darkfreemo December 28, 2014 09:19
Après un tel gap temporel, At the gates s'en sort plutôt pas mal !
Même si on sent la tentative, un peu vaine, de réitérer Slaughter of the soul.
Après un tel gap temporel, At the gates s'en sort plutôt pas mal !
Même si on sent la tentative, un peu vaine, de réitérer Slaughter of the soul.
16 / 20
Après 19 années de silence radio, ATG revient comme si rien ne s'était passé depuis, on est donc dans la continuité de Slaughter Of The Soul et quelle continuité !
Difficile de ne pas rester insensible à l'usine à riffs ATG, les vocalises psychotiques de Tomas Lindberg et les plans énergiques et percutants de Erlandsson. Difficile de décrire l'ambiance imperceptible de cette album mais elle fait mouche et on a droit à une p'tite intro en espagnol (El Altar Del Dios Desconocidos) du plus bel effet liturgique.
Le point noir de l'album réside un peu dans la nouvelle production, un poil trop lisse et impersonnel mais cela entache peu le jeu des musiciens. Le reste vient de la suite, sauront-ils tenir dans la durée ? Car il faut bien reconnaître que cette album apporte peu de nouveautés.