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Lundi 17 juillet 2023

Un documentaire sur AC/DC se visionne sur la chaine youtube d'Arte.

Jeudi 13 juillet 2023

Le Power Trip Festival a du plomb dans l'aile, ce super festival américain avec Metallica, Tool, ACDC, Guns N'Roses, Iron Maiden, ... a du mal à vendre ses places (on parle de billets à 600$ ou plus). En tout cas Ozzy Osbourne qui était à l'affiche a annoncé qu'il ne participerait finalement pas (à cause de sa santé), il sera remplacé par Judas Priest.

Lundi 03 juillet 2023

Grum LeeCadjoleene viennent de mettre en ligne (et en intégralité) leur concert au Hellfest 2023 sur Youtube. Vous pourrez souffrir leurs neuf reprises acoustiques approximatives en français de Mötley Crüe, Iron Maiden, Steel PantherTenacious D, AC/DC, Judas Priest et Manowar... Et oui, à cause de leurs conneries, Manowar va toucher indirectement des sous de la part du Hellfest, en droit d'auteur via la SACEM (sans doute pas grand chose, mais Joey DeMaio ne crachera sûrement pas dessus !).

Mardi 20 juin 2023

Pour retrouver nos articles du Hellfest 2023 :
- Jeudi : Report (avec une intro sur le festival) - Photos
- Vendredi : Report - Photos
- Samedi : Report - Photos
- Dimanche : Report - Photos
Cette année il n'y a pas eut la conférence de presse habituelle, Ben Barbaud s'occupant de l'annulation de Incubus. C'est dommage car les déclarations du patron du fest quelques jours avant l'édition 2023 ont laissé beaucoup de questions en suspens.
L'édition 2024 est déjà annoncée du 27 au 30 juin avec mise en vente des billets le 27 juin 2023 à 13h. La com' du festival laisse penser que AC/DC pourrait être LE groupe de l'édition 2024 à Clisson ou à la Beaujoire de Nantes (comme déjà évoqué par le passé). On n'en sait évidemment pas plus pour le moment.

Mercredi 31 mai 2023

NiNi (Taiwan) a sorti un clip pour sa reprise de Thunderstruck (de ACDC); le twist ? C'est joué avec un Shamisen et un Sanxian : deux instruments à cordes  traditionnel du Japon et de Chine.

Jeudi 08 décembre 2022

Le Spotify Wrapped est l'occasion de voir le nombre d'auditeurs d'un groupe sur une année (sur Spotify évidemment). En voici un petit classement avec le nombre d'auditeurs de groupes ayant partagés leurs chiffres (donc Metallica, AC/DC devraient être dans le top 3, Gojira ou Slipknot dans le top 20, mais ils n'ont pas partagé les chiffres donnés par Spotify) :
120.7M - Queen
76.6M - Bon Jovi
59.9M - Machine Gun Kelly
46.9M - Scorpions
41.5M - Bring Me The Horizon
33.1M - Papa Roach
33.1M - 3 Doors Down
31.9M - Smashing Pumpkins
27.6M - Motley Crue
27.4M - Def Leppard
24.6M - All Time Low
22.6M - Alice Cooper
22.4M - Incubus
19.3M - Five Finger Death Punch
18.8M - Seether
16.4M - Alien Ant Farm
16.2M - Judas Priest
15.8M - Pantera
15.5M - Falling In Reverse
14.9M - Hollywood Undead
14.3M - Yellowcard
14.0M - The Red Jumpsuit Apparatus
13.5M - Skid Row
13.4M - Bullet For My Valentine
13.3M - Bush
13.1M - Bowling For Soup
12.8M - P.O.D.
11.6M - Daughtry
11.5M - I Prevail
10.9M - Dropkick Murphys
Si le sujet du streaming vous intéresse on a un article qui parle de ça orienté sur le Metal.

Mardi 11 octobre 2022

Fan d'AC/DC et numismate ? Louez The Royal Australian Mint (l'Hôtel royal de la Monnaie australienne), qui a annoncé le pressage de nouvelles pièces célébrant les 50 ans du groupe en 2023. 
Parmi elles, un dollar en argent à 1 dollar, représentant le guitariste Angus Young. Un ensemble de six pièces de 20 centimes, sous forme de disques du groupe avec des illustrations différentes, est également disponible. Chaque pièce de ce set est accompagnée d'une pochette personnalisée et est logée dans un étui de voyage personnalisé. Déjà sold out sur mintcoinshop.com.au.

Jeudi 04 août 2022

Pollstar (un média d'analyse du business des concerts) fête ses 40 ans et a publié un top 150 d'artistes en tournée, soit par nombre de billet vendus, soit par chiffre d'affaire (nombre de billets multiplié par le prix donc).
Tout en haut du classement c'est évidemment The Rolling Stones avec 2.1 Milliards de $ pour 22.1 millions de billets vendus. Et coté nombre de billets c'est U2 avec 26.2 millions.
Du coté des groupes qui nous intéressent :
- Metallica : #9 avec 1.2 milliard de $
- Guns N'Roses : #23 avec 751 millions de $
- ACDC : #27 avec 668 millions de $
Aerosmith : #31 avec 603 millions de $
- Kiss avec 523 millions de $
Suivent : Def Leppard, Iron Maiden, Muse, Foo Fighters, Red Hot Chili Peppers, Mötley Crüe, Pearl Jam, Rush, Vans Warped TourVan Halen, NickelbackZZ Top, Scorpions, Tool, Queen + Adam Lambert, Green Day, Ozzy OsbourneKid Rock et le Ozzfest à 174 millions de $
En terme de nombre de billets :
- #6 : Metallica (19.5M)
- #13 : Aerosmith (13.3M)
... A voir en intégralité sur Pollstar.com.

Dimanche 17 avril 2022

Sideburn (Rock, si tu aimes ACDC) met sur Youtube une video pour "Feel the Heat". Fired Up sort le 10 juin.

Jeudi 14 avril 2022

Dans une étude menée par le chercheur Cui Yang on découvre que :
- de la musique est joué sur lors de la majorité des opérations chirurgicales
- selon leur étude, le genre de musique et le volume aurait un impact sur la vitesse et la précision des opérations.
Pour tester, ils ont diffusé The Beatles ou AC/DC et mesuré les "performances" des chirurgiens. Le Rock "soft" à bas volume ou le Hard Rock à volume fort (65-70 db) ont de meilleurs résultats que des opérations sans musique. Pour les lecteurs qui font de la recherche, le papier est dispo ici (mais pas sur Sci-Hub semble-t-il). Vivement les études avec du Carcass en fond sonore !

Jeudi 10 mars 2022

Dans les ventes de singles Hard Rock / Metal aux USA si on regarde le Top 3 :
- Tool - Opiate²
Wig Wam - Do Ya Wanna Taste It
AC/DC - Thunderstruck
Et là vous vous demandez : Wig Wam ? Wig Wam c'est un groupe de Hard Rock / Glam norvégien séparé en 2014 et reformé en 2020 et le titre Do Ya Wanna Taste It est sorti en 2010. Si il est en position #2 c'est grâce à la série Peacemaker (tiré de l'univers DC, et notamment du personnage vu dans Suicide Squad) dont le générique de début est une dance de John Cena sur ce titre. Dans un article sur Billboard le groupe indique qu'il venait tout juste de se faire jeter par sa maison de production. Depuis le lancement de la série le groupe voit ses ventes / stream... exploser et reçoit plein de demandes pour des concerts dans le monde entier. On vous a mis le générique et le clip d'origine.

Jeudi 03 février 2022

Evanescence rentre dans le club assez fermé des groupes à avoir une vidéo avec plus d'un milliard de vue sur Youtube, c'est avec Bring Me To Life. Ils rejoignent ainsi (pour le rock / metal) Thunderstruck de ACDC, Nothing Else Matters de Metallica, Sweet Child O' Mine de Guns N'Roses, Smells Like Teen Spirit de Nirvana, Chop Suey! de System Of A Down, In The End et Numb de Linkin Park.

Dimanche 05 décembre 2021

Encore de la reprise, cette fois avec "Riff Raff" de ACDC repris par The Dirty Nil.

Jeudi 25 novembre 2021

Les Grammy (prix ricains) qui auront lieu le 31 janvier prochain a annoncé la liste des nominés. En voici 2 catégories qui pourraient vous intéresser (mais bon vous attendez pas à faire des découvertes) :
Meilleur performance metal :
- Deftones – “Genesis“
- Gojira – “Amazonia“
- Mastodon – “Pushing The Tides“
- Rob Zombie – “The Triumph Of King Freak (A Crypt Of Preservation And Superstition)“
- Dream Theater – “The Alien“
Meilleur album rock :
ACDC – “Power Up“
- Chris Cornell – “No One Sings Like You Anymore Vol. 1“
- Foo Fighters – “Medicine At Midnight“
Paul McCartney – “McCartney III“
Black Pumas – “Capitol Cuts — Live From Studio A“

Mercredi 24 novembre 2021

Red Fang a repris Hell's Bells d'ACDC.

Vendredi 11 juin 2021

Le nouveau clip d'ACDC est pour Witch's Spell, titre figurant sur le dernier opus Power Up sorti en novembre dernier. C'est par ici

Jeudi 15 avril 2021

Brian Johnson (chanteur de ACDC) va sortir une bio nommé The Lives Of Brian (ok, chapeau pour le titre).

Vendredi 29 janvier 2021

Un moine bouddhiste qui reprend Thunderstruck de ACDC ? Oui
Il reprend aussi Enter Sandman de Metallica sur sa chaîne Youtube.

Lundi 18 janvier 2021

Saxon sortira Inspirations le 19 mars chez Silver Lining Music, un album de reprise ou l'on pourra trouver du Led Zeppelin, Jimi Hendrix, Deep Purple, AC/DC... Voici la pochette et la tracklist. Les reprises de Speed King (Deep Purple) et Paint It Black (The Rolling Stones) s'écoutent dans la suite.

Vendredi 15 janvier 2021

ACDC dévoile le clip du morceau "Realize", figurant sur le dernier album Power Up sorti en novembre dernier. 

Jeudi 31 décembre 2020

Votre top lecteurs va arriver en janvier, pour ça il faut voter pour vos albums écoutés en 2020 !
Cette année on a notamment vu des albums de Sepultura, Anti Flag, Regarde Les Hommes Tomber, Deftones, Igorrr, ACDC, Wheelfall, Marilyn Manson, Soilwork, Déluge, Xibalba, Anna Von Hausswolff, Imperial Triumphant, Delain, Annihilator, Thou, Fluisteraars, Body Count, ...

Jeudi 17 décembre 2020

Kerrang a publié sa liste des 50 meilleurs albums de 2020, à lire ici. On y retrouve Corey Taylor, Smashing PumpkinsCode Orange, TriviumHigher Power, ACDC, ThouLoathe, Deftones, Green DayNova Twins, ...
Billboard a fait de même avec une liste de 25 albums (tout styles confondus), avec du Pearl JamCode Orange, Ozzy Osbourne, The Strokes, ... à consulter .

Vendredi 11 décembre 2020

Le clip de "Demon Fire" d'ACDC se découvre dans la suite

Mercredi 25 novembre 2020

Le dernier ACDC se porte bien : Power Up a atteint la place de numéro 1 des charts dans 18 pays, en plus d'être l'album à s'être vendu le plus rapidement aux Etats-Unis, au Royaume-Uni et en Australie. Plus d'infos

Dimanche 15 novembre 2020

The Chats ont annoncé un nouveau 7" AC/DC CD, avec une reprise de "Rocker" d'ACDC en side B.

Vendredi 13 novembre 2020

Voici la liste des sorties du jour ! On vous a listé environ 42 albums :

   

- AC/DC (Hard Rock), un titre
- Dark Buddha Rising (Doom / Drone), un clip
- Jesu (Drone / Shoegaze), bandcamp
- Blood From The Soul (Hardcore Indus, avec du Napalm Death, Converge, ex Nasum, Megadeth), un titre, bandcamp
Accu§er (Thrash, Allemagne), bandcamp
Boundaries (Metalcore), clip, bandcamp
Causa Sui (Psych Rock), écouter
Dangersex (Punk, Canada), bandcamp, un clip
Death Dealer (Heavy), une vidéo
Deathroll (Thrash Death), bandcamp
Décembre Noir (Doom Death, Allemagne), écouter
Dying Wish (Metalcore / Hadcore), un titre
- Envy (Screamo / Post Rock, un live), bandcamp
F29 (Groove / Doom Metal), bandcamp
- Frank Turner et Jon Snodgrass (Folk), un titre
Ghøstkid (Metalcore avec un ex Eskimo Callboy), clip
Harlott (Thrash, Australie), bandcamp
Humanity Is Cancer (Death), bandcamp
Intervals (Prog), bandcamp
- Katatonia (Doom / Gothic Rock, un live)
LA Guns (Hard Rock), un titre
Lie Still (Punk / Grind), bandcamp
- Lunatic Soul (Prog Rock), bandcamp
Macabre (Death / Grind), écouter
Molchat Doma (Colwave / Post Punk), single, bandcamp
Moon Tooth (Live Acoustique, normalement du Math Rock / Rock Metal), vidéo
Nebulizar (Thrash, France), bandcamp
Nibiru (Doom Psyche), vidéo
Of Feather And Bone (Death Metal), bandcamp
Olhava (Post Black), bandcamp
Omegavortex (Blackened Death Metal), bandcamp
Orden Ogan (Power Metal), vidéo
Pharaoh Overlord (Stoner / Truc de drogué), un titre
Phil Campbell&the Bastard Sons (Hard Rock), écouter
Post Truth (DBeat / Sludge), bandcamp
- Pyramaze (Power Metal), écouter
Qilin (Stoner Doom, Paris), écouter
Remnants Of The Fallen (Metalcore / Deathcore, Corée Du Sud), écouter
Scarlet (Metalcore), écouter
Soulburn (Black Metal), écouter
Strydegor (Death Melo, Allemagne), bandcamp
Völur (Doom / Folk, Canada), bandcamp
Warfect (Thrash Metal), bandcamp
World Be Free (HxC, avec des membres de Terror, JudgeStrifeDespair), bandcamp

  

Jeudi 12 novembre 2020

ACDC a dévoilé un nouveau titre : Realize.

Angus Young (de ACDC) sera en interview dans l'émission de Antoine De Caunes sur France Inter (17h, aujourd'hui).

Mercredi 28 octobre 2020

ACDC a dévoilé son clip pour Shot In The Dark

Jeudi 08 octobre 2020

AC/DC a dévoilé un nouveau titre Shot In The Dark. Il annonce un nouvel album, nommé Power Up (comme quoi après 40 ans on peut encore faire des jeux de mot sur l'électricité), il sortira le 13 novembre, avec les retours de Brian Johnson, Cliff Williams et Phil Rudd. L'album est en pré-commande, dans plein d'éditions différentes, dont une avec enceinte intégrée pour jouer le titre Shot In The Dark et pochette qui s'illumine et câble USB pour le recharger (allez hop l'écologie à la chaise électrique). Voici la pochette et la tracklist.

Jeudi 01 octobre 2020

ACDC fait marcher la machine marketing a plein régime, pour annoncer le retour du groupe avec Brian Johnson, Phil Rdd et Cliff Williams. Certainement un album ou au moins un single seront annoncé dans la foulée.

Jeudi 24 septembre 2020

Le magazine Rolling Stone a mis à jour sa liste des 500 meilleurs albums de tous les les temps, on y retrouve du Nirvana, Jimi Hendrix, Led Zeppelin, Guns N'Roses, ACDC, The Stooges, Metallica, Nine Inch Nails, Pink Floyd, Pearl Jam, Rage Against The Machine, Beastie Boys, Kiss, Black SabbathSmashing Pumpkins, Black Flag, MötorheadYes, RushAerosmith, The DoorsThe Sex Pistols, My Bloody Valentine, ... A voir en entier ici pour une liste de 500 classiques (surtout), on a même apperçu un album français avec Manu Chao.

Mercredi 29 juillet 2020

Selon Dee Snider, le prochain album d'ACDC est enregistré. Plus d'infos

Mercredi 20 mai 2020

Le Syndney Morning Herald (un journal australien) a réalisé une vidéo reportage sur les origines d'ACDC, c'est à retrouver par là

Jeudi 14 mai 2020

Dans l'émission Two Minutes To Late Night des membres de Clutch, Converge, Cave In, Mutoid Man et Carcass ont enregistrés une reprise de Riff Raff (de ACDC), ça s'écoute ici.

Mercredi 13 mai 2020

Des membres de Clutch, Converge, Cave In et Carcass ont repris ensemble Riff Raff d'AC/DC.

Samedi 28 décembre 2019

Gossip : C'est la période de fêtes de fin d'année, et aussi la période des déclarations en tout genre :
- En souhaitant un bon anniversaire à Lars Ulrich (Metallica), Kirk Hammett a dévoilé son surnom, Larzy Poo.
- Korn aurait sauvé la vie de Clint Lowery (Sevendust) en lui permettant de jouer avec eux en 2007, le musicien ayant à l'époque des problèmes liés à l'alcool.
- Slash considère le Garage Days de Metallica comme le meilleur album de reprise de toutes les temps. Il n'a jamais écouté Grum Lee...
- Dave Evans considère fantastique le fait d'être l'un des cinq membres fondateurs d'ACDC.
- Buck Dharma (Blue Oyster Cult), suite à des remarques de fans, suppose que l'on peut voir des points communs dans la musique de BOC et celle de Ghost.

Vendredi 29 novembre 2019

Et oui la date fatidique de Noël approche, et de nouveau comme depuis pas mal d'années on vous a préparé une liste d'idées cadeaux spécial metal / punk / ... avec des suggestions assez généralistes qui peuvent plaire à pas mal de monde dans la communauté. Entre des livres, des verres Marilyn Manson (ou ACDC / Slayer / Amon Amarth / Ghost / In Flames / ...), des jeux vidéos, des BD, des jeux de plateau, des dame-jeanne (yep), des décos murales, des photos encadrées, des affiches,  ... il y a normalement de quoi faire ! Tout ça est à découvrir ici (et n'hésitez pas à proposer vos idées également !).

  

Jeudi 25 juillet 2019

Si tu aimes ACDC, tu sais sans doute que le groupe fête les 40 ans de Highway To Hell. Pour l'occasion, les musiciens ont posté deux titres lives de 1979, "The Jack" et "Highway To Hell", à découvrir dans la suite.

Jeudi 27 juin 2019

Kirk Hammet et Robert Trujillo (de Metallica tous les deux) vont faire un concert de reprises tous les deux, au programme des covers de ACDC, Black SabbathBilly Idol, ... pour les accompagner on retrouvera Whitfield Crane (de Ugly Kid Joe) et Joey Castillo (ex Queens Of The Stone Age). 
Le prix des places oscillent entre 200 et 300$ (dont des Meet et Greet), si vous êtes blindé les places seront en vente ici aujourd'hui.

Mercredi 06 février 2019

Podcast : 21 ème épisode pour le podcast YCKM, au menu cette semaine : Wayfarer et un doublet Angel Du$t + Judiciary,  sinon on y parle aussi porno allemand et rock à papa avec une programmation musicale variée : ACDC, Mötorhead, Manowar, Municipal Waste, John Garcia, Blood Incantation, ... Sortez votre huile et vos peau de bête !
Pour écouter ce podcast :
- En ligne
- En téléchargement le MP3
- iTunes
- Deezer
- Spotify
- Ou via flux RSS
Pour venir discuter de cet épisode direction Discord.

Jeudi 31 janvier 2019

Brian Johnson est de retour dans ACDC avec qui il enregistre un nouvel album.

Jeudi 22 novembre 2018

A Perfect Circle a mis en ligne sa reprise de "Dog Eat Dog" d'ACDC. Le titre sera présent sur le 7" de So Long, And Thanks For All The Fish qui sort pour le Record Store Day du Black Friday.

Jeudi 11 octobre 2018

Le 23 novembre pour le Records Store Day (qui est aussi le Black Friday ?) sortiront des éditions limitées, dont évidemment pas mal de metal :
- A Perfect Circle – “So Long, And Thanks For All The Fish” (le titre en question et une reprise de ACDC et son "Dog Eat Dog"g)
- Anthrax – “Kings Among Scotland” (3LP)
- Chris Cornell – “When Bad Does Good”, avec le titre en question plus Stargazer de Temple of Dog en live
- Rage Against The Machine – “Live&Rare” en 2LP
- Type O Negative – “Bloody Kisses” (édition du 25ème anniversaire, en 3LP)
Tout ça est limité en quantité évidemment.

Mercredi 12 septembre 2018

Krokus (Hard Rock Suisse à la ACDC) raccroche les gants, le groupe a annoncé faire une vraie tournée d'adieu qui s'achèvera fin 2019. Plus d'infos

Jeudi 09 août 2018

Phil Rudd et Brian Johnson ont été vus près des studios où ACDC enregistre son nouvel album.

Samedi 23 juin 2018

Live Report : Il est tout chaud, tout frais, notre report du Hellfest.

Treizième année ! Et pour ma gueule treize à la suite, oui messieurs dames. Et que de chemin parcouru par ce festival ! C’est devenu un marronnier des débuts de report du Hellfest : mais quoi de neuf cette année ? L’orga' a mis le paquet sur les Mainstages en refaisant toute la déco des bords et du bar central, le tout avec derrière deux arches immenses qui balancent de l’eau, une en continu, l’autre en faisant des motifs ou en écrivant des choses avec l’eau (bonne idée quand il fait chaud !). Devant les Mainstages et la Warzone, on a désormais des pavés, fini la poussière ! Oui c’est démesuré, oui c’est fou, mais la gueule du site est dingue. Au bout de treize ans on peut dire “et la fontaine écrit des choses avec l’eau” avec un naturel et un côté désabusé.
Du côté de l’entrée du festival et son "Camden Town" version Hellfest, on trouve quand même plus étonnant de voir des stands bien éloignés du monde de la musique, comme une marque d’agroalimentaire à base de soja ou encore un assembleur / site de vente de PC. A t-on vraiment besoin de ça ? (c’est rhétorique hein)
Coté musical pour cette première journée il y avait une thématique “Hard Rock à papa” avec des groupes comme RoseTattoo, Timeline de Chris Slade, EuropeHollywood Vampires (avec Alice Cooper / Joe Perry d'Aerosmith et Johnny Depp, l’acteur bien connu de Rango ou Il était une fois au Mexique... Desperado 2), des groupes bien sous tout rapport : Converge / Meshuggah / A Perfect Circle, du Punk Rock comme Seven Hate, Burning Heads ou encore Bad Religion et un bel enchaînement Sludge avec du Crowbar / Eyehategod / Dopethrone / Corrosion Of Conformity.

Fange : Débarqués un peu à la bourre le temps de se garer, on admire tout de même une bonne moitié du set des Rennais, en forme et en jambes de bon matin. Les titres de Purge et Pourissoir se succèdent et cassent des nuques venues étonnamment nombreuses aussi tôt dans la journée. A croire que Fange s’est forgé une petite réputation mine de rien, et quand on voit le hurleur Matthias étaler ses tripes sur scène, on comprend mieux. Le rendu est un peu dégueu' mais l’exécution est au top. Le réveil idéal.

Bunkum : Première excursion sur la Warzone et première bonne mandale Punk Hardcore tendance Beatdown. On a encore les yeux qui collent et on se mange une bonne rafale de riffs plombés issus en partie de l'ep Crieres sorti en 2016, de quoi se réveiller convenablement, baignés d'un soleil déjà radieux. Bonne surprise et belle performance pour une Warzone bien mise en valeur cette année.

Darkenhöld : Il est toujours un peu étrange de commencer son Hellfest par du Black Metal. Surtout à midi. Quand bien même, les niçois de Darkenhöld ne sont pas présents dans le Grand Ouest tous les quatre matins et c’est tout de capes vêtus qu’ils nous accueillent sous la Temple pour leur Metal noir à ambiance médiévale et magique. Il faut dire que les claviers (samplés pour l’occasion) participent beaucoup à cette ambiance. Le son est bon, les guitares largement discernables, ce qui n’est pas un mal pour ce type de musique, porté par la voix de Cervantes en maître de cérémonie, très appréciable. Un groupe qui livre un bon set, fidèle à ce que peuvent donner leurs albums depuis dix ans.

Tesseract : Auteurs d’une musique "géométrique", aussi pachydermique que planante, les gars de Tesseract sont aussi carrés en live qu’en studio. Il est encore tôt, mais ça n’arrête pas les Anglais qui envoient du lourd, avec une précision chirurgicale et un son au top (on aurait pu avoir peur que le vent ait une mauvaise influence, mais le son de Tesseract est le plus fort). Côté setlist, les morceaux joués sont issus de One, d’Altered State, et du récent Sonder ; mais rien de Polaris. Dommage. Daniel Tompkins, entre deux mouvements à la Power Rangers, laisse une partie du chant growlé à son bassiste (bassiste qui est pieds nus pour accentuer sa ressemblance avec Steven Wilson), mais ne se prive pas lui-même en ce qui concerne les hurlements, notamment sur King qu’il dédicace à tous les musiciens du public. Un très bon concert d’un excellent groupe, malgré les quarante petites minutes de durée du set.

Dopethrone : Les québécois traînent enfin leurs pieds au Hellfest ! Et c’est peut être l’heure matinale qui les a perturbé mais on les a vu plus en forme, c’est mou, les inter-titres ne prennent pas et l’ensemble à un côté linéaire qui s’écoute, mais ne pousse pas à la folie. Pourtant le nouveau batteur a un jeu plus varié que l’ancien et sonne aussi plus métallique que par le passé. Mais rien à faire la sauce ne prend pas des masses. Dommage car en forme les trois là auraient retourné la Valley à une heure plus avancée.

Schammasch : Après une tournée aux côtés de Batushka en début d’année, le groupe Suisse revient se produire face à nous sous la tente de la Temple. Avec leur musique fleurant constamment à la frontière du Black Metal et des nervures les plus obscure du genre comme l’Ambiant.. En ressort un show sensoriel mais qui regorge de technicité. Malheureusement, le son qui n’est pas à leur avantage et les trois guitares, trop en retrait, n’aident pas à discerner toute la complexité de leur musique dans ces conditions. Mais passé ce contre-temps, la prestation se veut fort honorable et Schammasch reste un groupe à suivre pour ceux qui recherchent de la fraîcheur dans un genre parfois peu enclin aux prises de risques comme le démontre le triple album Triangle sorti en 2016, quelque part à mi-chemin entre Behemoth et Blut Aus Nord.

Sons Of Apollo : Le Hellfest 2018 est pour Sons Of Apollo l’occasion de faire son premier concert en Europe ! Le supergroupe ouvre sur le pavé God Of The Sun pour dix minutes de Prog mélodique de haute volée. Malheureusement, les claviers sont difficilement audibles et la guitare est un peu brouillonne. Le long solo de Ron "Bumblefoot" Thal sur Signs Of The Times sera néanmoins très propre. Quant aux claviers, eux vont fluctuer, tantôt trop forts et tantôt quasi-absents du mix, avant de trouver un bon compromis en milieu de set. Peut-être est-ce aussi la faute du vent qui balaye la zone devant les Mainstages ? Les autres instruments ont bien sûr leur mot à dire, à commencer par Billy Sheehan qui rajoute un petit solo de basse n’existant pas sur la version studio de Divine Addiction. Mike Portnoy est visiblement ravi d’être là, tout sourire derrière ses fûts (et son micro), pendant que son confrère ex Dream Theater, Derek Sherinian, semble plutôt blasé. Jeff Scott Soto est un bon frontman, charismatique et pas mal communicatif, qui fera même chanter une foule réceptive sur Coming Home.

Celeste : 14h20 à la montre, il est l’heure de prendre sa claque sous la Valley en compagnie de Celeste. Les lyonnais étant peu habitués à jouer sur des scènes de festival éclairés par la lumière du jour et ne pouvant pas délivrer l’aspect visuel que le groupe est censé montrer sur scène, il était intéressant de voir ce que le groupe allait nous proposer ici. Le résultat reste pourtant le même, à grand renfort de fumée, de stroboscopes et de lumières rouges vives, les musiciens, qui ont laissé tomber leurs lampes frontales, déroulent leur musique ultra oppressante sans fausse note. Le son est tellement lourd que l’on en oublierait les conditions dans lesquelles le combo se produit. Après l’apothéose atteinte durant D’Errances En Inimitiés, c’est le titre Ces Belles De Rêves Aux Verres Embués, extrait de Morte(s) Née(s), qui vient clore ce set. Il est temps de vite reprendre ses esprits, la journée est encore longue.

Seven Hate : En plein après-midi et en plein cagnard il est temps de se prendre une rasade de Punk à roulettes made in France, soit Seven Hate, nourri aux Pennywise, Comeback Kid et autre Bad Religion. Les poitevins exécutent proprement leurs classiques et font resurgir une certaine nostalgie chez les trentenaires du public. Et on n'oublie pas la petite pique nécessaire à notre président jupitérien. Pas de quoi casser trois pattes à un canard, mais suffisant pour maintenir le rythme d’une Warzone joliment agencée.

Rose Tattoo : Aïe Aïe Aïe ! J’y allais en espérant voir un petit Hard Rock sympa, version Australienne. Si le groupe est souvent comparé à AC/DC, en live c’est AC/DC en 12V. C’est atrocement mou, le chanteur manque de tonus et même si le groupe semble content d’être là, on se lasse vite.

Converge : Grands habitués de la Warzone du festival et de créneaux horaires de fin de journée, l’inquiétude était palpable à l’approche du set des américains sur la Mainstage 2 en pleine après-midi. Pourtant, peu importe l’horaire ni la scène où il joue, Converge met tout le monde d’accord avec une setlist qui fait la part belle au dernier album The Dusk In Us mais qui n’oublie pas les précédent de All We Love We Leave Behind jusqu’à Jane Doe avec Concubine qui vient clore ce court set d’une main de maître. Malheureusement quarante minutes c’est court et on n’aurait pas craché sur vingt minutes supplémentaire. Plus d’information à venir sur leur passage au Hellfest dans l’interview avec le chanteur Jacob Bannon que vous retrouverez sur le site dans les prochaines semaines.

Saor : Quel dommage. Quand tu vas voir un groupe de Black Metal Atmosphérique à tendance Pagan tu t’attends à que chaque instruments soient bien restitués sur scène, mais ici ça ne sera pas le cas. Sur les deux premiers titres on entend à peine les guitares, le violon surnage de manière dégueulasse et même si ça s’améliore au fils des titres, l’ensemble ne convainc jamais vraiment. La basse est beaucoup trop présente, cassant même parfois l’ambiance de certains titres, la voix est de bonne facture et la rythmique solide, mais sans guitares et et sans instruments traditionnels (pour certains samplés comme les flûtes) difficile de se mettre dedans. Très très dommage pour Saor car avec un meilleur son, les écossais auraient pu nous faire voyager d’une belle manière.

Meshuggah : Pantalons noirs unis, tshirts noirs unis, pas de blabla, pas de jeu de scène, ni même de headbanging. Sobre as fuck, peut-être, mais Meshuggah se rattrape sur l’exécution de ses compositions qui est tout bonnement parfaite. Pendant cinquante minutes, syncopes et saccades sont calées au micromètre. En revanche, l’affluence est étonnante (pour un groupe d’après-midi, et étonnamment bourrin pour une Mainstage) et on sera donc assez loin. A cette distance, le son Meshuggah nous arrive plus ou moins fort selon le vent, mais toujours aussi propre. Au deux-tiers du set, le colossal Bleed, que tout le monde reconnaît, vient finir de donner envie aux gens d’arracher des colonnes vertébrales. Mention spéciale pour l’ingé lumières, qui arrive à suivre les rythmiques incroyables sur les stroboscopes.

Demolition Hammer : Comment faire démarrer un circle-pit en cinq secondes chrono ? S’appeler Demolition Hammer, balancer Skull Fracturing Nightmare et avoir un parterre de Thrashers déjà conquis. Impressionnants sur album, les Américains ne faiblissent pas sur la vitesse qui est leur atout numéro 1. Slayer est rapide ? Haha, bonne blague. Entre les interventions micros brodées de "fuck", "fucking", "New-York", "motherfuckers", le batteur frappe comme l’éclair tandis que Steve Reynolds cale chaque syllabe sur la caisse claire. Avec quelques passages proches du Death, la cadence ne faiblit jamais, à tel point que la lecture des motifs Thrash Metal devient parfois ardue et connaître un tant soit peu les albums du groupe permet de mieux s’y retrouver dans la nuée infernale. Demolition Hammer est venu pour tout casser, c’est chose faite. Merci. Au revoir. Fuck. 
Crowbar : La grosse barbe proéminente de Kirk Windstein nous apparaît et pas seulement visuellement, puisque Crowbar empile les titres de qualité, qu’ils soient extraits du dernier album The Serpent Only Lies ou des classiques comme Broken Glass. Le rendu est bon et les riffs sonnent bien gras comme il se doit. Etrangement le public met un peu de temps à s’agglutiner, mais le quartet finit par le mettre dans sa poche en alignant une setlist qui en impose. What Else?

Uncommonmenfrommars : Shorts, t-shirts d’ados, casquettes à l’envers et chaussettes remontées, retour dans les années 90s pour les Uncommonmenfrommars. Grosse dose de bonne humeur avec le Punk Rock dynamique des frenchies qui semblent vraiment heureux d’être là. Ils en profitent pour placer une dédicace à leur compères Burning Heads (qui jouaient avant eux sur la même scène), en leur souhaitant un bon anniversaire pour leur 31 ans (« putain ils sont vieeeuuux », dixit les Uncommonmenfrommars).

Mysticum : Les précurseurs du Black Metal industriel reformé en 2011 nous font l'honneur de leur venue sous la Temple pour un set destructeur filant en ligne droite. Dr. Best, Prime Evil et Cerastes jouent à cinq mètres au dessus de la foule, tous les trois plantés comme des Y inversés sur de grandes plateforme. En arrière plan, un écran diffuse des imageries sataniques épileptiques. Impressionnant visuellement et musicalement. C'est froid répétitif et sans compromis, dicté par une boite à rythme pratiquement tout le temps calé sur le même tempo. On est à deux doigts pour que ça soit chiant à crever mais non, chez Mysticum ça fonctionne et ça détruit tout sur son passage.

Steven Wilson : Steven Wilson commence le concert à la basse, mais change rapidement son instrument pour une guitare (alors que Nick Beggs compense en passant au chapman stick en guise de basse). Après le premier titre, le Britannique annonce qu’une sélection de titres heavy seront joués, pour palier au fait qu’ils sont un des groupes les moins bourrins (Steven Wilson compare son groupe aux Abba du Hellfest !). C’est The Creator Had A Mastertape (de Porcupine Tree) qui est lancé dans la foulée, pour le plus grand plaisir des fans. Des titres de son ancien groupe, Sleep Together sera aussi joué en toute fin de set ; ainsi que des titres issus de plusieurs de ses albums solos. On notera l’originalité du frontman, qui présente non seulement son groupe, mais aussi une de ces guitares, nous expliquant qu’il est heureux de sa nouvelle acquisition, une Stratocaster de 1963, avant de jouer People Who Eat Darkness. Chaque titre est exécuté de façon parfaite. Pas de backdrop, mais un grand écran derrière le groupe, qui n’est malheureusement pas exploité sur chaque morceau.

Carnivore A.D. : Bizarrement Carnivore semble être tombé aux oubliettes. Pour rappel : le groupe a sorti deux albums dans les années 80 dans un style Crossover Thrash. Et au chant rien que moins que Peter Steele, futur leader de Type O Negative. Déjà à l’époque l’humour était noir et décalé (en témoigne le titre Jesus Hitler) et le groupe aura marqué le Crossover New-Yorkais. Là sur scène on a donc deux membres d’origines sur trois plus un bassiste / frontman qui physiquement ressemble à Steele (étrange).
Pour de ce qui est de la musique : c’est plutôt cool de pouvoir voir et entendre en vrai ce groupe mythique. Par contre ça a vieilli et même si on apprécier certains titres, une heure de set c'est longuet.

Church Of Misery : Line-up 100% nippon désormais pour Church Of Misery avec un Tatsu dont on peine encore à comprendre le jeu de basse, portée plus bas que Munky de Korn, et Hiroyuki, le chanteur, qui en fait des caisses visuellement. Et pourtant les mecs sont hyper bons, du genre à te faire groover comme rarement un Stoner / Doom assez classique mais imparable. Ce son chaud et groovy, ce gras chaleureux, cette voix envoûtante, tout est fait pour succomber au charmes des japonais. Et puis tu vois les mecs super contents d’être là, d’enflammer une Valley très réceptive à leur set. Tu demandes quoi de plus ?

Hollywood Vampires : J’avais préparé mon stock de vannes, j’étais prêt. Sauf à ce que Hollywood Vampires ne soit pas si mal. Alors attention, je n’ai pas dit que j’écouterai ça chez moi, non non, mais en live c’était très correct. En mêlant quelques compos et pas mal de reprises le groupe donne un concert de Rock / Hard Rock honnête, Alice Cooper change de registre (en reprenant du The Doors par exemple). Johnny Depp joue de la gratte, quand il est en rythmique ça passe, les solos c’est plus chaud (en face y’a Joe Perry tout de même), mais non il n’est pas ridicule. Les reprises sont bien foutues (The WhoThe Yardbirds / Mötorhead…). Donc il y aura eu Johnny Depp au Hellfest et mis à part se demander pourquoi un groupe qui a sorti deux titres originaux se retrouve tout en haut de l’affiche, c’était tout de même un bon moment.

Suffocation : Après s’être rempli la panse, quoi de mieux que de digérer pépère devant Suffo' ? Bon il faut avoir encore une petite place pour le dessert car la bande de New-York ne lésine pas à bourrer autant que possible. La crainte d’un son brouillon et trop synthétique n’était pas loin mais il n’en fut rien fort heureusement. Tout passe sans souci, même les soli sortent nets, quand ne s’abattent pas des riffs hyper-méchants. Et contrairement au groupe de Brutal Death Metal lambda, Suffocation fait un gros doigt à l’ennui en changeant de plan, de rythme toutes les 15/20 secondes (sans exagérer), de quoi surprendre suffisamment souvent. Sans être réservé qu’aux plus fins connaisseurs de leur discographie, Suffocation a de quoi plaire à tout amateur du genre, sans oublier les règles élémentaires de la politesse (un gentil et tout doux "thank you" du chanteur tous les deux titres après avoir growlé comme un ogre). Avec une part belle faite aux morceaux plus anciens (Infecting The Crypts, Liege Of Inveracity, Jesus Wept), les Américains ont retourné l’Altar sans aucune difficulté.

Eyehategod : Rien n’y fait, Eyehategod c’est les patrons du Sludge. En fait tout le monde le sait, mais tu peux seulement le comprendre une fois que tu les as vu sur scène. Genre force tranquille. Pas besoin d’en faire des tonnes. Déjà leur son parle pour eux : c’est gras, c’est fort, ça suinte et ça bastonne. Tout ce qu’on demande pour ce genre, donc. Puis Mike est très en forme vocalement, dégueulant sa haine avec puissance et justesse. C’est sans doute ça qui change depuis sa rémission, Eyehategod sonne plus juste, plus pro. Pas forcément qu’ils en aient quelque chose à branler, juste qu’ils le font pour eux et faut avouer que ça tape méchamment. Dans les riffs Stoner tellement au dessus de beaucoup groupes, dans le gras du Sludge méchant et noirâtre, ou alors dans les accélérations Hardcore qui laissent tout le monde sur le carreau. Bref, ce sont les patrons, c’est pas la peine de discuter.

Satyricon : «Allez, on va se poser au calme, c’est Therion qui va jouer et je m’en fous pas mal ». Horreur, enfer et damnation, voilà ce que c’est que d’être trop prévoyant et d’imprimer son running-order trop tôt. Satyricon a échangé son créneau avec les Suédois pour jouer en début de soirée pour laisser Therion conclure cette nuit de folie. Reste donc un bon quart d’heure après ce malheureux constat, durant lequel on pourra entendre la recette récente du groupe. Oubliez le Black Metal neigeux des années 90, là le tempo est bien plus standard (presque en sous-régime parfois) sur lequel se colle un riffing légèrement BM teinté Rock. Le genre de mélodies pas loin d’Inquisition, qui glissent sur le manche et fonctionnent pas si mal, mais difficile de juger beaucoup plus vu le peu de morceaux auxquels nous avons assisté.

Bad Religion : L’un des groupes culte du Punk Hardcore ricain s’expose sur la Zone de Guerre et met tout le monde d’accord, via un set énergique et calibré. Voilà le tableau : c’est propre, parfaitement aligné, mais ça manque d’une spontanéité inhérente au genre. Il faut dire que les gaziers ne sont pas tous jeunes et on peut toutefois reconnaître leur précision conservée malgré le poids des années. Le public est ravi et enthousiaste, prêt à en découdre. Un circle pit s’est même formé pour l’occasion, ne soulevant pas tellement de poussière puisque le sol en face de la scène est désormais pavé. On a parfois l’impression d’entendre les albums en live, sans surprise, on pouvait en attendre mieux malgré la performance.

Judas Priest : Ces dernières années, il était encore possible de se questionner sur l’intérêt que Judas Priest revienne se produire au Hellfest. C’était sans compter la sortie de leur nouvel album Firepower cette année, d’une qualité qui force le respect. L’attente était donc grande pour ce concert des anglais en tête d’affiche. Au-delà de l’aspect visuel du show qui se balade en permanence entre le kitsch Turbo Lover et du spectacle impressionnant pour les yeux, pour les oreilles on aura droit à des musiciens en très grande forme. Le temps file aussi vite que Rob Halford change ses tenues au cours du concert jusqu’à cette fameuse arrivée sur scène roulant sur une Harley-Davidson pour le Hell Bent For Leather. Living After Midnight vient clore le tout et l’on ressort de cette heure et demie avec des tubes plein la tête, de Grinder à Painkiller en passant par Breaking The Law et You've Got Another Thing Comin'. Judas Priest a clairement assuré !
Napalm Death : Les barons de Birmingham sont de retour sous l’Altar cette année encore, après avoir fraîchement sorti Coded Smears And More Uncommon Slurs dont on entendra un bout durant le set. Napalm Death joue à la maison et le fait bien sentir dans les tirades de Barney. Ce dernier entame dès le premier morceau son habituel jogging démantibulé autour de la scène en beuglant dans son micro avec la maîtrise qu’on lui connaît. S’il faut être tatillon (oui, "tatillon", j’ai le droit), on pourra arguer que le son était un peu moins propre qu’en 2016, avec des guitares légèrement plus floues. Mais c’est vraiment pour pinailler, car Napalm Death ne manque pas à sa réputation de chauffeur de salle et livre un show sans bavure, avec les incontournables (You SufferNazi Punks Fuck Off) et les offrandes plus récentes (Smash A Single Digit).

Corrosion Of Conformity : À minuit tapante les papas du Southern Metal aspergent la Valley de leur classe intemporelle, les mecs sont toujours pleins de ressources pour contenter un auditoire déjà conquis à cette heure-là. Un bon aperçu de la discographie est exposée, de Eye For An Eye à No Cross No Crown le dernier long en date et ma foi ce fut peut-être le plus clair rendu sous la tente en ce vendredi. Limpide et sans fioritures, le quartet a déroulé et assommé un auditoire en fin de journée, étalant un set efficace et pas vraiment surprenant. On ne s’attendait pas à mieux à vrai dire. C’est validé.

A Perfect Circle : Quatorze ans. L’attente aura été conséquente depuis le dernier passage français d’A Perfect Circle au Zénith de Paris en 2004. Venant en terre clissonnaise pour défendre album Eat The Elephant leur quatrième album (enfin !), le groupe ne s’est pas fait prier et a foulé la Mainstage 2 à l’instant où Judas Priest faisait retentir l’ultime note de leur concert. Progressant toujours dans l’ombre des lumières tamisées, c’est un véritable plaisir de retrouver Maynard James Keenan aux côtés de Billy Howerdel face à nous, plaisir partagé qui plus est d’après ses propres dires. Faisant la part belle à leur dernier album, certains morceaux d’Eat The Elephant atteignent un niveau de sublime sur scène que l’album seul n’atteint pas, ajouter à cela quelques passages par Mer De Noms et Thirteenth Step ainsi qu’une reprise de Dog Eat Dog en mémoire à Malcolm Young (AC/DC) et vous obtiendrez un des meilleurs concerts de cette première journée de festival. Par ailleurs, le groupe a également annoncé une nouvelle qui ravira tous les déçus qui n’ont pas pu saisir leur précieux sésame pour le concert à l’Olympia mardi : - A Perfect Circle reviendra au Zénith de Paris le 6 décembre prochain.

Rise Against : Un option intéressante pour se finir en ce vendredi sur la Warzone, Rise Against, qui mettait naturellement leur dernier album Wolves en avant. Soit une ribambelle de titres plus ou moins aseptisés, plus ou moins typés keupon hardcore 90’. Un set qui nous empêchera pas de taper du pied mais qui ne nous portera pas au-delà des cimes. Les Chicagoans ont fait ce qu’on attendait d’eux, ni plus ni moins. On pouvait néanmoins espérer davantage d’audace dans ce contexte.

Top 3 vendredi :
Bacteries : ConvergeMysticum - Crowbar
Chazo : MeshuggahMysticum - Svinkels
Pentacle : Eyehategod - Church Of Misery - Celeste
Skaldmax : Suffocation - Church Of MiseryDemolition Hammer
Tang : Converge - Corrosion Of Conformity - Fange
Zbrlah : Steven Wilson - Tesseract - A Perfect Circle
Meo : Church Of Misery - Eyehategod - Fange
Florian : A Perfect Circle - Bad Religion - Steven Wilson
Nonohate : Celeste - A Perfect Circle - Steven Wilson

Jeudi 22 mars 2018

Les rumeurs se font persitante sur un prochain album d'ACDC en cours d'écriture, avec Axl Rose au chant.

Dimanche 18 mars 2018

Chris Slade (de ACDC) sera en concert à Nantes le 6 octobre prochain avec son groupe Timeline (où il reprend son répertoire Hard Rock / Metal); toutes les infos dans la suite ou via le site du festival Guitare A La Pelle.

Jeudi 11 janvier 2018

La radio Trensistor a réalisé deux émissions sur le sujet "Metal, concerts et politique" : #1 et #2 (on y parle de Prophets Of Rage, Pain Of Salvation, Serj Tankian, Mass Hysteria, ACDC, Grave DiggerDoro, ...).

ACDC

Style : Hard rock
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Origine : Australie
Site Officiel : acdcrocks.com
Site Officiel : highwaytoacdc.com
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