Hatebreed

Hardcore Metal

États-Unis

Biographie

Membre éminent de la scène hardcore actuelle, Hatebreed effectue ses premiers pas en 1994, s’inspirant largement des grandes figures de l’époque, à savoir Biohazard, Madball, Sick of it all, Agnostic front. Après quelques splits et autres démos, le groupe sort Under The Knife puis Satisfaction Is The Death Of Desire ,qui placent Hatebreed parmi les meilleurs groupes hardcore de sa génération, mais ce n’est qu’en 2002 avec  Perseverance  que la bande du charismatique Jamey Jasta connaît un succès international. Grâce à l’apport de nombreuses touches métal, Hatebreed crée un son beaucoup plus personnel. Octobre 2003, le groupe sort The Rise Of Brutality. Sans chercher à renouveler son style, Hatebreed compte bien montrer au reste du monde que la relève est assurée.

2006 voit le retour d'Hatebreed avec Supremacy, plus orienté Metal. En 2009, peu avant la sortie de For the Lions, Sean Martin annonce son départ du groupe après près d'une décennie de bon et loyaux services. La raison principale est son souhait de s'occuper à plein temps de son salon de tatouage (Brass City Tattoo). Il sera remplacé à son poste par Wayne Lozinak, un retour en grâce pour l'ancien guitariste de Hatebreed. Il apparait notamment dans le DVD Live Dominance en tant que roadie et sur l'album Blackened avec Chris Beattie et Dave Russo. Le groupe termine l'enregistrement de leur album The Divinity of Purpose, qu'ils publient le 29 janvier 2013. La couverture est créée par Eliran Kantor (Testament, Sodom).
En 2016, le quintet fait voir le jour à leur neuvième galette, The Concrete Confessional toujours chez Nuclear Blast.

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Hatebreed

«The Concrete Confessional»

Trois ans après le plutôt moyen The Divinity Of Purpose, les easterners du Connecticut viennent ajouter à leur discographie The Concrete Confessional. Qu'ont-ils donc à confesser dans le béton ? Des erreurs ? Des crimes ? Réponse en écoute.Premier élément : La production. Tous les récentes sorties, sans être franchement mauvaises, étaient comme complexées, vivant dans l'ombre de Supremacy et de Th ...

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«Hatebreed»

J'avoue, ce Hatebreed a failli passer à la trappe. Du simple fait d'un Supremacy à mon sens trop poussif, d'un For The Lions dont je cherche encore l'intérêt et car Hatebreed avait aussi tendance à tourner en rond en moshant sans envie, cet éponyme s'est retrouvé en bas de la pile des disques à écouter. Sauf que dans ce cas, pour la première fois depuis une paire d'année avec eux, j'ai souri. Cela ...

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Hatebreed

«For The Lions»

En attendant le prochain album, Hatebreed a l'idée de sortir un album de reprises. Idée intéressante, surtout au vu de la tracklist. Imaginez ! Black Flag, Slayer, Bad Brains, Sepultura ou encore Metallica. Que du culte, du gros, du lourd. Mais For The Lions se révèlera t'il vraiment intéressant ou simplement un moyen de renflouer les caisses ? Il faut en effet dire que l'intérêt d'un album de rep ...

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Hatebreed

«Supremacy»

Amis de la poésie bonsoir. Voilà le retour des engendreurs de haine: Hatebreed. 3 ans après la sortie de The rise of brutality, les taureaux américains reviennent encore une fois armés de compositions des plus romantiques. C'est en feuilletant le livret que l'on découvre tout d'abord l'âme de poète de Jamey Jasta qui pendant 4 pages explique les différentes galères personnelles qui l'ont fais somb ...

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Hatebreed

«The rise of brutality»

De retour un peu plus d’un an après le très bon « Perseverance », Hatebreed revient sur le devant de la scène avec « The rise of brutality ». Loin de privilégier l’originalité, le groupe réutilise les ingrédients qui ont fait le succès de « Perseverance », pour un cocktail tout aussi détonnant : les riffs lourds, le chant monocorde et guttural de Jamey Jasta, un jeu de batterie énergique, pièce ma ...

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