Corporation 187 avec son thrash teinté de death mélodique... Les 11 pistes qui composent ce Newcomers of Sin se veulent toutes dans cette veine, aussi sombre que... Un ange sombre, déchu par le péché, succombant aux affres de l’enfer proposé par Corporation 187...
La voix, criarde, agressive mais ô combien peu originale ni marquante pour un sou, se veut proche de ... Elle se rapproche du chant hurlé de Bleed The Sky, avec ce timbre hurlé mais ... Peu variée, elle reste dans les mêmes tonalités tout au long des 11 pistes, ajoutant un sentiment de monotonie à ce disque que l’on peut ressentir comme une ...
Musicalement, on a droit à des compositions parfaitement maitrisées, mais prévisibles... Le solo bien placé, le refrain efficace et accrocheur … Certes, les morceaux sont exécutés avec un talent notable, mais le manque d’inspiration se fait sentir à la longue et pèse sur ... La batterie use et abuse de la double pédale, le plus souvent placées aux endroits propices, sans excès et sans ... La basse, trop peu présente, aurait offert un renfort plus que nécessaire, les guitares n’arrivant pas à former un son suffisamment … Les suédois bénéficient d’une prod collant parfaitement à l’ambiance dégagée par les premières ... Belliqueuse, sombre, elle rend chaque note stridente, peut être trop pour ...
Corporation 187 arrive cependant à offrir, lors de l’écoute de ce Newcomers of Sin, quelques moments intéressants, au-delà du fait d’être ... Virus Nation et son chant appuyé par la batterie martelée, tentant de faire passer de force les ... On pourra aussi noter l’instrumentale Procession, vent frais de ce .... Elle se démarque par ce coté plus lent, plus aéré, permettant à l’auditeur de souffler de la haine dégagée ...
Au final, l’album s’écoute, mais rien n’en ressort... Certes c’est violent, bien maitrisé, mais aucun passage ne... Si vous voulez découvrir un groupe et passer du bon temps, vous pouvez tendre une oreille sur ce Newcomers Of Sin, mais si vous voulez …
Vous trouverez en commentaire la chronique complète de lalbum de Corporation 187. Lexplication de cette chronique tronquée est simple : le label nous a fait parvenir une version de lalbum où chaque chanson sest vue amputée des 45 dernières secondes, ce dans un souci tout à fait louable de lutte contre le piratage. Cependant, estimant ne pouvoir excercer notre passion de chroniqueur, nous avons décidé de supprimer les fins de phrase de cette version de la chronique, afin de protester (humoristiquement) contre ce phénomène. Mais ne voulant priver le lecteur par la simple faute du label, cette chronique est disponible en ENTIER en commentaire
Bonne lecture et à
A écouter : En Entier ?