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Mardi 13 décembre 2022
Effervescence Records (Burning Heads, Satanic Surfers, Belvedere, etc...) vient de mettre en ligne ses promos de Noël avec les CD à 3€, les vinyles à 9€, sans parler des packs 5 CD à 10€ et 40€ pour les packs 5 vinyles ! Tout ça se découvre par ici.
Mercredi 07 décembre 2022
Les Burning Heads seront en concert gratuit ce jeudi 8 décembre à la Maison des Etudiants De Metz. Event FB.
Lundi 04 avril 2022
Nouvel album pour Burning Heads avec Torches Of Freedom qui vient de paraitre chez Opposite Prod et Kicking Records. Il s'écoute par là.
Mercredi 23 mars 2022
Le 30 avril à Nantes : Burning Heads, Toxxic TV, Del-Rio seront au concert à Nantes (Strummer Café / Pannonica). Billets ici.
Mardi 07 décembre 2021
Le 14 mai 2022 aura lieu le Baillarock Festival à St Georges les Bx (86), à l'espace Mérovée. Au menu : Glassbone, Burning Heads, Worst Doubt, In Arkadia, Raincheck et Wake The Dead. Infos FB.
Jeudi 17 juin 2021
Le Xtreme-Fest a annoncé son affiche 2021, à voir ici, on y retrouve Ultra Vomit, Les Tambours Du Bronx, Les $heriff, Burning Heads, Tagada Jones, Pogo Car Crash Control, No One Is Innocent, Slift, Stinky, 7 Weeks, Landmvrks, Hangman's Chair, The Dead Krazukies, ... Une affiche 100% française (Covid oblige), et le festival est annoncé assis mais toujours avec une plage juste à coté. Plus d'infos sur le site du festival.
La réaction du public a été plutôt mitigée : quelques jours avant, le festival avait annoncé prendre les violences sexuelles au sérieux (bien) mais on retrouve sur l'affiche bon nombre de groupes signé chez le tourneur Rage Tour. Un des employés de ces derniers a été mis en cause dans des affaires de violences sexuelles, Rage Tour avait réagit en souhaitant porter plainte contre la victime (et en se séparant de l'employé incriminé) avant de se rétracter sous la pression. L'enquête publiée par Mediapart avait également mis en lumière des discussions appelant au viol de la victime dans un groupe WhatsApp de Le Bal Des Enragés (collectif dont lequel on retrouve des membres de Tagada Jones, Lofofora, No One Is Innocent, Loudblast, Black Bomb A, AqME, Punish Yourself et Parabellum). Depuis cet article le tourneur ou les groupes n'ont pas réagit publiquement.
Le groupe Krav Boca a décidé de se retirer de l'affiche en voyant la présence de Tagada Jones et Ultra Vomit (communiqué).
Tagada Jones a du coup répondu ici (en faisant des doigts d'honneur à ses détracteurs) pour dire qu'il n'était pas des agresseurs sexuels (même si une large part des commentaires pointe du doigt l'absence de communication suite à l'affaire Rage Tour, dont Niko, chanteur de Tagada, est la patron). Le groupe déclare aussi qu'ils défendront le droit des femmes comme ils l'ont toujours fait.
Lundi 14 décembre 2020
Le Jour du Roseau est une compilation disponible sur bandcamp qui regroupe 40 artistes comme The Attendants, Bleakness, Burning Heads, Chaviré, Circles, Dédale, Grenadine Vengeance, Guerilla Poubelle, Intenable, Jodie Faster, Litige, Lovve, Mss Frnce, Verbal Razors, Youth Avoiders, Worst Doubt... et mise en place par Guillaume (Circles) et Jérémie (Mss Frnce) afin de dénoncer les violences policières.
Jeudi 17 septembre 2020
Fab, le boss d'Effervescence Records (Uncommonmenfrommars, Burning Heads, A Wilhelm Scream, Mute, Belvedere etc...) s'était lancé pendant le confinement dans un projet musical appelé The Lockdown.
Le résultat, Waiting For Better Days sortira en version digitale le 15 Décembre 2020 et en vinyle en version limitée le 12 Janvier 2021 sur Effervescence Records. FB.
Lundi 29 juin 2020
Le Useless Fest aura lieu à La Flèche (72) les 28 et 29 août prochains. Event FB. Programmation : Vendredi 28 août : Guerilla Poubelle / Stinky / Krav Boca / Blink 131 / Circles / Tiny Voices Samedi 29 août :
Burning Heads / Corbillard / Pink Flamingos / OffshOre / Birds in row / Wake The Dead / Poezie Zero / Celeritas / Faux Semblant / Scuffles
Mercredi 08 avril 2020
Burning Heads vient de sortir son nouvel album, Under Their Influence, et ça s'écoute sur bandcamp. Le clip pour le morceau Uphill Struggle, une reprise d'Adhesive, se visionne dans la suite.
Jeudi 13 décembre 2018
Pit Samprass (chanteur) quitte Burning Heads après 30 ans et va se consacrer à son autre groupe : Monde De Merde.
Lundi 06 août 2018
Pour sa nouvelle édition, Festi'map propose une série de concerts de groupes aux influences diverses. Le festival a lieu à Boulazac (24750). Au programme : Vendredi à partir de 18H00 : Tagada Jones (Punk Hardcore - Rennes), Seeds Of Mary (Rock Alternatif - Bordeaux), Craneon (Rock/Progressive/Stoner - Périgueux/Madrid), Rita Macedo&Le Parti Collectif (Jazz/Bal/Festif - Toulouse/Bordeaux), L'Affaire Barthab' (Chanson française/Big Band/Festif-Bordeaux), Dust (Rock Agricole - Périgueux) et L'Etiquette (Rap/Hip Hop/Electro - Périgueux) Samedi à partir de 16H30 : Gorod (Death Metal/Progressive/Jazz - Bordeaux), No One Is Innocent (Rock/Fusion - Paris), Burning Heads (Punk/Rock - Orléans), Freedonia (Soul/Blues - Madrid), Eden (Contre les Puissants Mentors de la Dégradation Morale Humaine) (Rock/Metal/Fusion - Nontron), Red Eye Ball (Rock/Pop/Punk - Périgueux), Unanswered (Thrash Metal - Bergerac), Moop (Brutal Jazz - Bassillac/Poitiers), Arkann (Rap/Hip Hop - Périgueux), Inky Inquest (Trip Hop-Dordogne), Eyküss (Noise/Post Punk - Dordogne) et Joseph (One Man Band/Chanson Française - Marsac) Tarifs : Vendredi : 13€ / Samedi : 16€ et Restauration sur place.
Samedi 23 juin 2018
Live Report : Il est tout chaud, tout frais, notre report du Hellfest.
Treizième année ! Et pour ma gueule treize à la suite, oui messieurs dames. Et que de chemin parcouru par ce festival !
C’est devenu un marronnier des débuts de report du Hellfest : mais quoi de neuf cette année ? L’orga' a mis le paquet sur les Mainstages en refaisant toute la déco des bords et du bar central, le tout avec derrière deux arches immenses qui balancent de l’eau, une en continu, l’autre en faisant des motifs ou en écrivant des choses avec l’eau (bonne idée quand il fait chaud !). Devant les Mainstages et la Warzone, on a désormais des pavés, fini la poussière ! Oui c’est démesuré, oui c’est fou, mais la gueule du site est dingue. Au bout de treize ans on peut dire “et la fontaine écrit des choses avec l’eau” avec un naturel et un côté désabusé.
Du côté de l’entrée du festival et son "Camden Town" version Hellfest, on trouve quand même plus étonnant de voir des stands bien éloignés du monde de la musique, comme une marque d’agroalimentaire à base de soja ou encore un assembleur / site de vente de PC. A t-on vraiment besoin de ça ? (c’est rhétorique hein)
Coté musical pour cette première journée il y avait une thématique “Hard Rock à papa” avec des groupes comme RoseTattoo, Timeline de Chris Slade, Europe, Hollywood Vampires (avec Alice Cooper / Joe Perry d'Aerosmith et Johnny Depp, l’acteur bien connu de Rango ou Il était une fois au Mexique... Desperado 2), des groupes bien sous tout rapport : Converge / Meshuggah / A Perfect Circle, du Punk Rock comme Seven Hate, Burning Heads ou encore Bad Religion et un bel enchaînement Sludge avec du Crowbar / Eyehategod / Dopethrone / Corrosion Of Conformity.
Fange : Débarqués un peu à la bourre le temps de se garer, on admire tout de même une bonne moitié du set des Rennais, en forme et en jambes de bon matin. Les titres de Purge et Pourissoir se succèdent et cassent des nuques venues étonnamment nombreuses aussi tôt dans la journée. A croire que Fange s’est forgé une petite réputation mine de rien, et quand on voit le hurleur Matthias étaler ses tripes sur scène, on comprend mieux. Le rendu est un peu dégueu' mais l’exécution est au top. Le réveil idéal.
Bunkum : Première excursion sur la Warzone et première bonne mandale Punk Hardcore tendance Beatdown. On a encore les yeux qui collent et on se mange une bonne rafale de riffs plombés issus en partie de l'ep Crieres sorti en 2016, de quoi se réveiller convenablement, baignés d'un soleil déjà radieux. Bonne surprise et belle performance pour une Warzone bien mise en valeur cette année.
Darkenhöld : Il est toujours un peu étrange de commencer son Hellfest par du Black Metal. Surtout à midi. Quand bien même, les niçois de Darkenhöld ne sont pas présents dans le Grand Ouest tous les quatre matins et c’est tout de capes vêtus qu’ils nous accueillent sous la Temple pour leur Metal noir à ambiance médiévale et magique. Il faut dire que les claviers (samplés pour l’occasion) participent beaucoup à cette ambiance. Le son est bon, les guitares largement discernables, ce qui n’est pas un mal pour ce type de musique, porté par la voix de Cervantes en maître de cérémonie, très appréciable. Un groupe qui livre un bon set, fidèle à ce que peuvent donner leurs albums depuis dix ans.
Tesseract : Auteurs d’une musique "géométrique", aussi pachydermique que planante, les gars de Tesseract sont aussi carrés en live qu’en studio. Il est encore tôt, mais ça n’arrête pas les Anglais qui envoient du lourd, avec une précision chirurgicale et un son au top (on aurait pu avoir peur que le vent ait une mauvaise influence, mais le son de Tesseract est le plus fort). Côté setlist, les morceaux joués sont issus de One, d’Altered State, et du récent Sonder ; mais rien de Polaris. Dommage. Daniel Tompkins, entre deux mouvements à la Power Rangers, laisse une partie du chant growlé à son bassiste (bassiste qui est pieds nus pour accentuer sa ressemblance avec Steven Wilson), mais ne se prive pas lui-même en ce qui concerne les hurlements, notamment sur King qu’il dédicace à tous les musiciens du public. Un très bon concert d’un excellent groupe, malgré les quarante petites minutes de durée du set.
Dopethrone : Les québécois traînent enfin leurs pieds au Hellfest ! Et c’est peut être l’heure matinale qui les a perturbé mais on les a vu plus en forme, c’est mou, les inter-titres ne prennent pas et l’ensemble à un côté linéaire qui s’écoute, mais ne pousse pas à la folie. Pourtant le nouveau batteur a un jeu plus varié que l’ancien et sonne aussi plus métallique que par le passé. Mais rien à faire la sauce ne prend pas des masses. Dommage car en forme les trois là auraient retourné la Valley à une heure plus avancée.
Schammasch : Après une tournée aux côtés de Batushka en début d’année, le groupe Suisse revient se produire face à nous sous la tente de la Temple. Avec leur musique fleurant constamment à la frontière du Black Metal et des nervures les plus obscure du genre comme l’Ambiant.. En ressort un show sensoriel mais qui regorge de technicité. Malheureusement, le son qui n’est pas à leur avantage et les trois guitares, trop en retrait, n’aident pas à discerner toute la complexité de leur musique dans ces conditions. Mais passé ce contre-temps, la prestation se veut fort honorable et Schammasch reste un groupe à suivre pour ceux qui recherchent de la fraîcheur dans un genre parfois peu enclin aux prises de risques comme le démontre le triple album Triangle sorti en 2016, quelque part à mi-chemin entre Behemoth et Blut Aus Nord.
Sons Of Apollo : Le Hellfest 2018 est pour Sons Of Apollo l’occasion de faire son premier concert en Europe ! Le supergroupe ouvre sur le pavé God Of The Sun pour dix minutes de Prog mélodique de haute volée. Malheureusement, les claviers sont difficilement audibles et la guitare est un peu brouillonne. Le long solo de Ron "Bumblefoot" Thal sur Signs Of The Times sera néanmoins très propre. Quant aux claviers, eux vont fluctuer, tantôt trop forts et tantôt quasi-absents du mix, avant de trouver un bon compromis en milieu de set. Peut-être est-ce aussi la faute du vent qui balaye la zone devant les Mainstages ? Les autres instruments ont bien sûr leur mot à dire, à commencer par Billy Sheehan qui rajoute un petit solo de basse n’existant pas sur la version studio de Divine Addiction. Mike Portnoy est visiblement ravi d’être là, tout sourire derrière ses fûts (et son micro), pendant que son confrère ex Dream Theater, Derek Sherinian, semble plutôt blasé. Jeff Scott Soto est un bon frontman, charismatique et pas mal communicatif, qui fera même chanter une foule réceptive sur Coming Home.
Celeste : 14h20 à la montre, il est l’heure de prendre sa claque sous la Valley en compagnie de Celeste. Les lyonnais étant peu habitués à jouer sur des scènes de festival éclairés par la lumière du jour et ne pouvant pas délivrer l’aspect visuel que le groupe est censé montrer sur scène, il était intéressant de voir ce que le groupe allait nous proposer ici. Le résultat reste pourtant le même, à grand renfort de fumée, de stroboscopes et de lumières rouges vives, les musiciens, qui ont laissé tomber leurs lampes frontales, déroulent leur musique ultra oppressante sans fausse note. Le son est tellement lourd que l’on en oublierait les conditions dans lesquelles le combo se produit. Après l’apothéose atteinte durant D’Errances En Inimitiés, c’est le titre Ces Belles De Rêves Aux Verres Embués, extrait de Morte(s) Née(s), qui vient clore ce set. Il est temps de vite reprendre ses esprits, la journée est encore longue.
Seven Hate : En plein après-midi et en plein cagnard il est temps de se prendre une rasade de Punk à roulettes made in France, soit Seven Hate, nourri aux Pennywise, Comeback Kid et autre Bad Religion. Les poitevins exécutent proprement leurs classiques et font resurgir une certaine nostalgie chez les trentenaires du public. Et on n'oublie pas la petite pique nécessaire à notre président jupitérien. Pas de quoi casser trois pattes à un canard, mais suffisant pour maintenir le rythme d’une Warzone joliment agencée.
Rose Tattoo : Aïe Aïe Aïe ! J’y allais en espérant voir un petit Hard Rock sympa, version Australienne. Si le groupe est souvent comparé à AC/DC, en live c’est AC/DC en 12V. C’est atrocement mou, le chanteur manque de tonus et même si le groupe semble content d’être là, on se lasse vite.
Converge : Grands habitués de la Warzone du festival et de créneaux horaires de fin de journée, l’inquiétude était palpable à l’approche du set des américains sur la Mainstage 2 en pleine après-midi. Pourtant, peu importe l’horaire ni la scène où il joue, Converge met tout le monde d’accord avec une setlist qui fait la part belle au dernier album The Dusk In Us mais qui n’oublie pas les précédent de All We Love We Leave Behind jusqu’à Jane Doe avec Concubine qui vient clore ce court set d’une main de maître. Malheureusement quarante minutes c’est court et on n’aurait pas craché sur vingt minutes supplémentaire. Plus d’information à venir sur leur passage au Hellfest dans l’interview avec le chanteur Jacob Bannon que vous retrouverez sur le site dans les prochaines semaines.
Saor : Quel dommage. Quand tu vas voir un groupe de Black Metal Atmosphérique à tendance Pagan tu t’attends à que chaque instruments soient bien restitués sur scène, mais ici ça ne sera pas le cas. Sur les deux premiers titres on entend à peine les guitares, le violon surnage de manière dégueulasse et même si ça s’améliore au fils des titres, l’ensemble ne convainc jamais vraiment. La basse est beaucoup trop présente, cassant même parfois l’ambiance de certains titres, la voix est de bonne facture et la rythmique solide, mais sans guitares et et sans instruments traditionnels (pour certains samplés comme les flûtes) difficile de se mettre dedans. Très très dommage pour Saor car avec un meilleur son, les écossais auraient pu nous faire voyager d’une belle manière.
Meshuggah : Pantalons noirs unis, tshirts noirs unis, pas de blabla, pas de jeu de scène, ni même de headbanging. Sobre as fuck, peut-être, mais Meshuggah se rattrape sur l’exécution de ses compositions qui est tout bonnement parfaite. Pendant cinquante minutes, syncopes et saccades sont calées au micromètre. En revanche, l’affluence est étonnante (pour un groupe d’après-midi, et étonnamment bourrin pour une Mainstage) et on sera donc assez loin. A cette distance, le son Meshuggah nous arrive plus ou moins fort selon le vent, mais toujours aussi propre. Au deux-tiers du set, le colossal Bleed, que tout le monde reconnaît, vient finir de donner envie aux gens d’arracher des colonnes vertébrales. Mention spéciale pour l’ingé lumières, qui arrive à suivre les rythmiques incroyables sur les stroboscopes.
Demolition Hammer : Comment faire démarrer un circle-pit en cinq secondes chrono ? S’appeler Demolition Hammer, balancer Skull Fracturing Nightmare et avoir un parterre de Thrashers déjà conquis. Impressionnants sur album, les Américains ne faiblissent pas sur la vitesse qui est leur atout numéro 1. Slayer est rapide ? Haha, bonne blague. Entre les interventions micros brodées de "fuck", "fucking", "New-York", "motherfuckers", le batteur frappe comme l’éclair tandis que Steve Reynolds cale chaque syllabe sur la caisse claire. Avec quelques passages proches du Death, la cadence ne faiblit jamais, à tel point que la lecture des motifs Thrash Metal devient parfois ardue et connaître un tant soit peu les albums du groupe permet de mieux s’y retrouver dans la nuée infernale. Demolition Hammer est venu pour tout casser, c’est chose faite. Merci. Au revoir. Fuck.
Crowbar : La grosse barbe proéminente de Kirk Windstein nous apparaît et pas seulement visuellement, puisque Crowbar empile les titres de qualité, qu’ils soient extraits du dernier album The Serpent Only Lies ou des classiques comme Broken Glass. Le rendu est bon et les riffs sonnent bien gras comme il se doit. Etrangement le public met un peu de temps à s’agglutiner, mais le quartet finit par le mettre dans sa poche en alignant une setlist qui en impose. What Else?
Uncommonmenfrommars : Shorts, t-shirts d’ados, casquettes à l’envers et chaussettes remontées, retour dans les années 90s pour les Uncommonmenfrommars. Grosse dose de bonne humeur avec le Punk Rock dynamique des frenchies qui semblent vraiment heureux d’être là. Ils en profitent pour placer une dédicace à leur compères Burning Heads (qui jouaient avant eux sur la même scène), en leur souhaitant un bon anniversaire pour leur 31 ans (« putain ils sont vieeeuuux », dixit les Uncommonmenfrommars).
Mysticum : Les précurseurs du Black Metal industriel reformé en 2011 nous font l'honneur de leur venue sous la Temple pour un set destructeur filant en ligne droite. Dr. Best, Prime Evil et Cerastes jouent à cinq mètres au dessus de la foule, tous les trois plantés comme des Y inversés sur de grandes plateforme. En arrière plan, un écran diffuse des imageries sataniques épileptiques. Impressionnant visuellement et musicalement. C'est froid répétitif et sans compromis, dicté par une boite à rythme pratiquement tout le temps calé sur le même tempo. On est à deux doigts pour que ça soit chiant à crever mais non, chez Mysticum ça fonctionne et ça détruit tout sur son passage.
Steven Wilson : Steven Wilson commence le concert à la basse, mais change rapidement son instrument pour une guitare (alors que Nick Beggs compense en passant au chapman stick en guise de basse). Après le premier titre, le Britannique annonce qu’une sélection de titres heavy seront joués, pour palier au fait qu’ils sont un des groupes les moins bourrins (Steven Wilson compare son groupe aux Abba du Hellfest !). C’est The Creator Had A Mastertape (de Porcupine Tree) qui est lancé dans la foulée, pour le plus grand plaisir des fans. Des titres de son ancien groupe, Sleep Together sera aussi joué en toute fin de set ; ainsi que des titres issus de plusieurs de ses albums solos. On notera l’originalité du frontman, qui présente non seulement son groupe, mais aussi une de ces guitares, nous expliquant qu’il est heureux de sa nouvelle acquisition, une Stratocaster de 1963, avant de jouer People Who Eat Darkness. Chaque titre est exécuté de façon parfaite. Pas de backdrop, mais un grand écran derrière le groupe, qui n’est malheureusement pas exploité sur chaque morceau.
Carnivore A.D. : Bizarrement Carnivore semble être tombé aux oubliettes. Pour rappel : le groupe a sorti deux albums dans les années 80 dans un style Crossover Thrash. Et au chant rien que moins que Peter Steele, futur leader de Type O Negative. Déjà à l’époque l’humour était noir et décalé (en témoigne le titre Jesus Hitler) et le groupe aura marqué le Crossover New-Yorkais.
Là sur scène on a donc deux membres d’origines sur trois plus un bassiste / frontman qui physiquement ressemble à Steele (étrange).
Pour de ce qui est de la musique : c’est plutôt cool de pouvoir voir et entendre en vrai ce groupe mythique. Par contre ça a vieilli et même si on apprécier certains titres, une heure de set c'est longuet.
Church Of Misery : Line-up 100% nippon désormais pour Church Of Misery avec un Tatsu dont on peine encore à comprendre le jeu de basse, portée plus bas que Munky de Korn, et Hiroyuki, le chanteur, qui en fait des caisses visuellement. Et pourtant les mecs sont hyper bons, du genre à te faire groover comme rarement un Stoner / Doom assez classique mais imparable. Ce son chaud et groovy, ce gras chaleureux, cette voix envoûtante, tout est fait pour succomber au charmes des japonais. Et puis tu vois les mecs super contents d’être là, d’enflammer une Valley très réceptive à leur set. Tu demandes quoi de plus ?
Hollywood Vampires : J’avais préparé mon stock de vannes, j’étais prêt. Sauf à ce que Hollywood Vampires ne soit pas si mal. Alors attention, je n’ai pas dit que j’écouterai ça chez moi, non non, mais en live c’était très correct. En mêlant quelques compos et pas mal de reprises le groupe donne un concert de Rock / Hard Rock honnête, Alice Cooper change de registre (en reprenant du The Doors par exemple). Johnny Depp joue de la gratte, quand il est en rythmique ça passe, les solos c’est plus chaud (en face y’a Joe Perry tout de même), mais non il n’est pas ridicule. Les reprises sont bien foutues (The Who / The Yardbirds / Mötorhead…). Donc il y aura eu Johnny Depp au Hellfest et mis à part se demander pourquoi un groupe qui a sorti deux titres originaux se retrouve tout en haut de l’affiche, c’était tout de même un bon moment.
Suffocation : Après s’être rempli la panse, quoi de mieux que de digérer pépère devant Suffo' ? Bon il faut avoir encore une petite place pour le dessert car la bande de New-York ne lésine pas à bourrer autant que possible. La crainte d’un son brouillon et trop synthétique n’était pas loin mais il n’en fut rien fort heureusement. Tout passe sans souci, même les soli sortent nets, quand ne s’abattent pas des riffs hyper-méchants. Et contrairement au groupe de Brutal Death Metal lambda, Suffocation fait un gros doigt à l’ennui en changeant de plan, de rythme toutes les 15/20 secondes (sans exagérer), de quoi surprendre suffisamment souvent. Sans être réservé qu’aux plus fins connaisseurs de leur discographie, Suffocation a de quoi plaire à tout amateur du genre, sans oublier les règles élémentaires de la politesse (un gentil et tout doux "thank you" du chanteur tous les deux titres après avoir growlé comme un ogre). Avec une part belle faite aux morceaux plus anciens (Infecting The Crypts, Liege Of Inveracity, Jesus Wept), les Américains ont retourné l’Altar sans aucune difficulté.
Eyehategod : Rien n’y fait, Eyehategod c’est les patrons du Sludge. En fait tout le monde le sait, mais tu peux seulement le comprendre une fois que tu les as vu sur scène. Genre force tranquille. Pas besoin d’en faire des tonnes. Déjà leur son parle pour eux : c’est gras, c’est fort, ça suinte et ça bastonne. Tout ce qu’on demande pour ce genre, donc. Puis Mike est très en forme vocalement, dégueulant sa haine avec puissance et justesse. C’est sans doute ça qui change depuis sa rémission, Eyehategod sonne plus juste, plus pro. Pas forcément qu’ils en aient quelque chose à branler, juste qu’ils le font pour eux et faut avouer que ça tape méchamment. Dans les riffs Stoner tellement au dessus de beaucoup groupes, dans le gras du Sludge méchant et noirâtre, ou alors dans les accélérations Hardcore qui laissent tout le monde sur le carreau. Bref, ce sont les patrons, c’est pas la peine de discuter.
Satyricon : «Allez, on va se poser au calme, c’est Therion qui va jouer et je m’en fous pas mal ». Horreur, enfer et damnation, voilà ce que c’est que d’être trop prévoyant et d’imprimer son running-order trop tôt. Satyricon a échangé son créneau avec les Suédois pour jouer en début de soirée pour laisser Therion conclure cette nuit de folie. Reste donc un bon quart d’heure après ce malheureux constat, durant lequel on pourra entendre la recette récente du groupe. Oubliez le Black Metal neigeux des années 90, là le tempo est bien plus standard (presque en sous-régime parfois) sur lequel se colle un riffing légèrement BM teinté Rock. Le genre de mélodies pas loin d’Inquisition, qui glissent sur le manche et fonctionnent pas si mal, mais difficile de juger beaucoup plus vu le peu de morceaux auxquels nous avons assisté.
Bad Religion : L’un des groupes culte du Punk Hardcore ricain s’expose sur la Zone de Guerre et met tout le monde d’accord, via un set énergique et calibré. Voilà le tableau : c’est propre, parfaitement aligné, mais ça manque d’une spontanéité inhérente au genre. Il faut dire que les gaziers ne sont pas tous jeunes et on peut toutefois reconnaître leur précision conservée malgré le poids des années. Le public est ravi et enthousiaste, prêt à en découdre. Un circle pit s’est même formé pour l’occasion, ne soulevant pas tellement de poussière puisque le sol en face de la scène est désormais pavé. On a parfois l’impression d’entendre les albums en live, sans surprise, on pouvait en attendre mieux malgré la performance.
Judas Priest : Ces dernières années, il était encore possible de se questionner sur l’intérêt que Judas Priest revienne se produire au Hellfest. C’était sans compter la sortie de leur nouvel album Firepower cette année, d’une qualité qui force le respect. L’attente était donc grande pour ce concert des anglais en tête d’affiche. Au-delà de l’aspect visuel du show qui se balade en permanence entre le kitsch Turbo Lover et du spectacle impressionnant pour les yeux, pour les oreilles on aura droit à des musiciens en très grande forme. Le temps file aussi vite que Rob Halford change ses tenues au cours du concert jusqu’à cette fameuse arrivée sur scène roulant sur une Harley-Davidson pour le Hell Bent For Leather. Living After Midnight vient clore le tout et l’on ressort de cette heure et demie avec des tubes plein la tête, de Grinder à Painkiller en passant par Breaking The Law et You've Got Another Thing Comin'. Judas Priest a clairement assuré !
Napalm Death : Les barons de Birmingham sont de retour sous l’Altar cette année encore, après avoir fraîchement sorti Coded Smears And More Uncommon Slurs dont on entendra un bout durant le set. Napalm Death joue à la maison et le fait bien sentir dans les tirades de Barney. Ce dernier entame dès le premier morceau son habituel jogging démantibulé autour de la scène en beuglant dans son micro avec la maîtrise qu’on lui connaît. S’il faut être tatillon (oui, "tatillon", j’ai le droit), on pourra arguer que le son était un peu moins propre qu’en 2016, avec des guitares légèrement plus floues. Mais c’est vraiment pour pinailler, car Napalm Death ne manque pas à sa réputation de chauffeur de salle et livre un show sans bavure, avec les incontournables (You Suffer, Nazi Punks Fuck Off) et les offrandes plus récentes (Smash A Single Digit).
Corrosion Of Conformity : À minuit tapante les papas du Southern Metal aspergent la Valley de leur classe intemporelle, les mecs sont toujours pleins de ressources pour contenter un auditoire déjà conquis à cette heure-là. Un bon aperçu de la discographie est exposée, de Eye For An Eye à No Cross No Crown le dernier long en date et ma foi ce fut peut-être le plus clair rendu sous la tente en ce vendredi. Limpide et sans fioritures, le quartet a déroulé et assommé un auditoire en fin de journée, étalant un set efficace et pas vraiment surprenant. On ne s’attendait pas à mieux à vrai dire. C’est validé.
A Perfect Circle : Quatorze ans. L’attente aura été conséquente depuis le dernier passage français d’A Perfect Circle au Zénith de Paris en 2004. Venant en terre clissonnaise pour défendre album Eat The Elephant leur quatrième album (enfin !), le groupe ne s’est pas fait prier et a foulé la Mainstage 2 à l’instant où Judas Priest faisait retentir l’ultime note de leur concert. Progressant toujours dans l’ombre des lumières tamisées, c’est un véritable plaisir de retrouver Maynard James Keenan aux côtés de Billy Howerdel face à nous, plaisir partagé qui plus est d’après ses propres dires. Faisant la part belle à leur dernier album, certains morceaux d’Eat The Elephant atteignent un niveau de sublime sur scène que l’album seul n’atteint pas, ajouter à cela quelques passages par Mer De Noms et Thirteenth Step ainsi qu’une reprise de Dog Eat Dog en mémoire à Malcolm Young (AC/DC) et vous obtiendrez un des meilleurs concerts de cette première journée de festival. Par ailleurs, le groupe a également annoncé une nouvelle qui ravira tous les déçus qui n’ont pas pu saisir leur précieux sésame pour le concert à l’Olympia mardi :
- A Perfect Circle reviendra au Zénith de Paris le 6 décembre prochain.
Rise Against : Un option intéressante pour se finir en ce vendredi sur la Warzone, Rise Against, qui mettait naturellement leur dernier album Wolves en avant. Soit une ribambelle de titres plus ou moins aseptisés, plus ou moins typés keupon hardcore 90’. Un set qui nous empêchera pas de taper du pied mais qui ne nous portera pas au-delà des cimes. Les Chicagoans ont fait ce qu’on attendait d’eux, ni plus ni moins. On pouvait néanmoins espérer davantage d’audace dans ce contexte.
Top 3 vendredi :
Bacteries : Converge - Mysticum - Crowbar
Chazo : Meshuggah - Mysticum - Svinkels
Pentacle : Eyehategod - Church Of Misery - Celeste
Skaldmax : Suffocation - Church Of Misery - Demolition Hammer
Tang : Converge - Corrosion Of Conformity - Fange
Zbrlah : Steven Wilson - Tesseract - A Perfect Circle
Meo : Church Of Misery - Eyehategod - Fange
Florian : A Perfect Circle - Bad Religion - Steven Wilson
Nonohate : Celeste - A Perfect Circle - Steven Wilson
Mercredi 29 novembre 2017
Voici les dernières dates de la tournée Keep The Fire Burning des Burning Heads :
29/11/2017 : BREST (29) @ Le Vauban
30/11/2017 : NIORT (79) @ Le Camji
01/12/2017 : PARIS (75) @ La Maroquinerie
02/12/2017 : BOURGES (18) @ Le Nadir
Pour rappel, un Ulele est en cours pour payer un van au groupe.
Vendredi 29 septembre 2017
En marge de la tournée des 30 ans les Burning Heads viennent de lancer une opération sur leur merchandising pour se racheter un van. My Band Our Van permet d’acquérir du merchandising exclusif ou inédit des Burning Heads contre quelques euros.
Au menu : des CDs dédicacés, des totebags et des planches de skate (les 2 dessinés par Gaetan Heuzé) et même la possibilité d’accompagner les Burning sur une date. La campagne est en ligneici.
Dimanche 17 septembre 2017
Les Skate-punkers genevois de Hateful Monday ont sorti hier leur cinquième album Unfrightened et seront en concert le 13 octobre prochain à Genève en compagnie des Burning Heads.
Lundi 28 août 2017
Interview : 30 ans, ça se fête ! Pour l'occasion, les Burning Heads se sont rendus disponibles pour échanger un peu et faire le récapitulatif de ces années, parler de leur label et des quelques moments mémorables ... Ca se lit ici.
Vendredi 04 août 2017
Grosse tournée pour Unsane à la rentrée qui viendra présenter son nouvel album, Sterilize (sortie le 29 septembre chez Alternative Tentacles). : 14.10 Anvers (Desertfest - Belgique) 15.10 Dunkerque - Les 4Ecluses 17.10 Paris - Petit Bain 18.10 Nevers - Café Charbon 19.10 Bordeaux - Rock School Barbey (avec Burning Heads) 20.10 Orléans - L'Astrolabe (avec Burning Heads) 23.10 Lyon - L'épicerie Moderne 24.10 Marseille - Razzle
Vendredi 14 juillet 2017
Effervescence Records vient de mettre en ligne les précommandes des albums de Burning Heads, Be One With The Flames et Escape en version vinyle limitée sur son tout nouveau site. Tout ça sortira le 15 Septembre 2017.
Jeudi 01 juin 2017
Pour les 30 ans du groupe Burning Heads, Effervescence Records annonce la ré-édition des 2 albums mythiques Be One With The Flames et Escape en version vinyle coloré et limité.
Mardi 07 juin 2016
Les Flying Donuts sont contraints d’annuler leur venue au 10 Years Kicking Fest, mais sont remplacés par les excellents petits nouveaux Supermunk (all star Band avec Forest Pooky, et des membres de Not Scientists et Anita Babyface) .
Enfin les Burning Heads Feront à l’occasion du 10 years Kicking Fest, un opposite set, un concert durant lequel ils mettront à l’honneur leur penchant Punky Reggae en cloture du festival.
Samedi 14 mai 2016
En concert ce soir : - Dernier jour du Mosh Fest #2 au Secret Place de Saint Jean de Vedas (34) avec Discharge, Benighted, Pulmonary Fibrosis, Seekers Of The Truth et Satan. Les places sont disponibles dans les réseaux habituels : billetterie Tout à Fond, Digitick, Fnac Spectacles. Toutes les infos sur trouvent sur l'event FB.
- Deuxième jour du Longlive Rockfest au Transbordeur de Lyon avec Northlane, Satanic Surfers, Rise Of The Northstar, Nasty, The Word Alive, Snfu, Hundredth, Napoleon, Celeste, Brutality Will Prevail, Polar, Hypno5e, Alea Jacta Est, Burning Heads, Annisokay, Make Me A Donut, In Arkadia, The Amsterdam Red Light District, Casey, Hellions. Les places sont en vente par ici. Toutes les infos sont sur l'event FB.
- Concert de Be Forest (Shoegaze / Italie) et Seas (New Wave / France) à La Flèche d'Or (Paris), grâce à Old Town Bicyclette. Toutes les infos sur l'event FB et les places par ici.
Mardi 15 mars 2016
Le Longlive Rockfest qui se déroulera le 13 et 14 mai au Transbordeur de Lyon vient d'annoncer sa programmation complète. Vendredi 13 mai : Simple Plan, Chunk! No Captain Chunk!, Landscapes, Eskimo Callboy, Capsize, Lonely The Brave, Blood Youth, Roam, The Earl Grey, Giants, Stereotypical Working Class, Trash Boat, Dead!, To The Rats And Wolves Samedi 14 mai : Northlane, Satanic Surfers, Rise Of The Northstar, Nasty, The Word Alive, Snfu, Hundredth, Napoleon, Celeste, Brutality Will Prevail, Polar, Hypno5e, Alea Jacta Est, Burning Heads, Annisokay, Make Me A Donut, In Arkadia, The Amsterdam Red Light District, Casey, Hellions Les places sont en vente par ici. Toutes les infos sont sur l'event FB.
Samedi 13 février 2016
Voici la programmation pour le prochain Longlive Rockfest (au Transbordeur de Villeurbanne - Billetterie à tarif préférentiel / Event FB): Samedi 13 Mai : Simple Plan, Chunk No Captain Chunk,
Landscapes, Eskimo Callboy, Capsize, Lonely The brave, Blood Youth, Trash Boat,
Stereotypical Working Class, To The Rats And Wolves,
+ 4 autres groupes à venir (annonce fin février) Dimanche 14 mai : Satanic Surfers,
Northlane, The Word Alive,
Rise Of The Northstar, Napoleon,
SNFU, Hundredth,
Celeste, Polar, Brutality Will Prevail, Annisokay, Burning Heads, In Arkadia, Hellions,
Casey
+ 5 autres groupes à venir (annonce fin février)
Lundi 10 août 2015
Ravi récemment reformé pour quelques dates, est bien décidé à remettre le couvert. Masses, leur dernier ep datant de 2010 va être réédité en vinyl dans les prochains mois, en attendant l'enregistrement d'un prochain effort. Sinon leur discographie est toujours en écoute sur bandcamp. Voici également les prochaines dates de Ravi : 11/09 - Paris (Le Gibus) avec Maladroit, Homeboys 25/09 - Hérouville-Saint-Clair (Big Band Café) avec Burning Heads, Ghost Friends 26/09 - Vannes (L'Artimon) avec Slice Of Life, Glen Football
Dimanche 19 juillet 2015
En concert ce soir : - Troisième jour du Xtreme Fest avec Behemoth, Satanic Surfers, No Turning Back, Terror, Burning Heads, Toxic Holocaust, Get Dead, Rise Of The Northstar, Opium du Peuple, Forus, Black March et Ta Gueule. Places disponibles sur la billetterie du Xtreme Fest et chez Digitick. Toutes les infos pratiques sur l'event FB. - Dirty Rotten Imbeciles (DRI - HxC Punk/Crossover Thrash) et Unleash the Unicorn (FB - Crossover Thrash) au Ferrailleur de Nantes. Les places sont en vente sur Digitick au tarif de 13,80€ (frais inclus) ou 15€ sur place. Infos sur FB. - Dernier jour pour le Festival de Dour, avec au menu Santigold, Infected Mushroom, Vandal, Little Big, Circa Waves, ... Tout se dévoile ici.
Lundi 22 juin 2015
Concours : Le Xtreme Fest vous accueillera pour sa 3e édition au Cap Découverte (Albi/Carmaux - 81) les 17, 18 et 19 juillet prochain. À l'affiche : Black Label Society, Behemoth, Ensiferum, Cannibal Corpse, Satanic Surfers, The Exploited, Terror, 7 Seconds, Strung Out, Iron Reagan, Comeback Kid, Burning Heads, Black Bomb A, Carnifex, D.R.I., Get Dead, Toxic Holocaust, Psykup, Opium Du Peuple, Cobra, Toundra, Sticky Boys, Rise Of The Northstar, Birds In Row, Adrenalized, 7 Weeks, Forus, Infest, Oldskull, Supremacy, Ta Gueule, Evilness, Black March, X-Or, Riff Tannen...
Les places/pass 1 jour, 2 jours et 3 jours sont disponibles sur la billeterie du Xtreme Fest. Les places à la journée et les pass 3 jours disponibles également chez Digitick. Vous pourrez retrouver toutes les infos pratiques sur l'event FB.
Pour cette occasion, l'Xtreme Fest
vous permet de gagner votre pass à la journée pour la journée de votre
choix (3 places en jeu). Pour participer, rendez-vous sur cette page. Bonne chance !
Samedi 16 mai 2015
En concert aujourd'hui : - 2nd jour de la première édition du Mosh Fest au Secret Place de Saint Jean de Vedas (34). Au programme : Vitamin X, Collision, Kate Mosh, Infest, Doomsisters, Reptilicus. Les réservations sont disponibles chez Digitick, Fnac Tickets et Ticketmaster. Toutes les infos pratiques se trouvent sur l'event FB.
- Le Xtrem Day c'est ce soir à Malestroit (56) avec Agnostic Front, Burning Heads, Not Scientists, The Rebel Assholes, The Argument, Kings Of Nothing et Death Squad. La soirée commence à 17h30 et les réservations se font par ici. Toutes les infos sur l'event Facebook.
- Carnival in Coal et 6h33 seront au Point Ephémère ce soir à 20H. Event FB.
-Destrock Fest à la Salle Odyssée à Brest (29). Ouverture des portes à 16h30. Côté prog on retrouve No Return, Mercyless, Under The Abyss, Soul D Mentia, Stronghold, Morkelvyz. Event FB.
- Le Le Society Kaos Institut Kritik fête ses 10 ans ce soir au Jardin Moderne de Rennes avec Chaos E-T Sexual, Ultimhate, DCA, Stonebirds, Trepalium, 7 Weeks et Food 4 Worms. Les places sont en vente sur Weezevent, et les infos sur FB.
Vendredi 17 avril 2015
Concours : Hier, le Motocultor Festival a révélé 15 nouveaux groupes pour son édition 2015 : Madball (qui remplace Burning Heads, annulé) Orange Goblin, Kyle Gass Band, Psycroptic, Little Big, Angelus Apatrida, Wermacht, Klone, Crisix, Dopethrone, Bliss Of Flesh, Arcania, Abysse , Machete et Executor.
Ils rejoignent à l'affiche : Carcass, Alcest, Septic Flesh, Sick Of It All, Pentagram, God Seed, Tankard, Solstafir, Delain, The Ocean, Ne Obliviscaris, Birds In Row, Trouble, All Out War, Psykup, Death, Sepultura, Kataklysm, Bombers, Krisiun, Rise Of The Northstar, Ancient Rites, Gutalax, Ramming Speed, Nesseria et Crown.
Encore 15 groupes restent à être annoncés.
Les réservations sont disponibles chez Digitick, Fnac Spectacles et Ticketmaster. Toutes les infos sur la page FB et le site officiel du Motocultor.
À cette occasion, le Motocultor Festival
met en jeu un pass 3 jours. Pour tenter votre chance, rendez vous sur cette page.
Jeudi 16 avril 2015
[Breaking News] Nouvelle annonce pour le Motocultor Festival avec 15 groupes qui s'ajoutent à l'affiche : Madball, Orange Goblin, Kyle Gass Band, Psycroptic, Little Big, Angelus Apatrida, Wermacht, Klone, Crisix, Dopethrone, Bliss Of Flesh, Arcania, Abysse , Machete et Executor. À noter que Madball remplace Burning Heads, contraints d'annuler leur venue.
Les réservations sont disponibles chez Digitick, Fnac Spectacles et Ticketmaster. Toutes les infos sur la page FB et le site officiel du Motocultor.
Mardi 14 avril 2015
Voici la programmation de la Flèche d'Or (Paris) pour les semaines et les mois à venir. Toutes les infos et places à vendre sur le site de la salle. 18/04 : Terroir Electronique Deux 21/04 : Circa Waves, Sundara Karma, Tazieff 23/04 : Drenge, Happyness 24/04 : Afrik'n'DReam : Grünt, Funky Drü, Flegon 25/04 : The Districts, Broncho, If The Kids 29/04 : Other Lives, Bc Camlight, Kris Dane 03/05 : Against Me!, Rocher Harvey, Caves 04/05 : And So I Watch You From Afar, Mylets (places à gagner) 12/05 : Burning Heads, Berri Txarrak, The Rebel Assholes, Not Scientists 13/05 : Nadine Shah 17/05 : Agnostic Front 21/05 : Congopunq, Amarillo 22/05 : Mew 28/05 : Unknown Mortal Orchestra, Cosmo Sheldrake, Stealing Sheep 29/05 : The Leisure Society 30/05 : Charge, Dysby, Crowmorph, Demon Tool + Guests 03/06 : Little May + Guest 07/07 : Bleachers
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