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Samedi 18 mars 2023

L'affiche du Rock In Bourlon 2023 qui se tiendra le 23, 24 et 25 juin à Bourlon (62) continue de s'étoffer avec Brutus, Earthless, Wolvennest, Fange, Full Of Hell, Weedeater, Spectral Wound, Mars Red SkySorcererSpy, Spectral Wound, Author And PunisherAsbest, Cosse, Miët, Aluk Todolo et Gummo. Event FB / Billetterie.

Vendredi 10 mars 2023

C'est vendredi c'est les sorties, cette semaine un "top 4" particulièrement difficile à faire ! Qu'allez vous écouter cette semaine ?
- Periphery (Djent, USA) 🎧
- Suicide Silence (Deathcore, USA) 🎧
- Gorod (Tech Death, France) 🎧
- Fange (Industrial Sludge / Death Metal, France) 🎧

- Abhcan (Prog Metal, France) 🎧
- As Light Dies (Black / Death, Espagne) 🎧
- Asphagor (Black Metal, Autriche) 🎧
- Astriferous (Death Metal, UK) 🎧
- Bloodjob (Brutal Death, Italie) 🎧
- Brundarkh (Dark Metal / Metal Sympho, Afrique Du Sud) 🎧
- Burden Of Ymir (Black / Folk Metal, Canada) 🎧
- Clavicule (Garage Rock, France / Rennes) 🎧
- Cripta Blue (Psychedelic Doom Metal, Italie) 🎧
- De Arma (Darkwave, International) 🎧
- Deludium Skies (Doom / Drone, Autriche) 🎧
- Demon King (Black / Death, USA) 🎧
- Demons Down (Power Metal, International) 🎧
- Depraved Murder (Brutal Death, Indonésie) 🎧
Dirge (Sludge / Doom, Inde) 🎧
- Discordant Meditation (Death Metal, USA) 🎧
- Dissentient (Prog / Death, Canada) 🎧
- Duel (Heavy Rock, USA) 🎧
- Dunwich Dreams (Indus Metal, USA) 🎧
- Duthaig (Black Metal, Suisse) 🎧
- Exelerate (Thrash, Danemark) 🎧
- Fagus (Black Metal, Allemagne) 🎧
- Fever Ray (Electro / World Music, Suède) 🎧
- Flogging Molly (Punk Celtique, USA) 🎧
- Fluisteraars (Post-Black Metal, Pays-Bas, 3 EP regroupés) 🎧
- For The Fallen Dreams (Rock Metal / Metalcore, USA) 🎧
- Frozen Crown (Power Metal, Italie) 🎧
- Genocidal Rites (Black Metal / War Metal, USA) 🎧
- Giant Brain (Psyche / Garage Rock, USA, Album hommage à Phil Dürr) 🎧
- Glitter Wizard (Garage Rock, USA) 🎧
- Goat Explosion (Heavy / Doom / Stoner Metal, Allemagne) 🎧
- God Disease (Doom / Death, Finlande) 🎧
- Guillotine (Thrash, USA) 🎧
- HolyRoller (Doom, USA) 🎧
- Håndgemeng (Stoner, Norvège) 🎧
- Ice Age (Prog Metal, USA) 🎧
- Ignominy (Avant Garde / Death Metal, Canada) 🎧
- Intrepid Bloom (Hard Rock, USA) 🎧
- Isole (Doom, Suède) 🎧
- It’s Always Sunny In Tijuana (Deathcore, USA) 🎧
- Jolle (Garage Rock, USA) 🎧
- Judiciary (Crossover / Thrash / Hardcore, USA) 🎧
- Killing Capacity (Death Metal, Allemagne) 🎧
- Luteøks (Black Metal, Norvège) 🎧
- Mass Crysis (Thrash Metal, Italie) 🎧
- MIinenwerfer (Black / Death, USA) 🎧
- MspaintS (Punk, USA) 🎧
- Nanowar Of Steel (Heavy / Power Metal / Hard Rock, Italie) 🎧
- Negative Prayer (Crust / Thrash Metal, USA) 🎧
- Odinfist (Heavy Metal, Canada) 🎧
- Otherwise (Alt Metal, USA) 🎧
- Pääkallo (Psyche / Occult Rock, Finlande) 🎧
- Qwälen (Black Metal, Finlande) 🎧
- Rezn (Doom, USA) 🎧
- Rival Sons (Rock, USA) 🎧
- Sacrificium (Black / Death, Norvège) 🎧
- Santo Rostro (Stoner Rock / Psyche, Espagne) 🎧
- Santo Rostro (Stoner / Doom, Espagne) 🎧
- Seventh Crystal (Hard Rock, Suède) 🎧
- Sleaford Mods (Hip Hop / Post Punk, UK) 🎧
- Story Of T he Year (Punk Rock / Alt Rock, USA) 🎧
- Straight Hate (Death Metal / Grindcore, Pologne) 🎧
- Sönambula (Death Metal, Espagne) 🎧
- The Banishment (Hard Rock / Indus, USA, Avec George Lynch) 🎧
- The Cold Stares (Rock, USA) 🎧
- The Human Race Is Filth (Crust / Death / Grind, USA) 🎧
- The Lancasters (Hard Rock, Italie) 🎧
- The Lovecraft Sextet (Dark Jazz, Pays-Bas, Avec un membre de The Kilimanjaro Darkjazz Ensemble) 🎧
- Trauma Sounds (Post-Black Metal / Shoegaze, USA) 🎧
- Treponem Pal (Indus Metal, France) 🎧
- Tribe Of Pazuzu (Black / Death, Canada) 🎧
- Unfelled (Black Metal, Australie, Avec des membres de Woods Of Desolation, DrudkhAustere) 🎧
- Vilivant (Hard Rock, USA) 🎧
- Winter's Breath (Black Metal, Autriche) 🎧
- Witchrot (Sludge, Canada) 🎧

Dimanche 05 février 2023

Fange a sorti un mini film pour "A La Racine / Sang-Vinaigre", à découvrir ici.

Jeudi 02 février 2023

Imperial Triumphant a annoncé plusieurs dates en France :
- 21/04 : Lille (Black Lab) + Fange + White Ward
- 25/04 : Nantes (Black Shelter)
- 26/04 : Toulouse (Connexion Live)
- 29/04 : Pau (La Ferronerie)
- 30/04 : Lyon (Warm Audio) + Fange
- 02/05 : Chambéry (Le Brin De Zin) + Fange
- 04/05 : Yverdon-les-Bains (L’Amalgame) + Fange
- 05/05 : Paris (Point Ephémère) + Fange
- 06/05 : Nilvange (Le Gueulard Plus) + Fange
- 07/05 : Bruxelles (Les Nuits Botaniques)

Mardi 24 janvier 2023

Le New Noise #65 sera en kiosque dans 15 jours, avec Fange et Algier en couverture. Le magazine en a profité pour donner une point sur sa situation financière : les ventes du #64 ont été un peu meilleures que le #63, mais restent en dessous des chiffres habituels du magazine. Pour le moment le magazine tient, notamment suite à la vague de soutien depuis août, mais l'avenir reste incertain. Pour ce nouveau numéro vous retrouverez des interviews de The Psychotic Monks, Doodseskader, CosseSanguisugaboggMiëtTurian, The Young Gods, ObituarySloyCrosses, 16, SodomLa Muerte... et plus de 200 chroniques.

Dimanche 27 novembre 2022

Throatruiner Records fait son Black Friday avec pas mal de réductions sur ses sorties / son merch. Ca se passe ici. On y retrouve du Mourir, Verdun, Fange, Comity, ...

Mercredi 12 janvier 2022

Secret Place, salle de concert de Saint Jean de Vedas qui a accueilli par exemple Fange, Swallow the Sun, Klone, Napalm Death, ... organise une conférence de presse suite aux annonces gouvernementales récentes. Un communiqué se lit dans la suite et la conférence aura lieu jeudi 13 janvier à 11h à la Secret Place à St-Jean de Vedas.

Mardi 19 octobre 2021

Fange (harsh sludge / Rennes) et Pilori (blackened crust / Rouen) seront en tournée ensemble :
- le 20 octobre à Rouen (Le 3 Pièces)
- le 21 octobre à Lyon (Warmaudio)
- le 22 octobre à Montpellier (Secret Place)
- le 23 octobre à Chambéry (Brin de Zinc pour le Black Ice Fest)

Vendredi 07 mai 2021

Et voici les sorties du jour ! Plus de 50 encore cette semaine, on ne veut plus de "j'ai rien à écouter".

- Seth (Black Metal, France / Bordeaux) 🎧
Violet Cold (Avant Garde / Blackgaze, Azerbaijan) 🎧
Sumo Cyco (Alt Metal / Electro Metal, Canada) 🎧
Vokonis (Stoner / Doom, Suède, avec un ex Opeth) 🎧


Acid's Trip (Heavy Rock, Suède) 🎧
Aran Angmar (Black Metal, Italie) 🎧
Artillery (Thrash, Danemark) 🎧
Book of Wyrms (Stoner / Doom, USA) 🎧
Bretus (Stoner / Doom, Italie) 🎧
Candélabre (Shoegaze, France / Paris) 🎧
- Colision (Shoegaze / Grunge, France / Bordeaux) 🎧
Coscradh (Black / Death, Irlande) 🎧
Cvlt Of The Sun (Dark Rock, Finlande) 🎧
Darkfall (Death / Thrash, Autriche) 🎧
Diamante (Hard Rock, USA) 🎧
Eddy Kaiser (Dark Folk, France / Nantes) 🎧
Ereb Altor (Death Melo / Viking Metal, Suède) 🎧
False Memories (Metal Gothique, Italie) 🎧
- Fange (Sludge, France / Rennes) 🎧
Feed Them Death (Death / Grind, UK) 🎧
FeminazgulAwenden (Black Metal, USA) 🎧
Ghost Iris (Djent, Danemark) 🎧
Grey Aura (Post Black / Avant Garde, Pays Bas) 🎧
Gonemage (Blackgaze / 8bits) 🎧
Hanternoz (Black Metal / Folk Metal, France / Angers) 🎧
In Asymmetry (Tech Death, Chili) 🎧
Inferno (Black Metal, Tchéquie) 🎧
J. D. Overdrive (Stoner / Southen, Pologne) 🎧
Jordsjø (Prog Rock / Folk Rock, Suède) 🎧
- Kardashev (Deathgaze, USA) 🎧
Kataan (Post Black, USA) 🎧
Kosmodemonic (Black / Doom, USA) 🎧
Kryptik Mutation (Slam Death, USA) 🎧
La Ballade des Rats (Black Metal, France / Toulon) 🎧
Marius Danielsen (Power, Norvège) 🎧
Mephitic Grave (Death, Hongrie) 🎧
Nature Morte (Black, France / Paris) 🎧
Methadone Skies (Stoner / Post Rock, Roumanie) 🎧
- Moon Coven (Stoner, Suède) 🎧
Nordjevel (Black Metal, Norvège) 🎧
Osiah (Deathcore, UK) 🎧
Out of Hand (Death / Thrash, Puerto Rico) 🎧
Rexxx (Punk Rock / Garage, USA) 🎧
RüYYn (Black Metal Atmo, France) 🎧
Saponification (Slam Death, USA) 🎧
Simon Stålenhag (Ambient, Suède) 🎧
Skarlett Riot (Metalcore, UK) 🎧
- Solstice (Death / Thrash, USA) 🎧
Supervøid (Sludge / Noise, UK) 🎧
Terminalist (Black / Thrash, Danemark) 🎧
The Crooked Whispers (Sludge / Doom, USA) 🎧
The Mighty Mighty Bosstones (Ska, USA) 🎧
Traumatomy (Brutal Death, Russie) 🎧
- Useless ID (Punk Rock, Israël) 🎧
Varkan (Thrash / Heavy, USA) 🎧
Wormlight (Black Metal, Suède) 🎧

Mardi 02 mars 2021

Fange (death industriel - sludge) sortira Pantocrator le 7 mai chez Throatruiner Records. Extraits en écoute sur leur bandcamp ici

Jeudi 11 février 2021

Clement D (qui joue dans Brusque et bosse pour New Noise) s'est associé avec l'association Hardcore Cares (site) pour un clip hommage au "Reminders" de Touché Amoré en lien avec une levée de fond pour l'asso (lien). On y retrouve des apparitions de musicien.ne.s de Stinky, Fange, Fall Of MessiahLane, mais aussi de la chaîne La Manie du Cinéma, La 3ème Rangée ou du podcast Heavysteriques ... Le clip se regarde dans la suite et vous pouvez donner par ici.

Jeudi 10 décembre 2020

Le dernier épisode du podcast Allez Le Sang se consacre aux groupes Bretons (Sépulcre, FangeCharnierDefenestration, Death EngineÆtheria Conscientia, ...), à écouter ici.

Vendredi 06 novembre 2020

Fange vient de lâcher son live à La Scène Michelet du 23 octobre. Ca se regarde ici.

Mercredi 23 septembre 2020

Retour de YCKM pour une nouvelle saison ! Notre podcast metal (à tendance extrême, mais pas que) hebdomadaire est de retour, une équipe avec de nouvelles têtes, mais toujours du gros son, des news, et des chroniques (cette semaine ça sera Mortiferum et Ashtar).
Niveau playlist on retrouvera Power TripThou, Baron Crâne, Nine Eleven, Pilori, FangeHoward, ...
Pour écouter : cherchez YCKM ou Metalorgie sur vos applis de podcasts, vous avez sinon le flux RSS ici, ou en MP3 directement .
YCKM

Mardi 18 août 2020

Fange est entré en studio pour sa prochaine sortie, composée de 2 titres pour un total de 30 minutes.

Mercredi 17 juin 2020

Podcast : 30ème épisode du podcast YCKM, aujourd'hui notre fine équipe s'est intéressée à Winterfylleth et Fange. Du coté musicale on part du coté de Candlemass, Gaerea, Bolt ThrowerAge of Woe, Cirith Ungol...
A écouter sur vos applis de podcast (en cherchant YCKM ou Metalorgie) ou directement ici (possibilité de le télécharger en MP3).

Mardi 09 juin 2020

Poigne, le nouveau 4 titres de Fange, se streame ici.

Lundi 27 avril 2020

Issu de Pudeur, "Cafard Celeste" de Fange se regarde en images ici.

Vendredi 20 mars 2020

Fange vient de sortir son Pudeur sur Bandcamp. Le disque se précommande par ici.

Mercredi 04 mars 2020

Pudeur, le prochain Fange, sortira en LP et CD chez Throatruiner Records. Artwork.

Vendredi 28 février 2020

Concert du Jour :
- Le Nantes Deathfist 2020 : avec Eyehategod, Napalm DeathMisery Index, Rotten SoundBat, FangeAss Deep Tongued, ... dès cet après midi à Nantes.
AnvilHarsh et Ramayan seront ce soir à l'Empreinte (Savigny Le Temple - 77). Toutes les infos sur l'event FB et les places en vente par ici.

Jeudi 02 janvier 2020

YCKM a publié son top de l'année 2019, en 2 émissions :
- Partie 1
- Partie 2
Sans spoiler vous pourrez retrouver entre autres Green Lung, Sordide, Pénitence Onirique, Fange, Cult Of Luna, Opeth, Big Business, Full Of Hell, Saint Vitus, Leprous, ...
De quoi rattraper son retard et de venir noter vos écoutes ici même !
Disponible sur vos applis de podcast en cherchant "YCKM" ou "Metalorgie" ou ici (dispo en téléchargement MP3 également).

Jeudi 19 décembre 2019

YCKM, comme chaque mardi à 17H, vous a sorti son nouvel épisode avec Matthias de Fange et Throatruiner Records. Le podcast erevient sur les derniers albums de Cranial et Daughters.
A retrouver dans vos app de podcast en tapant YCKM ou Metalorgie, ou ici.

Mardi 12 novembre 2019

Fange a terminé l'enregistrement de son troisième album, qui sera mixé ce mois.

Samedi 02 novembre 2019

Le Nantes Deathfist 2020 a passé la seconde, voir même la troisième et quatrième : Napalm Death, EyehategodMisery Index, Rotten SoundBat, Fange, GristViolent EncounterGrind-o-maticLike Pigs On EmbersAss Deep TonguedAnal Geriatric Infection (on va encore avoir des résultats de recherche Google étrange !), MulkPremière LigneWorms Eat Her. Ca se passera au Warehouse et au Ferrailleur à Nantes le 28 février 2020, les places sont en vente ici.
Et en plus de ça un warmup aura lieu le 21 décembre avec Sublime Cadaveric Decomposition et Deflesher à La Scène Michelet.
Pour plus d'infos RDV sur l'événement Facebook.

Mardi 01 octobre 2019

Live Report : On revient sur la soirée du I'm From Rennes 100% Metal qui avait lieu le mois dernier avec Hexecutor, Cadaveric Fumes, Fange, Mantra, Voight KampffEntertain The Terror et Hard Mind. Ca se lit par là.
Et aussi toutes les photos de la soirée sont visible dans cette galerie.

Jeudi 26 septembre 2019

Morne, Verdun, Point Mort (pour sa release party) et Fange seront à l'Espace B le 29 septembre. Event FB.

Lundi 02 septembre 2019

I'm From Rennes - Vendredi 13 c'est dans deux semaines à l'Etage de Rennes. Au programme : Cadaveric Fumes, Hexecutor, Fange, Mantra, Voight KampffHard Mind et Entertain The Terror. Event FB / Billetterie.

Mardi 27 août 2019

Pilori débute l'enregistrement de son premier LP la semaine prochaine. Le mixage de leur LP sera l'oeuvre de Cyrille Gachet au Dick Doom Studio (Fange, Verdun, Huata, The Great Old OnesChaos Echœs, Bagarre Générale, Year of no light) et le mastering sera lui confié à Guillaume Doussaud du Swan Sound Studio (Headcharger, Amanda Woodward, Youth Avoiders, Direwolves, Burning Bright, Death Mercedes, Lodges, ...).

Lundi 26 août 2019

Fange et Verdun vont faire une tournée commune : 
25/09 Toulouse / Pavillons Sauvages
26/09 Montpellier / Black Sheep
27/09 Altkirch / Le Domaine
28/09 Strasbourg / Molodoï
29/09 Paris / Espace B

Samedi 17 août 2019

Concerts du Jour :
- Les Cheminées Du Rock, un festival qui se déroule à Saillat-sur-Vienne (87720) avec Ludwig von 88, Iron ReaganCapsula et Not Scientists. Toutes les infos sur l'event FB.
- Troisième jour du Motocultor Festival avec Trust, Korpiklaani, At The Gates, AnathemaSolstafir, Marduk, Eyehategod, Mgla, Decapitated, The Night Flight Orchestra, Anaal NathrakhFreak Kitchen, Dopethrone, Krisiun, Gronibard, Cancer Bats, Harakiri For The SkyWolvennestUndead PropheciesNytt Land, Fange et Shadyon
Nofx et Hogwash jouent ce soir à l'Elysée Montmartre de Paris. Event FB / Billetterie.

Jeudi 18 juillet 2019

Voici la programmation complète du Motocultor, qui se déroulera du 15 au 18 août 2019 :
Jeudi 15 août : ExcaliburThe Celtic Rock Opera*Alan Stivell, EluveitieCorvus Corax et Stille Volk.
Vendredi 16 août : Nofx, Turbonegro, Watain, Hypocrisy, Magma, Kadavar, Death AngelAnge, Soilwork1000Mods, Tribulation, The CasualtiesGaahl’s Wyrd, Iron ReaganMustasch, Les Ramoneurs de MenhirsWaking the Cadaver, Mars Red Sky, Au-DessusOaks CrownNot Scientists et Extermination Dismemberment.
Samedi 17 août : Trust, Korpiklaani, At The Gates, AnathemaSolsfatir, Marduk, Eyehategod, MGLA, Decapitated, The Night Flight Orchestra, Anaal NathrakhFreak Kitchen, Dopethrone, Krisiun, Gronibard, Cancer Bats, Harakiri For The SkyWolvennestUndead PropheciesNytt Land, Fange et Shadyon.
Dimanche 18 août : Hatebreed, Avatar, Bloodbath, Napalm Death, Carpenter Brut, Primordial, Sacred Reich, IhsahnHenri Des and Ze Grands Gamins, Aborted, Voivod, Ufomammut, Get the Shot, Midnight, Incantation, Hate, The Vintage CaravanThe LazysBeheadedVampillia, Pensées Nocturnes et Third Meridian.

Mercredi 17 juillet 2019

Concours : Tu veux gagner ton pass Motocultor 2019 et profiter des 4 jours du festival avec Nofx, Marduk, Napalm Death, Fange, Magma, Watain ou encore Hypocrisy ? Tu peux tenter ta chance par ici.

Vendredi 17 mai 2019

Le Motocultor a dévoilé les derniers groupes de son édition 2019 : Trust, Turbonegro, Korpiklaani, Anathema, Solstafir1000mods, The Casualties, IncantationNot Scientists, Pensées Nocturnes et Fange.
L'affiche finale complète se dévoile par ici.

Mercredi 20 février 2019

Podcast : Pour ce 23ème cru YCKM (podcast metal qui aime l'extrême) va taper dans le coming out et la punition en s'attardant sur le dernier FangeAstronoid et une proposition faites par Twitter : Kaleikr.
Pour la playlist vous y retrouverez (entre autres) : MarécagesMount Saturn, Pantera, Perturbator, Slayer, Iron Reagan, Daughters, ...
Pour écouter ce podcast :
- En ligne
- En téléchargement le MP3
- iTunes
- Deezer
- Spotify
- Ou via flux RSS
Pour venir discuter de cet épisode direction Discord.

Samedi 02 février 2019

Punir, le nouveau Fange, s'écoute intégralement ici.

Lundi 21 janvier 2019

Punir est le prochain Fange. Artwork.

Samedi 23 juin 2018

Live Report : Il est tout chaud, tout frais, notre report du Hellfest.

Treizième année ! Et pour ma gueule treize à la suite, oui messieurs dames. Et que de chemin parcouru par ce festival ! C’est devenu un marronnier des débuts de report du Hellfest : mais quoi de neuf cette année ? L’orga' a mis le paquet sur les Mainstages en refaisant toute la déco des bords et du bar central, le tout avec derrière deux arches immenses qui balancent de l’eau, une en continu, l’autre en faisant des motifs ou en écrivant des choses avec l’eau (bonne idée quand il fait chaud !). Devant les Mainstages et la Warzone, on a désormais des pavés, fini la poussière ! Oui c’est démesuré, oui c’est fou, mais la gueule du site est dingue. Au bout de treize ans on peut dire “et la fontaine écrit des choses avec l’eau” avec un naturel et un côté désabusé.
Du côté de l’entrée du festival et son "Camden Town" version Hellfest, on trouve quand même plus étonnant de voir des stands bien éloignés du monde de la musique, comme une marque d’agroalimentaire à base de soja ou encore un assembleur / site de vente de PC. A t-on vraiment besoin de ça ? (c’est rhétorique hein)
Coté musical pour cette première journée il y avait une thématique “Hard Rock à papa” avec des groupes comme RoseTattoo, Timeline de Chris Slade, EuropeHollywood Vampires (avec Alice Cooper / Joe Perry d'Aerosmith et Johnny Depp, l’acteur bien connu de Rango ou Il était une fois au Mexique... Desperado 2), des groupes bien sous tout rapport : Converge / Meshuggah / A Perfect Circle, du Punk Rock comme Seven Hate, Burning Heads ou encore Bad Religion et un bel enchaînement Sludge avec du Crowbar / Eyehategod / Dopethrone / Corrosion Of Conformity.

Fange : Débarqués un peu à la bourre le temps de se garer, on admire tout de même une bonne moitié du set des Rennais, en forme et en jambes de bon matin. Les titres de Purge et Pourissoir se succèdent et cassent des nuques venues étonnamment nombreuses aussi tôt dans la journée. A croire que Fange s’est forgé une petite réputation mine de rien, et quand on voit le hurleur Matthias étaler ses tripes sur scène, on comprend mieux. Le rendu est un peu dégueu' mais l’exécution est au top. Le réveil idéal.

Bunkum : Première excursion sur la Warzone et première bonne mandale Punk Hardcore tendance Beatdown. On a encore les yeux qui collent et on se mange une bonne rafale de riffs plombés issus en partie de l'ep Crieres sorti en 2016, de quoi se réveiller convenablement, baignés d'un soleil déjà radieux. Bonne surprise et belle performance pour une Warzone bien mise en valeur cette année.

Darkenhöld : Il est toujours un peu étrange de commencer son Hellfest par du Black Metal. Surtout à midi. Quand bien même, les niçois de Darkenhöld ne sont pas présents dans le Grand Ouest tous les quatre matins et c’est tout de capes vêtus qu’ils nous accueillent sous la Temple pour leur Metal noir à ambiance médiévale et magique. Il faut dire que les claviers (samplés pour l’occasion) participent beaucoup à cette ambiance. Le son est bon, les guitares largement discernables, ce qui n’est pas un mal pour ce type de musique, porté par la voix de Cervantes en maître de cérémonie, très appréciable. Un groupe qui livre un bon set, fidèle à ce que peuvent donner leurs albums depuis dix ans.

Tesseract : Auteurs d’une musique "géométrique", aussi pachydermique que planante, les gars de Tesseract sont aussi carrés en live qu’en studio. Il est encore tôt, mais ça n’arrête pas les Anglais qui envoient du lourd, avec une précision chirurgicale et un son au top (on aurait pu avoir peur que le vent ait une mauvaise influence, mais le son de Tesseract est le plus fort). Côté setlist, les morceaux joués sont issus de One, d’Altered State, et du récent Sonder ; mais rien de Polaris. Dommage. Daniel Tompkins, entre deux mouvements à la Power Rangers, laisse une partie du chant growlé à son bassiste (bassiste qui est pieds nus pour accentuer sa ressemblance avec Steven Wilson), mais ne se prive pas lui-même en ce qui concerne les hurlements, notamment sur King qu’il dédicace à tous les musiciens du public. Un très bon concert d’un excellent groupe, malgré les quarante petites minutes de durée du set.

Dopethrone : Les québécois traînent enfin leurs pieds au Hellfest ! Et c’est peut être l’heure matinale qui les a perturbé mais on les a vu plus en forme, c’est mou, les inter-titres ne prennent pas et l’ensemble à un côté linéaire qui s’écoute, mais ne pousse pas à la folie. Pourtant le nouveau batteur a un jeu plus varié que l’ancien et sonne aussi plus métallique que par le passé. Mais rien à faire la sauce ne prend pas des masses. Dommage car en forme les trois là auraient retourné la Valley à une heure plus avancée.

Schammasch : Après une tournée aux côtés de Batushka en début d’année, le groupe Suisse revient se produire face à nous sous la tente de la Temple. Avec leur musique fleurant constamment à la frontière du Black Metal et des nervures les plus obscure du genre comme l’Ambiant.. En ressort un show sensoriel mais qui regorge de technicité. Malheureusement, le son qui n’est pas à leur avantage et les trois guitares, trop en retrait, n’aident pas à discerner toute la complexité de leur musique dans ces conditions. Mais passé ce contre-temps, la prestation se veut fort honorable et Schammasch reste un groupe à suivre pour ceux qui recherchent de la fraîcheur dans un genre parfois peu enclin aux prises de risques comme le démontre le triple album Triangle sorti en 2016, quelque part à mi-chemin entre Behemoth et Blut Aus Nord.

Sons Of Apollo : Le Hellfest 2018 est pour Sons Of Apollo l’occasion de faire son premier concert en Europe ! Le supergroupe ouvre sur le pavé God Of The Sun pour dix minutes de Prog mélodique de haute volée. Malheureusement, les claviers sont difficilement audibles et la guitare est un peu brouillonne. Le long solo de Ron "Bumblefoot" Thal sur Signs Of The Times sera néanmoins très propre. Quant aux claviers, eux vont fluctuer, tantôt trop forts et tantôt quasi-absents du mix, avant de trouver un bon compromis en milieu de set. Peut-être est-ce aussi la faute du vent qui balaye la zone devant les Mainstages ? Les autres instruments ont bien sûr leur mot à dire, à commencer par Billy Sheehan qui rajoute un petit solo de basse n’existant pas sur la version studio de Divine Addiction. Mike Portnoy est visiblement ravi d’être là, tout sourire derrière ses fûts (et son micro), pendant que son confrère ex Dream Theater, Derek Sherinian, semble plutôt blasé. Jeff Scott Soto est un bon frontman, charismatique et pas mal communicatif, qui fera même chanter une foule réceptive sur Coming Home.

Celeste : 14h20 à la montre, il est l’heure de prendre sa claque sous la Valley en compagnie de Celeste. Les lyonnais étant peu habitués à jouer sur des scènes de festival éclairés par la lumière du jour et ne pouvant pas délivrer l’aspect visuel que le groupe est censé montrer sur scène, il était intéressant de voir ce que le groupe allait nous proposer ici. Le résultat reste pourtant le même, à grand renfort de fumée, de stroboscopes et de lumières rouges vives, les musiciens, qui ont laissé tomber leurs lampes frontales, déroulent leur musique ultra oppressante sans fausse note. Le son est tellement lourd que l’on en oublierait les conditions dans lesquelles le combo se produit. Après l’apothéose atteinte durant D’Errances En Inimitiés, c’est le titre Ces Belles De Rêves Aux Verres Embués, extrait de Morte(s) Née(s), qui vient clore ce set. Il est temps de vite reprendre ses esprits, la journée est encore longue.

Seven Hate : En plein après-midi et en plein cagnard il est temps de se prendre une rasade de Punk à roulettes made in France, soit Seven Hate, nourri aux Pennywise, Comeback Kid et autre Bad Religion. Les poitevins exécutent proprement leurs classiques et font resurgir une certaine nostalgie chez les trentenaires du public. Et on n'oublie pas la petite pique nécessaire à notre président jupitérien. Pas de quoi casser trois pattes à un canard, mais suffisant pour maintenir le rythme d’une Warzone joliment agencée.

Rose Tattoo : Aïe Aïe Aïe ! J’y allais en espérant voir un petit Hard Rock sympa, version Australienne. Si le groupe est souvent comparé à AC/DC, en live c’est AC/DC en 12V. C’est atrocement mou, le chanteur manque de tonus et même si le groupe semble content d’être là, on se lasse vite.

Converge : Grands habitués de la Warzone du festival et de créneaux horaires de fin de journée, l’inquiétude était palpable à l’approche du set des américains sur la Mainstage 2 en pleine après-midi. Pourtant, peu importe l’horaire ni la scène où il joue, Converge met tout le monde d’accord avec une setlist qui fait la part belle au dernier album The Dusk In Us mais qui n’oublie pas les précédent de All We Love We Leave Behind jusqu’à Jane Doe avec Concubine qui vient clore ce court set d’une main de maître. Malheureusement quarante minutes c’est court et on n’aurait pas craché sur vingt minutes supplémentaire. Plus d’information à venir sur leur passage au Hellfest dans l’interview avec le chanteur Jacob Bannon que vous retrouverez sur le site dans les prochaines semaines.

Saor : Quel dommage. Quand tu vas voir un groupe de Black Metal Atmosphérique à tendance Pagan tu t’attends à que chaque instruments soient bien restitués sur scène, mais ici ça ne sera pas le cas. Sur les deux premiers titres on entend à peine les guitares, le violon surnage de manière dégueulasse et même si ça s’améliore au fils des titres, l’ensemble ne convainc jamais vraiment. La basse est beaucoup trop présente, cassant même parfois l’ambiance de certains titres, la voix est de bonne facture et la rythmique solide, mais sans guitares et et sans instruments traditionnels (pour certains samplés comme les flûtes) difficile de se mettre dedans. Très très dommage pour Saor car avec un meilleur son, les écossais auraient pu nous faire voyager d’une belle manière.

Meshuggah : Pantalons noirs unis, tshirts noirs unis, pas de blabla, pas de jeu de scène, ni même de headbanging. Sobre as fuck, peut-être, mais Meshuggah se rattrape sur l’exécution de ses compositions qui est tout bonnement parfaite. Pendant cinquante minutes, syncopes et saccades sont calées au micromètre. En revanche, l’affluence est étonnante (pour un groupe d’après-midi, et étonnamment bourrin pour une Mainstage) et on sera donc assez loin. A cette distance, le son Meshuggah nous arrive plus ou moins fort selon le vent, mais toujours aussi propre. Au deux-tiers du set, le colossal Bleed, que tout le monde reconnaît, vient finir de donner envie aux gens d’arracher des colonnes vertébrales. Mention spéciale pour l’ingé lumières, qui arrive à suivre les rythmiques incroyables sur les stroboscopes.

Demolition Hammer : Comment faire démarrer un circle-pit en cinq secondes chrono ? S’appeler Demolition Hammer, balancer Skull Fracturing Nightmare et avoir un parterre de Thrashers déjà conquis. Impressionnants sur album, les Américains ne faiblissent pas sur la vitesse qui est leur atout numéro 1. Slayer est rapide ? Haha, bonne blague. Entre les interventions micros brodées de "fuck", "fucking", "New-York", "motherfuckers", le batteur frappe comme l’éclair tandis que Steve Reynolds cale chaque syllabe sur la caisse claire. Avec quelques passages proches du Death, la cadence ne faiblit jamais, à tel point que la lecture des motifs Thrash Metal devient parfois ardue et connaître un tant soit peu les albums du groupe permet de mieux s’y retrouver dans la nuée infernale. Demolition Hammer est venu pour tout casser, c’est chose faite. Merci. Au revoir. Fuck. 
Crowbar : La grosse barbe proéminente de Kirk Windstein nous apparaît et pas seulement visuellement, puisque Crowbar empile les titres de qualité, qu’ils soient extraits du dernier album The Serpent Only Lies ou des classiques comme Broken Glass. Le rendu est bon et les riffs sonnent bien gras comme il se doit. Etrangement le public met un peu de temps à s’agglutiner, mais le quartet finit par le mettre dans sa poche en alignant une setlist qui en impose. What Else?

Uncommonmenfrommars : Shorts, t-shirts d’ados, casquettes à l’envers et chaussettes remontées, retour dans les années 90s pour les Uncommonmenfrommars. Grosse dose de bonne humeur avec le Punk Rock dynamique des frenchies qui semblent vraiment heureux d’être là. Ils en profitent pour placer une dédicace à leur compères Burning Heads (qui jouaient avant eux sur la même scène), en leur souhaitant un bon anniversaire pour leur 31 ans (« putain ils sont vieeeuuux », dixit les Uncommonmenfrommars).

Mysticum : Les précurseurs du Black Metal industriel reformé en 2011 nous font l'honneur de leur venue sous la Temple pour un set destructeur filant en ligne droite. Dr. Best, Prime Evil et Cerastes jouent à cinq mètres au dessus de la foule, tous les trois plantés comme des Y inversés sur de grandes plateforme. En arrière plan, un écran diffuse des imageries sataniques épileptiques. Impressionnant visuellement et musicalement. C'est froid répétitif et sans compromis, dicté par une boite à rythme pratiquement tout le temps calé sur le même tempo. On est à deux doigts pour que ça soit chiant à crever mais non, chez Mysticum ça fonctionne et ça détruit tout sur son passage.

Steven Wilson : Steven Wilson commence le concert à la basse, mais change rapidement son instrument pour une guitare (alors que Nick Beggs compense en passant au chapman stick en guise de basse). Après le premier titre, le Britannique annonce qu’une sélection de titres heavy seront joués, pour palier au fait qu’ils sont un des groupes les moins bourrins (Steven Wilson compare son groupe aux Abba du Hellfest !). C’est The Creator Had A Mastertape (de Porcupine Tree) qui est lancé dans la foulée, pour le plus grand plaisir des fans. Des titres de son ancien groupe, Sleep Together sera aussi joué en toute fin de set ; ainsi que des titres issus de plusieurs de ses albums solos. On notera l’originalité du frontman, qui présente non seulement son groupe, mais aussi une de ces guitares, nous expliquant qu’il est heureux de sa nouvelle acquisition, une Stratocaster de 1963, avant de jouer People Who Eat Darkness. Chaque titre est exécuté de façon parfaite. Pas de backdrop, mais un grand écran derrière le groupe, qui n’est malheureusement pas exploité sur chaque morceau.

Carnivore A.D. : Bizarrement Carnivore semble être tombé aux oubliettes. Pour rappel : le groupe a sorti deux albums dans les années 80 dans un style Crossover Thrash. Et au chant rien que moins que Peter Steele, futur leader de Type O Negative. Déjà à l’époque l’humour était noir et décalé (en témoigne le titre Jesus Hitler) et le groupe aura marqué le Crossover New-Yorkais. Là sur scène on a donc deux membres d’origines sur trois plus un bassiste / frontman qui physiquement ressemble à Steele (étrange).
Pour de ce qui est de la musique : c’est plutôt cool de pouvoir voir et entendre en vrai ce groupe mythique. Par contre ça a vieilli et même si on apprécier certains titres, une heure de set c'est longuet.

Church Of Misery : Line-up 100% nippon désormais pour Church Of Misery avec un Tatsu dont on peine encore à comprendre le jeu de basse, portée plus bas que Munky de Korn, et Hiroyuki, le chanteur, qui en fait des caisses visuellement. Et pourtant les mecs sont hyper bons, du genre à te faire groover comme rarement un Stoner / Doom assez classique mais imparable. Ce son chaud et groovy, ce gras chaleureux, cette voix envoûtante, tout est fait pour succomber au charmes des japonais. Et puis tu vois les mecs super contents d’être là, d’enflammer une Valley très réceptive à leur set. Tu demandes quoi de plus ?

Hollywood Vampires : J’avais préparé mon stock de vannes, j’étais prêt. Sauf à ce que Hollywood Vampires ne soit pas si mal. Alors attention, je n’ai pas dit que j’écouterai ça chez moi, non non, mais en live c’était très correct. En mêlant quelques compos et pas mal de reprises le groupe donne un concert de Rock / Hard Rock honnête, Alice Cooper change de registre (en reprenant du The Doors par exemple). Johnny Depp joue de la gratte, quand il est en rythmique ça passe, les solos c’est plus chaud (en face y’a Joe Perry tout de même), mais non il n’est pas ridicule. Les reprises sont bien foutues (The WhoThe Yardbirds / Mötorhead…). Donc il y aura eu Johnny Depp au Hellfest et mis à part se demander pourquoi un groupe qui a sorti deux titres originaux se retrouve tout en haut de l’affiche, c’était tout de même un bon moment.

Suffocation : Après s’être rempli la panse, quoi de mieux que de digérer pépère devant Suffo' ? Bon il faut avoir encore une petite place pour le dessert car la bande de New-York ne lésine pas à bourrer autant que possible. La crainte d’un son brouillon et trop synthétique n’était pas loin mais il n’en fut rien fort heureusement. Tout passe sans souci, même les soli sortent nets, quand ne s’abattent pas des riffs hyper-méchants. Et contrairement au groupe de Brutal Death Metal lambda, Suffocation fait un gros doigt à l’ennui en changeant de plan, de rythme toutes les 15/20 secondes (sans exagérer), de quoi surprendre suffisamment souvent. Sans être réservé qu’aux plus fins connaisseurs de leur discographie, Suffocation a de quoi plaire à tout amateur du genre, sans oublier les règles élémentaires de la politesse (un gentil et tout doux "thank you" du chanteur tous les deux titres après avoir growlé comme un ogre). Avec une part belle faite aux morceaux plus anciens (Infecting The Crypts, Liege Of Inveracity, Jesus Wept), les Américains ont retourné l’Altar sans aucune difficulté.

Eyehategod : Rien n’y fait, Eyehategod c’est les patrons du Sludge. En fait tout le monde le sait, mais tu peux seulement le comprendre une fois que tu les as vu sur scène. Genre force tranquille. Pas besoin d’en faire des tonnes. Déjà leur son parle pour eux : c’est gras, c’est fort, ça suinte et ça bastonne. Tout ce qu’on demande pour ce genre, donc. Puis Mike est très en forme vocalement, dégueulant sa haine avec puissance et justesse. C’est sans doute ça qui change depuis sa rémission, Eyehategod sonne plus juste, plus pro. Pas forcément qu’ils en aient quelque chose à branler, juste qu’ils le font pour eux et faut avouer que ça tape méchamment. Dans les riffs Stoner tellement au dessus de beaucoup groupes, dans le gras du Sludge méchant et noirâtre, ou alors dans les accélérations Hardcore qui laissent tout le monde sur le carreau. Bref, ce sont les patrons, c’est pas la peine de discuter.

Satyricon : «Allez, on va se poser au calme, c’est Therion qui va jouer et je m’en fous pas mal ». Horreur, enfer et damnation, voilà ce que c’est que d’être trop prévoyant et d’imprimer son running-order trop tôt. Satyricon a échangé son créneau avec les Suédois pour jouer en début de soirée pour laisser Therion conclure cette nuit de folie. Reste donc un bon quart d’heure après ce malheureux constat, durant lequel on pourra entendre la recette récente du groupe. Oubliez le Black Metal neigeux des années 90, là le tempo est bien plus standard (presque en sous-régime parfois) sur lequel se colle un riffing légèrement BM teinté Rock. Le genre de mélodies pas loin d’Inquisition, qui glissent sur le manche et fonctionnent pas si mal, mais difficile de juger beaucoup plus vu le peu de morceaux auxquels nous avons assisté.

Bad Religion : L’un des groupes culte du Punk Hardcore ricain s’expose sur la Zone de Guerre et met tout le monde d’accord, via un set énergique et calibré. Voilà le tableau : c’est propre, parfaitement aligné, mais ça manque d’une spontanéité inhérente au genre. Il faut dire que les gaziers ne sont pas tous jeunes et on peut toutefois reconnaître leur précision conservée malgré le poids des années. Le public est ravi et enthousiaste, prêt à en découdre. Un circle pit s’est même formé pour l’occasion, ne soulevant pas tellement de poussière puisque le sol en face de la scène est désormais pavé. On a parfois l’impression d’entendre les albums en live, sans surprise, on pouvait en attendre mieux malgré la performance.

Judas Priest : Ces dernières années, il était encore possible de se questionner sur l’intérêt que Judas Priest revienne se produire au Hellfest. C’était sans compter la sortie de leur nouvel album Firepower cette année, d’une qualité qui force le respect. L’attente était donc grande pour ce concert des anglais en tête d’affiche. Au-delà de l’aspect visuel du show qui se balade en permanence entre le kitsch Turbo Lover et du spectacle impressionnant pour les yeux, pour les oreilles on aura droit à des musiciens en très grande forme. Le temps file aussi vite que Rob Halford change ses tenues au cours du concert jusqu’à cette fameuse arrivée sur scène roulant sur une Harley-Davidson pour le Hell Bent For Leather. Living After Midnight vient clore le tout et l’on ressort de cette heure et demie avec des tubes plein la tête, de Grinder à Painkiller en passant par Breaking The Law et You've Got Another Thing Comin'. Judas Priest a clairement assuré !
Napalm Death : Les barons de Birmingham sont de retour sous l’Altar cette année encore, après avoir fraîchement sorti Coded Smears And More Uncommon Slurs dont on entendra un bout durant le set. Napalm Death joue à la maison et le fait bien sentir dans les tirades de Barney. Ce dernier entame dès le premier morceau son habituel jogging démantibulé autour de la scène en beuglant dans son micro avec la maîtrise qu’on lui connaît. S’il faut être tatillon (oui, "tatillon", j’ai le droit), on pourra arguer que le son était un peu moins propre qu’en 2016, avec des guitares légèrement plus floues. Mais c’est vraiment pour pinailler, car Napalm Death ne manque pas à sa réputation de chauffeur de salle et livre un show sans bavure, avec les incontournables (You SufferNazi Punks Fuck Off) et les offrandes plus récentes (Smash A Single Digit).

Corrosion Of Conformity : À minuit tapante les papas du Southern Metal aspergent la Valley de leur classe intemporelle, les mecs sont toujours pleins de ressources pour contenter un auditoire déjà conquis à cette heure-là. Un bon aperçu de la discographie est exposée, de Eye For An Eye à No Cross No Crown le dernier long en date et ma foi ce fut peut-être le plus clair rendu sous la tente en ce vendredi. Limpide et sans fioritures, le quartet a déroulé et assommé un auditoire en fin de journée, étalant un set efficace et pas vraiment surprenant. On ne s’attendait pas à mieux à vrai dire. C’est validé.

A Perfect Circle : Quatorze ans. L’attente aura été conséquente depuis le dernier passage français d’A Perfect Circle au Zénith de Paris en 2004. Venant en terre clissonnaise pour défendre album Eat The Elephant leur quatrième album (enfin !), le groupe ne s’est pas fait prier et a foulé la Mainstage 2 à l’instant où Judas Priest faisait retentir l’ultime note de leur concert. Progressant toujours dans l’ombre des lumières tamisées, c’est un véritable plaisir de retrouver Maynard James Keenan aux côtés de Billy Howerdel face à nous, plaisir partagé qui plus est d’après ses propres dires. Faisant la part belle à leur dernier album, certains morceaux d’Eat The Elephant atteignent un niveau de sublime sur scène que l’album seul n’atteint pas, ajouter à cela quelques passages par Mer De Noms et Thirteenth Step ainsi qu’une reprise de Dog Eat Dog en mémoire à Malcolm Young (AC/DC) et vous obtiendrez un des meilleurs concerts de cette première journée de festival. Par ailleurs, le groupe a également annoncé une nouvelle qui ravira tous les déçus qui n’ont pas pu saisir leur précieux sésame pour le concert à l’Olympia mardi : - A Perfect Circle reviendra au Zénith de Paris le 6 décembre prochain.

Rise Against : Un option intéressante pour se finir en ce vendredi sur la Warzone, Rise Against, qui mettait naturellement leur dernier album Wolves en avant. Soit une ribambelle de titres plus ou moins aseptisés, plus ou moins typés keupon hardcore 90’. Un set qui nous empêchera pas de taper du pied mais qui ne nous portera pas au-delà des cimes. Les Chicagoans ont fait ce qu’on attendait d’eux, ni plus ni moins. On pouvait néanmoins espérer davantage d’audace dans ce contexte.

Top 3 vendredi :
Bacteries : ConvergeMysticum - Crowbar
Chazo : MeshuggahMysticum - Svinkels
Pentacle : Eyehategod - Church Of Misery - Celeste
Skaldmax : Suffocation - Church Of MiseryDemolition Hammer
Tang : Converge - Corrosion Of Conformity - Fange
Zbrlah : Steven Wilson - Tesseract - A Perfect Circle
Meo : Church Of Misery - Eyehategod - Fange
Florian : A Perfect Circle - Bad Religion - Steven Wilson
Nonohate : Celeste - A Perfect Circle - Steven Wilson

Jeudi 10 mai 2018

Necrodancer a mis en images le titre The Inquisition (avec Matthias de Fange), pour le clip c'est avec des extraits de Vij (film d'horreur soviétique).

Vendredi 09 mars 2018

Cvltnation a mis en ligne des reprises de Black Flag. Au menu, on retrouve FangeNo FuneralDisrottedSkincarver, ...

Samedi 10 février 2018

Du 9 au 17 février, Fange (sludge/noise - Rennes) et Pilori (blackened crust - Rouen) seront en tournée ensemble, principalement sur les routes d'Europe de l'Est.
* 09/02/18 : Amsterdam, NL @ Vrankrijk
* 10/02/18 : Berlin, Ger. @ Noise Testament Fest
* 11/02/18 : Wroclaw, Pol. @ D.K. Luksus
* 12/02/18 : Praha, CZ @ Eternia Smichov
* 13/02/18 : Brno, CZ @ m13 klub
* 14/02/18 : Vienna, Aus. @ Venster 99
* 15/02/18 : Feldkirch, Aus. @ Graf Hugo Keller
* 16/02/18 : Geneva, Swi. @ La Makhno
* 17/02/18 : Strasbourg, Fr. @ Le Diamant d'or

Dimanche 14 janvier 2018

Du 9 au 17 février, Fange (sludge/noise - Rennes) et Pilori (blackened crust - Rouen) seront en tournée ensemble, principalement sur les routes d'Europe de l'Est.
* 09/02/18 : Amsterdam, NL @ Vrankrijk
* 10/02/18 : Berlin, Ger. @ Noise Testament 2018 ⊙ turn offtune outdrop dead
* 11/02/18 : Wroclaw, Pol. @ D.K. Luksus
* 12/02/18 : Praha, CZ @ Fatal music club
* 13/02/18 : Brno, CZ @ m13 klub
* 14/02/18 : Vienna, Aus. @ Venster 99
* 15/02/18 : Feldkirch, Aus. @ Graf Hugo Keller
* 16/02/18 : Geneva, Swi. @ La Makhno
* 17/02/18 : Strasbourg, Fr. @ Le Diamant d'or

Dimanche 10 décembre 2017

Il n'y a pas que Fange qui cherche un batteur, Point Mort (Paris, lovecore, pour fans d'Oathbreaker, Converge, Cult of luna...) est également en quête d'un batteur. Toutes les infos par ici.

Mercredi 06 décembre 2017

Amis batteurs du Grand Ouest, Fange est à la recherche de quelqu'un pour marteler des fûts. Plus de détails sur la page facebook du groupe. 

Vendredi 27 octobre 2017

Déjà un an !
Le 27 octobre 2016, La Scène Michelet avait tremblé de bonheur, de sueur et de décibels, au défilé de grosses vibrations par Fange, Grime, Fistula et Dopethrone.
Ouai, Nantes, tu avais été bien servie à cette Stoned Orgies quand même, on peut le dire. [pics by Meo here]

Mardi 17 octobre 2017

Fange, Ddent et Atavisma seront en concert au Mondo Bizarro de Rennes le 19 novembre. Event FB.

Mardi 01 août 2017

Il y a un an précisément, Fange et Dopethrone venaient détruire le Ferrailleur à grands coups de bûches grasses. C'était efficace, c'était une Stoned Orgies, et la galerie souvenir est .

Mercredi 05 avril 2017

Comity (Extreme Post Hardcore - Paris) reprend du service et part en mini-tour à la fin du mois d'avril, avec notamment une date à Rennes (Mondo Bizarro) le 27/04 avec Birds in Row et Fange, puis deux dates en compagnie de Pilori (crust/grind - Rouen) à Rouen (Hipster Café, le 28/04) et à Lille (Le Modjo, le 29/04).

Lundi 03 avril 2017

Pourrissoir, le nouvel album de Fange, vient de sortir et il s'écoute en intégralité sur le Bandcamp du groupe. 

Vendredi 03 mars 2017

Fange lâche le titre "Agapes", issu de l'album Pourrissoir, à paraître le 17 mars chez Throatruiner Records et Lost Pilgrims Records. Le groupe défendra son méfait le 16 avril à Paris au Glad Stone Fest en compagnie de Hangman's Chair, CowardsWolvennest et le 27 avril à Rennes au Mondo Bizarro avec Birds In Row et Comity

Fange

Style : Sludge / Noise
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Origine : France
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