La ville est horrible et oppressante.
Pour devenir un homme je dois rejoindre les grands espaces et contempler la nature changer au fil des saisons. Mes mains travailleront la terre, le vent dans mes oreilles apportera une musique pleine d'une douce amertume. Mes pensées iront rejoindre le sommet des arbres séculaires et le temps s'écoulera sans bruit tel la neige sur leurs branches.