Jeudi 12 octobre 2023

Le Sick New World 2024 (un festival ricain, très orienté 90/00's) a annoncé son affiche : System Of A Down, Slipknot, Alice In Chains, A Perfect Circle, Bring Me The HorizonDanny Elfman, KittieSleep Token, Helmet, Sevendust, Primus, Code Orange, Taproot, Lamb Of GodDopeLords Of AcidIce Nine Kills, Nonpoint, Powerman 5000, Fear Factory, Static-XKim Dracula, ... Ca se passe fin avril à Las Vegas.

Mardi 21 mars 2023

Mass Hysteria sortira son nouvel album le 26 mai prochain via Verycords. Il aura pour titre Tenace - Part 1, et la suite sortira elle à l'automne. L'album a été enregistré au Studios ICP à Bruxelles et enregistré par Fred Duquesne (No One Is Innocent, Tagada Jones, Ultra Vomit) et masterisée par Ted Jensen (Deftones, Gojira, Alice In Chains). Cet album contiendra sept titres pour 27 minutes. Voici la pochette et la tracklist. Pour les précos c'est déjà dispo (une version CD digipack permettra d'accueillir le CD de la part 2 quand elle sortira).

Mercredi 28 septembre 2022

Foscor s'est attaqué à une reprise de Alice In Chains : Would?.

Jeudi 14 juillet 2022

Une box Funko Pop Alice In Chains va sortir pour les 30 ans de Dirt ... Visuel.

Skid Row a dévoilé le single Tear It Down, extrait de The Gang's All Here prévu pour le 14 octobre. Ce nouvel album a été enregistré par Nick Raskulinecz (qui a déjà bossé avec Foo Fighters, Stone Sour, Rush, Alice In Chains, ...), et ça sera le premier avec le nouveau chanteur Erik Grönwall.

Vendredi 06 mai 2022

Ce soir William Duvall (de Alice In Chains) joue à Paris, et vous pouvez chopper des places gratuites ici.

Mardi 14 septembre 2021

D'après Jerry Cantrell, Alice In Chains devrait donner des concerts en 2022.

Samedi 31 juillet 2021

Jerry Cantrell ne rigole pas quand il fait un album. Le cofondateur d'Alice in Chains sortira le troisième opus son projet solo le 17 décembre chez Warner Music. Brighten aura neuf titres, et il y a du beau linge qui y a participé, notamment Greg Puciato (ex The Dillinger Escape Plan) au backing vocals, Duff Mckagan (Guns'n'Roses) à la basse, Gil Sharone (Stolen Babies, ex The Dillinger Escape Plan) à la batterie... Un premier clip se visionne par ici. Voici la pochette et la tracklist.

Lundi 01 février 2021

Le Saccage de la semaine fait l'impasse sur l'actualité et se la coule douce en compagnie de UlverMountain, Alice In ChainsDomkraft ou encore Elder !
Le podcast est dispo de suite en ligne, en flux RSS, sur SpotifyDeezer, ou vos applis de podcast en cherchant Saccage ou Metalorgie.
Bonne écoute ! 
Une envie pressante ?

Jeudi 03 décembre 2020

Un concert hommage à Alice In Chains a eut lieu le 1er décembre (pour l'ouverture d'un musée à Seatle sur la pop culture). Du coup du beau monde était invité : Metallica, Alice In Chains, KornFishbone, Mastodon, Soundgarden (avec Tad Doyle), Duff McKagan (des Guns N'Roses), Corey Taylor (Slipknot), Mark Lanegan, Billy Corgan (Smashing Pumpkins), ... le line up est vraiment impressionnant !
Tout ça est à voir ici.

Jeudi 17 septembre 2020

Them Bones, de Alice In Chains, repris par Thou (qui semble revisiter tout ce que le grunge a pu sortir !). Le titre est extrait d'un album Dirt [Redux] qui verra le Dirt de AiC repris pas plein de groupes dont Khemmis, -16-Howling Giant, Forming The VoidVokonisHigh Priest, ... dispo en précommande ici.

Samedi 01 août 2020

Code Orange se paye un livestream acoustique, mais pas que, la diffusion se paye une intro à la MTV des années 90 et des super guests ainsi qu'une reprise de Down in a Hole d'Alice in Chains.

Jeudi 23 juillet 2020

Breaking Benjamin a mis en ligne une reprise (en live) de "Would?" de Alice In Chains, en duo avec Gavin Rossdale (de Bush).

Jeudi 25 juin 2020

Plusieurs musiciens metal et rock (de Alice In Chains, Body Count, Nonpoint, Zeal And Ardor, Skunk Anansie, Oceans of Slumber) ont partagés leur expérience avec le racisme, c'est à lire (en angais) sur Consequence Of Sound.

Jeudi 30 avril 2020

Phil Demmel (Vio-lence, ex-Machine Head), Marta Demmel (Bleeding Through), Dave McClain (Sacred Reich, ex-Machine Head) et Eric Bass (Shinedown) ont enregistrés une reprise de Alice In Chains (No Excuses) en confinement, à voir ici.

Jeudi 12 mars 2020

Jerry Cantrell (de Alice In Chains) est actuellement en studio pour y enregistrer son nouvel album solo. 

Jeudi 27 février 2020

C'est de nouveau Terry Date (Pantera, Alice In Chains) qui s'occupera du prochain Deftones. L'album est enregistré et sortira en 2020.

Jeudi 12 décembre 2019

Korn vient de sortir la seconde partie de son documentaire sur sa tournée 2019 (notamment avec Alice In Chains et Underoath).

Jeudi 10 octobre 2019

William DuVall (de Alice In Chains) viendra présenter son album solo en Europe au printemps prochain :
- 03/04 : Paris (Les Etoiles), préventes
- 04/04 : Anvers (Kavka)
- 11/04 : Zurich (Werk21)

Lundi 02 septembre 2019

William Duvall (Alice In Chains) annonce une tournée solo pour fin octobre / début novembre, mais uniquement aux USA. On croise les doigts pour l'Europe.

Mercredi 19 juin 2019

FIP a lancé une web radio Metal, et c'est varié et avec une belle sélection (comprendre : c'est pas une caricature où ne passerait que les mastodontes du style). Jugez plutôt de ce qu'on a pu y croiser : All Them WitchesThe Psychotic Monks, Alice In Chains, Hangman's ChairL7, Ho99o9, Goatsnake, Beastie Boys, Fear Factory, Bad BrainsJambinaï, Anthrax, Limp Bizkit, DaughtersFu ManchuIfriqiyya Electrique ... (yep ça pourrait ressembler à une playlist qu'on vous aurez faites).

Jeudi 16 mai 2019

Du clip pour Alice In Chains avec Rainier Fog issu de leur dernier album sorti en 2018.

Vendredi 22 mars 2019

Les trois premiers épisodes de Black Antenna, la websérie de science-fiction inspirée du dernier album d'Alice In ChainsRainier Fog, sont à regarder par ici.

Dimanche 03 mars 2019

Alice In Chains tease une série, à savoir Black Antenna et ça se visionne par ici.

Dimanche 24 février 2019

Mark Morton (de Lamb Of God) vient de partager un nouveau titre de son projet solo : Save Defiance. On retrouve dessus Myles Kennedy (Alter Bridge, Slash), Mike Inez de Alice In Chains et Ray Luzier (de Korn).

Vendredi 18 janvier 2019

Un concert d'hommage à Chris Cornell (Soundgarden, AudioslaveTemple Of The Dog) a eu lieu le 16 janvier à Los Angeles. Le plateau était assez incroyable, avec les membres restant de Soundgarden, et certains de Metallica, Pearl Jam, Foo Fighters, Queens Of The Stone Age, Melvins, Alice In Chains, Fiona Apple... Plusieurs vidéos tournées par des spectateurs sont à retrouver par ici.

Lundi 07 janvier 2019

Cover : On sait, c'est lundi, c'est pas facile. Du coup, on vous ressort une cover bien Sludge de No Excuses d'Alice In Chains par Thou, qui sont décidément obsédés par le Grunge. D'ailleurs, ça ne nous étonnerait qu'à moitié qu'ils fassent un set de reprises de Grunge au Roadburn 2019. Ca s'écoute par ici.

Vendredi 04 janvier 2019

Thou qui reprend "Brother" de Alice In Chains en live, c'est par ici.

Vendredi 14 décembre 2018

Le dernier album d'Alice In ChainsRainier Fog, a inspiré un film de science-fiction, "Black Antenna", qui sera à découvrir en 2019. En attendant, voici un premier teaser.

Mercredi 14 novembre 2018

Tool sera bien au Hellfest 2019, l'annonce vient du tourneur du groupe. Le festival français devrait annoncer son line up d'ici la fin du mois (quels sont vos pronos ?).
Nous on mise sur Def Leppard, Slipknot, RammsteinTenacious DSlashFever 333, Behemoth, Godsmack, Alice In Chains, Power Trip, HalestormWhitesnake, Skindred, Gold, Orange Goblin, Sick Of It All, Birds In Row, Shining, Hangman's Chair, Cult Leader, ...

Mardi 06 novembre 2018

Alice in Chains revient enfin en France. Ca se passera le 28 mai 2019 avec Black Rebel Motorcycle Club à l'Olympia. Source par ici.

Vendredi 02 novembre 2018

Alice In Chains balance la vidéo de Never Fade, extrait du dernier album du groupe, Rainier Fog. Rendez-vous dans la suite.

Lundi 10 septembre 2018

Alice In Chains a sorti son nouvel album, Rainier Fog, fin août chez BMG Records et ça s'écoute sur Spotify.

Mardi 26 juin 2018

Et voilà le Hellfest cuvée 2018 est terminé, et nos photos et reports sont déjà dispos vu qu'on a trimé la nuit pour vous proposer ça alors que vous sentez encore la sueur et la bière !

Nos photos et reports :
- Ambiance du jeudi sur le metal corner

  

- Vendredi  : Les photos des festivalier·e·s, des nouveautés du site et des groupes (dont A Perfect Circle, Converge, EyehategodHollywood Vampires (dont oui, on a des photos de Johnny Depp sur Metalorgie désormais), Judas Priest).

  

- Samedi : Encore pas mal de photos du public et niveau groupe : Avenged Sevenfold, Body Count, DälekJonathan DavisL7, Limp Bizkit, Neurosis, Pleymo, ...)

  

- Dimanche : Encore un peu d'ambiance et des groupes comme Alice In Chains, Baroness, Marilyn Manson, Iron Maiden, ...)

  

Si vous publiez du contenu sur le Hellfest (photos, vidéos, articles, ...) n'hésitez pas à nous contacter nous partagerons cela.

Et nos reports :
- Vendredi
- Samedi
- Dimanche

Pour 2019 le festival a annoncé 5 noms : Carcass, Slayer, Mass Hysteria, Manowar et Dropkick Murphys.

Lundi 25 juin 2018

Live Report : Dernier jour du Hellfest 2018, c'est passé très (trop ?) vite. Retour sur les derniers groupes du festival.

Plebeian Grandstand : Le rendez-vous immanquable pour démarrer cette dernière journée du weekend se passait sous la Temple à 11h00 afin de voir les toulousains de Plebeian Grandstand. La musique du groupe agit sur l’auditeur comme un tank qui lui roule dessus et qui ne le laissera pas souffler pendant toute la durée du set, ou alors très peu. Les quelques rares moments de pause sont d’autant plus oppressants que l’on redoute ce qui va arriver ensuite. Faisant la part belle au dernier album False HighsTrue Lows avec un détour par 2014 avec Lowgazers le temps de deux morceaux, la prestation du groupe est aussi maîtrisée que jouissive avec un son parfait, la meilleure entrée en jambe possible pour ce dernier jour.

Au Dessus : La Lituanie à l’honneur sous la Temple en ce dimanche matin, les gaziers envoient leur dossier Black Metal moderne sans défaillir et réveillent un auditoire conquis. Sans trop se la jouer ces messieurs ont aligné un set de mecs qui maîtrisentleur sujet, propre, simple, basique. Environ tout le monde était d’accord pour confirmer la qualité de la chose. Le quartet n’a qu’un album en stock, mais ils sont déjà assuré de marquer les esprits. On verra ce qu’ils sont capables de produire par la suite, en attendant on peut se permettre d’être confiants et de savourer un set fameux et bien trop court.

Warning : Sous la Valley, nous voilà devant Warning, groupe culte dans le genre pour son album Watching From A Distance, simplement beau à pleurer par sa simplicité et ses vocalises pleines de sensibilité. Le show démarre en effet sur l’entame de l'album en question, rayonnant par ses arpèges crève cœur et son tempo plombé. La Valley se recueille, écoute religieusement les Anglais, Accompagnée par une lumière tamisée et une brise légère. L'ambiance est définitivement intimiste et on en oublierait presque le contexte du festival. Seul vrai bémol, la voix de Andy Prestidge est assez souvent trop perdue dans la reverb et pas assez en avant. Les guitares quand elles jouent en harmonie sauvent la mise et assurent le rôle de fil rouge tout au long du set. Pour l'expérience, le contexte particulier de cette performance et mine de rien de beaux moments de nostalgie, Warning était l'une des formations à aller écouter sous la tente des musiques Fuzz et lentes. Et on ne saura que trop conseiller d'écouter ce fameux Watching From A Distance si déprimant et personnel.

The Great Old Ones : La journée des concerts à capuches de la Temple continue avec les bordelais de The Great Old Ones pour leur troisième passage au Hellfest mais le premier avec le nouveau line-up après le départ de Jeff Grimal, et l’arrivée, notamment, de Benoît "Barby" Claus bassiste de Gorod. Benjamin Guerry en maître de cérémonie horrifique prend ainsi la responsabilité de s’occuper de l’intégralité des parties de chant et que ce soit au niveau des lumières et de tous les éléments disposés sur scène, tout nous rappelle à l’univers de Lovecraft et ses démons pour mieux nous immerger dans cette ambiance si particulière. Un set génial et immersif avec un climax atteint sur le fantastique Je Ne suis Pas Fou. Encore une grande réussite pour les bordelais.

In This Moment : Alors, musicalement, In This Moment n’a pas été la révélation du festival, comme on pouvait d’ailleurs s’y attendre. Avec son espèce de Néo Metal à chanteuse sans vraiment d’originalité, le groupe arrive néanmoins grâce à son aspect visuel à créer une vraie ambiance et galvaniser la foule dense. En effet, le show est presque comparable à un spectacle de Rammstein (certes en modèle réduit, un " Rammstein du pauvre" comme le dit l’un de nos chroniqueurs) croisé avec une performance de danse contemporaine. Munie d’un micro attaché près de son visage (un peu comme un micro de conférencier), Maria Brink a les mains libres pour danser, jouer avec ses nombreux masques, interagir avec une figurante (son sosie, d’ailleurs), tenir un canon à fumée, etc. L’arrière de la scène est occupée par un véritable vestiaire dissimulé par un rideau, derrière lequel la vocaliste et son acolyte danseuse se changent presque entre chaque morceau pour des mises en scènes à chaque fois différentes. La fin de set est l’image la plus marquante : la figurante est en robe blanche avec un masque blanc inexpressif, du sang coulant des yeux, et portant un panneau où est écrit "shame" en lettre rouges dégoulinantes, pendant que la chanteuse la martyrise avec une longue règle de professeur d’école en portant un chapeau pointu en mode KKK sur lequel est verticalement écrit "whore". Sur un fond de lâcher de ballons de baudruche pour égayer le tout.

Exumer : Petite leçon de Thrash Metal à l’ancienne avec les allemands d’Exumer en début d’après-midi sous la Altar. Trente secondes après le début du set, les pogos sont lancés. Le public manque à l’appel, mais les moshers sont présents et le groupe est hyper énervé déversant des riffs scalpels et un chant à te prendre des patates dans la gueule. Les mecs en veulent et transmettent une énergie hyper positive qui se répercute dans le pit qui va se grossir au fur et à mesure des morceaux du culte Possessed By Fire avec par exemple A Mortal In Black, Fallen Saint et la putain de tuerie de titre éponyme. Circle pit à foison, pogos, la fosse est au taquet et Exumer en est plus que ravis. Le groupe qu’il fallait en plus de ton café pour se réveiller un dimanche après-midi.

Grave Pleasures : Anciennement Beastmilk, Grave Pleasures est l’un des nombreux projets de Mat McNerney (Code, HexvesselDødheimsgard). Ayant sorti le nouvel album Motherblood l’année dernière, ça ne les empêche pas de taper allègrement dans le répertoire de Beastmilk. En effet, la formation finlandaise de Death Rock / Post Punk n’ayant pas entièrement coupé le cordon, ne boudons pas notre plaisir de voir le groupe interpréter plusieurs titres de l’album Climax comme Fear Your Mind, Love In A Cold World ou Death Reflect Us. Un set mené d'une main de fer par son leader Mat McNerney, comme d'habitude.

Asking Alexandria : A l’instar de Bullet For My Valentine hier, une Mainstage accueille aujourd'hui aussi des hipsters metalcoreux. Comme hier, Asking Alexandria n’arrive pas vraiment à créer une émulation dans le public, malgré un groupe beaucoup plus sympathique et simple. Depuis le retour du frontman originel et la sortie du dernier album, le tournant Rock’n’Roll / Emo sensible est assumé, et ceci explique peut-être cela. Le hit des débuts, Final Episode, est même adapté au nouveau style du groupe, et est chanté au lieu d’être hurlé comme en studio. L’efficacité est néanmoins là, surtout sur le final Alone In A Room, leur dernier single tubesque.

The Lurking Fear : Du Death Metal tendance suédoise avec le chanteur Tomas Lindberg d’At The Gates. En une ligne tout est résumé, ou presque. Ca riff manière HM-2, Tomas est en forme, mais ça semble déjà tellement entendu ou générique qu’on a du mal à y accorder plus d’attention qu’un quart d’heure de politesse. Pourtant les musiciens sont impliqués mais ça ne suffit pas. Ni mauvais, ni génial, ni spécialement bon. Le genre de groupe sur lequel tu te dis “oui, ok” et tu passes à autre chose.

Killswitch Engage : Les américains sont en forme, ce qui permet d’excuser la coupe de cheveux douteuse de Jesse Leach. Au moins le frontman assure dans le rôle de frontman et, surtout, sur ses lignes de chant qu’il soit en clair ou en registre hurlé. Des morceaux de tous les albums, comme A Bid Farewell ou Always, des leads de guitares qu’on entend et un public bien réactifs, que demander de plus donc ? Killswitch Engage a fait largement le boulot et il se permet de conclure sur My Curse et une reprise d’Holy Diver, de quoi se mettre les derniers récalcitrants dans sa poche. Un très bon concert !

Re - Killswitch Engage (vu par un autre chroniqueur) : « This n’est pas le festival de les pussies : we fucking want to fucking see a motherfucking fucking circle fucking pit, mother-fucking-fuckers ! ». C’est ce que demande subtilement le chanteur de Killswitch Engage environ à la moitié d’un set à l’image de cette phrase : c’est kitsch tellement c’est too much, mais le côté vénère est quand même à la fois drôle et prenant. La foule sera moyennement réactive jusqu’au vieux hit My Curse que tout le monde reconnaît, quasiment à la fin de la prestation. On notera aussi la bonne humeur de l’un des guitaristes, en short au motif du drapeau ricain et ne perdant pas une occasion de grimacer ou de tortiller du cul, alors que les quatre autres adoptent le look et l’attitude du coreux-bourrin. Mosh-parts et bonne humeur.

Exhorder : L'Altar laisse place au Thrash Metal pas super fin de Exhorder, coupable de deux albums dans les années 90. Exumer avait déjà bien ratissé la foule quelques heures plus tôt et on retrouve à peu près les mêmes têtes pour faire honneur aux Américains. Moins subtils que leurs confrères Allemands, les gars d'Exhorder jouent un Thrash Metal plutôt rythmique, basé sur les schémas qui tabassent purement et simplement sans proposer du riff très travaillé. Attention, aucun jugement là dedans parce que les coups de médiator tombent juste et la batterie se fait le métronome des corps en pleine convulsion. Bête et méchant, Exhorder n'en est pas moins content d'être là, remerciant plusieurs fois le public au micro alors que le chanteur gesticule avec hargne comme un Hardcoreux en colère. Air guitar et patates imaginaires, la foule s’enflamme et c’est le départ furieux d’un circle pit digne des meilleures course-poursuites de cartoons. Après quarante minutes de concert, on laisse quelques neurones sur le bord de la route, mais on repart le sourire aux lèvres.

Arch Enemy : Le public qui patiente devant la Mainstage 2 semble conquis d’avance à Arch Enemy à en juger l’ambiance que le single The World Is Yours déclenche dès le début du set. Peut-être est-ce aussi grâce aux nombreux effets pyrotechniques, à la fois sur le devant de la scène mais aussi à l’arrière, de part et d’autre du kit du batteur. Le groupe sait ce qu’on attend de lui, et sert une collection de tubes récents (You Will Know My Name, As The Pages Burn...) et anciens (We Will Rise, Nemesis...). Jeff Loomis a toujours l’air blasé, l’accent canadien de la frontwoman est toujours aussi charmant ("est-ce qu’on s’amuse bien aujourd’hui ?", les "chantez !" pendant les refrains...), sa voix growlée est toujours un poil moins rocailleuse qu’en studio, un show toujours aussi carré depuis la dernière fois qu’on vous en a parlé ... Au final, ce qui change le plus, c’est qu’Alyssa White-Gluz est désormais frisée et à des mèches blondes dans sa crinière bleue. Le concert est très bon, mais ni mieux ni moins bien que d’habitude, et la lassitude s’installe.

Batushka : Chose inhabituelle, Ghost se produisait sous la Temple cette année. Étrange mais bon, quand on voit le matos qu'ils nous ont ramené pour la messe du dimanche on ne va pas se plaindre : autel, icônes disséminées un peu partout et robes monacales de circonstance. Les fidèles sont nombreux, mais pas toujours attentifs (sérieusement, filmer un concert avec un téléphone tenu à bout de bras c'est inutile au possible mais passons). Les choeurs sont en place et donnent le la de cette cérémonie. Ah mais attends, ce serait pas plutôt Batushka en fait ? Bon peu importe, on est quoi qu'il arrive là pour voir du grand spectacle et il n'y a pas de quoi être déçu entre l'encensoir et les voix de stentor des mecs encapuchonnés encerclés par la fumée. Alternant mid tempos sentencieux et envolées Black Metal, les Polonais nous ressortent les rituels de Litourgiya marqués par d'excellents passages mélodiques. Parfois malheureusement les voix empiètent carrément sur les six cordes que l'on aimerait plus entendre, mais le concert tient globalement très bien la route. Aidé d'un public venu en nombre et réceptif, Batushka livre un set marquant, tant dans sa mise en scène (malgré l'heure pas tout à fait nocturne) que dans les morceaux prenant une vraie ampleur en live.

Megadeth : Pour leur quatrième passage au Hellfest, Megadeth commence son set de la pire des manières. Un problème sonore vient perturber le début du concert car aucun son de semble sortir des enceintes pendant que le groupe, non perturbé ni alerté par cette incident qui durera jusqu'à la fin du premier morceau, continue sans prendre connaissance de cela. Après ce faux départ, les choses sérieuses peuvent commencer sur le second morceau avec Hangar 18. Malheureusement même si on entend à nouveau Dave Mustaine et sa bande, le mixage du son est tout bonnement horrible et les tubes qu’on est d’habitude ravi de voir comme The Conjuring ou Take No Prisoniers deviennent un gâchis total. À côté de ça Dave se veut communicatif et prend également le temps de dédicacer à son ami Vinnie Paul le titre My Last Words, morceau que le groupe n’avait pas joué depuis une douzaine d’année. A partir de Symphony Of Destruction sur lequel Michael Amott, guitariste d’Arch Enemy, s’est vu invité sur scène, l’ensemble semble redevenu à la normale. La fin du concert verra interprétés un triple enchaînement avec à la suite A Tout Le Monde, reprise en cœur par tout le public, Peace Sells et enfin Holy Wars... The Punishment Due.

Amorphis : Tomi Joutsen n’a plus son micro-sèche-cheveux ! Par contre les siens (de cheveux) repoussent bien, merci pour lui. Ses dreadlocks emblématiques pourraient être de retour d’ici quelques années. Mais on est pas devant Amorphis pour parler chiffon ni pour enfiler des perles : les Finlandais ne perdent pas une seconde et envoient une setlist de fou, avec entre autres le récent single The Bee, le déjà culte Sacrifice, le tube Silver Bride, Wrong Direction que l’on espérait voir sur scène lors de notre chronique de Queen Of Time, Daughter Of Hate avec son saxophone, le classique Cast Away issu du tout premier album, ou encore l’énorme House Of Sleep en guise de final, sur lequel on voit slammer une personne en fauteuil roulant. Si le chanteur semblait timide au début du set, il prend de l’assurance après deux titres et fini par investir l’espace scénique et headbanger comme un forcené quand les titres s’y prêtent - souvent, donc - et l’ambiance sous la Altar devient rapidement dingue, sans temps mort jusqu'à la fin de la prestation. La voix de Tomi Joutsen est aussi incroyable qu’on le pensait à l’écoute de Queen Of Time, confirmant tout le bien qu’on pensait déjà de cette formation.

Baroness : Pour des raisons personnelles aussi importantes qu’imprévues, le batteur de Baroness a dû quitter les lieux à peine quelques heures avant leur concert. Malgré tout, les autres membres ont choisi de maintenir la prestation en la transformant en set acoustique, sans batterie. Ne s’étant jamais livré à cet exercice avant, les musiciens ont passé quelques heures à adapter leurs titres et à répéter avant de monter sur scène. Des hommes désemparés, l’âme à vif, plus inquiets et fébriles pour leur ami que pour leur concert quasi-improvisé. Un moment encore plus puissant que ce qu’on espérait, qui fera pleurer plus d’une personne dans les premiers rangs.

Alice In Chains : Soleil rasant et foule absolue pour l’un des groupes emblématiques des années 90, l’un de ceux qui a démocratisé la lourdeur du Rock. Malgré l’éloignement relatif vis-à-vis de la scène, le ressenti fut massif et un brin nostalgique. Ok, Layne Staley n’est plus là, paix à son âme, mais le chanteur actuel fait son office et s’octroie même des variations techniques au potentiel plus que certain. Les titres de Dirt autant que ceux du dernier album se succèdent et embarquent tout le monde dans un cycle majestueux, bien qu’on soit loin et que le vent fasse valser le rendu. Alice In Chains is not dead !

Septic Flesh : Les grecs sont visiblement très attendus pour leur venue sur la Temple. faut dire que Septic Flesh en live, si tu aimes la dernière fournée Death Metal moderne symphonique sur leur albums tu sera servi notamment avec pas mal de titres de Codex Omega. Mais le son est réglé au poil de cul près, que ça soit la basse ou le chant de Seth, les guitares ou les samples symphoniques qui envoient du folklorisme par paquet de douze. Ajouté à cela deux morceaux qui défoncent avec Persepolis et Anubis issus de Communion et on en avait largement pour notre argent.

Iron Maiden : Un étrange phénomène s’est répandu sur l’ensemble du festival aujourd’hui avec un nombre conséquent de festivaliers arborant un t-shirt Iron Maiden. Il faut dire que l’heure de la tête d’affiche, et sans doute du plus gros groupe de cette édition 2018, approche. Cette fameuse tournée estampillée The Legacy Of The Beast Tour nous réserve du grand spectacle digne de la tournée Maiden England ainsi que de nombreuses surprises. Doctor Doctor de UFO résonne dans les enceintes comme avant chacun de leurs concerts puis intervient alors le célèbre Churchill’s Speech, introduisant le premier morceau de ce concert : Aces High. Un des événements marquants de ce concert, au-delà du dépoussiérage d’un bon paquet de titres pas interprété depuis de nombreuses années, c’est surtout le grand retour du morceau Flight Of Icarus dont la dernière apparition sur une tournée d'Iron Maiden date de 1986 ! Je ne chercherai pas entrer davantage dans des détails qui gâcheraient la surprise à tous les lecteurs présents à leurs concerts à Paris Bercy les 5 et 6 juillet car s’il ne fallait retenir qu’une chose, c’est qu’au bout du compte, c’est toujours Iron Maiden qui l’emporte.
Scream for me Hellfest !!!

At The Gates : La fessée, cul nu, intégralement. Bien que sur album on soit encore loin, en direct y a pas photo, ça casse la gueule plus qu’il n’en faut. Le Death / Thrash mélodique des suédois met au pas un public en phase de décomposition en ce dimanche pétri de soleil mais suffisamment réceptif pour réceptionner la matière, propice au cassage de nuques, propre et sans fioritures. Les papas, ni plus ni moins.

Ensiferum : J’avais prévu, comme tout le monde, de voir Iron Maiden. Mais n’ayant pas campé aux Mainstages depuis 14h30, je me retrouve si loin que même regarder le set des Britanniques sur les écrans géants relève du défi. Le son m’arrive tout étouffé, et en prime, une dizaine de membres du gang de Jacky Grobof (surnommé "Jacky La Cuite"), mugissent les riffs de Maiden en les ponctuant de leur cri de guerre, el famoso "apérooo". Résigné, je suis allé voir autre chose, un peu par défaut, un peu parce que j’aime bien ce qu’a fait Ensiferum à une époque et au final c’était cool. Le groupe a une palette entière d’hymnes sous le coude et ne se sont pas privé de nous servir From Afar et autres Twilight Tavern. Voilà. C’est tout. Quoi ? Oui, je sais, je parle plutôt du fait de ne pas voir Iron Maiden que du fait de voir Ensiferum, mais que voulez-vous, la festivité du Metal Folk/Pagan des Finlandais n’efface pas l’amertume de la situation.

Exodus : Bagarre générale pendant le set des thrashers, où huit brûlots tirés des trois premiers albums s’imposent en maîtres (seuls trois titres post-2000 sont joué !). Le groupe est content d’être là et déborde d’énergie, et le public de l’Altar le leur rend bien. Pas un, mais deux bravehearts sont demandés par les Américains et le pit est ravi de s’exécuter. Pendant ce temps, depuis le fond de la Altar, on aperçoit les écrans géants de la Mainstage sans en percevoir le son : Marilyn Manson semble faire un spectacle à la Steel Panther à base de filles à poil. Bon bah on reste sur Exodus qui nous termine avec son massif Strike Of The Beast.

Amenra : Qu’est-ce qui fait un bon concert d’Amenra ? Sans doute l’état d’esprit avec lequel on appréhende le groupe. Car leur musique est- plus que viscérale. Ca, les fans le savent, et ceux qui ne connaissent pas encore, vont en faire les frais. Un concert monolithique, comme à leur habitude, un son d’une lourdeur rarement égalée et Colin qui dégueule sa haine sur scène. Mais tu le sais déjà si tu as déjà écouté les belges ou vu l’un de leurs concerts. Et en soit rien ne diffère trop de leurs précédents sets avec une setlist parfaite sur un créneau d’une heure (Razoreater, Plus Près De Toi, Nowena - mais sans Scott Kelly hélas -, Am Kreuz, Silver Needle) un son incroyable tellement noir et profond et surtout Colin qui n’est pas en reste vocalement. Un truc que tu te bouffes en plein bide, qui te fait ressurgir les choses les plus malsaines au fond de toi. Une catharsis comme peu de groupes peuvent le faire.

Nightwish : La caution Metal Symphonique du festival se sera fait attendre jusqu’au dernier créneau du dernier jour, mais l’attente valait le coup. L’introduction est grandiose et pleine de tension, et débouche sur un End Of All Hope puissant et souligné par des effets pyrotechniques. Pour rappel, Nightwish est en ce moment au milieu de sa tournée Decades, qui sert de prétexte à déterrer de vieux titres rarement joués ces dernières années. On aura droit à 10th Man Down, à Come Cover Me ou encore à Gethsemane, dont le riff d'intro aurait certes pu être plus propre. D'ailleurs puisqu'on parle des détails qui fâchent, deux choses dérangent : d’abord, symétrie oblige, une estrade sur un des cotés de la scène est occupée par les claviers de Tuomas Holopainen, mais l’autre est... vide : pendant trois titres, Troy est tout simplement absent de la scène, l’effet est étrange. L’autre point est la caméra qui diffuse les images du concert sur les écrans géants : un seul plan fixe filmé de loin reste affiché tout du long, contrairement aux autres groupes des Mainstages qui bénéficient généralement d’une demi-douzaine de caméras. Vraiment bizarre, mais l’exécution au poil et les choix de setlists font oublier ces détails.

Carpenter Brut : Après un final du feu de dieu l’année dernière sur Perturbator, la Temple remet ça et se pare de couleurs plus fluos qu’à l’habitude. C’est Carpenter Brut qui a pour tâche ce soir de réunir tout le monde pour un au revoir à cette édition 2018. Après avoir encaissé des pavés remplis de couleuvres comme Amenra, les sonorités 80’s du Français sont les bienvenues et rameutent bien rapidement une foule conséquente. Bah ouais, on écoute du Metal mais on aime aussi dandiner son fessier sur du beat efficace et des claviers fleurant bon la SF, peu importe notre chapelle de prédilection et les vestes à patch plus true les unes que les autres. C’est le moment de se lâcher, notamment sur le très bon Disco Zombi Italia avec sa mélodie aussi neuneu qu’accrocheuse. Kvohst (chanteur de Grave Pleasures) tape l’incruste pour chanter Beware The Beast et on aura même droit à une reprise de Maniac qui mettra tout le monde d’accord. Se trémousser de la sorte fait oublier la fatigue et le retour à la normale dès le lendemain. L’heure de set passe à toute vitesse et les lumières s’éteignent, on se dit au revoir à contrecœur. On entend des "Maniaaac ! Maniaaaac !" de toutes parts. C’est bel et bien fini et on espère fortement une fermeture dans la même veine pour le dernier concert du dimanche l’année prochaine.

Top 3 Dimanche :
Meo : AmenraNebula, Warning
Pentacle : Amenra, Exumer, The Great Old Ones
Skaldmax : Amenra, Exumer, Batushka
Florian : Amenra, Iron Maiden, Zeal And Ardor
Bacteries : Amenra, Iron MaidenThe Lords Of Altamont
Zbrlah : Amorphis, In This MomentThe Great Old Ones
Tang : Carpenter BrutAmenra, At The Gates
Julien : Alice In Chains, Marilyn Manson, Plebeian Grandstand
Nonohate : Amenra, Iron Maiden, Plebeian Grandstand

Vendredi 11 mai 2018

The One You Know de Alice In Chains en live, ça se matte dans la suite.

Samedi 05 mai 2018

Petit événement, Alice in Chains sort un clip. La chanson s'appelle The One You Know.

Dimanche 22 avril 2018

Le Montreux Jazz Festival dévoile en grande partie son immense programmation, dans laquelle vous retrouverez entres autres Nine Inch Nails, Gojira, Alice In ChainsGary Numan, Queens of the Stone Age, Deep Purple, Iggy PopJack White ou encore Massive Attack. Le festival aura lieu du 29 juin au 14 juillet (à Montreux donc en Suisse). Comme d'habitude, prévoyez de vous ruiner financièrement pour aller voir un concert, le prix des places variant entre 120 et 350 CHF.

Vendredi 13 avril 2018

Interrogé par Guitar World sur le prochain album d'Alice In Chains, Jerry Cantrell a résumé en quelques mots bien sentis son sentiment : "It's a fucking strong record".

Samedi 24 février 2018

Maudlin (Post Metal - Belgique, influencés Porcupine Tree, Alice In Chains, Mastodon...) vient de sortir son nouvel opus chez Counsouling Sounds et ça s'écoute en intégralité via ce lien.

Samedi 16 décembre 2017

Les Eurockéennes ont annoncés une partie de leur affiche 2018 (la 30éme édition) et le festival semble avoir fait une bonne pioche après pas mal d'années assez maigres : Nine Inch Nails, Alice In Chains, Queens Of The Stone Age, At The Drive In, Prophets Of RageLiam Gallagher, OrelsanBiglo Et Oli, ... Ca se passe du 5 au 8 juillet du coté de Belfort, places dispos ici.

Mercredi 29 novembre 2017

Allez, on vous parle encore d'un festival ricain, mais je suis sûr que certains vont se tâter à prendre leur billet d'avion, le Rock On The Range 2018 (18-19 et 20 mai à Columbus, Ohio) a annoncé : Tool, Avenged Sevenfold, Alice In Chains, A Perfect Circle, Godsmack, Stone Sour, Stone Temple PilotsThe UsedTech N9ne, Underoath, Body Count, Quicksand, BaronessAndrew W.K.Atreyu, We Came as RomansThe Bronx, Emmure, Power Trip, Mutoid Man, TriviumRed Sun Rising, .... Le festival s'autoproclame "Plus gros festival de rock américain", plus d'infos ici.

Samedi 18 novembre 2017

In Flames vient de sortir un ep de quatre titres de reprises. Au menu, Alice In ChainsChris Isaak, Nine Inch Nails et cette reprise de Depeche Mode.

Vendredi 29 septembre 2017

Dirt de Alice In Chains fête aujourd'hui ses 25 ans. Pour l'occasion, on ressort un petit classique juste ici

Jeudi 08 juin 2017

Nick Raskulinecz (Deftones, Foo Fighters) sera le producteur du prochain Alice In Chains, pour la 3ème fois à ce poste.

Jeudi 11 mai 2017

L'enregistrement du prochain Alice In Chains débutera en juin.

Vendredi 10 février 2017

Jerry Cantrell (Alice In Chains) a écrit et interprété un morceau pour la bande originale de John Wick : Chapter 2. A Job To Do s'écoute par ici.

Jeudi 10 novembre 2016

Rush va réediter son album 2112 pour ses 40 ans, il contiendra l'album + un disque de raretés / live etc des reprises faites par d'autres groupes, et pas des petits noms : Alice In Chains, Dave Grohl et Taylor Hawkins des Foo Fighters par exemple.

Lundi 07 novembre 2016

Rush va rééditer (CD et LP) son célèbre album 2112 à l'occasion de son 40ème anniversaire. Au programme, l'album enrichi de morceaux live et inédits ainsi que des reprises enregistrées par Dave Grohl et Taylor Hawkins (Foo Fighters), Alice In Chains ou Steven Wilson. Sortie prévue le 16 décembre.

Dimanche 02 octobre 2016

Alors quels ont été les actus les plus consultées de la semaine?
- Un nouveau titre (et clip) pour le prochain Metallica : Moth Into Flame.
- Les chiffres de ventes aux USA de plusieurs sorties metal (dont Ghost, Touché Amoré, Metallica, ...).
- Un fan d'Alice In Chains qui vient jouer un titre à la batterie lors d'un concert.
- Metalorgie a désormais son appli mobile sur Android.
- Nouveau titre de Korn feat Corey Taylor de Slipknot.
Et à noter : grosse mise à jour de la section sorties d'album.