Job For A Cowboy

Deathcore / Death-Metal

États-Unis

Biographie

C'est à Glendale en Arizona que nait Job For A Cowboy en 2003. Précisons d'entrée que le groupe n'a rien à voir avec le farwest. John Davy (Chant), Andrew Arcurio, Ravi Bhadriraju (Guitares), Chad Staples (Basse) et Andy Rysdam (Batterie) forment un premier line-up qui enregistrent une démo essentiellement distribuée lors des concerts. Brent Riggs (Abigail Williams) et Elliott Sellers (The Faceless) remplacent Chad et Andy aux postes de bassistes et batteur en 2005. Le combo se fait connaître grâce à myspace qui génère beaucoup de visites. Job For A Cowboy sort un ep (Doom) en 2005 via King Of The Monsters, un label indépendant américain qui permet de faire connaître leur Deathcore largement influencé par le Brutal Death Metal et le Grindcore par des combos comme Nile ou Decapitated.


Fin 2006, Job For A Cowboy signe chez Metal Blade Records qui réédite Doom. Le groupe compose de nouveaux titres pour le prochain album, mais Andrew Arcurio laisse le poste de guitariste à Bobby Thomson ainsi que Elliott Sellers qui est remplacé début 2007 par Jon Rice derrière les fûts. Le line-up s'étant stabilisé Job For A Cowboy sort en mai 2007 Genesis, qui abandonne le deathcore des débuts pour se tourner vers un death metal plus classique. Genesis se vend à plus de 13000 copies la première semaine qui en fait une des meilleures ventes à la semaine depuis l'éponyme de Slipknot en 1999. Entre 2007 et 2008 le combo américain se produit au côtés de Behemoth, Gojira, Megadeth, Children Of Bodom, In Flames ou All Shall Perish, mais fin 2008 Ravi Bhadriraju retourne à ses études de médecine et est remplacé par le guitariste Al Glassman de Despised Icon.

Ruination leur second opus sort pendant l'été 2009 et récolte encore une fois de bons échos, puis l'année suivante, Job For A Cowboy livre Live Ruination, un ep avec des morceaux live d'un concert de 2007 au
New England Metal&Hardcore Festival. Le groupe continue de tourner et évolue dans la cour des grands. Alors qu'on n’attendait plus beaucoup du groupe en terme de surprise, il revient en 2012 avec Demonocracy, dans la même lignée de son prédécesseur.


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Job For A Cowboy

«Demonocracy»

On enfourne le CD sans trop se précipiter parce qu’on est certains de déjà le connaître par cœur. Mais bon, même si on garde notre masque de metalleux blasé, on se dit que "Children of Deceit" décape quand même bien sa race, avec ses soli bien cool, ses blast beat et ses arpèges salasses foutrement efficaces. Et, oh ! Cette basse qui se balade me titille également l’oreille interne. Et bien sûr, c ...

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