lightjak 17 / 20 Le 29/12/2012 à 00H16

Un album dégoulinant de noirceur, tout y est dérangeant, hypnotisant (un miroir pur qui te rend misérable). Plus aucun sourire ne peux se dessiner à l'écoute de ce pavé postcore-black-hardcore-(mets ce que tu veux derrière).
On ressort souffrant d'une peine inexplicable, maudissant ainsi la terre entière et les plaies de notre monde.

Une expérience à écouter fort et au casque.
Puissant.

Athe 17.5 / 20 Le 22/12/2012 à 14H18

"De sorte que plus jamais un instant ne soit magique"

Roman 18 / 20 Le 08/05/2011 à 15H25

Mouarf !
Je suis tombé sur la chronique du groupe sur un blog, un peu par hasard, et puis j'ai essayé...

Bah voilà, j'ai enfin moi aussi le droit à mon ptit commentaire gnan gnan qu'on retrouve bien trop souvent :

La claque !!!

Quelle haine bordel ! Ca dégueule de partout, c'est lourd comme pas permis.

Et alors qu'on se prend une première tarte à l'écoute du son, dès lors qu'on s’intéresse aux contenus des paroles (le noms des titres me rendant curieux) c'est la 2eme qui arrive... pour le moins violentes voir même carrément dérangeantes parfois.

Et grosse mention pour le dernier titre, De sorte que plus jamais un instant ne soit magique.

Il m'a fallu du temps pour trouver les paroles sur internet... pour ceux que ça intéresse les voici... ca vaut le coup d’œil si je puis dire !

http://www.spirit-of-metal.com/parole-groupe-Celeste_%28FRA%29-nom_album-Morte%28s%29_Nee%28s%29-l-en.html

khoma27 18 / 20 Le 24/03/2011 à 08H51

Il n'y a pas grand chose à dire à part tuerie, depuis que j'ai cette album il tourne en boucle dans mon mp3 matin, midi et soir. Grosse que dis je Enorme tuerie

Farfadeath 16.5 / 20 Le 05/01/2011 à 11H02

Une certaine idée du mouvement dans l'immobilisme. Comme si Céleste cherchez à se réinventer mais ce disais que finalement ça n'en vaut pas la peine. Puisque quoi qu'il advienne tout est à chier.

shining 17.5 / 20 Le 20/07/2010 à 20H49

C'est là mon premier contact avec le groupe, ainsi que le postcore, et ce que j'écoute là est tout bonnement génial! Les influences Black sont bien là aussi, à tel point que l'on peut se demander si on en a pas là une alternative plausible.
Tout aussi haineux que Hate Forest (voire plus), mais différemment, je conseil ce CD à tout fan de BM.
Un de mes albums de 2010, tout simplement.

Euka 16 / 20 Le 24/06/2010 à 23H01

Ici, on ne peut pas parler de mots, de textes, de musique. Ici, on ne peut pas parler de joie, d'amour et de sourire. Celeste a mis la barre très haut, crevant l'abcès et les yeux de gamins édentés, vomissant sa bile sur des plaies béantes et se mutilant lui-même pour ne plus que souffrir. Celeste est définitivement un groupe qui surprend de tant de hargne...

Kafka 18 / 20 Le 25/05/2010 à 19H51

Une très belle chronique !

Bacteries 16 / 20 Le 15/05/2010 à 13H53

Un pavé énorme. Autant j'avais que moyennement accroché à Misanthrope(s) (mais il faudrait que je m'y remette après écoute de ce dernier) autant celui ci m'a scotché. Enorme, mur de son, violent et nihiliste. Le son du groupe se rapproche de plus en plus du black metal (façon Cobalt ou Nachtmystium) en gardant sa lourdeur.
Un de mes coups de cœur 2010.

Mivader 15.5 / 20 Le 14/05/2010 à 09H57

Pas encore écouté, mais je salue la rapidité de la chronique.

Je fais confiance à Celeste et à vous pour la note !

Ark Age 18 / 20 Le 14/05/2010 à 00H25

Celeste change malgré son apparence de redite. Tout d'abord, plus ça va, plus la prod' devient massif, la différence entre celui ci et les 2 derniers tente à le prouver.
Deuxièmement, le titre instrumental (S), qui peut paraître assez anodin et anecdotique, casse bien le rythme (fou) de l'album et permet de le digérer plus facilement (ce qui manquait au 2 premiers, en particulier "Misanthrope(s)").
Pour finir, Celeste arrive enfin à créer une musique moins monolithique, et qui marque, dans le sens où certains passages ressortent de l'ensemble ("Respire, respire encore,..."; "Elle soufrait à 15 ans, elle sera morte à 20 ans,...", "Pour toi, tout est fini..."). De plus, Johan a encore progresser dans la maitrise de sa voix, maintenant, l'on comprend presque ce qu'il hurle.

Mention spécial pour "De Sorte Que Plus Un Instant Ne Soit Magique".