Dimanche 03 mars 2019

Un peu de Pantera en live et en acoustique ? C'est New Years Day qui se lance.

Mercredi 20 février 2019

Podcast : Pour ce 23ème cru YCKM (podcast metal qui aime l'extrême) va taper dans le coming out et la punition en s'attardant sur le dernier FangeAstronoid et une proposition faites par Twitter : Kaleikr.
Pour la playlist vous y retrouverez (entre autres) : MarécagesMount Saturn, Pantera, Perturbator, Slayer, Iron Reagan, Daughters, ...
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Mardi 12 février 2019

Afin de rendre hommage à Vinnie Paul, Hellyeah a lancé un appel à participation. Si vous avez une photo de vous en compagnie de l'ancien batteur de Pantera, envoyez la sur ce lien et elle figurera dans l'artwork du prochain Hellyeah

Jeudi 24 janvier 2019

Rex Brown (ex Pantera / ex Down) est désormais un ex Kill Devil Hill, il a quitté le groupe de façon amical pour se consacrer à son projet solo, celui ci devrait voir le jour au printemps.

Vendredi 28 décembre 2018

Un mash-up entre "5 Minutes Alone" de Pantera et "Fame" de David Bowie? Bien sûr

Jeudi 13 décembre 2018

Pour jouer Aquaman Jason Momoa s'est inspiré de groupes metal comme Tool, Metallica et Black Sabbath. Il a aussi indiqué que pour son rôle de Conan (celui de 2011) il s'était plutôt inspiré de Pantera.

Mardi 16 octobre 2018

Stephen Carpenter (Deftones), Frankie Palmeri (Emmure), Kyle Sanders  (Hellyeah), Pepe Clarke (Kyng) sur scène pour reprendre "Becoming" de Pantera c'est ici. C'était lors d'un concert hommage à Vinnie Paul, où des membres de Korn, Godsmack ou encore Gwar sont passés sur scène.

Jeudi 11 octobre 2018

"Walk" de Pantera repris par un brass band (Brass Against feat Sophia Urista) ? Yep, et ça a plutôt de la gueule.

Mercredi 03 octobre 2018

Philou et ses copains : Anselmo a invité le chanteur de King Parrot à reprendre avec lui I'm Broken de Pantera en live. 

Samedi 01 septembre 2018

Les causes du décès de VInnie Paul (PanteraDamage Plan, Hellyeah) ont été rendues publiques. Il est décédé d'une cardiomyopathie sévère, spécifiquement, d'une dilatation importante de l'artère coronaire. En d'autres termes, il est mort de cause naturelle. Souvenir.

Lundi 25 juin 2018

La mort de Vinnie Paul a donné lieu à de nombreux hommages, des Foo Fighters à Metallica en passant par Korn ou Van Halen. Selon la famille de l'ex-batteur de Pantera, celui-ci est mort dans son sommeil, d'une cause encore inconnue.

Dimanche 24 juin 2018

Live Report : Hellfest - Jour 2
Et c’est parti pour un samedi qui fera la part belle au Neo Metal, au Hardcore et il y aura pas mal de lien avec le Hip-Hop (Dälek, Ho99o9Powerflo, Body Count, …). C'est une première d’avoir autant de représentants du genre à Clisson.

Pensées Nocturnes : Simple projet one-man band de Vaerohn à l'origine, c’est au printemps 2017 que Pensées Nocturnes se produit pour la première fois en concert en s’entourant d’une poignée de musiciens. Le groupe montre déjà un professionnalisme exemplaire, preuve d’une expérience de la scène grandissante. Enchaînant les utilisations d’instrument peu habitués à sonner sous la Temple comme l’accordéon, la trompette ou encore le trombone, la formation parisienne dégage une aura sur scène qui nous transporte dans ce monde cauchemardesque où l'on a hâte de s’enfoncer en espérant que le cauchemar dure aussi longtemps que possible.

Monolord : L’un des premiers concerts de la journée et première claque. Une entame de Valley idéale pour se réveiller convenablement. On reste comme à l’habitude des suédois, du riff, du riff, et encore du riff, gras et basé sur un assemblage minimaliste de notes, qui ravira une assemblée en phase de réveil. Les morceaux du dernier album, Rust, s’agglutinent et font leur office, aplatissant les têtes, écrasant les corps. Classique mais efficace, du feeling et de la lourdeur, tout ce qu’on attendait finalement.

Get The Shot : Les Québécois ont littéralement cramé la Warzone, bien aidés par les compos de Infinte Punishment, mais aussi de l’album précédent No Peace In Hell, de la matière gorgée de feeling pour satisfaire la ménagère hardcore de moins de 50 ans. Les messages politiques n’ont pas manqué, orientés en particulier sur la répression policière. Les titres de Get The Shot résonnent dans la Warzone et contentent une affluence étonnamment massive à midi. De quoi retourner une assemblée de coreux à travers une énergie positive.

Demilich : Demilich est l’exemple même de la formation culte qui n’a pas eu droit à la notoriété qu’elle mérite. En effet, les finlandais n’ont sorti qu’un seul et unique album. Je vous encourage, si ce n’est pas déjà fait, à vous plonger dans l’album Nespithe, qui aurait mérité que le groupe se retrouve aux côtés de formations comme Death, Gorguts ou encore Nile. Malgré un son légèrement en retrait, ce qui n’aide pas les festivaliers qui viennent découvrir le groupe sur scène aujourd’hui, les finlandais, très heureux de se produire enfin chez nous, font preuve d’une technicité exemplaire. Pour l’occasion le groupe a même réalisé un t-shirt spécial aux couleurs du drapeau français, fièrement arboré par le bassiste.

Misþyrming : Ce qui est incroyable chez les islandais c’est la virulence avec laquelle ils exécutent leurs morceaux sur scène. Tu sens que les gars ne sont pas là pour rigoler et qu’ils vivent vraiment leur Black Metal, bien plus que certains groupes dans le genre qui sont méchants dans leurs compos, mais dans l’attitude c’est tout autre. Tu ajoutes à ça un son exemplaire où l’on distingue les instruments, une voix de possédée et des leads de guitares fous (sur Söngur Heiftar notamment) et tu obtiens un concert de Black Metal les plus marquants au Hellfest de ces dernières années.

Knocked Loose : Seconde excursion vers la Warzone et seconde gifle, dans le domaine hardcore beatdown moderne, on peut difficilement faire mieux. Rythmique sur-lourde, dérision verbale et feeling outrancier, les jeunes gens de Knocked Loose n’ont déjà plus rien à prouver en direct. A l’image de leurs camarades de Code Orange, les gaziers sont en place et engrangent les points de vie à travers les titres de Laugh Tracks, sans complexe.

Psykup : C’est une immense foule qui déborde déjà de la Altar qui s’est donnée rendez-vous en ce début d’après-midi pour accueillir une de nos formations cultes bien de chez nous : les toulousains de Psykup. Le show aujourd’hui sera dans l’exacte continuité de la tournée de 2017 qui faisait suite à la sortie de Ctrl+Alt+Fuck, leur dernier album. Le seul véritable regret de ce concert vient de ce show entièrement calculé comme il l’était lors de la tournée qui les a amené à filmer leur concert à domicile pour une sortie DVD. Plus de spontanéité et de morceaux des anciens albums auraient été les bienvenus et le résultat n’en aurait été que plus impactant.

Re-Psykup (vu par un autre chroniqueur, qui n’avait pas vu la tournée précédente et n’était donc pas spoilé) : Après un court sample de Surfin’ USA en intro, les membres de Psykup arrivent en chemises à fleurs et en lunettes de soleil, en jetant des frisbees dans la foule. L’ambiance est posée, c’est parti pour quarante minutes d’Autruche-Metal débile, groovy, et précis dans son exécution. « On s’appelle Psykup, on vient de Tokyo ! » lâche le vocaliste, toujours dans l’esprit WTF du groupe. Leur titre Do It Yourself sera dédicacé au Hellfest qui s’est construit à partir de rien. On retiendra aussi les morceaux Cooler Than God ou Love Is Dead, qui marquent par la puissance de leur groove parfaitement retransmis sur scène. En parlant de scène, Psykup n’investit la Altar qu’avec un tout petit backdrop à l’effigie du récent Ctrl+Alt+Fuck, mais a aussi posé de part et d’autre de la batterie six panneaux lumineux qui s’allument pour former différents mots ou logos selon les titres, et qui en fin de set affichent une alternance "Merci! / Bisous!". Des fadas, ces toulousaings.

Oranssi Pazuzu : Cette année le Hellfest nous gâte pour ce qui est des perles underground et / ou old school sous la Temple et l’Altar. Oranssi Pazuzu était assurément un nom à ne pas rater pour qui aime l’ivresse musicale. Avec ses deux guitaristes et son clavier, le groupe débarque sur un premier titre un peu inquiétant question qualité sonore , ça vrombit dans tous les sens, mais il est carrément ardu de distinguer les notes aiguës. Problème réglé dès le deuxième morceau extrait du dernier méfait des Finlandais. Et là, c'est l'envol, le départ vers d'autres dimensions. Oranssi Pazuzu rayonne de puissance et distille ses mélodies étranges, Aux portes du Psyché. Lahja nous met sur les rails avec ses percussions tribales et cette guitare répétitive, un trip qui durera tout le reste du concert, consacré essentiellement à l’excellent dernier né Värähtelijä. Si les non-initiés et réfractaires pourront trouver des longueurs dans les riffs tournant en boucle, les nordiques préparent en fait le terrain pour des explosions incroyables. Le final se fera sur un Vasemman Käden Hierarkia dantesque, brillant par son tempo écrasant qui finit de sonner l’auditoire. Le retour au monde physique est douloureux, voir un autre concert immédiatement après n’est vraiment pas une idée séduisante, on préférera plutôt se ressasser encore quelques minutes les élucubrations fantastiques des scandinaves.

Heilung : Jean Michel Pagan était de sorti sous la Temple vers 17h avec les allemands d’Heilung puisque cette année il n’y avait pas Wardruna pour assumer sa passion pour les peaux de bêtes, le marquage au crayon noir et les cornes à boire. La scène est blindée, on ne peut rien voir à part des silhouettes de types habillés avec des peaux d’animaux morts et des bardages de bois qui servent de cache misère. Des borborygmes, des percussions tribales minimalistes… heureusement qu’on a eu plusieurs siècles d’évolution pour dépasser ce néant musical. Curieux que des mecs souhaitent s’y complaire. Lundi, tout ce beau monde pourra retourner au bureau se faire chier la nouille en réunion et aller faire ses courses au Leader Price du coin, mais le temps d’une petite heure Jean Michel Pagan aura voyagé quelque peu dans des contrées fantasmées, tout comme son patrimoine viking hérité de sa grand mère espagnole.

Modern Life Is War : Augmenté de deux récents nouveaux titres, Modern Life Is War s’est fait plaisir tout en les distribuant à un public malheureusement peu agglutiné devant la scène. Alors que Get The Shot avait rempli les lieux plus tôt dans la journée, on se retrouve un peu désolé de voir un groupe emblématique des 90’s se démener devant un public trop peu intéressé. Le groupe n’est certes pas très porté sur la promo, mais ça ne nous empêche pas de soutenir le bouzier, qui mérite amplement un relais. On tâchera d’en profiter, comme on l’a fait durant leur set.

Jonathan Davis : Jonathan Davis en solo sonne comme du vieux Korn, c’est à dire glauque et lugubre en restant accessible, mais en plus dépressif, en plus Pop et en plus chiant. C’est long et il ne se passe rien. On se rattrape avec l’originalité de la formation : en plus du vocaliste qui donne son nom à son groupe, sont présents sur scène un batteur (celui de Korn d’ailleurs), un guitariste, un claviériste, mais aussi un contrebassiste et un violoniste. Mais en dehors de ça, on ne retiendra pas grand chose d'intéressant ici.

Dälek : Si le Hip-Hop est un peu plus à l’honneur cette année notamment sur cette journée du Samedi, peu de monde s’est pressé pour voir Dälek sous la Valley. Quelle erreur, mais ceux qui connaissent ou venaient pour la découverte ne seront pas déçu. A l’occasion pour ce concert, c’est Mathieu Vandekerckhove d’Amenra qui est venu prêter main forte au duo à la guitare. Celui-ci se montrera assez discret, mais ajoutera tout de même une couche d’effets supplémentaire aux machines de Rek. 50 minutes de Hip-Hop lourd, froid, urbain et bruitiste porté par le flow colérique de MC Dälek. Le son n’est pas à leur avantage, mais on comprend la thématique : c’est noir et lancinant. Dälek pioche surtout dans son dernier et premier album avec trois titres d’Absence : Asylum, Ever Somber et le fantastique Culture For Dollars, mais aussi Echoes Of… d’Endangered Philosophies qui détruit tout sur son passage avec cette rythmique tellement méchante. On y trouvera également les morceau Weapons et Numb en conclusion. Un très bon set, mais on aurait aimé encore plus de basse et encore plus de lourdeur pour faire s'écrouler la Valley.

Pleymo : Les Pleymo attaquent leur set avec United Nowhere puis Ce Soir C’est Grand Soir, de vieux titres bourrins au chant rappé qui permettent au groupe de gagner l’attention de la foule amassée devant les Mainstages, a.k.a. les scènes "revival 2000" de ce samedi. Le groupe fera l’effort de continuer de glisser de nombreux titres bien vénères pour justifier leur présence, malgré quelques incursions vers leurs albums les plus récents. Ces quelques titres, plus mous, laissent indifférent les gens qui, comme moi, regardent de loin, mais l’ambiance dans le pit semble complètement survoltée tout le long de la prestation. Le chanteur remercie d’ailleurs le public et demande si "vous êtes là ?" entre chaque titre (c'est lourd), et provoque un gros Braveheart sur Tank Club. Pleymo finira par Blöhm!, un dernier extrait de leur premier album, datant déjà de 1997 (ça aussi, on nous le rappelle entre les morceaux, que Pleymo a eu une carrière : re-lourd), pour partir en beauté. L’air de rien, quand ils blablataient pas, ils ont tout péta.

Bullet For My Valentine : Même s’il y a encore une énorme masse de monde, la foule semble moins réactive pour Bullet For My Valentine que pour Pleymo. Il faut dire que leur look de poseurs prétentieux en mode coreux à casquette et la distance que les musiciens mettent avec le public (lunettes noires, pas vraiment de communication) n’ajoutent pas à leur capital sympathie. Contrairement aux autres groupes de notre adolescence qui jouent sur les Mainstages aujourd’hui, Bullet For My Valentine joue des titres récents et n’arrive pas à déclencher le petit quelque chose qu’on attend d’eux. Pour couronner le tout, le frontman est peu bavard et de longs blancs s’installent entre les morceaux. Parfois un nouveau titre finit par démarrer, d’autres fois le chanteur sort quelques phrases bateau avant de lancer la suite, mais dans tous les cas on sent un malaise. Heureusement, le groupe finira avec Tears Don’t Fall et Waking The Demon pour un fan-service minimal.

Terror : Que dire sur un show de Terror ? Le groupe était au taquet ? Le public aussi ? Sur les bords de la scène on retrouve les groupes de la journée (prêt à venir faire un feat, aider… si besoin). Scott Vogel harrangue la foule, répète en boucle que c’est bien d’être en vie, d’être libre… Et entre ses discours : ça joue à fond, évidemment. C’était bien, c’était Terror.

Body Count : Ouvrir son set sur une Mainstage par une reprise de Slayer quand on est un groupe de Rap / Metal, fallait y penser. Mais continuer par une seconde reprise (toujours de Slayer), puis du blabla, puis un solo de guitare noisy, puis du blabla... Au final, Body Count semble pêcher par excès de confiance et tombe dans la désinvolture. On dirait que le groupe est en répétition... Jusqu’à un certain point où le concert commence vraiment, avec les tubes Cop Killer et Talk Shit Get Shot qui sont joués en fin de set. Mais c'était trop tard pour véritablement s'enflammer.

Deftones : Il faut remonter en 2009 pour la dernière apparition de Deftones en terre clissonnaise, donc dire qu’aujourd’hui le groupe était attendu serait le plus gros euphémisme de la journée. L’hystérie s’empare de la foule à l’apparition des premiers membres du groupe et de Chino Moreno qui lance le concert sur Headup. L’effervescence est alors quasi-instantanée dans la fosse et ne redescendra pas de sitôt car les morceaux suivant ne sont autres que My Own Summer et Around The Fur. La setlist aura la particularité de regrouper les morceaux joués à la suite par album, ainsi après Around The Fur s’enchaîne White Pony puis Diamond Eyes. Malgré les conditions proposées par la Mainstage 1, Chino a cette particularité de créer une connexion avec son public en toutes circonstances, atteignant un pic d’émotion sur Knife Party et Change (In The House Of Flies). Le rappel au soleil couchant se fait sur un enchaînement tiré d’Adrenaline sur lequel Sen Dog de Cypress Hill, présent ce jour pour son nouveau groupe Powerflo, vient épauler Chino en arborant fièrement un t-shirt Hellfest Crew. Une seule envie à la sortie du set de Deftones, celle de vouloir les revoir au plus vite.

Limp Bizkit : Lors de leur dernier passage en 2015 le groupe avait fait un set plus que moyen en remplissant leur playlist de reprises (genre Limp Bizkit n’a pas de quoi balancer une heure de tubes). Cette fois ça débute plutôt bien, ça balance des tubes; mais très vite Fred Durst blablate pendant des plombes entres les titres, puis DJ Lethal nous balance des extraits de titres connus (du Slayer, du Pantera, du Nirvana, du Rage Against The Machine...). L'horreur absolue sera atteinte sur La Marseillaise pour une mabiance fête à la saucisse digne de ce nom. Voilà comment prolonger son set, de casser le rythme… Au final si on prend les titres joués c’était une bonne playlist (Rollin' (Air Raid Vehicle)Nookie, My Way, Take A Look Around...) mais avec des interludes relous au possible.

Watain : Tridents en flammes, foule agglutinée, les Suédois sont attendus de pied ferme par une Temple bien remplie et avide d’en découdre. Le rituel prend forme comme d’habitude, Erik Danielsson se la joue solennel et voilà le set lancé. Entre rythmiques hachées qui tabassent et tremolos mordants, Watain mène sa danse avec aisance et bénéficie d’un son très bien équilibré. Exit les bouchons d’oreilles, les notes dissonantes viennent s’échouer sur les brasiers incandescents tandis que la foule réagit avec ferveur. Placé en pleine nuit, le set est empreint d’un mysticisme renforcé par un light show très dynamique voire épileptique. Pour conclure sa mise en scène Danielsson incarne Lucifer en personne en transmettant la lumière au public, avant de retourner dans les ténèbres.

Cro-Mags : Allez, pour ce weekend en virée Crossover on demande les papas : Cro Mags. Version John Joseph évidemment (si vous avez suivi les batailles autour du groupe) et c’est une petite leçon d’histoire et de musique. Le groupe joue limite Thrash puis montre ses aspects plus Hardcore. Pas de grosse révélation ici, mais un concert sympa et énergique.

Nile : Les plus fins égyptologues du Hellfest se sont donnés rendez-vous à l'Altar pour une conférence fort intéressante présidée par Nile. Direction les catacombes des pyramides et la Douât avec le Brutal Death Technique des Américains sans passer par la case tourisme. Agrémenté de quelques samples de musiques d'ambiance histoire d’aérer et de faire humer le sable brûlant au public, le set ne fait pas défaut à la réputation de notre troupe d’historiens. Du Brutal Death Technique exécuté sans accroc, sans énorme prestation non plus. Globalement bon, le son laisse passer les lignes mélodiques qui se faufilent sans souci dans les esgourdes, respiration salutaire entre le matraquage compulsif de George Kollias et le riffing ininterrompu des guitaristes. Avec un Suffocation qui a tout retourné hier, Nile souffre fatalement de la comparaison, et on ne peut pas s’empêcher de noter des guitares trop rocailleuses qui méritaient un son plus plein.

Neurosis : Cette branlée. Ce son de fou furieux. On n’était pas prêts. Ce n’est pas la première fois que Neurosis vient au Hellfest ou qu’on a la chance de les voir sur d’autres festivals, mais là, les mecs ont poussé les potards à 11. Tout sonne parfaitement, de la batterie aux rythmiques tribales jusqu’aux guitares carnassières et au chant terrible de Steve Von Till et Scott Kelly. On sent le groupe très remonté de l’ouverture sur Given To The Rising jusqu’au final apocalyptique du monstrueux Through Silver In Blood. Un pliage de nuque en bonne et due forme et un immense signe de respect pour les américains qui sont encore et toujours largement un cran au dessus de toute la vague de groupes Post-machin.

Parkway Drive : Fulgurante ascension que celle de Parkway Drive qui en 2013 encore se produisait en milieu d’après-midi avec un simple backdrop comme décor. Aujourd’hui c’est bel et bien en tête d’affiche de la Mainstage 2 que les australiens se produisent. Pour l’occasion, le groupe nous dévoile un show de lumière, de pyrotechnie ainsi que d’autres artifices dignes des plus gros noms de cette affiche. Malheureusement, il faut plus qu’un show visuel captivant pour en venir à apprécier une heure de set majoritairement composé de morceaux des deux derniers albums du groupe. Et ce n'est clairement pas leurs meilleurs titres.

Dimmu Borgir : Dimmu Borgir qui clôt les concerts de la Altar, c’est l’assurance d’une surpopulation sous la tente en question pour une fin de soirée placée sous le signe de l’epicness. Après une conventionnelle ouverture avec les deux premiers titres du récent Eonian, les Norvégiens dégainent leurs tubes : The Chosen Legacy, Gateways, Dimmu Borgir... Les lumières rouges, la fumée, et le backdrop qui symbolise une façade d’église donnent une ambiance de messe noire au set. Les chœurs sont parfois un peu faiblards, mais la set-list est un tel best-of que l’efficacité est là. Mais la fatigue aussi, et de loin, le son est étouffé et la magie prend moins bien. Dimmu Borgir termine sa collection de tubes par des inévitables, Progenies Of The Great Apocalypse et Mourning Palace. Rien à redire sur la prestation, mais elle fut difficile à apprécier à cause de la foule et de l’épuisement.

Top 3 :
Méo : Orange Goblin, Get The Shot, Monolord
Bacteries : Deftones, Psykup, Neurosis
Skaldmax : Oranssi PazuzuMisþyrming, Deftones
Pentacle : Neurosis, Oranssi Pazuzu, Dälek
Florian : NeurosisTurnstile, Deftones
Chazo : Deftones, Ho99o9, Psykup
Tang : Neurosis, Knocked Loose, Dälek
Zbrlah : Deftones, Psykup, Enslaved
Nonohate : Neurosis, DeftonesMisþyrming

Samedi 23 juin 2018

Vinnie Paul, ex batteur de Pantera, actuel Hellyeah, est décédé. RIP
Aucune information n'a été donnée sur les circonstances.

Jeudi 08 février 2018

L'interview de Riley Gale, chanteur dans Power Trip est en ligne. On y aborde pas mal de sujets : l'essor du groupe, la B.D, notre époque, la philosophie post moderne, ou encore Pantera, parmi tant d'autres !

Jeudi 04 janvier 2018

New Years Day va sortir un EP de reprises le 26 janvier, dessus sont prévus :
- Garbage : I’m Only Happy When It Rains (avec Lizzy Hale de Halestorm)
- Linkin Park : Crawling
- Pantera : Fucking Hostile
- No Doubt : Don't Speak
New Order : Bizarre Love Triangle
Et un titre original : Disgust Me.
Un nouvel album du groupe est également prévu pour l'automne.

Jeudi 21 décembre 2017

Rex Brown (ex Pantera) va sortir un album de reprises (et si vous aviez loupé : on a chroniqué sa biographie ici).

Vendredi 15 décembre 2017

Rex Brown (ancien bassiste de Pantera) nous offre une vidéo pour Fault Line, extrait de son album solo Smoke On This.

Vendredi 08 décembre 2017

Aux USA vous pouvez trouver une poussette Pantera (avec porte gobelet) ... Un article que l'on aurait pu mettre dans notre liste de Noël pour metalleux si on avait une nuque longue (et à part Pentacle dans sa prime jeunesse aucun de nous ne porte cette coiffe).

Samedi 18 novembre 2017

Les Home Videos de Pantera avaient largement participé au mythe autour du groupe à l'époque de leurs sorties. Vingt quatre ans après la troisième, voici en exclusivité le trailer de la Home Video Part IV qui sortira prochainement.

Dimanche 01 octobre 2017

INSOLITE : Un petit plaisantin s'est amusé à éditer des t-shirts de metal extrême old school avec des couleurs flashy qui décollent la rétine. Le résultat est... Génial, soyons honnêtes. Au menu, Bulldozer, Celtic Frost, Hellhammer, Sepultura et autres Pantera avec les anciens logos... Evidemment, il y a de fortes chances que ce merch ne soit pas officiel, donc si vous voulez soutenir les groupes concernés, gardez votre argent.

Ca se commande par ici

PS : En exclu, on vous a trouvé la réaction de Tom G. Warrior (Celtic Frost / Hellhammer) quand il a vu les t-shirts.

Samedi 26 août 2017

Parce qu'en ce samedi il n'y a pas beaucoup de nouvelles fraîches et qu'un petit Pantera ça fait toujours plaisir en voici un peu. Enjoy !!!

Jeudi 17 août 2017

Une anecdote bien fun / crado de Phil Anselmo (Pantera) qui en 1986 s'est chié dessus en plein concert, le tout raconté sous la forme d'un dessins animé.

Vendredi 14 juillet 2017

L'ex-bassiste de Pantera et DownRex Brown, tease le morceau "So Into You" issu de son album solo Smoke On This... prévu pour le 28 juillet. 

Vendredi 16 juin 2017

Rex Brown le confirme, il n'y aura jamais d'autre album de Pantera.

Samedi 06 mai 2017

"Quel cross-over est à ton avis le plus improbable à faire ?
- Pantera et Slayer 
- Pas assez de challenge ...
- Kvelertak et Slayer !
- Tu fais chier avec Slayer !
- Soulfly et Frontside 
- Euh ... Ektomorf ? Nan un truc carrément barge ! 
- J'sais pas moi ! Black Sabbath et Mcdo ?
- Vendu !! " 

Ainsi naquit Mac Sabbath ... (lien)

Vendredi 28 avril 2017

Ecoute : on vous fait écouter le nouvel album de Face Down : Soylent Green, Southern Rock / Metal influencé par Down / Pantera.
L'album est dispo à l'achat ici, et pour en savoir plus sur le groupe direction leur page Facebook.

Samedi 22 avril 2017

L’ancien bassiste de Pantera et Down, Rex Brown, sortira son premier album solo, Smoke On This, le 28 juillet. Crossing Lines, premier extrait s'écoute ici

Dimanche 12 mars 2017

On vous en a parlé cette semaine, Rex Brown (Pantera, Down) vient de signer un deal avec SPV/Steamhammer pour la sortie de son premier album solo, annoncée pour le 23 juin 2017.

Jeudi 02 mars 2017

Rex Brow (ex bassiste de Pantera) va sortir un album solo cette année, celui ci se veut inspiré par la musique des années 70 qu'ils l'ont influencés. Il est accompagné de Christopher Williams (Accept), Peter Keys (Lynyrd Skynyrd) et Calbel Sherman.
Pour rappel Rex a sorti une biographie, où il parle de l'aventure Pantera, on vous en a parlé ici.

Dimanche 26 février 2017

Vulgar Display Of Power de Pantera a 25 ans. Pour la peine : un live de Fucking Hostile en 1992.

Mercredi 08 février 2017

Battlecross (Death/Thrash) a repris Fucking Hostile de Pantera et a été rejoint sur scène par Phil Anselmo.

Dimanche 05 février 2017

Voilà le top des actus consultées sur le site la semaine passée :
- Gojira dans Quotidien de Yann Barthes
- Gojira envoie un message aux fans suite à sa tournée Française.
- Le premier live de Zeal And Ardor en exclu.
- Second extrait du prochain Mastodon.
- Fillonselmo, ou le mélange improbable de Phil Anselmo (Down / Pantera) et de François Fillon.
La chronique la plus lue de la semaine? Le dernier Pryapisme, notre nouvel album du moment. A noter Gojira est #3 du top, poussé par son passage télé et des recherches google, bienvenue à ceux qui découvre!

Samedi 19 novembre 2016

Dans une interview accordée récemment à Blabbermouth, Vinnie Paul (Pantera) a confié que d'après lui si Dimebag n'avait pas été assassiné, Damage Plan serait devenu un très grand groupe. Il fait part qu'avec le premier album ils tâtaient le terrain pour prendre des sensations, mais qu'avec ce qui était préparé pour le deuxième album, la carrière du groupe aurait décollé. En attendant d'entendre la démo dont parle Vinnie Paul voici un extrait de Breathing new life, sorti en 2004 et vous pouvez lire l'interview en anglais sur ce lien.

Lundi 07 novembre 2016

Rex Brown, ancien bassiste de Pantera et Down, a terminé d'enregistrer son premier album solo, qui devrait sortir début 2017. Il a déclaré à Metal Hammer que le disque naviguerait quelque part entre Foghat et les vieux albums de Tom Waits, tout en confessant son amour pour Led Zeppelin et les années 70.

Samedi 29 octobre 2016

Bonne Nouvelle : les fans de Pantera peuvent se réjouir, pour les vingt ans de The Great Southern Trendkill, le groupe (enfin leur label) sort un double CD remasterisé ainsi que douze enregistrements alors non publiés et non mixés de l'oeuvre majeure de feu-Dimebag Darrell. Dean a même lancé un concours pour faire gagner la célèbre guitare de Dime, aux couleurs de l'album.
Mauvaise nouvelle : ce concours est réservé uniquement aux résidents américains. L'album réédité devrait être, lui, disponible en Europe.

Vendredi 28 octobre 2016

La page Facebook Pokécovers revisite des pochettes d'album façon Pokémon (Pantera, The Cure, VenomGenesis, Mastodon...).

Jeudi 20 octobre 2016

Decibel Magazine a publié une longue interview de Phil Anselmo (Down, ex Pantera, ...), la première vraie intervention depuis la tempête provoqué par son geste de nazillon à la fin d'un concert.
Il déclare avoir passé pas mal de temps à enregistrer, il a donc de quoi sortir 5 à 6 albums sur ses différents projets : Superjoint (ex Superjoint Ritual), ScourPhilip H. Anselmo&the Illegals et un groupe de Death Metal nommé Metraton Nganga. Il s'excuse également pour son geste, qu'il décrit comme insultant et odieux, et s'excuse auprès des gens qui ont été blessés par son geste. Il assure également ne pas être un raciste, avoir agit de façon stupide, avec un sens de l'humour sombre et stupide.
Vous pouvez lire l'interview dans son intégralité ici (en anglais).

Samedi 24 septembre 2016

Mike IX Williams, chanteur d'Eyehategod, incapable pour l'heure de se produire  sur scène avec ses comparses, est décidément remplacé par du bon monde ! Après Phil Anselmo (Pantera,Down, etc ...) c'est Randy Blythe de Lamb of God qui va assurer les growl sur la tournée du groupe. Ce dernier s'est exprimé sur le sujet en disant qu'il "est ravi car Eyehategod est tout simplement l'un de ses groupes préférés".

Lundi 22 août 2016

Rex Brown, ex-bassiste de Pantera va sortir son premier album solo (typé Rock 70's) en début d'année prochaine. Plus d'infos.

Lundi 15 août 2016

David Draiman (Disturbed) a rejoint Breaking Benjamin en live pour interpréter "Walk" de Pantera. Pour le résultat, c'est par là.

Jeudi 28 juillet 2016

Hellyeah a mis en clip sa reprise de Phil Collins pour le titre "I don't Care Anymore". Pour rappel on retrouve dans ce groupe des ex Pantera, MudvayneNothingface ou Damage Plan. Sur ce titre précis il y a des parties enregistrées par le défunt Dimebag Darrell (Pantera).

Dimanche 17 juillet 2016

Les actus les plus consultées de la semaine :
- Le Hellfest vu par Kiko Loureiro (là pour Megadeth) qui nous montre son festival (avant la scène ou après, avec des amis / famille / ...) dans une longue vidéo.
- Une carte interactive du Hellfest.
- Le nouveau projet Black Metal de Phil Anselmo (Down, ex Pantera).
- Joe Perry (Aerosmith) victime d'un malaise cardiaque sur scène.
- Un extrait du live video de Motley Crue The End (leur dernier concert). 

Mercredi 01 juin 2016

Act Of Defiance (avec des ex-Megadeth dedans) qui reprend I'm Broken de Pantera en live, c'est par là.

Samedi 28 mai 2016

Six ans après leur vol, Robb Flynn (Machine Head) a récupéré deux de ses guitares, retrouvées dans un box abandonné. Il s’agit d’un prototype V d’Epiphone ainsi que d’une Washburn Dimebolt que Dimebag Darrell (Pantera) avait offerte en 1997 à son ami Robb sur scène. Deux autres guitares sont toujours portées disparues, notamment l’Ibanez sur laquelle il a composé Burn My Eyes. Plus de détails en vidéo.

Mercredi 25 mai 2016

Walk de Pantera en version Reggae ? Oui oui, ça s'écoute ici.

Dimanche 22 mai 2016

Les news les plus populaires de la semaine :
- Rock En Seine et Cabaret Vert virent Eagles Of Death Metal suite aux propos de Jesse Hughes
- Nouveau titre et clip pour Gojira.
- Le retour de Rage Against The Machine avec des membres de Cypress Hill et Public Enemy au chant.
- Bruce Dickinson de Iron Maiden demande à un fan de se calmer ou de sortir.
- Les influences musicales du premier Doom (Pantera, Metallica, Slayer).

Jeudi 19 mai 2016

Saviez-vous que Doom (le jeux original de 93) s'était inspiré de groupes metal pour sa bande son? En voici la preuve avec des titres de Pantera / Metallica ou encore Slayer.

Mardi 17 mai 2016

Chronique : aujourd'hui on s'intéresse à l'histoire de Pantera via la biographie écrite par leur bassiste Rex Brown et son livre : PANTERA, LA VERITABLE HISTOIRE Souvenirs électriques d'un bassiste dans la tourmente. Une plongée dans la vie d'un groupe devenu culte qui va pendant une décennie régner sur le metal. [...]

Vendredi 13 mai 2016

Scour, le nouveau projet orienté Black Metal de Phil Anselmo (Pantera, Down...) accompagné de membres de Pig Destroyer, Cattle Decapitation ou Animosity, a dévoilé un premier titre, Dispatched. Il s'écoute . Leur premier EP sortira le 15 juillet chez Housecore Records.

Mardi 09 février 2016

Ce weekend, Phil Anselmo (ex Pantera, Down, actuellement en plein shitstorm suite à son salut nazi à la fin d'un concert caritatif) s'est rendu à la "Atlanta’s Days Of The Dead horror convention" et a fait une apparition publique sur scène avec un groupe de karaoké (cela semble donc exister) sur une reprise des Boys II Men (oui cette news bat des records). Évidemment cela a été filmé !
À noter : il ne chante pas mais est simplement présent avec le groupe (exclusivement afro-américains).
À noter (bis) : il a également chanté à ce karaoké une reprise de The Smiths (vidéo).
Du coup, est-ce une façon de dire mea culpa ? une "Morano" ? Ou simplement la mise en application de ses récents tweets, dans lesquels il disait vouloir rendre concrets ses propos sur le fait de vivre ensemble, sans haine, quelles que soient nos origines. Au lieu de le dire sans rien faire il passerait désormais à l'action, tout ça en apprenant de ses échecs.