logo Dark The Suns

Biographie

Dark The Suns

Mikko Ojala lance Dark The Suns en tant que projet solo en 2005. Après une démo qui rencontre un certain succès, il déménage, recrute Inka Tuomaala (Basse), Markus Lehtinen (Batterie) Juha Kokkonen (Claviers / Guitare) et Toni Tuomioja (Guitare) et Eliisa Tuomanen (Chant) et sort In Darkness Comes Beauty entre Doom-Death et Death-Mélodique chez Firebox Records, fin 2007.
Quelques changement de line-up surviennent en 2008. Toni Tuomioja quitte Dark The Suns, puis Eino Kauppila et Pinja Haikala remplacent respectivement Markus et Juha à leurs postes avant que ce dernier réintègre le groupe en tant que second guitariste. Ainsi, Dark The Suns enregistre plusieurs nouveaux morceaux compris sur deux singles et un ep (The Dead End) qui annoncent le futur album, All Ends In Silence qui sort en 2009 toujours chez Firebox Records.
Markus Lehtinen revient également dans le groupe en tant que batteur fin 2009 alors qu'un nouvel opus est d’ores et déjà sur les rails.

Chronique

7 / 20
1 commentaire (12/20).
logo amazon

In Darkness Comes Beauty ( 2007 )

  Bon, un groupe de Death mélo finlandais signé chez Firebox, c’est le genre de trucs qui ne choquent pas, bien installés dans les mœurs, vus et revus. On sait comment ça doit sonner, on connaît les arrangements, la prod, les influences gothico-romantiques éculées, et tout le (maigre) reste. Et bien Dark the Suns, c’est ça.

Déjà qu’avec le patronyme, le nom de l’album et l’artwork, il était difficile d’espérer une bonne surprise, autant dire qu’avec les a priori susmentionnés c’était couru d’avance : il n’y a rien dans ce disque. D’accord c’est chiadé, bien fait, agréable… mais ça n’éveille pas une once d’intérêt pour qui a dépassé sa période ado boutonneux en pleine crise, révolté contre le système, trop dark pour ce monde, et puis lol quoi.

Sur ce In Darkness Comes Beauty, tout est cliché, tout est calibré pour plaire au plus grand nombre, preuve en est ce thème de claviers horripilant qui revient sur chaque (!) chanson, donnant ainsi l’impression que le disque n’est constitué que d’un catalogue de singles, voire d’une seule et même piste répétitive à mourir, avec toujours le même chant, les mêmes paroles ridicules, la même (absence d’) atmosphère... Ok la thématique du néant est fascinante, mais lorsque que l'on se trouve confronté à un morceau de rien... bref vous avez compris.

Un joli raté donc que ce disque. Dark the Suns aurait intérêt à se trouver une personnalité pour s’extirper du marasme d’une scène en mal de renouveau. Remarque, de toute façon ça va marcher partout, alors…

Tracklist: 01. Reflections, 02. The Sleeping Beauty, 03. Black Sun, 04. Alone, 05. A Darkness to Drown in, 06. Angel Soul, 07. Drama for Gods, 08. Ghost Bridges, 09. Like Angels and Demons, 10. Away

A écouter : Heu...