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Biographie

Mudvayne

Vous pouvez le voir Mudvayne a un look un peu spécial; influencé par le cinéma et plus particulièrement par tout ce qui est science fiction. Mudvayne veut créer une ambiance bien particulière lors de ses shows, voilà comment ils expliquent leurs maquillages.

Produit par GGGarth et mixé par Andy Walace, L.D. 50 les fait connaître auprès du monde entier grâce à un Néo-Metal quelque part entre Slipknot et Deftones. Ces quatre hommes sont également bien encadrés avec comme parrain le N°6 de Slipknot ce qui leur vaut de faire régulièrement partie de l'affiche des neuf tarés de Des Moines.

12 / 20
23 commentaires (16.37/20).
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The ends of all things to come ( 2002 )

Pour ce troisième effort, Mudayne a décidé qu'il était temps de changer la donne. Nouveaux déguisements donc, nouveaux trips "petits hommes verts", mais aussi et surtout nouvelle direction musicale. Du coup, il est aujourd'hui difficile de les comparés a l'autre groupe de (soi-disant) barjos déguisés, et ceux qui ne voyaient en Mudvayne qu'une pâle copie de Slipknot en version light se rendront vite compte avec The End of All Things to Come qu'ils s'étaient lourdement trompés.
Avouons le, tout n'a pas été entièrement modifié, Mudvayne a su conserver ce qui faisait la base de son succès, les vocaux et la batterie envoient toujours autant la sauce, les guitares, bourrues, restent omniprésentes et la production est toujours aussi énorme. Ce qui a changé, c'est que Mudvayne a décidé d'expérimenter, de passer du néo-métal classique a une sorte de métal progressif, un peu à la manière d'un 30 seconds to mars, en plus lourd. Dés Silenced le titre d'ouverture, on est surpris par le dynamisme et la fantaisie se dégageant de la composition, la voix est beaucoup plus nuancée qu'auparavant et même carrément inspirée sur des titres comme Skrying ou A world so cold . Les chansons semblent plus travaillées, plus réfléchies ((Per)version of truth , Skrying) et si le groupe retombe parfois dans le néo-métal facile (Not falling , The ends of all things to come ), il a aussi acquiert une énergie plus rock (Shadow of a man , Sole et corcula ) qui le sert à merveille.
On est donc face à un bon album de Mudvayne, même si il y a parfois quelques longueurs et que les fans de L.D.50 risquent d'avoir du mal à s'adapter. Reste l'éternelle polémique des déguisements, qu'on se passera volontiers d'alimenter une nouvelle fois.

A écouter : Silenced - (Per)version of truth - Shadow of a man
14.5 / 20
45 commentaires (16.46/20).
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L.D. 50 ( 2000 )

Intro de près de 2 minutes et c'est parti pour 17 pistes, et ça commence fort avec Dig, Kud impressionne avec son flow rapide et ses hurlements sur ce qui est certainement l'un des morceaux les plus bourrin de L.D. 50 . Mais ça ne veut pas dire pour autant que le reste de l'album est tout en finesse et en poésie. La mélodie n'est pourtant pas absente avec des passages chantéss que l'on peut qualifier de calmes et mélodiques ( -1 , Nothing To Gein).

Mudvayne s'impose dans un style plutôt personnel allant du barbarisme extrême au chant reposant et mélodieux. Cet album a de quoi plaire à beaucoup de monde ,bien ficelé même si l'on peut lui reprocher d'être parfois surproduit; mais ne nous plaignons pas, avec 17 pistes on est plutôt gâtés.

L.D. pour lethal dosage (dose mortel), et 50 pour 50 personne tué sur 100 lors de test, pfouu chui trop fort, merci PRP), bonne définition de cet album qui est une puer tuerie pour tout ceux qui n'en peuvent plus d'attendre le dernier Slipknot et qui veulent faire découvrir à leur oreilles des sons nouveaux.

A écouter : DIG - -1 - Nothing To Gein - Under my skin - ...