|
Vendredi 29 octobre 2021
Est-ce la proximité de Halloween qui fait ça ? Mais aujourd'hui on compte 70 (oui 70) sorties ! Je pense qu'on a un record. Et y'a des sorties attendues avec Mastodon / Archspire / Monolord / Whitechapel / Lucifer / Kayo Dot / le nouveau album solo de Jerry Cantrell, ... Allez, on vous laisse découvrir ça : - Mastodon (Prog Metal, USA)
🎧
- Archspire (Tech Death, Canada)
🎧
- Whitechapel (Deathcore, USA)
🎧
- Monolord (Stoner / Doom, Suède)
🎧
- Ad Infinitum (Metal Sympho, Suisse)
🎧
- Aexylium (Folk Metal, Italie)
🎧
- Alloxylon (Black Metal, Australie)
🎧
- Anti Ritual (Black / Hardcore, Danemark)
🎧
- Atomic Drop (Speed / Thrash, USA)
🎧
- Attack Attack! (Metalcore, USA)
🎧
- Bad Wolves (Rock Metal, USA)
🎧
- Bastarður (Crust / Death Metal, Islande, avec Aðalbjörn Tryggvason de Solstafir)
🎧
- Be'lakor (Death Metal Mélodique, Australie)
🎧
- Beast In Black (Power Dance Metal, Finlande)
🎧 - Bishop (Sludge / Indus, France / Metz) 🎧
- Bizarre (Death Metal, Espagne)
🎧
- Black Veil Brides (Metalcore, USA)
🎧
- Bloodmouth (Death / Grind, Australie)
🎧
- Burial (Death Doom, Italie)
🎧
- Burning The Oppressor (Metalcore, Canada)
🎧
- Callus (Sludge, UK)
🎧
- Contrition (Death / Sludge, USA, avec des membres de Cobalt, Yakuza, Novembers Doom)
🎧
- Cult Of Eibon (Black Metal, Grèce)
🎧
- David Reece (Heavy / Thrash, Allemagne, l'ex chanteur de Accept)
🎧
- Doedsvangr (Black Metal, Norvège / Finlande)
🎧
- Elkapath (Goth Metal, UK)
🎧
- enola (Post Hardcore, France / Toulouse)
🎧
- Evil Damn (Death, Pérou)
🎧
- Existance (Heavy Metal, France)
🎧
- First Fragment (Tech Death, Canada)
🎧
- Fueled By Fire (Thrash, USA)
🎧
- Funeralium (Doom Death, France / Paris)
🎧
- Ghost Bath (Post Black, USA)
🎧
- Goat Torment (Black Death, Belgique)
🎧
- Grand Cadaver (Death Metal, Suède)
🎧
- Green Claws (Stoner / Heavy Rock / ..., UK, Pour fan de Ghost)
🎧
- Havukruunu (Black Metal, Finlande)
🎧
- Helheim (Black Metal, Norvège)
🎧
- Huronian (Black Melo / Death Metal, Italie)
🎧
- Häxkapell (Black Metal, Suède)
🎧
- Intaglio (Funeral Doom, Russie)
🎧
- Jerry Cantrell (Grunge / Rock, USA, Album solo avec plein d'invités)
🎧
- John 5 (Blues / Country / Metal / ..., USA)
🎧
- Kayo Dot (Experimental, USA)
🎧
- Love Equals Death (Punk Rock, USA, Album de B-Sides)
🎧
- Lucifer (Doom, Allemagne)
🎧
- Lygo (Punk Hardcore, Allemagne)
🎧
- Marissa Nadler (Dark Folk, USA)
🎧
- Mind Of Evil (Heavy / Doom, USA)
🎧
- Minus The Bear (Math Rock, USA)
🎧
- Molybaron (Heavy Rock, France / Irlande)
🎧
- Nemecic (Death Metal Melo, Finlande)
🎧
- Ophis (Death Doom, Alllemagne)
🎧
- Prophetic Scourge (Death, France / Bayonne)
🎧
- Purulence (Slam Death, UK)
🎧 - Ruin Of Romantics (Post Punk / New Wave / ..., France / Paris, avec des membres de Hangman’s Chair et Perturbator) 🎧
- Skald (Néo Folk, France, un EP)
🎧
- Solemne Mortis (Black Metal, Colombie)
🎧
- Sunless (Prog Death, USA)
🎧
- Sylvan Awe (Black Metal, Australie)
🎧
- Teethgrynder (Noise, UK)
🎧
- Thrash La Reine (Heavy, Canada / Québec, C'est, comment dire, surprenant ?)
🎧
- Thulcandra (Death Melo, Allemagne)
🎧
- Toybloïd (Punk, France / Paris, réedition avec des titres en plus)
🎧
- Vile Aesthetic (Black Metal, USA)
🎧
- Vivid Illusion (Blackgaze, USA)
🎧
- Voidhra (Black Metal, Allemagne)
🎧
- War Of Ages (Metalcore, USA)
🎧
- Wine Lips (Garage / Punk Rock, Canada)
🎧
- Withering Worlds (Black Metal Atmo, Pays Bas)
🎧
Lundi 06 septembre 2021
Ghost Bath dévoile un nouveau titre intitulé Hide From The Sun avec CJ de Thy Art Is Murder en invité. Ca s'écoute par ici. Sortie de Self Loather prévue le 29 octobre chez Nuclear Blast Records.
Mardi 24 août 2021
Self Loather c'est le nom du prochain album de Ghost Bath qui sortira le 29 octobre chez Nuclear Blast Records. Pochette et tracklist par ici. Et pour le clip du morceau Convince Me To Bleed c'est par là.
Lundi 19 juin 2017
Le dimanche 2017 au Hellfest!
Photos : notre galerie photos du dimanche (qui sera complétée au fil de la semaine comme les autres). A voir également : Jeudi / Vendredi / Samedi.
Dernier jour pour cette édition 2017, très ensoleillée, du Hellfest. La chaleur écrasante va marquer les corps aujourd’hui, on sent le public moins fou-fou qu’il n’a pu l’être sur les premiers jours (notamment sur la War Zone). Hirax : Du Thrash et de la bonne humeur. On pourrait résumer Hirax comme cela, mais on serait encore loin de la vérité. Il faut voir les bougres sur scène. Un lead guitare aussi efficace dans ses riffs que dans ses soli, une basse groovy à mort, des rythmes qui balancent à 100 à l’heure et surtout, surtout, un chanteur très en forme vocalement et tout le temps à fond quand il s’agit de se mettre la foule dans sa poche. Les signes vers le public, les gros yeux, les pas de courses d’un bout à l’autre de la scène… le mec est une pile électrique. Donc oui, déjà qu’à la base leur Thrash ne souffre d’aucun temps mort et est hyper énergique, le frontman ajoute le truc qui rend la prestation live complètement irrésistible. Plus Metal que le Metal. Ill Niño : Retour en enfance avec un groupe de Nu Metal dont je n'avais plus entendu parler depuis une grosse douzaine d'années, avant de les découvrir sur l'affiche du Hellfest 2017. Même si la plupart des titres sont inconnus au bataillon, on reconnaît certaines vieilleries (No Murder, Te Amo I Hate You, How Can I Live…). Ça bouge bien niveau jeu de scène, les mecs ne jouent rien de sorcier mais le font de façon carrée, leur line-up atypique (avec un percussionniste) et leur batteur de 160 kilos de bonne humeur, et la manie du chanteur de nous appeler "la Ill Niño familia", font que le public devant la Mainstage 2 passe un bon moment (malgré la fébrilité de certains chants clairs). À en juger par la poussière soulevée par les pogos, il y avaient pas mal de nostalgiques qui ont été convaincus. Revolution Revolución, amigos !
Beyond Creation Les Québécois ont réservé un accueil pour le moins chaleureux à l'Altar. Visiblement ravis d'être en terre clissonnaise, les musiciens ont fait résonner leur Death Technique sous l'Altar. On y entend du Cynic, Atheist, Obscura, exécuté avec finesse et précision. Servis par un son franchement honnête, les riffs syncopés, sprints-matraquages et soli du futur ont trouvé leur place dans le cœur de l'audience présente. Sur tout son set, Beyond Creation a simplement synthétisé ce qui se fait de plus intéressant en termes de Death moderne et visionnaire. Beau boulot. Ghost Bath : Avec un album tout frais de chez Nuclear Blast pas forcément enthousiasmant, et un Moonlover très appétissant, nous voilà partis pour un Bain De Fantôme un peu le cul entre deux chaises. Et ce à raison, car malgré les trois guitaristes présents sur scène, difficile voire impossible de distinguer les subtilités Post-Black de Ghost Bath. Au lieu de ça, la basse vrombit bien trop pour le genre. Question compos, on peinera à trouver des passages franchement intéressants, bien que quelques percées soient sympathiques, mais le coup de foudre ne sera pas pour cette fois. Ufomammut Le prochain rendez vous Doom immanquable de cette ultime journée du festival n'est autre qu'Ufomammut. Les italiens qui ne s'était pas produit au Hellfest depuis 2012 et qui s'apprête à sortir prochainement un nouvel album chez Neurot recordings ont aujourd'hui opté pour une setlist variée. Pour ce concert, le combo qui avait jusque là pour habitude d'interpréter leurs albums en entier car constitués comme tel depuis Eve en 2010 pioche donc dans presque tous les albums de leur discographie, de Lucifer Songs jusqu'au nouveau single Warsheep. Un set hypnotisant à haute teneur psychotropique et au final noisy. Arkhon Infaustus : C’est la seconde date de concert pour la reformation d’Arkhon Infaustus et le problème est de taille. Jouer tôt, de jour, avec un son absolument immonde n’aide pas à rentrer dans le set L’envie est là, mais ce ne sera pas suffisant pour convaincre le public qui se délaisse petit à petit d’un Black Metal frondeur, mais terriblement plat et peu convainquant. Dommage, car leur prestation aux Feux de Beltane un mois plus tôt était à la fois haineuse, méchante et tellement percutante. Candiria : Arrivé en cours de route en plein cagnard, on espérait un set au moins aussi intense que celui de leur passage au Fury Fest (ex-Hellfest) en 2003, mais non. Hormis un seul titre issu de leur album mythique 300 Percent Density, rien de fameux à se mettre sous l’oreille, beaucoup de morceaux tirés des derniers albums, donnant au chanteur l’occasion d’envoyer de la mélodie claire, mais non, rien à faire, ça colle pas. Dommage. Equilibrium Avec son Metal efficace entre Pagan, Folk et Viking, Equilibrium attire assez de monde pour remplir la tente dédiée à la scène Temple. L'ambiance est à son comble, les slams commencent même en dehors de la tente. Même si leurs albums les plus récents convainquent moins, les Allemands prennent soin de n'en jouer que les morceaux les plus péchus (à l'instar de Prey en ouverture de show) et n'hésitent pas à aller piocher dans leur vieux répertoire (Blut Im Auge, le mythique Unbeseigt...). Le chant de Robert Dahn donne l'impression d'être un peu brouillon sur le début du concert, presque "gruik-gruik Grindcore", mais cela ne dure pas et le son devient vite exemplaire. Tout sourire, ouvert au public, Equilibrium semble s'éclater pendant une heure, et nous aussi.
Nostromo La venue de Nostromo est également parmis les concerts de cette édition 2017 qu'il ne fallait surtout pas louper. Depuis l'annonce de leur reformation en fin d'année dernière, les Suisses se sont produits aux quatre coins de la France en première partie de la tournée Magma de Gojira ainsi qu'à quelque festival, notamment au Download. Pour la petite histoire, comme l'explique le chanteur entre deux morceaux, c'est l'équipe du Hellfest qui les a contacté il y a 8 mois et qui a été l'élément déclencheur de cette reformation tant attendue. Venus spécialement se produire aujourd'hui après 10 heures de route, Nostromo exige de l'action dans le pit et la réaction du public ne se fait pas attendre. Un impressionnant wall of death se forme alors du devant de la scène jusqu'à la régie et sur tout la largeur de la tente. Inutile de dire à un quel point il fut parfois difficile de discerner les musiciens jouer tant la poussière soulevée était importante. Parmi la setlist on notera une cover de Nasum ainsi qu'un nouveau titre non-nommé mais qui annonce un prochain album excellent.
Blue Öyster Cult Dès la fin du premier titre (étrangement introduit par le générique de Game Of Throne), Blue Öyster Cult pose l'ambiance en lançant "the next song is about women, motorcycles, and parties", avant de commencer The Golden Age Of Leather. Leur Rock à l'ancienne plein de solos captive la Valley comme Queensrÿche à su conquérir la foule l'avant-veille : avec surprise, avec étonnement, car un groupe de papys bluesy ne semble pourtant pas dans les petits papier du festivalier-type. Et pourtant, ovations aux solis de Buck Dharma et applaudissements sont vraiment au rendez-vous. Encore un pari de programmation réussi pour le Hellfest. On notera quand même que la guitare de Richie Castellano n'est pas assez forte en début de set, alors que ses claviers explosent les oreilles... Les Américains jouent leur tube (Don't Fear) The Reaper un peu avant la fin de leur temps imparti, ce qui permet d'aller attraper le début de Prophets Of Rage pour beaucoup de monde. Prophets Of Rage Le super groupe à base de Rage Against The Machine assaisonné de Cypress Hill et de Public Enemy débarque à Clisson un an après sa formation et est déjà catapulté en semi-tête-d'affiche (bien que Linkin Park soit la véritable TA de ce troisième jour, Prophets Of Rage joue aussi sur la Mainstage 1 pendant un créneau horaire aussi long qu'eux). Le groupe va enchaîner les hits de RATM (Testify, Bullet In The Head, Guerilla Radio, Sleep Now In The Fire, Bombtrack...), qui passent foutrement bien en live, malgré un résultat mitigé sur l'EP. On aura aussi droit à quelques crus des Prophètes eux-mêmes (Prophets Of Rage, Unfuck The World) et surtout à un excellent medley Hip-Hop avec du Cypress Hill (Insane In The Brain, Jump Around...) et du Public Enemy (Bring The Noise...) dedans. Qu'est-ce qui manque ? Du Audioslave : Tom Morello annonce Like A Stone, sans vocaliste, et demande au public de chanter si on connaissait les paroles, ou de penser à Chris Cornell si on ne les connaissait pas. L'ambiance est énorme pendant tout le set (sauf sur Like A Stone, assez grave), tout le monde saute partout, sauf un mec en pull Deicide qui se barre écœuré pendant la partie full Hip-Hop. Les dizaines de milliers d'autres personnes sont revenues, ravies, à la grande époque de RATM le temps d'un concert de haute volée.
Integrity : Pour leur gros Hardcore de musclés, les gars d'Integrity ne rameuteront pas les foules. Seuls les plus fervents de riffs lourds et intelligents comme un 38 tonnes resteront devant la Warzone pour s'abreuver de violence gratuite entre « brothers and sisters ». Peu importe, les mecs de l'Ohio ne se démontent pas et alternent les pavés HxC et les titres plus Rock n' Roll et sautillants. Un résultat clair et net mais qui n'aurait peut-être pas demandé une heure complète de set. Integrity quittera d'ailleurs la scène un poil avant la fin.
Scour Un an après que Down ait annulé leur tournée, Phil Anselmo, grand habitué du Hellfest, fait son retour en terre clissonnaise avec son nouveau projet en date, Scour. Celui ci pose ses valises sous la Temple, une scène que Phil n'avait pas encore expérimenté jusque là étant surtout habitué aux Mainstages et à la Valley. Il ne pouvait pourtant en être autrement, Scour déployant une identité musicale proche d'un certain Deathspell Omega mais avec un chant mi-black mi-death. Le groupe alterne entre morceaux du premier EP et du second à sortir prochainement, le tout entrecoupé de quelques messages et de remerciements de papa Phil pour le Hellfest. Il ressort donc de ce premier concert chez nous plusieurs bonnes idées pour cet énième projet d'Anselmo même si on ressent une certaine fébrilité sur certains morceaux, sans doute dûs à la jeunesse du projet qui joua 15 minutes de moins que le temps accordé. Emperor Faisons la lumière tout de suite sur le léger point noir de cette performance, à savoir des guitares et claviers parfois difficiles à saisir, mais qu'importe. Pour qui vénère les Norvégiens et leur deuxième offrande, le légendaire Anthems To The Welkin At Dusk, ce show était tout simplement immanquable. Avec des titres tous plus incisifs et créatifs (encore aujourd'hui !) les uns que les autres, l'album de 1997 file à toute allure, avec quelques mots du frontman pour ponctuer entre deux charges héroïques. Comme lors de leurs jeunes jours, les nordiques tracent à toute allure avec une batterie sous stéroïdes et des leads grandiloquents, majestueux (baroques ?). En plus du monstre joué en entier, Curse You All Men ou Inno A Satana remueront la foule de passionnés et de curieux avec vigueur. Sous une Temple noire (Metal) de monde, Ihsahn et sa bande ont fait une grande démonstration de maîtrise et de classe absolue (même en chemisette).
P.S. : Il est important que les personnes ayant la malheureuse idée de pogoter sur Emperor sachent qu'il existe un cercle de l'Enfer pour les cafards de leur espèce. Pas besoin de faire ton gros bourrin torse-nu et aviné dans les premiers rangs pour prouver que tu es un homme. Tais-toi, écoute et apprend. Kiss. Every Time I Die Malgré l’absence du chanteur Keith Buckley, les suppléants ont assuré le show, enchaînement de titres emblématiques tels que Ebolarama, mais aussi des morceaux du dernier album Low Teens naturellement. Ambiance, chaleur, rock’n’roll, et apothéose finale avec le public qui s’invite sur scène dans la joie et l’allégresse. Grand moment qui restera sans doute gravé dans les annales du Hellfest et de la Warzone. Les remplaçants : Ryan de Trap Them, Jeremy de The Devil Wears Prada, Loz de While She Sleeps et Griff de Shvpes Hawkwind Apres Blue Öyster Cult, retour à la Valley pour une autre couche de Rock rétro, cette fois moins bluesy mais plus psyché. Visiblement attendu de pied ferme, le combo semble maintenu artificiellement en forme grâce à du sang neuf, notamment à la basse. Le musicien est plein d'énergie, ce qui contraste avec le peu de présence du guitariste qui semble vraiment fatigué. Néanmoins, la musicalité est là, les visuels aussi (Hawkwind diffuse des images kaléidoscopiques en couleurs vives sur un écran au dessus de la scène). On plonge en plein mai 68 avec le groupe, et on en ressort transporté après une (trop courte) heure de voyage musical, auquel le groupe n'a pas oublié d'ajouter une dimension contemporaine, grâce à l'emploi d'une console de mixage directement sur scène pour insérer dans leur Rock des occasionnels bruitages électroniques. Original et plaisant. The Dillinger Escape Plan Cerise sur le gâteau rôti du Hellfest le plus brûlant de la décennie, TDEP a cassé des nuques par palettes, empilant les titres cultes comme des perles, mélange équilibré entre nouveaux et anciens titres. On aurait pu s’attendre à davantage d’acrobaties du guitariste Ben Weinman mais c’est certainement plus aisé dans des lieux clos avec des poutres et autres structures auxquelles s’accrocher. Quoi qu’il en soit les gars du New Jersey ont fait valoir leurs qualités, de manière définitive puisqu’en effet, ceci fait partie de leur dernière tournée avant la fin. Pleurons en chœur en savourant l’un des ultimes sets de ce groupe absolument indispensable, si ce n’est salvateur, du 21ème siècle. Perturbator : Quoi de mieux que de finir un fest avec de l’Electro qui tabasse et faire danser une Temple chaud bouillante ? La réponse est dans le titre et on en attendait pas tant. Des basses hyper lourdes, des nuques qui se secouent en rythme, des corps qui chaloupent… Bref, ça tuait. Autant dans le son que des lights fort à propos. L’ambiance était là, tout le monde dansait et ça et offrait une conclusion parfaite à ce Hellfest 2017. Le top 3 des chroniqueurs présent : Bacteries : The Dillinger Escape Plan, Every Time I Die, Prophets Of Rage Pentacle : Hirax, Perturbator, Beyond Creation Max : Emperor, Perturbator, Beyond Creation Zbrlah : Emperor, Prophets Of Rage, The Dillinger Escape Plan Méo : Clutch, Ufomammut, Pentagram Nonohate : The Dillinger Escape Plan, Emperor, Nostromo Tang : The Dillinger Escape Plan, Nostromo, Every Time I Die Julien : Candiria, The Dillinger Escape Plan, Coroner
Samedi 20 mai 2017
Chronique de Starmourner de Ghost Bath : "A la suite du succès artistique et des louanges que remportait Moonlover, sorti en 2015, les musiciens de Ghost Bath se devaient de prévoir qu’ils seraient attendus au tournant. [...]"
Lundi 24 avril 2017
Nouveau clip pour Ghost Bath avec "Seraphic" issu de leur album Starmourner qui vient de sortir. Pour le visionner, c'est ici.
Vendredi 24 mars 2017
Ghost Bath dévoile un nouveau titre issu de Starmourner. Ambrosial s'écoute dans la suite. Sortie officielle le 21 avril chez Nuclear Blast Records.
Lundi 27 février 2017
Le nouvel album de Ghost Bath, Starmouner, sortira le 21 avril chez Nuclear Blast. Un premier extrait, "Thrones", se découvre dans la suite.
Samedi 27 août 2016
Concert du jour : - Ghost Bath et Thränenkind jouent ce soir à La Mécanique Ondulatoire (Paris). Toutes les infos sur l'event Facebook et les préventes se trouvent par ici.
Jeudi 04 août 2016
Concours : Ghost Bath et Thränenkind seront à La Mécanique Ondulatoire (Paris) le 27 août grâce à Hibooking. Toutes les infos sur l'event Facebook et les préventes se trouvent par ici. Pour l'occasion, on vous propose de gagner 2x1 place en répondant à une simple question.
Mardi 07 juin 2016
Ghost Bath et Thränenkind seront en concert à Paris (Mecanique Ondulatoire) le samedi 27 août. Plus d'infos sur l'event FB et place à vendre dans quelques heures.
Mardi 10 mai 2016
Ghost Bath sera de passage à la Mécanique Ondulatoire de Paris le 27 août.
Mercredi 16 mars 2016
Chronique avec Moonlover de Ghost Bath, pour fans de Black Metal Atmo dans la veine de Gris, Glaciation ou encore Woods of Desolation : "Telle était la pensée de Baudelaire : la Beauté naît dans les passions condamnables, l’obscurité et le malheur. [...]".
Vendredi 11 mars 2016
Le festival Hardcore Ieperfest (Ypres en Belgique, du 12 au 14 août) vient d'annoncer 29 premiers noms : Agnostic Front, The Black Dahlia Murder, Chaos UK, H2O, Jello Biaffra And TGSM, Knuckledust, Negative Approach, Alkerdeel, The Black Heart Rebellion, Bind Justice, Cocaine Piss, Cold Hard Truth, Crudess, Desolated, Ghost Bath, Ghostlimb, Goatwhore, Graf Orlock, I Killed The Prom Queen, Lifespite, No Zodiac, Polar, Raw Power, Reproach, Stray From The Path, Sundays, Tribulation, Turbowarrior of Steel, World Eater
|
Ghost Bath
Style : Black Metal Dépressif / Black Metal Atmosphérique
Tags :
Black Metal
Origine : USA
Bandcamp :
Facebook :
Amateurs : 5 amateurs
Facebook :
|