-t-il?). Evidemment avec le NY HxC : bonne humeur et contact avec le public. Aerosmith : La tête d’affiche de cette deuxième journée attire encore plus de monde que Deep Purple la veille. Le public est entassé jusque derrière la régie des Mainstages, quasiment jusqu’à l’entrée de la Altar. Pourtant, les écrans géants qui encadrent la scène se bornent à n’afficher qu’un logo Aerosmith, ce qui fait que presque personne ne voit ce qui se passe sur scène. Mais cela ne dure que le temps du premier morceau, et enfin les écrans révèlent un Steven Tyler visiblement fatigué mais volontaire. Le groupe assure un show sans surprise, bien que toujours plaisant à regarder. Ils iront même jusqu’à dépasser leur créneau horaire de presque un quart d’heure pour finir en beauté avec les tubes de légende que sont Dream On et Walk This Way. Un spectacle digne d’être vu au moins une fois, sans hésiter, mais plutôt convenu pour celles et ceux déjà présents en 2014. Opeth : La bande à Mikael Akerfeldt est désormais habituée du Hellfest. C’est un groupe confiant qui foule la scène de la Altar pour le dernier créneau de la tente ce soir avec le titre éponyme du dernier album, Sorceress. Les Suédois alterneront ensuite les vieilleries Death Prog et les morceaux plus récents dans la veine psyché en assénant un Ghost Of Perdition magistral dès le second titre avant de le faire suivre par Cusp Of Eternity et un Heir Apparent explosif. Le temps que Mikael sorte quelques blagues sur Aerosmith qui jouait au même moment (et qu’il apprécie également), Opeth enchaîne sur Era avant d’introduire le très long titre final Deliverance. La leçon fut dite mais comme toujours, une heure pour Opeth c’est définitivement trop court. Slo Burn : L'un des nombreux projets de John Garcia, l'un de ses plus anciens (avant Hermano), et comme à chaque fois que l'un de ses groupes s’exhibe en live, ça casse la gueule. Pourtant la matière n'est pas pléthorique puisque le groupe n'a sorti qu'une démo et un EP en 1997, mais le feeling est là, entre Blues et Heavy suintant, le chant étant assez discret, on a parfois l'impression d'assister à un concert de Karma To Burn. Difficile cependant de savoir qui a copié l'autre, sachant qu'ils ont évolué dans la même décennie. Quoi qu'il en soit, le rendu est monstrueux, le set est carré, puissant et objectivement incandescent. Deafheaven : Mettons les choses au clair tout de suite. Le son n’était pas des plus avenant, notamment sur les guitares en retrait et le chant trop présent. Sauf que. Les gens qui connaissent le groupe savent. Il ya quelque chose de fortement émotionnelles dans Deafheaven. Dans les blasts, dans ces guitares mélancoliques tantôt Black tantôt Post-Hardcore, dans ce chant presque maniéré mais au bord du gouffre. Il faut écouter Brought To The Water, Dream House ou même Cody (la reprise de Mogwai) pour s’en rendre compte. Alors on ferme les yeux, on souffre, on lève le poing et l’on subit la musique de Deafheaven à la fois grandiose, terrible et douloureux. Suicidal Tendencies : Warzone surblindée, normal pour un set survitaminé, en compagnie exceptionnelle de Dave Lombardo, qui accompagne le groupe sur leur tournée annuelle. Et ma foi, une bonne branlée comme on en a l’habitude avec les Californiens, rendu nickel comme sur la plupart de leurs concifs. Le monde insatiable faisait qu’on ne pouvait apprécier pleinement la prestation, mais le rendu était à la hauteur des attentes générales. Un immanquable au vu de leur parcours, le Hardcore West-Coast par excellence. Top 3 des chroniqueurs présents : Bacteries : Frank Carter, Pain Of Salvation, Comeback Kid Grum Lee : Ugly Kid Joe, Saxon, Dee Snider Pentacle : Deafheaven, Bongripper, Alcest Max : Bongripper, Skepticism, Deafheaven Zbrlah : Pain Of Salvation, Opeth, Alcest Meo : Bongripper, Monkey 3, Slo Burn Nonohate : Opeth, Chelsea Wolfe, Bongripper Julien : Igorrr, Opeth, Primus Tang : Chelsea Wolfe, Primus, Slo Burn (+ Mars Red Sky)
Lundi 01 mai 2017
Demain démarre la tournée de Bongzilla en France, dont deux dates avec John Garcia (Kyuss, Unida, Hermano, Vista Chino, ...), le groupe passera par Le Havre, Paris, Nantes, Toulouse et Gueret. Le détail des dates ici.
Vendredi 07 avril 2017
John Garcia (LA voix du Stoner, ex-Kyuss, Hermano, Slo Burn) de retour en France pour 2 dates le mois prochain pour jouer un set électrique allant de Kyuss à aujourd'hui, et accompagnés pour l'occasion des titanesques Bongzilla : - le 03.05 @Glazart, Paris : bit.ly/2jUDLJT - le 04.05 @Le Ferrailleur, Nantes : bit.ly/2kzlkOV
Vendredi 27 janvier 2017
Le nouvel album acoustique de John Garcia (Kyuss), The Coyote Who Spoke In Tongues, sort aujourd'hui et s'écoute en intégralité ici.
Mercredi 25 janvier 2017
L'album solo de John Garcia, The Coyote Who Spoke In Tongues, verra le jour officiellement le 27 janvier mais se découvre dès à présent chez Rolling Stone.
Mardi 06 décembre 2016
Kylie, le premier album acoustique de John Garcia, paraitra le 27 janvier prochain.
Dimanche 19 juin 2016
Samedi au Hellfest 2016 :
Nos Photos du samedi (l'intégralité arrive d'ici midi !)

A voir aussi : Vendredi (avec celle de The Offspring, validée par le management !),Jeudi
Notre Report
Seconde journée pour cette édition 2016, la moins folle en terme d’affiche (soyons subjectif !) avec pas mal de retours de têtes d’affiches déjà passées par Clisson (Korn, Within Temptation, …) mais des premières fois remarquables également (Bring Me The Horizon, Disturbed, Fu Manchu, …). Niveau météo quelques averses seulement et un temps couvert, mais l’ambiance n’est pas la plus folle que l’on ait pu voir au Hellfest (le temps ? le public qui a changé ? …), voici le compte rendu des concerts marquants :
Dark Fortress assure avec leur Black Metal sinistrement mélodique. Il faut dire que les Bavarois ont la chance de bénéficier d’un son excellent mettant en valeur les mélodies morbides de la guitare soutenue par la voix grave et profonde du frontman. Pas de décors, des lights minimales, mais une prestation très convaincante de Dark Fortress, content de jouer ses 40 minutes de set sous la Altar.
Finalement de retour après un hiatus de quelques années avec un nouvel album intitulé Long Live, les américains d'Atreyu font ici leur deuxième apparition sur le territoire français. C'est très peu, surtout avec autant d'années à leur actif. Que cela ne tienne, c'est sous une météo idéale et devant un public très réceptif que le concert de déroule avec presque exclusivement des vieux morceaux joués, ce qui n'est pas pour déplaire au vieux fan que je suis... Un bon son et une bonne énergie déployés par des musiciens très communicatifs qui n'hésitent pas à enchaîner les aller-retours d'un côté à l'autre de la MainStage suffisent à transformer ces 40 minutes en une prestation dont le groupe n'aura clairement pas à pâlir.
Entrée en matière grind technique furieuse avec les américains de Cattle Decapitation en grande forme, désireux d’exposer fièrement les titres de leur dernier et très bon album The Antropocene Extinction. Malheureusement, malgré une envie fiévreuse d’en découdre le rendu est trop brouillon pour capter les subtilités des compositions. Les guitares et leurs mélodies sont noyées dans la masse mais la batterie claque avec suffisamment de violence. La sono s’est sensiblement améliorée sur la fin mais on restera tout de même sur notre faim.
Le duo teuton a été une de mes sensations live de ces 2 dernières années, j’appréhendais le passage à une scène plus importante : au final Mantar s’en sort avec les honneurs. A deux, ils arrivent à occuper la scène et on ressent la hargne des compos, évidemment ça ne vaut pas une petite salle mais ça vaut le coup. Le son est par contre un peu plus propre que sur album, dommage, leur coté “brut” étant dans l’ADN de leur musique.
Voir les légendes de Discharge sur la Warzone, il y avait de quoi être dubitatif. Mais finalement, le D-Beat des Britanniques fonctionne complètement. A partir du moment où tu entends du pouta-pouta à la batterie, que leur Punk-Hardcore est suffisamment hargneux et que tu n’es pas trop réfractaire aux morceaux un poil répétitifs, alors on peut dire que c’est réussi.
Augmenté d’un dernier album aux accents sludge mais toujours grind dans le fond, Agoraphobic Nosebleed avoine sec et renverse l’Altar pour se la mettre dans la poche, du moins pour les connaisseurs car les lieux se videront au fur et à mesure des curieux qui ont eu l’audace de vouloir découvrir le groupe dans ces conditions. Les 'ricains n’en n’ont que faire et enchaînent les titres anciens comme nouveaux à une cadence soutenue. Une énergie salvatrice, une boîte à rythme démentielle qui fait aussi bien le taf qu’une batterie réelle, un set dément et possédé. Tuerie.
L’heure de la prestation de Torche approche et la Valley est déjà pleine à craquer pour accueillir le combo américain. Un son très moyen les accompagnera malheureusement pendant une bonne partie du set, privant les guitares d’un son lourd qui aurait aidé à s’immerger plus aisément dans ce début de concert. Heureusement, les trois derniers morceaux bénéficient d’un bien meilleur son pour terminer d’épuiser les nuques de tous les festivaliers en manque de Pop Metal.
Entombed A.D., un show 100% matière grasse, 200% plaisir. Avec un son parfaitement calé pour ces papas du Death suédois, l’Altar a vu se tenir l’un des meilleurs shows du jour avec un public de passionnés, amoureux de grands classiques comme "Living Dead" ou "Left Hand Path" que l’on ne présente plus. Difficile de ne pas remuer frénétiquement la nuque tant le groove est puissant, secondé par une batterie lorgnant franchement vers les poncifs indétrônables du Crust et du Punk. Entombed A.D. a joué la carte de l’efficacité pur jus à raison, puisque l’Altar s’est vue franchement remplie en ce milieu d’aprem'.
Avec un line-up remanié, With The Dead investit les lieux de la Valley, confiant, malgré un auditoire légèrement clairsemé. Les morceaux de l’unique album des Américains sont exécutés classiquement mais efficacement. Le rendu est gras, calibré, ça joue avec entrain et sérénité. Nombreux sont ceux qui découvrent le groupe avec ce concert, et globalement tout le monde semble satisfait. Mission accomplie dans les normes en vigueur, sans non plus casser des briques.
Après un échauffement en règle chez les voisins suédois de l’Altar, il était presque logique de vouloir passer à la vitesse supérieure avec les finlandais d’Archgoat, qui auront probablement tenu le haut du pavé question Extrême des Extrêmes ce samedi sous la Temple. Si on peut encore rigoler avec Entombed, Archgoat efface direct tout sourire avec ses saillies War Metal empreintes de violence gratuite. Peut-être est-ce une explication à ce public si clairsemé, car Archgoat n’offre pour refuge que ses mid-tempos hostiles avant de tracer façon bas du front tout blast dehors. Difficile donc de s’initier aux joies du Black/Death haineux pour les plus curieux mais les quelques fans présents auront eu leur dose de froid mordant de la part du trio scandinave. Changement de chèvre avec Goatsnake non loin de là sous une Valley toujours bien garnie. Pour son deuxième concert en deux jours, Greg Anderson, une fois arrivé sur scène, remercie chaleureusement le public clissonais pour son accueil. Une backline moins imposante qu'hier le précède mais tout de même d’une taille démesurée pour le commun des guitaristes. Son chanteur très charismatique et à la voix toujours aussi impressionnante excelle également de temps à autres dans l'exercice de l'harmonica. On a ainsi droit à un son bluesy à tomber à la renverse, et ce n'est certainement pas le morceau éponyme de leur dernier album Black Age Blues qui me contredira ! Pour la petite anecdote, un petit tour dans la fosse de la Valley a suffit à tomber nez à nez avec Attila. Stephen O'malley quant à lui était bien tranquillement positionné derrière la régie pour en profiter tout autant que nous.
Chaque année, on a le droit à Hail Of Bullets ou Asphyx. Ces derniers s’y collent aujourd'hui et question riffs gras et leçon de Death Metal old school, on ne sera pas déçu. Comment l’être après tout ? Le groupe mené par Matin Van Drunen est impressionnant de charisme et d’une voix d’outre tombe. Les riffs de Paul Bayyens concassent des nuques par paquet de douze, pareil pour les rythmiques que ce soit dans les accélérations ou les ralentissements Doom. Comme d’habitude, Asphyx c’est la leçon de Death Metal.
Pour Disturbed je n’ai vu que la fin avec un festival de reprises et des guests : "Shout At The Devil" avec Sixx:AM, "Baba O'Riley" de The Who avec Glenn Hughe et "Killing In The Name" de Rage Against The Machine, évidemment la foule s’affole. Et plus important encore sur scène le groupe semble réellement prendre plaisir sur scène.
Nouvelle date de Moonsorrow après leur belle tournée printanière avec Korpiklaani. Un fossé sépare les deux groupes, car Moonsorrow préfère les titres épiques avec les économies de moyen. Des mélodies simples, mais subtiles, un vrai amour pour le Pagan Black Metal et des titres très travaillés amenés par de belles progressions. On se laisse facilement prendre dans leurs ambiances pagan, surtout que le son est une fois de plus impeccable.
Hermano à l’heure du manger c’est nickel. Stoner Rock rougeoyant comme la braise, un son rond et sec comme perdu dans un désert, le tout mené par l’incroyable voix de John Garcia, très en forme ce soir. Posé dans l’herbe avec un bon repas chaud, on ne pouvait demander mieux.
Premier passage au Hellfest pour Bring Me The Horizon et tête d’affiche plutôt attendue. Si l’on occulte le concours de “fuck” “fuck you” avec Corey Taylor de Slipknot / Stone Sour, leur prestation est à la hauteur de ce qu’on pouvait attendre. Titres calibrés mais efficaces, son largement correct, les Anglais distribuent des tubes à la pelle : "Can You Feel My Heart", "Sleepwalking", "Shadow Moses", "Go To Hell"," For Heaven's Sake", "Throne", mais surtout issus des deux derniers albums. Oliver Sykes chante plutôt bien, même en chant clair, les éléments électroniques sont bien amenés par Jordan Fish et si on n’est pas réfractaire à la musique des Anglais, c’était tout à fait honnête.
Après une arrivée en trombe sur scène soulignée par des milliers de cornes du diable s’élevant de la fosse, Alan Averill représente à lui seul l’esprit de Primordial. Ce chanteur très charismatique n'a de cesse de tout le concert de courir de gauche à droite, se laissant souvent aller au jeu des photographes et des cameramen. Une prestation qui ne laissera pas retomber la motivation du public déplacé en nombre pour ces Irlandais bien trop rares sur les routes européennes. Inutile d'être un véritable aficionado du groupe pour apprécier ce concert de bout en bout et qui a le mérite de proposer des morceaux divers et variés, faisant ainsi le tour de la discographie de Primordial.
"Apex Predator-Easy Meat" résonne quelques minutes sous une Altar qui brûle d'en découdre avec les gars de Birmingham avant que la machine Napalm Death ne s'élance de plein fouet. Le combo est servi par un son massif et rendant justice à la furie des Anglais : batterie en mode matraquage, riffs en pagaille sans jamais s’endormir dessus trop longtemps, tout est là pour mettre Mark Greenway en forme. Peu d’hésitations là-dessus, des titres les plus classiques de Scum aux "How The Years Condemn" et "Dear Slum Landlord" parus sur le dernier album en date, Napalm balaye très large et n’endort jamais l’auditeur. Comme à son habitude, Greenway intervient régulièrement entre les titres pour aborder divers sujets de société : fanatisme religieux, problème du logement et de la dignité humaine. De quoi foutre généreusement la hargne avant d’attaquer une nouvelle piste de ces maîtres du Death-Grind.
L’ultime tournée de Twisted Sister faisait halte à Clisson cette année. En effet, suite à la mort de leur batteur A. J. Pero, les Américains se lancent dans une dernière tournée en son honneur, épaulés par le grand Mike Portnoy pour la difficile tâche de passer derrière les fûts dans ces moments difficiles. Pour l’occasion, le festival a choisi de les faire jouer en tête d’affiche du samedi, ce qui présageait quelques surprises. Ainsi, Dee Snider, toujours aussi énergique et chevelu, a invité Phil Campbell sur scène pour interpréter en premier lieu "Shoot 'Em Down" de Twisted Sister suivi de près par "Born To Raise Hell" de Motörhead. Deux morceaux dédiés à Lemmy Kilmister qui nous a quitté en fin d’année dernière. S.M.F. vient ainsi clôturer ce show juste après un message du chanteur insistant tout particulièrement sur le fait que ce sera le dernier morceau que le groupe jouera à tout jamais au Hellfest, profitant ainsi de l’occasion pour envoyer une jolie pique à Judas Priest dont la tournée d’adieu ne prend jamais fin.Une fois la scène libérée, les écrans géants se rallument peu après pour diffuser un film en hommage à Lemmy, suivi par un énorme feu d’artifice qui se clôturera par deux immenses RIP LEMMY dans le ciel du Hellfest. Après quoi, Phil Campbell en profite pour s’adresser quelques instant au public. Une journée chargée pour lui, qui après avoir découvert la statue de Lemmy (cf Photos), prend la parole pour s’exprimer une dernière fois sur son frère d’arme dans un message émouvant, remerciant par la même occasion l’équipe du festival pour tout cela, juste avant de laisser place à la projection d’un extrait du dernier concert de Motörhead au Hellfest, l’année dernière. Un grand moment où le nom du célèbre bassiste anglais sera repris en coeur par l’intégralité du public sous de chauds applaudissements. Voilà un projet fort étrange, mais félicitation au Hellfest de proposer Gutterdammerung, un ciné concert bien chiadé (le groupe est derrière l’écran, et on le verra pas transparence de temps en temps) et par moment des acteurs vont venir interagir avec le film en passant devant celui-ci. Et un de ses acteurs n’est autre que Henry Rollins, classe ! Musicalement ce sont des reprises qui retracent l’histoire du metal (semble-t-il) avec par exemple Black Sabbath ou encore Motorhead. Parmi les acteurs (sans spoiler) on retrouve Iggy Pop en ange ou Henry Rollins en prêtre. Intrigant, ça mérite un second visionnage plus au calme (malheureusement sans Rollins dans son salon)
Pour leur troisième venue à Clisson en 4 éditions, que dire de Korn qui n'a pas déjà été dit ? Puisque la tournée anniversaire de l’album éponyme n'est plus, retour à un set classique mais avec une setlist qui a tout de même le mérite d'être suffisamment différente de celle de 2013. On retrouve toujours cette même énergie qui les caractérise sur scène. Les années passent, pourtant Korn ne faiblit pas. Depuis le retour de Head dans le groupe, ce serait même plutôt l'inverse. Cette évolution dans les bonnes grâces de leur public suivra-t-elle cette courbe ? Seul l'avenir nous le dira avec un nouvel album à venir qui est déjà annoncé comme un retour aux sources.
A voir aussi : Vendredi
Top 3 du samedi : Bacteries : Goatsnake, Bring Me The Horizon, Mantar Chazo : Korn, Korn, Korn Nonohate : Goatsnake, Atreyu, Napalm Death Pentacle : Napalm Death, Asphyx, Dark Fortress Tang : Goatsnake, Napalm Death, Agoraphobic Nosebleed Skaldmax : Napalm Death, Entombed A.D, Asphyx
Mardi 05 janvier 2016
Mars Red Sky et Stoned Jesus ont annoncé une flopée de dates françaises : 29/03 : Rennes à l'Ubu 30/03 : Roubaix à la Cave aux Poètes 31/03 : Angers au Chabada 01/04 : Lorient au MAPL/Le Manège 02/04 : Nantes au Metalorgie Fest 05/04 : Strasbourg à la Laiterie 06/04 : Lyon au Marché de la Gare 07/04 : Draguignan au Bucéphale 09/04 : Montpellier au Le Black Sheep 10/04 : Clermont Ferrand à la Coopérative de Mai 12/04 : Tours au Le Temps Machine
Lundi 07 décembre 2015
En 2016, John Garcia a prévu de sortir un nouvel album solo et un album acoustique.
Vendredi 03 avril 2015
Sur MetalSucks.net, Operator par Luna Sol, groupe de stoner emmené par David Angstrom, à l’œuvre avec John Garcia dans Hermano. On retrouvera d'ailleurs ce dernier ainsi que Nick Oliveri (ex-Kyuss et Queens of the Stone Age) sur Blood Moon, le premier opus du combo dont la sortie est fixée au 20 de ce mois.
Dimanche 28 décembre 2014
Mercredi 17 décembre 2014
Chronique John Garcia - John Garcia : "Front man et chanteur de talent infatigable, officiant depuis plus de trente ans et connu pour avoir poussé un certain Kyuss au rang de groupe légendaire [...]"
Jeudi 24 juillet 2014
Un nouvel extrait de l'album solo de John Garcia, "Her Bullets Energy, est en écoute sur le net. Le morceau voit la participation de Robby Krieger (The Doors).
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