Titre : And All That Could Have Been Année : 2002
Nombre de titres : 16

Tracklist
1 - Terrible lie
2 - Sin
3 - March of the pigs
4 - Piggy
5 - The frail
6 - The wretched
7 - Gave up
8 - The great below
9 - The mark has been made
10 - Wish
11 - Suck
12 - Closer
13 - Head like a hole
14 - The day the world went away
15 - Starfuckers inc
16 - Hurt
Acheter : logo amazon
Collection : 19 membres possèdent cet album.
Moyenne lecteurs : 18.75/20 (4 avis dont 3 avec commentaire)


Les membres qui ont aimé And All That Could Have Been aiment aussi :

Laisser votre avis

Commentaires

Jumbo 17 / 20 Le 25/07/2008 à 17H47

Excellent live, bien violent, parfait pour découvrir NIN.

the devil 19 / 20 Le 22/05/2008 à 19H16

Que des classiques et presque parfait.
Chapeau l'artiste!

iam_trying_to_belive 20 / 20 Le 19/04/2008 à 10H40

Je vais m'amuser un peu et re- commenter différents albums après toutes ces années, en essayant d'être plus objectif (si possible) on verra si mon opinion à changé! Mon commentaire initial est en dessous de la ligne.

He bien mis à part des fautes d'ortografes dans plus ou moins toutes mes frases, je n'ai rien a souligner ou à redire de plus. Cet album live est tout simplement une pure tuerie.
20/20 et mérite même 1000/20
24.11.2017

-----------------------------------------------------------------------
Cet album à été mon tout premier album de NIN que j'ai acheté. Et cet album a tout simplement changé mon état d'esprit, mes idées mes sentiments. Je me permet donc de dire que pour moi, il reste le meilleur album pour découvrir NIN. Mais je dis cela seulement car ça a été mon cas. NIN est devenu en quelque sorte une partie de moi-même.
Il faut aussi souligné que le dvd est un pur chef d’œuvre et est encore plus puissant que la simple écoute de All that could have been .
L'album commence ... fort et honnêtement, j'ai sursauté à la première seconde.
1 Terrible lie, peut être la chanson la plus souvent jouée en live dans l'histoire de NIN. Elle est tellement différente que telle qu'elle 'est sur Pretty Hate Machine. Tellement puissante et enragée en crescendo.
2 Sin, enchaînée parfaitement, lancée par ses claviers "dance floor" mais à la sauce NIN de l'époque, bourdonnant l'intro d'une chanson incroyablement rythmée et dont les paroles ferait chialer un ado en manque d'affection... ou de dope.
3 March of the pigs, soit une chansons qui si elle ne te donne pas envie de t'éclater la tête contre un mur, ou de pogo dans tous les sens, tu ne seras jamais un fan de NIN, une tuerie.
4 Piggy , donne froid dans le dos (pas du tout en mal bien au contraire!) et on se demande pourquoi tout à coup brisé ce rythme endiablé de début de concert. Simplement pour passer en douceur au premier morceau sorti du nouvel album de l'époque, The Fragile.
5 The Frail, solo (intro) de Trent au piano, langoureux, simple et doux. Le public est en extase. Vers les dernières secondes, les claviers font ressortir une atmosphère lourde et dérangeante.
6 The Wretched, qui porte sont nom à merveille, commençant par un simple rythme qui s’intensifie au fur et mesure du couplet. Le refrain est hurlé par tous les musiciens et nous entraîne dans le monde de la déprime et de la misère façon NIN. Une pure réussite.
7 Give up, forte en intensité et qui part dans tout les sens. On imagine très bien le publique sauter dans tous les sens et pleurant de joie et de rage.
8 The Great Below. Des samples calmes, des bac vocal très claire et un Trent qui nous plonge dans un désespoir intense et qui raconte en quelque sorte, le grand vide que le décès de sa Grand- mère à provoqué en lui. Elle fait réellement pleuré et sa fait tellement du bien.
9 The mark has been made. Instrumental montant tout doucement en puissance. Du NIN expérimental de haute qualité. Un tempo lent qui prend de l’ampleur grâce aux guitares bourdonnantes. Le ton s’alourdi encore, change de rythme grâce à une batterie parfaite. Trent vient nous hurler des Oh OH OOOH de toutes ses forces et…
10 Wish est enchaînée parfaitement .C’est l’explosion dans le public et sur scène (les jeux de lumières sont absolument éblouissants) Cette chanson qui a valu à Trent de gagner un award (même si Trent s’en foutais surement). Une chanson parfaitement jouée et qui donne aussi des envies malsaines.
11 Suck commence par calmer le jeu. Mais sa ne dur que jusqu’au refrain (HOW DOES IT FEEL ?) nous sermonnent tous les musiciens du combo. Je tien à faire remarqué encore une fois la perfection de la voix de Trent, qui à une facilitée déconcertante à changer de ton, de rythme et de style de chant.
12 Closer est enchaînée. Un petit bijoux de chanson, dont la version changera plus tard dans la carrière de NIN, mettant de côté le passage au vocodeur, pour nous laisser entendre clairement les paroles citée : Through every forest above the trees, within my stomach, scraped off my knees, I drink the honey inside your hive, you are the reason I stay alive.
13 Head like a hole, qu’on ne présente plus. L’hymne de toute une génération de fan (ben oui moi quand Pretty hate Machine est sorti, je n’avais que 2 ans !) mais rassurez vous, c’est aussi MON hymne. Trent remercie une première fois le public.
14 The day the world went away commence doucement. Une ambiance froide s'en dégage, la guitare de Fink est régulière et sale. Quand Trent se met à chanter, le public ne sait pas comment trop réagir. Je me répète mais sa voix… Sa voix est si prennante qu’on ne s’en passe plus. Elle nous donne un sentiment de présence physique, qu’on pourrait la touché, la serrer contre nous pour nous consolé et nous rassuré. La chanson prend de l’intensité et Trent met la touche pour moi parfaite, de simples NA NA NAAA NA NA NA tout d’abord chantés, puis criés et finalement hurlés. C’est une chanson qui ma personnellement bouleversé.
15 Starfucker inc La dernière montée en puissance du live, une vitesse d’exécution et toute la salle est en transe. On peut vraiment ressentir toute l’énergie ambiante dans la salle. DON’T YOU DON’T YOU DON’T YOU DON’T YOU DON’T YOU FUCK YOU….STARFUCKER ! Vraiment trop incroyable.
16 Hurt, la chanson finale, celle qui clôt très souvent les prestations de NIN. Accompagné dans un premier tant par Fink qui joue la mélodie à la gratte, Trent nous fait trembler. Toute l’émotion est là. Le refrain est joué par tous les musiciens (car souvent, c’est Trent qui chante lui seul toute la chanson et qui s’accompagne lui-même au piano). Fink en bac vocal, la fin bourdonne dans nos oreilles qui en redemande.
En bref un live digne d’un best of. Sauf que Trent en à rien foutre des Best of et greatest hits.
Il est un des génies de la musique, qui deviennent malheureusement rare au vu de la musique mise en avant aujourd’hui.
19.04.2008
-------------------------------------------------------------------