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Samedi 03 juin 2023
Voici l'affiche complète du Brutal Assaut qui se déroulera du 9 au 12 août à la Fortress Josefov en République-Tchèque : Anthrax, Meshuggah, Heilung, Sepultura, In Flames, Dismember, Trivium, Sodom, Beartooth, Hypocrisy, Obituary, Watain, Carpenter Brut, Overkill, Biohazard, Marduk, Perturbator, Terror, Napalm Death, Agnostic Front, Dying Fetus, Deicide, Converge, 1914, Abbie Falls, Adacta, Anaal Nathrakh, Angelus Apatrida, Archspire, Artificial Brain, Aura Noir, Be'lakor, Bell Witch, Benediction, Birds In Row, Bleed From Within, Borknagar, Brand Of Sacrifice, Cabal, Caligula's Horse, Capra, Car Bomb, Carach Angren, Catastrofy, Church Of Misery, Church Of The Cosmic Skull, Cobra The Impaler, Coffin Feeder, Concrete Winds, Crippled Black Phoenix, Crippled Fingers, Crisix, Cro-Mags, Crowbar, Cult Of Fire, Cult Of Luna, Death Before Dishonor, Demonical, Dödsrit, Downset, Enslaved, Evildead, Exciter, Extinction A.D., Eyehategod, Feastem, Fit For An Autopsy, Forgotten Silence, Gang Green, Gatecreeper, Get The Shot, Gorgoroth, Grave Miasma, Heaven Shall Burn, Heaving Earth, Horskh, Hypnos, I Am Morbid, Immolation, Infected Rain, Ingested, Innersphere, Insanity Alert, Ithaca, Kataklysm, Knocked Loose, Konvent, Krisiun, Kukokuma, Lamp Of Murmuur, Lionheart, Llnn, Malevolence, Mantar, Maybeshewill, Messa, Miasmatic Necrosis, Midnight, Misþyrming, Moonspell, Mork, Nero Di Marte, Nile, Nordjevel, Obsidious, Omnium Gatherum, Orbit Culture, Pensées Nocturnes, Possessed, Profetus, Russian Circles, Sacramentum, Saturnus, Shadow Of Intent, Signs Of The Swarm, Sijjin, Skinless, Slapshot, Solothus, Spectral Wound, Spy, Suicidal Angels, The Callous Daoboys, The Ocean, Tribulation, Volumes, While She Sleeps, White Ward, Wiegedood, Within Destruction, Wolfheart et Zeal And Ardor. Event FB / Billetterie.
Jeudi 02 mars 2023
De nouveaux noms s'ajoutent à la programmation du Motocultor 2023 (Event FB / Billetterie) : Jeudi 17 août : A.A. Williams, Angelus Apatrida, Burning Witches, Hatebreed, Royal Republic, Ugly Kid Joe, Warbringer, Wolfmother Vendredi 18 août : Arka'n Asrafokor, Boisson Divine, Esthesis, Haken, Health, Luc Arbogast, Napalm Death, Uuhai, Vio-Lence Samedi 19 août : Brutal Sphincter, Bullet For My Valentine, Pénitence Onirique, Sylvaine, The Toy Dolls Dimanche 20 août : Cave In, Church Of Misery, Crowbar, Dieth, Elder, Eyehategod, Heart Attack, Kabbalah, Nostromo, Orpheum Black, Soen
Mardi 13 décembre 2022
Le Sonic Blast vient de dévoiler une partie de sa programmation. Le festival aura lieu le 10, 11 et 12 août à Angora au Portugal. Sont annoncés : Off!, Acid King, A Place To Bury Strangers, Earthless, Kadavar, Elder, Eyehategod, Death Valley Girls, Church Of Misery, Frankie And The Witch Fingers, Weedpecker, Mondo Generator, Naxatras, Kanaan, Black Rainbows, Acid Mammoth, Monarch, Spirit Mother et El Altar Del Holocausto. Billetterie.
Mardi 12 juillet 2022
Church Of Misery a annoncé que l'enregistrement d'un nouvel album débutait cet été, pour sortir ensuite chez Rise Above Records. Ca fait six ans depuis la sortie de And Then There Were None. L'album comprendra six nouveaux morceaux et une reprise.
Vendredi 29 janvier 2021
Les sorties du jour : - Soen (Metal Progressif), un titre - Accept (Speed Metal), écouter - Tribulation (Black / Death), écouter - The Body (Doom / Drone), bandcamp
- Bad Rabbits (Soul, Funk, Indie; EP de reprises avec du Deftones, Smashing Pumpkins, Rihanna, ...), une reprise de Deftones. - Black&Damned (Heavy Power), un clip - Counterpunch (Skate Punk), bandcamp - Crowned in Sorrow (Doom Death), bandcamp - Demon Heads (Rock Oculte, Danemark), bandcamp - Eximperituserqethhzebibšiptugakkathšulweliarzaxułum (Death Metal), bandcamp - Grey Daze (Rock), bandcamp - Hån (Black, Suisse), bandcamp - Harakiri For The Sky (Black Metal / Post Rock), un clip avec Neige de Alcest. Décalé au 19 février. - Lorem Ipsum (Screamo), notre actuel album du moment, bandcamp. - Oceana (Prog, Italie), écouter - Portrayal Of Guilt (Black / Hardcore / Screamo), bandcamp - Rezet (Thrash, Allemagne), un clip - Sombre Présage (Black / DSBM, France), écouter - Sonic Flower (rock 70's, avec des membres de Church Of Misery), bandcamp - Speedkiller (Thrash / Black, Brésil), un titre - Steven Wilson (Progressif), un clip - Storm Seeker (Folk Metal), un clip - The Michael Schenker Group (Hard-Rock - UK), une vidéo - Trial (Rock Oculte, Suède), un teaser - Trillionaire (Rock Prog / Metal, avec des membres de KEN Mode, Revocation, Inter Arma), bandcamp - Weezer (Emo Pop), un titre - Werewolves (Death Metal technique - Australie), écouter - Wowod (Post Metal, Russie), bandcamp - Wrathrone (Death / Death'n Rock), écouter
Jeudi 05 novembre 2020
Sonic Flower (rock 70's, avec des membres de Church Of Misery) est de nouveau actif, une réédition de leur album éponyme va avoir lieu le 22 janvier, et un nouvel album verra le jour le 29 janvier (il aura pour titre Sonic Flower Rides Again).
Lundi 02 novembre 2020
La période est un peu morose et vous avez besoin de vous détendre, de prendre soin de vous et d'oublier le monde (ou ce qu'il en reste) qui nous entoure ? Cette semaine Saccage sert les dents et vous propose une sélection radieuse et optimiste pour voir le vie du bon du coté avec Church Of Misery, Turtle Skull, Motorhead, Causa Sui, Molassess ou encore Wo Fat. Le podcast est dispo de suite en ligne, en flux RSS, sur Spotify, Deezer, ou vos applis de podcast en cherchant Saccage ou Metalorgie. Bonne écoute et prenez soin de vous !
Jeudi 11 juillet 2019
Le Deserfest Belgique a annoncé de nouveaux noms : Zeal And Ardor, Dopelord et Lo-Pan (qui viennent rejoindre une belle affiché avec Sleep, Pelican, Eyehategod, Bongripper, Church Of Misery, Sunnata, Black Pyramid, Inter Arma, ASG, High Reeper, ...).
Lundi 19 novembre 2018
Skull Pit (duo composé de Mem V. Stein (Exumer) et Tatsu Mikami (Church Of Misery) a sortit il y a deux jours son premier album éponyme via Metal Blade Records. C'est en écoute intégrale sur Spotify.
Mercredi 07 novembre 2018
Jeudi 25 octobre 2018
Skull Pit (duo composé de Mem V. Stein (Exumer) et Tatsu Mikami (Church Of Misery) dévoile un nouveau morceau, Marauders, issu de l'album éponyme qui est prévu pour le 16 novembre chez Metal Blade Records.
Mercredi 26 septembre 2018
Skull Pit (duo composé de Mem V. Stein (Exumer) et Tatsu Mikami (Church Of Misery) vient de dévoiler un clip pour Fire Breather issu de leur premier album, éponyme, qui sortira le 16 novembre chez Metal Blade Records.
Jeudi 28 juin 2018
Skull Pit (duo composé de Mem V. Stein (Exumer) et Tatsu Mikami (Church Of Misery)) vient de signer chez Metal Blade Records pour un premier album qui sortira cet hiver qui sera orienté Heavy Metal / Hard-Rock 70's.
Samedi 23 juin 2018
Live Report : Il est tout chaud, tout frais, notre report du Hellfest.
Treizième année ! Et pour ma gueule treize à la suite, oui messieurs dames. Et que de chemin parcouru par ce festival !
C’est devenu un marronnier des débuts de report du Hellfest : mais quoi de neuf cette année ? L’orga' a mis le paquet sur les Mainstages en refaisant toute la déco des bords et du bar central, le tout avec derrière deux arches immenses qui balancent de l’eau, une en continu, l’autre en faisant des motifs ou en écrivant des choses avec l’eau (bonne idée quand il fait chaud !). Devant les Mainstages et la Warzone, on a désormais des pavés, fini la poussière ! Oui c’est démesuré, oui c’est fou, mais la gueule du site est dingue. Au bout de treize ans on peut dire “et la fontaine écrit des choses avec l’eau” avec un naturel et un côté désabusé.
Du côté de l’entrée du festival et son "Camden Town" version Hellfest, on trouve quand même plus étonnant de voir des stands bien éloignés du monde de la musique, comme une marque d’agroalimentaire à base de soja ou encore un assembleur / site de vente de PC. A t-on vraiment besoin de ça ? (c’est rhétorique hein)
Coté musical pour cette première journée il y avait une thématique “Hard Rock à papa” avec des groupes comme RoseTattoo, Timeline de Chris Slade, Europe, Hollywood Vampires (avec Alice Cooper / Joe Perry d'Aerosmith et Johnny Depp, l’acteur bien connu de Rango ou Il était une fois au Mexique... Desperado 2), des groupes bien sous tout rapport : Converge / Meshuggah / A Perfect Circle, du Punk Rock comme Seven Hate, Burning Heads ou encore Bad Religion et un bel enchaînement Sludge avec du Crowbar / Eyehategod / Dopethrone / Corrosion Of Conformity.
Fange : Débarqués un peu à la bourre le temps de se garer, on admire tout de même une bonne moitié du set des Rennais, en forme et en jambes de bon matin. Les titres de Purge et Pourissoir se succèdent et cassent des nuques venues étonnamment nombreuses aussi tôt dans la journée. A croire que Fange s’est forgé une petite réputation mine de rien, et quand on voit le hurleur Matthias étaler ses tripes sur scène, on comprend mieux. Le rendu est un peu dégueu' mais l’exécution est au top. Le réveil idéal.
Bunkum : Première excursion sur la Warzone et première bonne mandale Punk Hardcore tendance Beatdown. On a encore les yeux qui collent et on se mange une bonne rafale de riffs plombés issus en partie de l'ep Crieres sorti en 2016, de quoi se réveiller convenablement, baignés d'un soleil déjà radieux. Bonne surprise et belle performance pour une Warzone bien mise en valeur cette année.
Darkenhöld : Il est toujours un peu étrange de commencer son Hellfest par du Black Metal. Surtout à midi. Quand bien même, les niçois de Darkenhöld ne sont pas présents dans le Grand Ouest tous les quatre matins et c’est tout de capes vêtus qu’ils nous accueillent sous la Temple pour leur Metal noir à ambiance médiévale et magique. Il faut dire que les claviers (samplés pour l’occasion) participent beaucoup à cette ambiance. Le son est bon, les guitares largement discernables, ce qui n’est pas un mal pour ce type de musique, porté par la voix de Cervantes en maître de cérémonie, très appréciable. Un groupe qui livre un bon set, fidèle à ce que peuvent donner leurs albums depuis dix ans.
Tesseract : Auteurs d’une musique "géométrique", aussi pachydermique que planante, les gars de Tesseract sont aussi carrés en live qu’en studio. Il est encore tôt, mais ça n’arrête pas les Anglais qui envoient du lourd, avec une précision chirurgicale et un son au top (on aurait pu avoir peur que le vent ait une mauvaise influence, mais le son de Tesseract est le plus fort). Côté setlist, les morceaux joués sont issus de One, d’Altered State, et du récent Sonder ; mais rien de Polaris. Dommage. Daniel Tompkins, entre deux mouvements à la Power Rangers, laisse une partie du chant growlé à son bassiste (bassiste qui est pieds nus pour accentuer sa ressemblance avec Steven Wilson), mais ne se prive pas lui-même en ce qui concerne les hurlements, notamment sur King qu’il dédicace à tous les musiciens du public. Un très bon concert d’un excellent groupe, malgré les quarante petites minutes de durée du set.
Dopethrone : Les québécois traînent enfin leurs pieds au Hellfest ! Et c’est peut être l’heure matinale qui les a perturbé mais on les a vu plus en forme, c’est mou, les inter-titres ne prennent pas et l’ensemble à un côté linéaire qui s’écoute, mais ne pousse pas à la folie. Pourtant le nouveau batteur a un jeu plus varié que l’ancien et sonne aussi plus métallique que par le passé. Mais rien à faire la sauce ne prend pas des masses. Dommage car en forme les trois là auraient retourné la Valley à une heure plus avancée.
Schammasch : Après une tournée aux côtés de Batushka en début d’année, le groupe Suisse revient se produire face à nous sous la tente de la Temple. Avec leur musique fleurant constamment à la frontière du Black Metal et des nervures les plus obscure du genre comme l’Ambiant.. En ressort un show sensoriel mais qui regorge de technicité. Malheureusement, le son qui n’est pas à leur avantage et les trois guitares, trop en retrait, n’aident pas à discerner toute la complexité de leur musique dans ces conditions. Mais passé ce contre-temps, la prestation se veut fort honorable et Schammasch reste un groupe à suivre pour ceux qui recherchent de la fraîcheur dans un genre parfois peu enclin aux prises de risques comme le démontre le triple album Triangle sorti en 2016, quelque part à mi-chemin entre Behemoth et Blut Aus Nord.
Sons Of Apollo : Le Hellfest 2018 est pour Sons Of Apollo l’occasion de faire son premier concert en Europe ! Le supergroupe ouvre sur le pavé God Of The Sun pour dix minutes de Prog mélodique de haute volée. Malheureusement, les claviers sont difficilement audibles et la guitare est un peu brouillonne. Le long solo de Ron "Bumblefoot" Thal sur Signs Of The Times sera néanmoins très propre. Quant aux claviers, eux vont fluctuer, tantôt trop forts et tantôt quasi-absents du mix, avant de trouver un bon compromis en milieu de set. Peut-être est-ce aussi la faute du vent qui balaye la zone devant les Mainstages ? Les autres instruments ont bien sûr leur mot à dire, à commencer par Billy Sheehan qui rajoute un petit solo de basse n’existant pas sur la version studio de Divine Addiction. Mike Portnoy est visiblement ravi d’être là, tout sourire derrière ses fûts (et son micro), pendant que son confrère ex Dream Theater, Derek Sherinian, semble plutôt blasé. Jeff Scott Soto est un bon frontman, charismatique et pas mal communicatif, qui fera même chanter une foule réceptive sur Coming Home.
Celeste : 14h20 à la montre, il est l’heure de prendre sa claque sous la Valley en compagnie de Celeste. Les lyonnais étant peu habitués à jouer sur des scènes de festival éclairés par la lumière du jour et ne pouvant pas délivrer l’aspect visuel que le groupe est censé montrer sur scène, il était intéressant de voir ce que le groupe allait nous proposer ici. Le résultat reste pourtant le même, à grand renfort de fumée, de stroboscopes et de lumières rouges vives, les musiciens, qui ont laissé tomber leurs lampes frontales, déroulent leur musique ultra oppressante sans fausse note. Le son est tellement lourd que l’on en oublierait les conditions dans lesquelles le combo se produit. Après l’apothéose atteinte durant D’Errances En Inimitiés, c’est le titre Ces Belles De Rêves Aux Verres Embués, extrait de Morte(s) Née(s), qui vient clore ce set. Il est temps de vite reprendre ses esprits, la journée est encore longue.
Seven Hate : En plein après-midi et en plein cagnard il est temps de se prendre une rasade de Punk à roulettes made in France, soit Seven Hate, nourri aux Pennywise, Comeback Kid et autre Bad Religion. Les poitevins exécutent proprement leurs classiques et font resurgir une certaine nostalgie chez les trentenaires du public. Et on n'oublie pas la petite pique nécessaire à notre président jupitérien. Pas de quoi casser trois pattes à un canard, mais suffisant pour maintenir le rythme d’une Warzone joliment agencée.
Rose Tattoo : Aïe Aïe Aïe ! J’y allais en espérant voir un petit Hard Rock sympa, version Australienne. Si le groupe est souvent comparé à AC/DC, en live c’est AC/DC en 12V. C’est atrocement mou, le chanteur manque de tonus et même si le groupe semble content d’être là, on se lasse vite.
Converge : Grands habitués de la Warzone du festival et de créneaux horaires de fin de journée, l’inquiétude était palpable à l’approche du set des américains sur la Mainstage 2 en pleine après-midi. Pourtant, peu importe l’horaire ni la scène où il joue, Converge met tout le monde d’accord avec une setlist qui fait la part belle au dernier album The Dusk In Us mais qui n’oublie pas les précédent de All We Love We Leave Behind jusqu’à Jane Doe avec Concubine qui vient clore ce court set d’une main de maître. Malheureusement quarante minutes c’est court et on n’aurait pas craché sur vingt minutes supplémentaire. Plus d’information à venir sur leur passage au Hellfest dans l’interview avec le chanteur Jacob Bannon que vous retrouverez sur le site dans les prochaines semaines.
Saor : Quel dommage. Quand tu vas voir un groupe de Black Metal Atmosphérique à tendance Pagan tu t’attends à que chaque instruments soient bien restitués sur scène, mais ici ça ne sera pas le cas. Sur les deux premiers titres on entend à peine les guitares, le violon surnage de manière dégueulasse et même si ça s’améliore au fils des titres, l’ensemble ne convainc jamais vraiment. La basse est beaucoup trop présente, cassant même parfois l’ambiance de certains titres, la voix est de bonne facture et la rythmique solide, mais sans guitares et et sans instruments traditionnels (pour certains samplés comme les flûtes) difficile de se mettre dedans. Très très dommage pour Saor car avec un meilleur son, les écossais auraient pu nous faire voyager d’une belle manière.
Meshuggah : Pantalons noirs unis, tshirts noirs unis, pas de blabla, pas de jeu de scène, ni même de headbanging. Sobre as fuck, peut-être, mais Meshuggah se rattrape sur l’exécution de ses compositions qui est tout bonnement parfaite. Pendant cinquante minutes, syncopes et saccades sont calées au micromètre. En revanche, l’affluence est étonnante (pour un groupe d’après-midi, et étonnamment bourrin pour une Mainstage) et on sera donc assez loin. A cette distance, le son Meshuggah nous arrive plus ou moins fort selon le vent, mais toujours aussi propre. Au deux-tiers du set, le colossal Bleed, que tout le monde reconnaît, vient finir de donner envie aux gens d’arracher des colonnes vertébrales. Mention spéciale pour l’ingé lumières, qui arrive à suivre les rythmiques incroyables sur les stroboscopes.
Demolition Hammer : Comment faire démarrer un circle-pit en cinq secondes chrono ? S’appeler Demolition Hammer, balancer Skull Fracturing Nightmare et avoir un parterre de Thrashers déjà conquis. Impressionnants sur album, les Américains ne faiblissent pas sur la vitesse qui est leur atout numéro 1. Slayer est rapide ? Haha, bonne blague. Entre les interventions micros brodées de "fuck", "fucking", "New-York", "motherfuckers", le batteur frappe comme l’éclair tandis que Steve Reynolds cale chaque syllabe sur la caisse claire. Avec quelques passages proches du Death, la cadence ne faiblit jamais, à tel point que la lecture des motifs Thrash Metal devient parfois ardue et connaître un tant soit peu les albums du groupe permet de mieux s’y retrouver dans la nuée infernale. Demolition Hammer est venu pour tout casser, c’est chose faite. Merci. Au revoir. Fuck.
Crowbar : La grosse barbe proéminente de Kirk Windstein nous apparaît et pas seulement visuellement, puisque Crowbar empile les titres de qualité, qu’ils soient extraits du dernier album The Serpent Only Lies ou des classiques comme Broken Glass. Le rendu est bon et les riffs sonnent bien gras comme il se doit. Etrangement le public met un peu de temps à s’agglutiner, mais le quartet finit par le mettre dans sa poche en alignant une setlist qui en impose. What Else?
Uncommonmenfrommars : Shorts, t-shirts d’ados, casquettes à l’envers et chaussettes remontées, retour dans les années 90s pour les Uncommonmenfrommars. Grosse dose de bonne humeur avec le Punk Rock dynamique des frenchies qui semblent vraiment heureux d’être là. Ils en profitent pour placer une dédicace à leur compères Burning Heads (qui jouaient avant eux sur la même scène), en leur souhaitant un bon anniversaire pour leur 31 ans (« putain ils sont vieeeuuux », dixit les Uncommonmenfrommars).
Mysticum : Les précurseurs du Black Metal industriel reformé en 2011 nous font l'honneur de leur venue sous la Temple pour un set destructeur filant en ligne droite. Dr. Best, Prime Evil et Cerastes jouent à cinq mètres au dessus de la foule, tous les trois plantés comme des Y inversés sur de grandes plateforme. En arrière plan, un écran diffuse des imageries sataniques épileptiques. Impressionnant visuellement et musicalement. C'est froid répétitif et sans compromis, dicté par une boite à rythme pratiquement tout le temps calé sur le même tempo. On est à deux doigts pour que ça soit chiant à crever mais non, chez Mysticum ça fonctionne et ça détruit tout sur son passage.
Steven Wilson : Steven Wilson commence le concert à la basse, mais change rapidement son instrument pour une guitare (alors que Nick Beggs compense en passant au chapman stick en guise de basse). Après le premier titre, le Britannique annonce qu’une sélection de titres heavy seront joués, pour palier au fait qu’ils sont un des groupes les moins bourrins (Steven Wilson compare son groupe aux Abba du Hellfest !). C’est The Creator Had A Mastertape (de Porcupine Tree) qui est lancé dans la foulée, pour le plus grand plaisir des fans. Des titres de son ancien groupe, Sleep Together sera aussi joué en toute fin de set ; ainsi que des titres issus de plusieurs de ses albums solos. On notera l’originalité du frontman, qui présente non seulement son groupe, mais aussi une de ces guitares, nous expliquant qu’il est heureux de sa nouvelle acquisition, une Stratocaster de 1963, avant de jouer People Who Eat Darkness. Chaque titre est exécuté de façon parfaite. Pas de backdrop, mais un grand écran derrière le groupe, qui n’est malheureusement pas exploité sur chaque morceau.
Carnivore A.D. : Bizarrement Carnivore semble être tombé aux oubliettes. Pour rappel : le groupe a sorti deux albums dans les années 80 dans un style Crossover Thrash. Et au chant rien que moins que Peter Steele, futur leader de Type O Negative. Déjà à l’époque l’humour était noir et décalé (en témoigne le titre Jesus Hitler) et le groupe aura marqué le Crossover New-Yorkais.
Là sur scène on a donc deux membres d’origines sur trois plus un bassiste / frontman qui physiquement ressemble à Steele (étrange).
Pour de ce qui est de la musique : c’est plutôt cool de pouvoir voir et entendre en vrai ce groupe mythique. Par contre ça a vieilli et même si on apprécier certains titres, une heure de set c'est longuet.
Church Of Misery : Line-up 100% nippon désormais pour Church Of Misery avec un Tatsu dont on peine encore à comprendre le jeu de basse, portée plus bas que Munky de Korn, et Hiroyuki, le chanteur, qui en fait des caisses visuellement. Et pourtant les mecs sont hyper bons, du genre à te faire groover comme rarement un Stoner / Doom assez classique mais imparable. Ce son chaud et groovy, ce gras chaleureux, cette voix envoûtante, tout est fait pour succomber au charmes des japonais. Et puis tu vois les mecs super contents d’être là, d’enflammer une Valley très réceptive à leur set. Tu demandes quoi de plus ?
Hollywood Vampires : J’avais préparé mon stock de vannes, j’étais prêt. Sauf à ce que Hollywood Vampires ne soit pas si mal. Alors attention, je n’ai pas dit que j’écouterai ça chez moi, non non, mais en live c’était très correct. En mêlant quelques compos et pas mal de reprises le groupe donne un concert de Rock / Hard Rock honnête, Alice Cooper change de registre (en reprenant du The Doors par exemple). Johnny Depp joue de la gratte, quand il est en rythmique ça passe, les solos c’est plus chaud (en face y’a Joe Perry tout de même), mais non il n’est pas ridicule. Les reprises sont bien foutues (The Who / The Yardbirds / Mötorhead…). Donc il y aura eu Johnny Depp au Hellfest et mis à part se demander pourquoi un groupe qui a sorti deux titres originaux se retrouve tout en haut de l’affiche, c’était tout de même un bon moment.
Suffocation : Après s’être rempli la panse, quoi de mieux que de digérer pépère devant Suffo' ? Bon il faut avoir encore une petite place pour le dessert car la bande de New-York ne lésine pas à bourrer autant que possible. La crainte d’un son brouillon et trop synthétique n’était pas loin mais il n’en fut rien fort heureusement. Tout passe sans souci, même les soli sortent nets, quand ne s’abattent pas des riffs hyper-méchants. Et contrairement au groupe de Brutal Death Metal lambda, Suffocation fait un gros doigt à l’ennui en changeant de plan, de rythme toutes les 15/20 secondes (sans exagérer), de quoi surprendre suffisamment souvent. Sans être réservé qu’aux plus fins connaisseurs de leur discographie, Suffocation a de quoi plaire à tout amateur du genre, sans oublier les règles élémentaires de la politesse (un gentil et tout doux "thank you" du chanteur tous les deux titres après avoir growlé comme un ogre). Avec une part belle faite aux morceaux plus anciens (Infecting The Crypts, Liege Of Inveracity, Jesus Wept), les Américains ont retourné l’Altar sans aucune difficulté.
Eyehategod : Rien n’y fait, Eyehategod c’est les patrons du Sludge. En fait tout le monde le sait, mais tu peux seulement le comprendre une fois que tu les as vu sur scène. Genre force tranquille. Pas besoin d’en faire des tonnes. Déjà leur son parle pour eux : c’est gras, c’est fort, ça suinte et ça bastonne. Tout ce qu’on demande pour ce genre, donc. Puis Mike est très en forme vocalement, dégueulant sa haine avec puissance et justesse. C’est sans doute ça qui change depuis sa rémission, Eyehategod sonne plus juste, plus pro. Pas forcément qu’ils en aient quelque chose à branler, juste qu’ils le font pour eux et faut avouer que ça tape méchamment. Dans les riffs Stoner tellement au dessus de beaucoup groupes, dans le gras du Sludge méchant et noirâtre, ou alors dans les accélérations Hardcore qui laissent tout le monde sur le carreau. Bref, ce sont les patrons, c’est pas la peine de discuter.
Satyricon : «Allez, on va se poser au calme, c’est Therion qui va jouer et je m’en fous pas mal ». Horreur, enfer et damnation, voilà ce que c’est que d’être trop prévoyant et d’imprimer son running-order trop tôt. Satyricon a échangé son créneau avec les Suédois pour jouer en début de soirée pour laisser Therion conclure cette nuit de folie. Reste donc un bon quart d’heure après ce malheureux constat, durant lequel on pourra entendre la recette récente du groupe. Oubliez le Black Metal neigeux des années 90, là le tempo est bien plus standard (presque en sous-régime parfois) sur lequel se colle un riffing légèrement BM teinté Rock. Le genre de mélodies pas loin d’Inquisition, qui glissent sur le manche et fonctionnent pas si mal, mais difficile de juger beaucoup plus vu le peu de morceaux auxquels nous avons assisté.
Bad Religion : L’un des groupes culte du Punk Hardcore ricain s’expose sur la Zone de Guerre et met tout le monde d’accord, via un set énergique et calibré. Voilà le tableau : c’est propre, parfaitement aligné, mais ça manque d’une spontanéité inhérente au genre. Il faut dire que les gaziers ne sont pas tous jeunes et on peut toutefois reconnaître leur précision conservée malgré le poids des années. Le public est ravi et enthousiaste, prêt à en découdre. Un circle pit s’est même formé pour l’occasion, ne soulevant pas tellement de poussière puisque le sol en face de la scène est désormais pavé. On a parfois l’impression d’entendre les albums en live, sans surprise, on pouvait en attendre mieux malgré la performance.
Judas Priest : Ces dernières années, il était encore possible de se questionner sur l’intérêt que Judas Priest revienne se produire au Hellfest. C’était sans compter la sortie de leur nouvel album Firepower cette année, d’une qualité qui force le respect. L’attente était donc grande pour ce concert des anglais en tête d’affiche. Au-delà de l’aspect visuel du show qui se balade en permanence entre le kitsch Turbo Lover et du spectacle impressionnant pour les yeux, pour les oreilles on aura droit à des musiciens en très grande forme. Le temps file aussi vite que Rob Halford change ses tenues au cours du concert jusqu’à cette fameuse arrivée sur scène roulant sur une Harley-Davidson pour le Hell Bent For Leather. Living After Midnight vient clore le tout et l’on ressort de cette heure et demie avec des tubes plein la tête, de Grinder à Painkiller en passant par Breaking The Law et You've Got Another Thing Comin'. Judas Priest a clairement assuré !
Napalm Death : Les barons de Birmingham sont de retour sous l’Altar cette année encore, après avoir fraîchement sorti Coded Smears And More Uncommon Slurs dont on entendra un bout durant le set. Napalm Death joue à la maison et le fait bien sentir dans les tirades de Barney. Ce dernier entame dès le premier morceau son habituel jogging démantibulé autour de la scène en beuglant dans son micro avec la maîtrise qu’on lui connaît. S’il faut être tatillon (oui, "tatillon", j’ai le droit), on pourra arguer que le son était un peu moins propre qu’en 2016, avec des guitares légèrement plus floues. Mais c’est vraiment pour pinailler, car Napalm Death ne manque pas à sa réputation de chauffeur de salle et livre un show sans bavure, avec les incontournables (You Suffer, Nazi Punks Fuck Off) et les offrandes plus récentes (Smash A Single Digit).
Corrosion Of Conformity : À minuit tapante les papas du Southern Metal aspergent la Valley de leur classe intemporelle, les mecs sont toujours pleins de ressources pour contenter un auditoire déjà conquis à cette heure-là. Un bon aperçu de la discographie est exposée, de Eye For An Eye à No Cross No Crown le dernier long en date et ma foi ce fut peut-être le plus clair rendu sous la tente en ce vendredi. Limpide et sans fioritures, le quartet a déroulé et assommé un auditoire en fin de journée, étalant un set efficace et pas vraiment surprenant. On ne s’attendait pas à mieux à vrai dire. C’est validé.
A Perfect Circle : Quatorze ans. L’attente aura été conséquente depuis le dernier passage français d’A Perfect Circle au Zénith de Paris en 2004. Venant en terre clissonnaise pour défendre album Eat The Elephant leur quatrième album (enfin !), le groupe ne s’est pas fait prier et a foulé la Mainstage 2 à l’instant où Judas Priest faisait retentir l’ultime note de leur concert. Progressant toujours dans l’ombre des lumières tamisées, c’est un véritable plaisir de retrouver Maynard James Keenan aux côtés de Billy Howerdel face à nous, plaisir partagé qui plus est d’après ses propres dires. Faisant la part belle à leur dernier album, certains morceaux d’Eat The Elephant atteignent un niveau de sublime sur scène que l’album seul n’atteint pas, ajouter à cela quelques passages par Mer De Noms et Thirteenth Step ainsi qu’une reprise de Dog Eat Dog en mémoire à Malcolm Young (AC/DC) et vous obtiendrez un des meilleurs concerts de cette première journée de festival. Par ailleurs, le groupe a également annoncé une nouvelle qui ravira tous les déçus qui n’ont pas pu saisir leur précieux sésame pour le concert à l’Olympia mardi :
- A Perfect Circle reviendra au Zénith de Paris le 6 décembre prochain.
Rise Against : Un option intéressante pour se finir en ce vendredi sur la Warzone, Rise Against, qui mettait naturellement leur dernier album Wolves en avant. Soit une ribambelle de titres plus ou moins aseptisés, plus ou moins typés keupon hardcore 90’. Un set qui nous empêchera pas de taper du pied mais qui ne nous portera pas au-delà des cimes. Les Chicagoans ont fait ce qu’on attendait d’eux, ni plus ni moins. On pouvait néanmoins espérer davantage d’audace dans ce contexte.
Top 3 vendredi :
Bacteries : Converge - Mysticum - Crowbar
Chazo : Meshuggah - Mysticum - Svinkels
Pentacle : Eyehategod - Church Of Misery - Celeste
Skaldmax : Suffocation - Church Of Misery - Demolition Hammer
Tang : Converge - Corrosion Of Conformity - Fange
Zbrlah : Steven Wilson - Tesseract - A Perfect Circle
Meo : Church Of Misery - Eyehategod - Fange
Florian : A Perfect Circle - Bad Religion - Steven Wilson
Nonohate : Celeste - A Perfect Circle - Steven Wilson
Dimanche 11 mars 2018
Les 4, 5 et 6 mai prochain auront lieu les Desert Fest à Londres et à Berlin. Voici la programmation : - Londres : Monster Magnet, Graveyard, High On Fire, Hawkwind, Napalm Death, Eyehategod, The Obsessed, Weedeater, Nebula, Church Of Misery, Warning, Zeke, Elder, Akercocke, Asg, Radio Moscow, Jex Thoth, White Hills, Wino, Monolord, Sourvein, Planet Of Zeus, Primitive Man, Bison, Steak Number Eight, Death Alley, Dopelord, Black Rainbows, Dead Witches, Miss Lava, King Buffalo, Kind, Suma, Cattle, Puppy, Fister, The Watchers, Darkher, Telepathy, Winterfylleth, Black Moth, Freedom Hawk, Ghold, Moloch, Snapped Ankles, The Black Wizards, Bismuth, The Necromancers, Crumpet, Melting Hand, Solleme, Blackwülf, Casual Nun, Crowd Of Chairs, Old Man Lizard, Lionize, Mountains, Pist, Five The Hierophant, LLNN, Chrch, Snow Burial, The Moth, Monolithian, Mastiff, Adcx, Trevor's Head, Swedish Death Candy, Tuskar, Tom Cameron, Morass Of Molasses, Lo Chief. Event FB / Billetterie. - Berlin : Monster Magnet, Graveyard, High On Fire, Eyehategod, Weedeater, Horisont, Church Of Misery, Elder, Nebula, Monolord, Lucifer, Yuri Gagarin, Church Of Cosmic Skull, Radio Moscow, Jex Thoth, Planet Of Zeus, Death Alley, Vonavibe, Dead Lord, Maida Vale, Lionize, King Buffalo, The Necromancers, Freedom Hawk, Dopelord, Pretty Lightning, The Black Wizards, Haik + d'autres groupes à annoncer. Event FB / Billetterie.
Mardi 06 mars 2018
Church Of Misery annonce une tournée européenne. En France, une date : le 10 mai à Toulouse. L'affiche de la tournée est à voir ici.
Dimanche 05 novembre 2017
Dhidalah (Groupe japonais comprenant notamment Ikuma Kawabe, guitariste de Church of Misery) sera en concert unique à Paris le 13 décembre prochain à l'Espace B dans le cadre de la sortie de leur premier EP, No Water, paru début 2017 chez Guruguru Brain.
Vendredi 13 mai 2016
Chronique Church Of Misery - And Then There Were None : "Comme les monstres sanglants dont il s’inspire, Church Of Misery reste fidèle à un mode opératoire qui lui fait cependant laisser de plus en plus d’indices flagrants derrière lui. [...]"
Samedi 05 mars 2016
Church Of Misery a mis en écoute intégrale son nouvel album, And Then There Were None... via Noisey. Il vient de sortir chez Rise Above Records.
Lundi 08 février 2016
Church Of Misery dévoile un second extrait de And Then There Were None avec Make Them Die Slowly qui s'écoute par ici. Sortie le 4 mars chez Rise Above Records.
Vendredi 08 janvier 2016
Nouvel album en vue pour Church of Misery : And Then There Were None sortira le 4 mars chez Rise Above. Le premier extrait, Confessions of an Embittered Soul, s'écoute ici.
Dimanche 17 août 2014
Dernière journée pour le Motocultor Festival, il n'est pas encore trop tard pour aller voir Testament, Epica, In Extremo, Six Feet Under, Obituary, Belphegor, Church Of Misery, Loudblast, Koritni, Inquisition, Headcharger, Gantice, Mobutu, Anticorpse. Les places pour le dimanche sont à la vente sur Digitick. Toutes les infos pratiques se trouvent sur le site officiel du festival ou sur leur page FB.
Samedi 16 août 2014
Interview de Church of Misery: "Après une prestation convaincante en milieu d'après-midi sur la scène du Sylak, nous avons retrouvé les doomeux de Church of Misery qui ont accepté volontiers de répondre à quelques-unes nos questions..."
Mardi 05 août 2014
Concours : Le Motocultor Festival édition 2014 c'est dans moins de 15 jours ! Saint-Nolff (56), son église Saint-Mayeul et ses 3712 habitants (au recensement 2011) vont accueillir :
- Vendredi 15 août : Kreator, Ensiferum, Entombed A.D., Malevolent Creation, Dagoba, Cancer, Trollfest, Havok, Andreas&Nicolas, Mononc' Serge, T.A.N.K., Huata, Temple Of Baal, The Great Old Ones, Dawn Of Night.
- Samedi 16 août : Behemoth, Les Sheriff, Shining, GBH, Benighted, Tagada Jones, Benediction, Mumakil, Brother Dege, The Decline!, Carnival In Coal, Flying Donuts, Cobra, Yugal
- Dimanche 17 août : Testament, Epica, In Extremo, Six Feet Under, Obituary, Belphegor, Church Of Misery, Loudblast, Koritni, Inquisition, Headcharger, Gantice, Mobutu, Anticorpse.
Les places à la journée et les pass 3 jours sont à la vente sur Digitick. Toutes les infos pratiques se trouvent sur le site officiel du festival ou sur leur page FB.
À cette occasion, le Motocultor Festival
vous permet de gagner 1 pass 3 jours. Pour participer, il vous suffit
d'aller sur cette page et de suivre les instructions. Bonne chance !
Vendredi 01 août 2014
Concert du soir :
- High On Fire, Church of Misery et Conan seront en Stoned Gatherings au Glazart (Paris). Les places sont en vente sur Weezevent, Fnac et Digitick. Toutes les infos sur l'event Facebook. Live-tweet/Insta-report au programme.
- 1ère journée du Xtreme Fest (Albi) avec aujourd'hui : Gojira, Les Sheriff, Aborted, Havok, Justin(e), The Black Zombie Procession, The Dead Krazukies, Smole Deluxe, Real Deal. Les places sont en vente sur la billeterie du festival et également chez Fnac Spectacles, Ticketnet et Digitick. Toutes les infos pratiques se trouvent sur l'event FB.
Lundi 07 juillet 2014
The Order Of Israfel (Heavy-Doom avec des membres de Church Of Misery, Lotus, Doomdogs et Wildebeest) sortira son premier album Wisdom, le 29 août chez Napalm Records. Pochette et tracklist à découvrir dans la suite.
Vendredi 04 juillet 2014
Chronique et nouvel Album du Moment Conan - Blood Eagle : "Après plusieurs eps alléchants, des splits intéressants (Bongripper et Slomatics) et un concert épique capté au Roadburn 2012, on attendait avec impatience le successeur de Monnos, premier LP de Conan qui avait fait l'unanimité lors de sa sortie. [...]" P.S.: Conan qui accompagnera Church of Misery et High On Fire le 1er août à Paris (Glazart). Billetterie disponible sur Weezevent. Totues les infos sur facebook.
Lundi 30 juin 2014
Bon alors après ce Hellfest vous avez le blues? Cette année le nombre de festivals de qualité a explosé, en voilà une petite sélection, hésitez pas à venir en ajouter en commentaire. - XTreme Fest du 01/08 au 03/08 : Du coté d'Albi, 3 jours bien éclectiques (ce qui n'est pas sans rappeler le Hellfest) avec NOFX, Gojira, Converge, Obituary, Les Sherifs, Sick Of It All, Red Fang, Tagada Jones, Benighted, Aborted, Biohazard, ... Pour en savoir plus : site officiel, billets. - Fall Of Summer du 05/09 au 06/09 à Torcy (77) : première édition pour ce festival orienté metal extrême avec Venom, Sodom, Pentagram, Watain, Enslaved, Borknagar, Rotting Christ, Aura Noir, Ahab, ... Pour en savoir plus : site officiel, billets. - Main Square Festival du 03/07 au 06/07 à Arras (62) : Surtout pour la date du 3 où vont défiler Iron Maiden, Alice In Chains, Mastodon et Ghost. Billets. - Festival de Dour : 17/07 au 20/07 à Dour (Belgique), affiche folle et qui propose des groupes intéressant autant en Rock, Metal, Electro, Hip Hop, ...On peut citer Atari Teenage Riot, Soulfly, Within Temptation, Cypress Hill, Cheveu, Madlib, 65daysofstatic, Trash Talk, Mad Caddies, Tagada Jones, Madball, Sick of it All, Skindred, Kreator, Aborted, ... Site Officiel, Billets - Motocultor : du 14/08 au 17/08 à Saint Nolff dans le 56 : le festival grimpe chaque année. On peut y retrouver cette année Kreator, Behemoth, Testament, Epica, In Extremo, Six Feet Under, Dagoba, Tagada Jones, Church Of Misery, Huata, Ensiferum, Loudblast, Cobra, Mumakil, Headcharger, ... Site Officiel, Billets. - Sylak Open Air du 8 au 10/08 à Saint Maurice De Gourdans (01) : Cette année le festival propose encore une fois une belle affiche éclectique avec Gojira, Coroner, Red Fang, Turbonegro, Benighted, Evergreen Terrace, Church Of Misery, Dew Scented, Kortini, ... Site Officiel, Billets.- Yell Fest du 22 au 23/08 à Chambalon (48) avec Cowards, Remote, Watertank, Lodges, Daggers, Fange... - MFest 05/09 et 06/09 à Rouzier de Touraine (37) : Napalm Death, Aborted, Trepalium, Otargos, Regarde Les Hommes Tomber, ... Site officiel.
Dimanche 20 avril 2014
Church Of Misery participait à l'Inferno Oslo Fjord Cruise le 17 avril dernier. Le concept pour le moins original : un concert sur un vieux gréement entouré de fjords norvégiens. Laura Pleasants, la chanteuse et guitariste de Kylesa, a filmé un court extrait de l’événement à visionner par ici.
Vendredi 18 avril 2014
L'affiche du Sylak Open Air s'enrichit avec Turbonegro, Moonspell, Evergreen Terrace, No Return, Recueil Morbide, Sleekstain, Hardcore Anal Hydrogen, Bounty Hunter, Space Fisters, Hypnos, Dixit et Sekt. Ils rejoignent ainsi Dancefloor Disaster, Rolling Muppets, Gojira, Phil Campbell's All Starr Band, Koritni, Mononc' Serge, Coroner, Red Fang, Death Angel, The Real Mckenzies, Misery Index, Church Of Misery, Flayed, General Cluster. Le festival se tiendra du 08 au 10 août à Saint Maurice de Gourdans, dans l'Ain.
Mercredi 26 février 2014
Le Sylak Open Air (St Maurice de Gourdans, près de Lyon), qui se tiendra du 8 au 10 août, a fait sa première annonce : Dancefloor Disaster, Rolling Muppets, Gojira, Phil Campbell's All Starr Band, Koritni, Mononc' Serge, Coroner, Red Fang, Death Angel, The Real Mckenzies, Misery Index, Church Of Misery, Flayed, General Cluster
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